Accueil🇫🇷Chercher

Cerizay

Cerizay est une commune du Centre-Ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres, en région Nouvelle-Aquitaine.

Cerizay
Cerizay
L'église Saint-Pierre, monumentale construction néogothique.
Blason de Cerizay
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Bressuire
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Bocage Bressuirais
Maire
Mandat
Johnny Brosseau
2020-2026
Code postal 79140
Code commune 79062
Démographie
Gentilé Cerizéens, Cerizéennes
Population
municipale
4 802 hab. (2020 en augmentation de 0,29 % par rapport à 2014)
Densité 259 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 49′ 20″ nord, 0° 39′ 48″ ouest
Altitude Min. 143 m
Max. 217 m
Superficie 18,55 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Cerizay
(ville-centre)
Aire d'attraction Cerizay
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Cerizay
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Cerizay
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Cerizay
Géolocalisation sur la carte : Deux-Sèvres
Voir sur la carte topographique des Deux-Sèvres
Cerizay
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Cerizay

    Ses habitants s'appellent les Cerizéens et Cerizéennes.

    Géographie

    La ville de Cerizay située dans le nord-ouest des Deux-Sèvres, à 15 km de Bressuire comme de Pouzauges en Vendée et à 37 km de Cholet, s’étend sur les rives vertes d’un petit ruisseau qui, coulant est-ouest, se jette à quelques kilomètres dans la Sèvre Nantaise.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Voies de communication et transports

    Cerizay possède une halte, cependant mal desservie, ne possédant qu'un seul aller-retour TER Pays de la Loire Tours - La Roche-sur-Yon. L'aller-retour se croisant à Thouars, aucune possibilité de retour n'est possible en train, et même en car SNCF. L'été, l'aller-retour est remplacé par un aller-retour Saumur - Sables-d'Olonne, avec des horaires plus confortable, permettant de passer la journée à la mer. Cerizay est aussi desservie en autocars par le réseau Tréma (lignes 5, 102, 114, 115 et 116) et par la ligne 15 de la région.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 924 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bressuire », sur la commune de Bressuire, mise en service en 1990[7] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 860,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Niort », sur la commune de Niort, mise en service en 1958 et à 57 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,5 °C pour la période 1971-2000[11] à 12,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Cerizay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Cerizay, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[17] et 5 713 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cerizay, dont elle est la commune-centre[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 1 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,7 %), terres arables (24,5 %), prairies (20,4 %), zones urbanisées (15 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,5 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Cerizay est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Sèvre Nantaise et le ruisseau du Sevreau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1995, 1999, 2000, 2010 et 2018[25] - [23].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cerizay.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de terrains, notamment des tassements différentiels[26]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[27]. 31 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [28].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[23].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Cerizay est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[29].

    Histoire

    L’origine du nom serait gallo-romaine. Le centre de la ville était, au Moyen Âge, situé au pied du château féodal. Les deux dernières tours de ce château ainsi que son ancienne chapelle romane du XIIe siècle sont démolies lors de la construction, en 1890, de l’église actuelle.

    La litre ou ceinture d'armoiries du chœur de la chapelle présentait les blasons des seigneurs du XVIIe siècle, dont celui du maréchal Urbain de Maillé (1597-1650), marquis de Brézé, baron de Trèves et sgr. de Milly. On s’aperçut lors de la construction de la nouvelle église de l’existence d’un cimetière mérovingien près de la chapelle, des sarcophages en pierre coquillière ayant été mis au jour.

    Cerizay appartenait aux Maingot de Surgères. Par exemple, Jehanne Maingot de Surgères, fille de « très noble sire Jacques de Surgères, seigneur de Cerizay Â», qui épousa en 1493 Gaston 1er de Montferrand, seigneur de Langoiran (leur petit-fils Charles Ier de Montferrand fut père de Charles II Gaston et Guy de Montferrand), était la fille de Jacques de Surgères, seigneur de la Houlière, Cérizay et Saint-Paul, et de dame Renée/Marie de Maillé, fille d'Hardouin VIII de Maillé et de Pernelle d'Amboise (fille d'Ingelger II et petite-fille d'Ingelger Ier).

    Cerizay passa à la branche des Surgères de La Flocellière, puis par mariage en 1516 aux Hamon de La Flocellière. En 1567, l'héritière Robinette Hamon, fille de Jean Hamon, se maria avec Claude de Maillé-Brézé, faisant passer la Flocellière et Cerizay dans cette puissante famille[30] - [31] : ils sont les parents de Charles de Maillé, et les grands-parents du maréchal Urbain rencontré plus haut, beau-père du Grand Condé et ancêtre de Louis-Philippe. Mais en fait, Cerizay était passé à Jacques de Maillé-Brézé († 1641), marquis de la Flocellière, frère cadet de Charles et oncle paternel du maréchal. Jacques mourut sans postérité de sa femme Julienne d'Angennes de Poigny († 1614), et transmit la Flocellière et Cerizay à la famille de cette dernière, dont la sœur Françoise d'Angennes († 1635) avait épousé en 1604 Urbain de Morais († 1635), sgr. de Fontaine-Henry et de Brézolles[32]. Leur fils Paul-Philippe de Morais († 1669) devint marquis de Cerizay et de la Flocellière en juin 1645.

    A la veille de la Révolution, le seigneur de Cerizay était Henry Armand Célestin de la Fontenelle, Seigneur de Vaudoré, Saint Jouin de Milly, Puy-Mary, Puy-Papin, Cerizay et la Frelandière, Mousquetaire de la garde ordinaire du roi, capitaine de cavalerie, né à St Jouin de Milly le 03/04/1748 et mort le 16/06/1795 à Jersey (GB). Devenu seigneur de Cerizay par son mariage le 06/02/1776 avec sa cousine germaine Bénigne Antoinette Marguerite de Morais qui tenait ce fief de son père Alexandre Henri René de Morais de Cerizay. C’était le père de l’historien Armand Désiré De La Fontenelle De Vaudoré (St Jouin de Milly 1784-Poitiers 1847).

    Le , une colonne allemande revenant de la côte, bombarde en représailles et met le feu à la ville, maison par maison, faisant cinq victimes parmi la population et détruisant 172 maisons.

    Héraldique

    Blason Blasonnement :
    D’azur au chêne d’or mouvant de la pointe, chargé d’un écusson de gueules fretté de vair de six pièces, au comble bastillé aussi d’or chargé de cinq flammes aussi de gueules issant de cinq créneaux[33].

    Politique et administration

    Liste des maires

    ,
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Hyacinthe Perrineau Républicain Chirurgien,
    NB : les dates de début et de fin de mandat données sont des dates connues certifiées par des documents signés de son nom en tant que maire. Les dates réelles de début et de fin de mandat sont incertaines voire inconnues.
    Jean Charles Élie Bernard Propriétaire
    Ogier
    Rousseau
    Jean Charles Élie Bernard Propriétaire
    Pierre René Brémand Militaire, percepteur, propriétaire
    (1er mandat)
    Pierre Joseph Guerry Propriétaire (château de La Roche), Nommé par arrêté préfectoral
    Jean René Vindac Propriétaire
    Pierre René Brémand Militaire, percepteur, propriétaire
    (Second mandat)
    Jean Victor Michot
    Ernest Armand De La Fontenelle de Vaudoré propriétaire
    Pierre François Coulon
    Edmond Louis Barthélémy Cesbron
    1861 1870 Marie Guillaume Charles Le Roux Bonapartiste Artiste Peintre
    Député des Deux-Sèvres (1860 → 1870)
    Conseiller général des Deux-Sèvres (1859 → 1871)
    1870
    (démission)
    Jules-Henri Leschallier de Lisle Droite Propriétaire (château de La Roche)
    Conseiller général du canton de Cerizay (1871 → 1907)

    (démission)
    Georges Albertille Mancel Boulanger.
    NB : signe le registre des mariages en tant que maire le 24/04/1882 (registre mariages 1882 page 96/156).

    (démission)
    Élie Baudry Vétérinaire.
    NB : signe le registre des naissances en tant que maire le 04/05/1882 (registre naissances 1882 page 170/181).
    1907
    (décès)
    Jules-Henri Leschallier de Lisle Droite Propriétaire (château de La Roche), réélu après sa démission du 4 avril précédent
    Conseiller général du canton de Cerizay (1871 → 1907)

    (décès)
    Alfred Leschallier de Lisle Propriétaire (château de La Roche), fils du maire précédent, Conseiller général du canton de Cerizay (1907 → 1937)
    Louis Heuliez industriel carrossier
    Henri Leschallier de Lisle Propriétaire (château de La Roche, fils d'Alfred De Lisle maire de 1907 à 1942)
    Eugène Gateau Industriel, chevalier de la Légion d'Honneur
    Maire de Coëx de à
    Jean Giraud Cadre dans l'industrie (Ets. Heuliez)
    Marcel Jeanneau Gendarme en retraite
    Yvon Gauguin Docteur en médecine
    Jean Grellier PS Retraité
    Député de la 4e circonscription des Deux-Sèvres (2007 → 2012)
    Conseiller régional de Poitou-Charentes (1986 → 1998 puis 2004 → 2007)
    Vice-président du conseil régional de Poitou-Charentes (2004 → 2007)
    1er vice-président de la CC Delta-Sèvre-Argent (1993 → 2008)
    En cours Johnny Brosseau[34] PS Directeur de la PAIO[35] de la Maison de l'Emploi de Bressuire
    Conseiller général du canton de Cerizay (2004 → 2015)
    Vice-président du conseil général des Deux-Sèvres (2008 → 2015)
    3e vice-président de la CA du Bocage Bressuirais (2014 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune[36].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38].

    En 2020, la commune comptait 4 802 habitants[Note 9], en augmentation de 0,29 % par rapport à 2014 (Deux-Sèvres : +0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6009288991 0631 0091 1451 2301 3161 430
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3741 4571 5411 8001 8171 8631 9722 0202 011
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 9491 9211 9401 8161 9221 9501 9721 9912 100
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    2 8553 5824 6874 8814 7874 5894 5914 5914 734
    2017 2020 - - - - - - -
    4 7684 802-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Économie

    Le site Technypôle (ex-Heuliez) est situé à Cerizay. C'est là qu'était assemblée la MIA, véhicule électrique commercialisé par MIA Electric. Cette société a fait faillite en 2014. Il y reste la production de la Nosmoke, qui est un véhicule de plage.

    Sports

    Le football reste un sport important dans la commune depuis la fin du XIXe siècle. Le Cercle olympique de Cerizay fut en 1977 au palmarès du championnat de division d'honneur de la ligue du Centre-Ouest[42].

    Personnalités liées à la commune

    Jumelages

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Bressuire - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Cerizay et Bressuire », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Bressuire - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Cerizay et Niort », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Cerizay », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cerizay », sur insee.fr (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. « Les risques près de chez moi - commune de Cerizay », sur Géorisques (consulté le )
    24. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    25. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    26. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    28. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    29. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    30. « La succession de Cerizay, des Hamon de la Flocellière aux Morais, p. 421 », sur Chroniques fontenaisiennes, par Armand-Désiré de La Fontenelle de Vaudoré, in Archives historiques du Bas-Poitou, chez Gaudin Fils, à Fontenay-le-Comte, 1841
    31. « Maillé de Brézé, p. 516-517 », sur Histoire généalogique et chronologique de la Maison royale de France, t. VIII, par les Pères Anselme, Ange et Simplicien, et Honoré Caille du Fourny, à la Compagnie des Libraires associés, à Paris, 1733
    32. « Maison d'Angennes, branche de Poigny, p. 13 », sur Racines & Histoire, par Etienne Pattou, 2005 et 2021
    33. Gaso.fr
    34. Site de la préfecture, consulté le 31 août 2008
    35. Permanence d'accueil d'information et d'orientation.
    36. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    41. « Eglise paroissiale Saint-Martin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    42. Football, Championnat de Division d'Honneur
    43. « Jumelage entre ville de France et de Royaume-Uni », Annuaire Mairie (consulté le ).
    44. (en) « British Towns Twinned with French Towns », Complete France (consulté le ).
    1. la litre de l'église : Abbaye de la Sainte-Trinité de Mauléon de Dom Fourier BONNARD P: 151
    2. http://www.phil-ouest.com/Timbre.php?Nom_timbre=Europa_1990_2 Timbre Europa Poste de Cerizay

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.