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Plumaugat

Plumaugat [plymoɥat] est une commune du département des CÎtes-d'Armor, dans la région Bretagne, en France.

Plumaugat
Plumaugat
Mairie de Plumaugat.
Blason de Plumaugat
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement CĂŽtes-d'Armor
Arrondissement Dinan
Intercommunalité Dinan Agglomération
Maire
Mandat
Mickaël Chevalier
2020-2026
Code postal 22250
Code commune 22240
DĂ©mographie
Gentilé Plumaugatais, Plumaugataise
Population
municipale
1 103 hab. (2020 en diminution de 3,33 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 27 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 15â€Č 20″ nord, 2° 14â€Č 16″ ouest
Altitude 110 m
Min. 63 m
Max. 144 m
Superficie 40,43 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Broons
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Plumaugat
Liens
Site web Site officiel de Plumaugat

    GĂ©ographie

    La commune de Plumaugat est située à la limite de l'Ille-et-Vilaine, à km de la RN 12 (reliant Rennes à Saint-Brieuc).

    Plumaugat est parcourue par la Rance ce qui lui confĂšre un aspect vallonnĂ©. Les paysages y sont principalement de bocages avec toutefois des forĂȘts (14 % du territoire environ).

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 783 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Caulnes-Edf », sur la commune de Caulnes, mise en service en 1997[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 848,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Dinard », sur la commune de Pleurtuit, dans le dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1950 et Ă  38 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  11,6 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11,9 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Plumaugat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (82,8 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (83,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (48,7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (22,1 %), forĂȘts (15,7 %), prairies (12 %), zones urbanisĂ©es (0,8 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,6 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Plebs Maelcat en 846, 863 et 869, Ploemagada en 1182, Parochia de Plomagoat en 1282, Plomaugat vers 1330, Plumaugat en 1405, Plumagad au XVe siÚcle[21].

    Le nom de la commune vient de plou qui signifie paroisse (dénomination assez fréquente en Bretagne) et Maugat (nom du saint fondateur)[21]. Plumaugat est donc la « paroisse de Melgat/Maugat »[22].

    Histoire

    Moyen-Âge

    La commune de Plumaugat aurait vu naßtre Nominoë (premier roi de Bretagne) mais aucun document historique ne l'atteste. Toutefois, la paroisse existait bel et bien, à cette époque, puisqu'un document datant de 863 parle d'une donation d'une de ses habitantes.

    Les guerres du XXe siĂšcle

    Le monument aux Morts porte les noms de 158 soldats morts pour la Patrie[23] :

    • 146 sont morts durant la PremiĂšre Guerre mondiale.
    • 12 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale.

    L'aprĂšs Seconde Guerre mondiale

    En une épidémie de fiÚvre aphteuse frappe particuliÚrement l'est du département des CÎtes-du-Nord, notamment les communes de Caulnes, Guitté et Plumaugat. Un cordon sanitaire fut mis en place autour des exploitations agricoles concernées, les fermes désinfectées, des pédiluves installés à l'entrée des bùtiments. Des laissez-passer sont exigés pour pouvoir circuler et des fosses creusées à la hùte pour ensevelir sous de la chaux les cadavres des animaux.

    Francis Leroy, maire à l'époque, témoigne : « Ma ferme s'est retrouvée en isolement et tout le cheptel a été abattu : 250 porcs et 25 vaches laitiÚres »[24].

    HĂ©raldique

    Blason de Plumaugat Blason
    D'argent aux trois bandes d'azur.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Faisant partie de la communauté de communes de Caulnes jusqu'au , Plumaugat est rattaché depuis le à Dinan Agglomération.

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 1977 1989 Pierre de Mellon
    mars 1989 2001 Jeanne Maillard
    mars 2001 2008 Francis Leroy
    mars 2008 En cours Mickaël Chevalier UDI-AC Technicien agricole
    Président de la communauté de communes du Pays de Caulnes
    Conseiller départemental
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie


    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[26].

    En 2020, la commune comptait 1 103 habitants[Note 7], en diminution de 3,33 % par rapport Ă  2014 (CĂŽtes-d'Armor : +1,05 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 3032 0022 1842 3912 4672 4392 3612 4522 452
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 4532 4801 3201 2892 5202 6372 6382 6082 637
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 6132 5852 6022 3252 3122 1612 0382 0081 784
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 6551 5181 3571 2291 1261 0041 0281 1191 083
    2020 - - - - - - - -
    1 103--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee Ă  partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Elle compte de nombreux monuments, notamment :

    • L'Ă©glise paroissiale (fin XIXe siĂšcle) sous le patronage de Saint Pierre ;
    • la chapelle de Bonne Rencontre (1583) ;
    • la chapelle de BĂ©nin ;
    • la stĂšle de l'abbĂ© Fleury (chef de la RĂ©sistance des CĂŽtes-du-Nord assassinĂ© en 1944) ;
    • le site de « la Maison » avec des vestiges de la motte castrale ;
    • de nombreuses croix ;
    • le manoir de la RiviĂšre (1678), un ancien presbytĂšre devenu aujourd'hui un gĂźte qui accueille des groupes de personnes.
    • Le chĂąteau de Lozier inscrit en 1992 au titre des monuments historiques[29]
    • Le chĂąteau de l'Epinay Ă  Plumaugat
    • La croix de granit
    • La motte fĂ©odale

    Personnalités liées à la commune

    • Les Plumaugat et les seigneurs de Plumaugat :
      • Eudes de Plumaugat, croisĂ© en 1248 ;
      • Eon de Plumaugat ConnĂ©table de Rennes en 1388, mariĂ© Ă  Jeanne de RougĂ©, parents de Raoul de Plumaugat, qui fit une transaction le avec Jean de Plumaugat par laquelle il est convenu que Raoul portera les armes pleine et Jean avec diffĂ©rence ;
      • Caro de Plumaugat et MacĂ© de Plumaugat Ă©taient compagnons d'armes de Bertrand du Guesclin, connĂ©table de France ;
      • Pierre de Plumaugat mariĂ© en 1455 avec Jeanne de Plorec ;
      • Allain de Plumaugat chambellan du duc de Bretagne François II, mariĂ© Ă  Isabeau Giffard ;
      • Pierre de Plumaugat, mort en 1513 pĂšre de Marie-Marguerite de Plumaugat dame hĂ©riĂšre de Plumaugat mariĂ©e en 1490 Ă  Louis d’Yvignac, garde ordinaire d’Anne de Bretagne.
      • Marie de Plumaugat, dame de la Chasse, propriĂ©taires de quatre manoirs et mĂ©tairies et de quatre moulins, dĂ©clarait en 1513 dĂ©tenir « jurisdiction, seigneurie, collier (instrument destinĂ© Ă  exposer les malfaiteurs), justice patibulaire, sergent franc »[30].

    La seigneurie de Plumaugat passa ensuite dans les familles Yvignac, GuittĂ©, d’Espinay de Vaucouleur, du Breil de Pontbriand, Bruc de Broon, GuĂ©hĂ©neuc de Boishue puis Mellon.

    • L'abbĂ© Fleury : nĂ© Ă  Plumaugat le , EugĂšne Fleury est ordonnĂ© prĂȘtre le , maĂźtre d’étude aux Cordeliers Ă  Dinan avant l’ordination, puis il fut professeur Ă  Saint-Charles (Saint-Brieuc) en avant d’ĂȘtre nommĂ© Vicaire de l’Église Saint-Michel de Saint-Brieuc.
    Il devient membre du mouvement DĂ©fense de la France par l’intermĂ©diaire de l’AbbĂ© ChĂ©ruel en . L’abbĂ© Fleury recrute par la suite M. MĂ©tairie dont la maison devint le P.C du groupe D.F. qui se structure ensuite Ă  partir d’ Ă  Saint-Brieuc autour de MĂ©tairie, Hauet (masseur, chargĂ© des faux papiers) et du pharmacien gaulliste Gallais. En contact avec des membres du ComitĂ© DĂ©partemental de LibĂ©ration clandestin il organise l’une des premiĂšres rĂ©unions du CDL dans sa sacristie de l’Église Saint-Michel. Par la suite il remplace son collĂšgue ChĂ©ruel au sein du CDL quelques semaines. Lieutenant de rĂ©serve, il dirige avec Jean MĂ©tairie un groupe de Corps Francs sous le nom de « Vengeance » fort d’environ 450 hommes organisĂ©s militairement en sections, compagnies qui Ă  plusieurs reprises se heurtĂšrent aux Allemands avant le dĂ©barquement et qui seront intĂ©grĂ©s par la suite dans l’ArmĂ©e secrĂšte. L’abbĂ© Fleury est dĂ©signĂ© dĂ©lĂ©guĂ© militaire du Mouvement de LibĂ©ration Nationale (M.L.N), qui regroupe D.F, LibĂ©-Nord, l’O.C.M et l’O.R.A ; Jean MĂ©tairie Ă©tant dĂ©signĂ© chef dĂ©partemental de l’ArmĂ©e SecrĂšte. Il aurait refusĂ© de prendre le maquis pour Ă©chapper Ă  la menace d’arrestation.

    L’abbĂ© Fleury est arrĂȘtĂ© par la Gestapo le un peu aprĂšs midi, puis internĂ© Ă  la prison de Saint-Brieuc. Ses amis s’efforcent de lui faire parvenir un colis pendant sa dĂ©tention. TorturĂ© pendant les interrogatoires. Le , les gardiens refusent les colis dĂ©clarant que l’abbĂ© Fleury serait parti le matin vers Rennes. En fait il a Ă©tĂ© fusillĂ© le jour mĂȘme (). Son corps est retrouvĂ© dans une fosse commune de la ForĂȘt de Malaunay par des ouvriers chargĂ© d’abattre des arbres le long de la Route nationale 12 quelques jours plus tard. Son corps est reconnu par l’abbĂ© Le Solleu de Plouagat ainsi que l’abbĂ© Le Duff de Guingamp qui signale dans un courrier datĂ© du et adressĂ© Ă  l’ÉvĂȘchĂ© qu’il a Ă©tĂ© appelĂ© le matin Ă  bĂ©nir une fosse commune dĂ©couverte aux environs de Guingamp. Parmi les dix-sept cadavres que contenait ce charnier se trouvait celui d’un prĂȘtre. Dans sa poche il y avait un mouchoir marquĂ© E.F.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Caulnes-Edf - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Plumaugat et Caulnes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Caulnes-Edf - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Plumaugat et Pleurtuit », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Plumaugat ».
    22. Hervé Abalain, « Noms de lieux bretons - Page 98, Editions Jean-paul Gisserot, ISBN 2877474828 ».
    23. « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
    24. « Une partie de la Bretagne dĂ©jĂ  confinĂ©e
 en 1974 ! » AccĂšs payant, sur letelegramme.fr, Le TĂ©lĂ©gramme, (consultĂ© le ).
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    29. Notice no PA00089775, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    30. Christel Douard et Jean Kerhervé, Manoirs : Une histoire en Bretagne, Chùteaulin, Locus Solus, , 215 p. (ISBN 978-2-36833-338-9), p. 25.

    Liens externes

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