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Saint-Louis-de-Montferrand

Saint-Louis-de-Montferrand est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Louis-de-Montferrand
Saint-Louis-de-Montferrand
L'hôtel de ville (mars 2014).
Blason de Saint-Louis-de-Montferrand
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Bordeaux
Intercommunalité Bordeaux Métropole
Maire
Mandat
Josiane Zambon
2020-2026
Code postal 33440
Code commune 33434
Démographie
Gentilé Montferrandais
Population
municipale
2 149 hab. (2020 en diminution de 1,2 % par rapport à 2014)
Densité 199 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 57′ 12″ nord, 0° 32′ 01″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 5 m
Superficie 10,8 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Louis-de-Montferrand
(ville isolée)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Presqu'île
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saint-Louis-de-Montferrand
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Saint-Louis-de-Montferrand
Liens
Site web saintlouisdemontferrand.fr

    Géographie

    Localisation

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    Commune de l'extrême nord de l'Entre-deux-Mers, dans la presqu'île formée par la confluence entre la Dordogne et la Garonne et sur la rive droite de celle-ci, Saint-Louis-de-Montferrand est également située au nord-est de l'aire d'attraction de Bordeaux, à 17 km au nord de Bordeaux, chef-lieu du département et d'arrondissement[1].

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes en sont Ambès au nord, Ambarès-et-Lagrave à l'est et Bassens. Sur la rive gauche (ouest) de la Garonne se trouvent Blanquefort au sud-ouest, Parempuyre à l'ouest et Ludon-Médoc au nord-ouest.

    Communes limitrophes de Saint-Louis-de-Montferrand[2]
    Ludon-Médoc Ambès
    Parempuyre La Garonne Saint-Louis-de-Montferrand Ambarès-et-Lagrave
    Blanquefort Bassens

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 13,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 920 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gervais », sur la commune de Saint-Gervais, mise en service en 1995[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 784,8 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 15 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[15].

    Voies de communication et transports

    Réseau routier

    Saint-Louis-de-Montferrand est desservi par 3 routes principales :

    Réseau ferroviaire

    La ligne ferroviaire du Bec d'Ambès traverse la commune sans la desservir.
    La gare SNCF la plus proche est celle de La Gorp (Ambarès-et-Lagrave).

    Réseau Transports Bordeaux Métropole

    Saint-Louis-de-Montferrand est actuellement desservie par les lignes TBM suivantes :

    Dès le 4 septembre 2023[16], la commune sera desservie par les lignes suivantes :

    • (Bus) 29 - 53 - 61

    Réseau TransGironde

    La commune n'est pas desservie.


    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Louis-de-Montferrand est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [17] - [18] - [19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Louis-de-Montferrand, une unité urbaine monocommunale[20] de 2 149 habitants en 2020, constituant une ville isolée[21] - [22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[23] - [24].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (27,5 %), eaux continentales[Note 7] (26,2 %), prairies (24,1 %), zones urbanisées (12,1 %), zones agricoles hétérogènes (4 %), cultures permanentes (3,4 %), forêts (2,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %), zones humides intérieures (0,2 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Louis-de-Montferrand est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, et le risque industriel[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bordeaux, regroupant les 28 communes concernées par un risque de submersion marine ou de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[28]. Les crues significatives qui se sont produites au XXe siècle, avec plus de 6,70 m mesurés au marégraphe de Bordeaux sont celles du (7,05 m, débit de la Garonne de 700 m3/s), du (6,85 m, 1500 à 2 000 m3/s), du (6,84 m, 4 000 m3/s), du (6,77 m, 1 000 m3/s) et du (6,73 m, 2 700 m3/s). Au XXIe siècle, ce sont celles liées à la tempête Xynthia du (6,92 m, 816 m3/s) et du (6,9 m, 2500 à 3 000 m3/s). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[29]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2010[30] - [26].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[31].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Louis-de-Montferrand.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 84 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 783 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 783 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[32] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003, 2005 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999[26].

    Risques technologiques

    La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[33].

    Toponymie

    Dans la région de l'Entre-deux-Mers, existent plusieurs villages contenant le mot « Barès » : Ambarès-et-Lagrave et Sainte-Eulalie (qui fut d'Ambarès jusqu'à la fin du XIXe siècle) : est-ce là l'origine des Barès, seigneurs de Montferrand ? La terre de Montferrand (proche de Bassens) fut vendue en 1591 aux jurats de Bordeaux. Le premier nom des Montferrand était Barès : Amanieu de Barès, écuyer et seigneur de Montferrand, nom mentionné dans un acte passé à Bordeaux au palais de l'Ombrière le ou 1243.

    En gascon, le nom de la commune est Sent Loís de Mont Ferrand.

    Histoire

    Le berceau de la famille de Montferrand était la Guyenne ; seigneurs, hauts-justiciers d'une des baronnies les plus importantes du Bordelais et, en cette qualité, admis aux premiers rangs de la noblesse ; on voit les aînés de cette maison, durant plusieurs générations, porter seuls le nom de Barès, suivi aussitôt du qualificatif de Montferrand. Les cadets ne retiennent que ce dernier nom. Mais depuis Bertrand II de Montferrand, allié en 1365 à Rose d'Albret, c'est-à-dire depuis le XIVe siècle, le nom de Barès disparaît pour faire entièrement place à celui de Montferrand. Les dignitaires qui nous sont connus sont les suivants :

    • Amaubin Ier de Barès, seigneur de Montferrand, sénéchal de Lannes, gouverneur du comté de Bigorre (1242-1271), marié à Gaillarde de Castillon.
    • Bertrand II de Montferrand (1354-1410) chevalier banneret allié à Rose d'Albret, fille d'Amanieu d'Albret, seigneur de Langoiran et de Podensac
    • Bertrand III de Montferrand (1409-1435), gouverneur de Marmande allié à Marguerite d'Astarac, puis à Isabeau de Preissac. Seigneur de Langoiran
    • Bertrand IV de Montferrand (1435-1474), conseiller, chambellan du duc de Guyenne et Seigneur de Langoiran, marié vers 1450 à Jeanne de Luxe.
    • Gaston Ier de Montferrand conseiller et chambellan du roi de France, gouverneur de Bourg, sénéchal de Bazadais (1471-1504), seigneur de Langoiran épousa Jeanne de Maingot de Surgères.
    • Pierre Ier de Montferrand (1513-1547) capitaine d'une compagnie d'hommes d'armes, marié vers 1508 à Marie de Carmain et de Foix.
    • Charles II de Montferrand, gouverneur de Bordeaux, seigneur de Langoiran, mort en 1574, épousa sa cousine Marguerite de Montferrand.
    • Guy de Montferrand dit « Langoiran » (frère cadet de Charles II) mort en . Un des chefs du parti protestant en Bordelais et en Périgord.
    • Pierre II de Montferrand, dit de Lesparre, gouverneur de Blaye, décapité à Poitiers en 1454.
    • François IV de Montferrand dit de Lesparre, premier panetier du duc de Guyenne, marié vers 1470 à Yolande Carion.
    • Enfin, parmi les descendants de sainte Jeanne de Lestonnac, il faut citer son propre fils :
    • François IV de Montferrand, gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, et capitaine de chevau-légers, allié en 1600 à Marguerite de Cazalis.
    • Et le petit-fils de sainte Jeanne de Lestonnac :
    • Bernard de Montferrand, enseigne des gendarmes de la Reine, marié en 1647 à Delphine de Pontac[34].
    • Et l’arrière-petite-fille de sainte Jeanne de Lestonnac :
    • Marie Christine de Montferrand, épouse du sénéchal du Cubzacais, Jean-Nicolas Escudero de Guiral.

    Au cours de la période de la Convention nationale (1792-1795), la commune a adopté le nom révolutionnaire de Montferrand[35] en omettant la partie à connotation catholique de son nom.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Saint-Louis-de-Montferrand appartient à l'arrondissement de Bordeaux et au canton de la Presqu'île depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur à l'occasion des élections départementales de 2015[36] - [37]. Avant cette date, elle faisait partie du canton de Lormont.

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription de la Gironde, représentée depuis 2017 par Alain David (PS).

    Intercommunalité

    Saint-Louis-de-Montferrand appartient à Bordeaux Métropole (anciennement Communauté urbaine de Bordeaux). Avec Ambès, elle est la seule commune qui fait partie de la métropole mais pas de l'agglomération de Bordeaux.

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[38].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 Marcel Boudy
    mars 1977 Laurent Cousty PS Garagiste retraité
    Réélu en 1983
    mars 1989[39]
    (démission)
    Didier Teillac
    [40] Michel Blaise PS
    juin 1995 Gérard Boudy[41] RPR Ingénieur retraité
    mars 2001[42] [43] Pierre Soubabère PS Retraité de la SNCF
    Réélu en 2008
    mars 2014[44]
    (réélue en 2020)
    En cours Josiane Zambon PS Responsable de gestion
    Conseillère métropolitaine déléguée
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Les habitants de Saint-Louis-de-Montferrand sont appelés les Montferrandais[45].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[47].

    En 2020, la commune comptait 2 149 habitants[Note 8], en diminution de 1,2 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    981625606693721730686735727
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    694709774804746746822848871
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    832705668673696726731611721
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    9931 1651 0781 3401 8081 8642 0082 0522 092
    2018 2020 - - - - - - -
    2 1492 149-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Economie et industrie

    La commune est le siège social et lieu de l'usine-mère du groupe Kapla, depuis sa fondation en 1987 (env. 8 M€ de chiffre d'affaires annuel)[49].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le domaine de Margarance (sept. 2012)
      Le domaine de Margarance (sept. 2012)
    • L'immeuble du Bousquet (sept. 2012)
      L'immeuble du Bousquet (sept. 2012)
    • Le domaine de la Seiglière (sept. 2012)
      Le domaine de la Seiglière (sept. 2012)
    • Le château Peyronnet (sept. 2012)
      Le château Peyronnet (sept. 2012)
    • L'église Saint-Louis (mars 2014)
      L'église Saint-Louis (mars 2014)
    • La nef de l'église Saint-Louis (mars 2014)
      La nef de l'église Saint-Louis (mars 2014)
    • Le monument aux morts (mars 2014)
      Le monument aux morts (mars 2014)

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Armes

    Les armes de Saint-Louis-de-Montferrand se blasonnent ainsi :

    Tiercé en barre, au premier de gueules à la colombe contournée essorante d'argent tenant dans son bec un rameau d'olivier de sinople, au deuxième d'azur à l'alose d'argent, au troisième d'or à la grappe de raisin de gueules tigée et vrillée de sinople

    Voir aussi

    Bibliographie

    • A. Communay, Notice sur la maison de Montferrand, dans Archives historiques du département de la Gironde , 1888, p. VIII-XV, 344-519 (lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Distances les plus courtes par la route - La distance orthodromique est de 12,5 km. Données fournies par lion1906.com.
    2. Saint-Louis-de-Montferrand sur Géoportail, consulté le 19 avril 2015.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Saint-Gervais - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Louis-de-Montferrand et Saint-Gervais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Saint-Gervais - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Louis-de-Montferrand et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. Le réseau TBM à compter du 4 septembre 2023
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Unité urbaine 2020 de Saint-Louis-de-Montferrand », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Louis-de-Montferrand », sur Géorisques (consulté le )
    27. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    28. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne », sur https://www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr/ (consulté le )
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