Accueil🇫🇷Chercher

Bassens (Gironde)

Bassens (prononcé [basɛ̃s]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.

Bassens
Bassens (Gironde)
Entrée dans Bassens en arrivant de Lormont,
côté Garonne.
Blason de Bassens
Blason
Bassens (Gironde)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Bordeaux
Intercommunalité Bordeaux Métropole
Maire
Mandat
Alexandre Rubio
2020-2026
Code postal 33530
Code commune 33032
Démographie
Gentilé Bassenais
Population
municipale
7 425 hab. (2020 en augmentation de 6,9 % par rapport à 2014)
Densité 722 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 54′ 05″ nord, 0° 30′ 59″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 56 m
Superficie 10,28 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Bordeaux
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lormont
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Bassens
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Bassens
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Voir sur la carte topographique de la Gironde
Bassens
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Bassens
Liens
Site web www.ville-bassens.fr

    On y trouve l'une des composantes du port de Bordeaux, le terminal de Bassens.

    Géographie

    Localisation

    Bassens est une commune Girondine de l'Entre-deux-Mers[1], en rive droite de la Garonne, dans l'aire d'attraction de Bordeaux et son unité urbaine[2] - [3].

    Aux alentours

    Les communes les plus proches sont Carbon-Blanc (km), Lormont (km), Sainte-Eulalie (km), Ambarès-et-Lagrave (km), Yvrac (km), Artigues-près-Bordeaux (km), Cenon (km), Saint-Louis-de-Montferrand (km), Saint-Vincent-de-Paul (km) et Saint-Loubès (km)[4].

    Géographie physique

    La commune s'étend sur plus de 10 km2 (1 028 hectares)[5], avec une partie basse à l'ouest et au nord, et un plateau à l'est ; la Garonne délimitant sa partie ouest[3] - [6]. L'altitude varie de 2 à 56 mètres[5]. Le plateau est la chaîne calcaire qui s'étend sur la rive droite, et qui se termine à Bassens[7].

    Bassens se trouve sur les unités paysagères de l'agglomération bordelaise[8], agglomération qui s'étend sur vingt kilomètres d'est en ouest, et du bec d'Ambès[9], confluence de la Dordogne et de la Garonne.

    La commune de Bassens peut être soumise aux crues de la Garonne, pour les zones situées près du fleuve : elle fait partie du SPPPI, le syndicat mixte pour la protection contre les inondations de la presqu'île d'Ambès[10].

    Voies de communication

    La mise en service, en 1967, du pont suspendu d'Aquitaine a facilité considérablement les liaisons vers le centre de Bordeaux.

    TER Nouvelle-Aquitaine

    La ville possède une gare (gare de Bassens) située sur la ligne de Paris-Austerlitz à Bordeaux-Saint-Jean et desservie par le TER Nouvelle-Aquitaine. La gare est desservie par la ligne 16 Bordeaux-Angoulême[11].


    Réseau TBM actuel

    Bassens est desservie par les lignes TBM suivantes:


    Réseau TBM à compter du 4 septembre 2023[12]

    Le réseau TBM évoluant au 4 septembre 2023, Bassens sera desservie par les lignes TBM suivantes:

    • (T) (A) (arrêt-terminus La Gardette)
    • (Bus) 7 - 29 - 31 - 53 - 57 - 60 - 61 - FlexGare

    Réseau Trans Gironde

    Le réseau de transports TransGironde ne dessert pas la commune[13].

    Réseau cyclable

    Il a fait l'objet d'une étude de l'A'urba en 2009[14].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[15]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[16].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[15]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 893 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[19] complétée par des études régionales[20] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bordeaux-Paulin », sur la commune de Bordeaux, mise en service en 1952[21] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[22] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 14,3 °C et la hauteur de précipitations de 854,6 mm pour la période 1981-2010[23]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 12 km[24], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[25], à 13,8 °C pour 1981-2010[26], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[27].

    Urbanisme

    Typologie

    Bassens est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [28] - [29] - [30]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux, une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes[31] et 994 920 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Bordeaux est la sixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française) et Toulouse[32] - [33].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[34] - [35].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (65,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (55 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (39,9 %), zones urbanisées (25,9 %), zones agricoles hétérogènes (12,1 %), eaux continentales[Note 7] (9,8 %), prairies (6,4 %), cultures permanentes (4,3 %), terres arables (1,6 %)[36].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Bassens est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, et le risque industriel[37]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[38].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bordeaux, regroupant les 28 communes concernées par un risque de submersion marine ou de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[39]. Les crues significatives qui se sont produites au XXe siècle, avec plus de 6,70 m mesurés au marégraphe de Bordeaux sont celles du (7,05 m, débit de la Garonne de 700 m3/s), du (6,85 m, 1500 à 2 000 m3/s), du (6,84 m, 4 000 m3/s), du (6,77 m, 1 000 m3/s) et du (6,73 m, 2 700 m3/s). Au XXIe siècle, ce sont celles liées à la tempête Xynthia du (6,92 m, 816 m3/s) et du (6,9 m, 2500 à 3 000 m3/s). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[40]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1984, 1986, 1987, 1999, 2009 et 2013[41] - [37].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[42]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[43].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bassens.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 94,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 133 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 2 133 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[44] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[43].

    Risques technologiques

    La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[45].

    Toponymie

    Formes anciennes du nom : Bassenxs, Bacenxs ou Bassenx au XIVe siècle[46] - [47], Bassens en 1793 et 1801, Bassens-Carbon-Blanc entre 1806 et 1853, puis Bassens[48]. Le nom du lieu provient de Bassing (domaine de Basso), de Basso et du suffixe -ing indiquant une propriété[47].

    Gentilé : les habitants de la commune sont appelés Bassenais, Bassenaise[6].

    Histoire

    Les premiers habitats, préhistoriques et gallo-romains, se concentrent autour de l'église et le long de la Garonne. L'ancienne voie romaine vers Blaye, le "chemin de la Vie" traversait les marais, d'après l'érudit F. Jouannet. Léo Drouyn en a donné des coupes et des plans[49]. Une nécropole mérovingienne a été redécouverte sur le site de l'église Saint-Pierre[50].

    Bassens subit l'influence économique de la ville de Bordeaux dès l'Antiquité[51] - [52].

    Au Moyen Âge, c'est le siège de la baronnie de Montferrand[53]. On y cultive la vigne[51]. Un four de tuilier médiéval a été découvert en 1887 au château Pommerol[54].

    Bassens est un lieu de résidence de parlementaires et négociants bordelais. Nobles, bourgeois, négociants et armateurs bordelais y font construire de belles demeures aux XVIIIe et XIXe siècles[51] - [53].

    Entre 1801 et 1806, la commune est réunie à celle de Carbon-Blanc sous le nom de Bassens-Carbon-Blanc. Les deux communes sont séparées en 1853[55] - [48].

    Le port est aménagé au début du XXe siècle : la construction de quais verticaux reliés à la voie ferrée Bordeaux-Paris est effectuée en 1915. Ces quais sont équipés de dix postes de navire et d'une vingtaine de grues[56].

    Au cours de la Première Guerre mondiale, l'armée américaine s'implante dans la partie basse de Bassens pour y construire un nouveau port : à ce niveau de la Garonne, le site peut accueillir des installations portuaires en eaux profondes (chenal de 11 m). Elle y réalise un appontement en 1917 pour le débarquement de ses troupes et de son matériel : 8 000 Sammies font les trois-huit pour développer le « New Bassens », un appontement formé de deux estacades réunies par une passerelle pour dix postes d'accostage. Le quai américain comporte des docks et des camps ainsi qu'un hangar frigorifique. Les installations accueillent près de 700 navires jusqu'en 1919. Certaines de ces infrastructures sont encore utilisées de nos jours[56] - [57] - [53].

    • Quai de l'armée américaine
    • Construction des quais de Bassens pour l'armée américaine, 8 mars 1918.
      Construction des quais de Bassens pour l'armée américaine, 8 mars 1918.
    • Régiment de manutentionnaires (stevedores regiment), avril 1918.
      Régiment de manutentionnaires (stevedores regiment), avril 1918.
    • Déchargement de mules et chevaux, avril 1918.
      Déchargement de mules et chevaux, avril 1918.
    • Déchargement de marchandises en boîtes, avril 1918.
      Déchargement de marchandises en boîtes, avril 1918.
    • Embarquement de soldats américains en 1918.
      Embarquement de soldats américains en 1918.
    • Transfert de blessés à bord d'un navire en 1918.
      Transfert de blessés à bord d'un navire en 1918.
    • Canons sur wagons plats aux quais de l'armée américaine en 1919.
      Canons sur wagons plats aux quais de l'armée américaine en 1919.
    • Les infrastructures portuaires construites par l'armée américaine.
      Les infrastructures portuaires construites par l'armée américaine.

    Des quais en maçonnerie sont édifiés entre 1925 et 1930 : des entrepôts pour les produits pétroliers et des hangars pour les bois coloniaux y sont construits.

    Dans les années 1980 un remaniement général modifie la disposition des postes d'accostages. Un bassin de radoub est établi à la Baranquine.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Hôtel-de-ville de Bassens.
    Hôtel-de-ville de Bassens.

    La commune a été érigée en municipalité en 1793[48]. Le conseil municipal est composé de 29 élus[58], et comprend huit adjoints[59].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1790 1791 Jacques Lassegue[60]
    1791 1792 Elie Payraud[61] Boulanger puis agriculteur et propriétaire
    (...)
    ? M. Mayaudon[62] Médecin
    (...)
    1922 1925 Jules Cormier
    (...)
    1965 1977 Henri Chassaing PCF Ouvrier
    1977 1988
    (décès)
    Jacques Étourneaud
    (1933-1988)
    PS
    1988 mars 2001 Jean Priol[63] PS
    mars 2001 mai 2020 Jean-Pierre Turon[64] PS Retraité de l'enseignement
    mai 2020[65] En cours Alexandre Rubio PS Conseiller métropolitain délégué

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[66].

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[67].

    Intercommunalité

    Bassens au sein de la Bordeaux Métropole.
    Bassens au sein de la Bordeaux Métropole.

    La commune est intégrée à l'établissement public de coopération intercommunale de Bordeaux Métropole[68].

    La piscine intercommunale est gérée par le syndicat intercommunal Bassens/Carbon-Blanc[69].

    Autres circonscriptions

    Situation du canton de Lormont dans l'arrondissement de Bordeaux en 2014.
    Situation du canton de Lormont dans l'arrondissement de Bordeaux en 2014.

    La commune de Bassens fait partie jusqu'en 2014 du canton de Lormont de l'arrondissement de Bordeaux. Dans le cadre de la réforme territoriale, entrée en vigueur à l'occasion des élections départementales de 2015, un nouveau découpage territorial pour le département de la Gironde est défini par le décret du 20 février 2014. Bien qu'il soit remodelé, la commune demeure dans le canton de Lormont[70] - [71].

    Instances judiciaires

    Il n'y a pas d'administration judiciaire sur la commune. Le Tribunal d'instance, le Tribunal de grande instance, le Tribunal pour enfants, le Tribunal de commerce, le Conseil des prud'hommes et le Tribunal paritaire des baux ruraux se trouvent à Bordeaux, de même que la Cour d'appel, la Cour d'assises, le Tribunal administratif et la Cour administrative d'appel[72].

    Jumelages

    Bassens a développé des associations de jumelage avec[73] - [74] :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[75]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[76].

    En 2020, la commune comptait 7 425 habitants[Note 8], en augmentation de 6,9 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 1651 9101 8901 8391 9001 8941 8691 8531 996
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1441 1931 2591 2811 2411 2281 2021 2161 172
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2141 1641 1571 9412 5892 4552 3092 1942 967
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    3 3964 8416 1336 5956 4726 9786 6946 6186 991
    2018 2020 - - - - - - -
    7 4047 425-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee à partir de 2006[77].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Située dans l'académie de Bordeaux, on trouve plusieurs établissements scolaires à Bassens : l'école maternelle du Bousquet, l'école maternelle Frédéric-Chopin, l'école primaire Rosa-Bonheur, l'école primaire François-Villon et le collège Manon-Cormier[78].

    Les lycées sont sur la commune voisine de Lormont[79] - [80].

    Manifestations culturelles et festivités

    Bassens adhère au Grand projet des villes de la rive droite (avec Cenon, Floirac et Lormont)[81] géré par un groupement d'intérêt économique (GIE) et, à ce titre, participe notamment à trois manifestations culturelles intercommunales :

    Bassens propose tous les ans une animation dans le cadre de la manifestation intercommunale Presqu'île en page, organisée par le syndicat intercommunal à vocation culturelle (SIVOC)[85].

    La médiathèque anime tout au long de l'année scolaire la manifestation de lectures partagées Entre mots, entre nous, en partenariat avec les établissements scolaires ainsi que les structures petite enfance, enfance et jeunesse de la ville[86].

    Santé

    Quatre médecins généralistes exercent sur la commune, ainsi que six chirurgiens-dentistes[87], des infirmiers et des kinésithérapeutes. Les habitants disposent également sur place d'un laboratoire d'analyse de biologie médicale[88].

    Le centre hospitalier le plus proche se situe sur l'agglomération bordelaise, c'est le centre hospitalier universitaire de Bordeaux, réparti sur trois sites dont celui de Bordeaux (groupe hospitalier Saint-André)[89].

    On trouve également une résidence pour seniors et deux maisons de retraite[90] ; trois familles d’accueil sont conventionnées[91] par le conseil départemental de la Gironde.

    Sports

    On trouve plusieurs installations sportives sur la ville de Bassens : les terrasses du Bousquet, qui comprend une salle omnisports de 1 141 m2, la plaine des sports Griffons-Séguinaud, qui comprend plusieurs installations dont une piste d'athlétisme et un gymnase, une piscine intercommunale, gérée par le syndicat intercommunal Bassens/Carbon-Blanc, deux plateaux d'évolution, l'un de 1 250 m2 et l'autre de 1 575 m2, le terrain multisports Prévert et celui de Beauval, etc[69].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    La médiane du revenu disponible par unité de consommation était en 2012 de 18 178 â‚¬, pour 20 388 â‚¬ sur le département. 60 % des foyers fiscaux étaient imposables, pour 65 % sur le département[92].

    Tissu économique

    Sur 531 établissements présents sur la commune à fin 2012, 1 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 11 % sur le département), 10 % du secteur de l'industrie, 13 % du secteur de la construction, 63 % de celui du commerce et des services et 13 % du secteur de l'administration et de la santé[92].

    On trouve sur la commune un port et une zone industrielle. Cette zone industrialo-portuaire est l'un des sites d'activités économiques de l'agglomération bordelaise[93]. Au titre du projet d'aménagement et de développement durable (PADD) de l'ancienne communauté urbaine de Bordeaux, le territoire de l'agglomération est identifié comme site d'intérêt métropolitain[94].

    Zone portuaire

    Déconstruction de la Jeanne d'Arc, août 2015.
    Déconstruction de la Jeanne d'Arc, août 2015.

    Situé sur la rive droite de la Garonne, le port, dit terminal de Bassens, est l'une des composantes du port de Bordeaux[56].

    En 2012, la cale sèche du port de Bassens est devenue le premier site français de démantèlement de grands navires marchands[95]. Le premier navire à y être démantelé est le Matterhorn, un cargo de 115 mètres. La création de ce site par une filiale de Veolia Environnement est issue de la volonté française, au moment du Grenelle Environnement, de mettre en place sa propre capacité de déconstruction de grands navires marchands, activité jusqu'ici inexistante en Europe de l'Ouest, les vieux bateaux étant expédiés dans d'autres régions (à 90 % en Asie du Sud) où le démantèlement est opéré dans de mauvaises conditions environnementales et sociales. En octobre 2014, le navire école la Jeanne d'Arc est amené au port pour y être déconstruit par les entreprises Bartin Recycling et Petrofer société nouvelle, filiales du groupe Véolia[96] - [97] - [98]. En juin 2016, c'est au tour du croiseur Colbert d'être accueillit à Bassens pour être démantelé[99].

    • Port de Bassens
    • Port de Bassens.
      Port de Bassens.
    • Port et zone industrielle de Bassens.
      Port et zone industrielle de Bassens.
    • Port et zone industrielle de Bassens.
      Port et zone industrielle de Bassens.
    • Port et zone industrielle de Bassens.
      Port et zone industrielle de Bassens.

    Zone industrielle

    On trouve plusieurs activités sur la zone industrielle de Bassens, comme de la production de caoutchouc synthétique (Michelin)[100] ou de la production de tourteaux d'huile de tournesol (Saipol)[101].

    De par les activités qui se trouvent sur la zone, la commune est dans le périmètre de risques technologiques[102]. La ville a mis en place un comité de veille et un plan communal de sauvegarde (PCS)[103].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Plusieurs édifices de la commune[104] sont inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel[105] :

    • Le château de Beauval, rue du Tertre, au sommet du plateau à la limite orientale de la commune. Ensemble des XVIIIe et XIXe siècles, constitué d'un logis et d'une chapelle[106].
    • Le château Pomerol, du XIXe siècle, rue Raoul-Bourdieu, au bord du plateau et au carrefour d'anciennes voies. Aujourd'hui maison de retraite[107].
    • L'église Saint-Pierre, place de la Libération, à l'un des points les plus élevés du plateau et au centre du village où aboutissent les anciennes routes. Édifice des XIe, XIIe, XVe, XVIe et XIXe siècles, sur un emplacement occupé dès le VIIIe siècle[108], décor intérieur remanié à la fin du XXe siècle, clocher du XIIe siècle inscrit aux Monuments historiques[109]. Le clocher neuf conçu par l'architecte Paul Abadie a été récemment restauré ainsi que les clochetons[110].
    • La ferme dite clos du Barry, rue Pasteur, des XVIIIe et XIXe siècles, située à proximité du village à un carrefour de chemins anciens. Le pavillon central donne sur une petite cour, le portail d'entrée comporte une grille ouvragée, les deux ailes en retour d'équerre servaient de dépendances[111].
    • La ferme Boles, côte de la Garonne, des XVIIIe (logis et cheminées) et XIXe siècles (dépendances)[112].
    • La ferme dite domaine le Bousquet, rue du Maréchal-Joffre, sur le coteau à l'extérieur du village. Édifice des XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles, formé d'un long bâtiment à trois corps et de deux corps de dépendances sur le côté. Une tourelle carrée s'appuie sur la façade septentrionale du logis[113].
    • La ferme dite métairie de Fleur, rue du Tertre, au bord du plateau de Montferrand, du XVIe-XVIIe siècle, aujourd'hui partiellement détruite. D'après Léo Drouyn, elle aurait réutilisé des matériaux du château de Montferrand détruit en 1591 (cheminée et cul-de-lampe support d'échauguette)[114].
    • La maison de maître dite château d'Antichan, rue Manon-Cormier, au bord de l'ancienne route du port de Lormont, au pied du coteau. Édifice du XVIIIe siècle, constitué d'un long bâtiment entouré d'un parc. Le niveau de soubassement (transformé en appartements) abritait les chais ; on accède au rez-de-chaussée surélevé par un escalier tournant en pierre à double volée. La porte d'entrée est couronnée par un fronton orné de sculptures. La maison fut habitée au XXe siècle par Manon Cormier[115].
    • La maison de maître dite domaine Bellerive-Les Moines, quai Alfred-de-Vial, des XVIIIe et XIXe siècles, maison carrée à étage avec tours polygonales de style néo-médiéval surmontées d'un décor de créneaux[116].
    • La maison de maître dite château des Griffons, avenue des Griffons, actuel bâtiment construit au XIXe siècle par l'architecte Charles Berger pour le négociant bordelais Marc Maurel. Acquis en 1934 par la municipalité de Bassens[117].
    • La maison de maître dite domaine Lagrange, rue Fabre, au sommet du coteau, des XVIIIe et XIXe siècles, était une ancienne possession de l'abbaye cistercienne de Bonlieu. Elle est constituée d'un corps principal accolé à un corps de bâtiment plus étroit. Les aménagements de voirie ont séparé la demeure d'une partie de son parc[118].
    • La maison de maître dite château Morin, rue de la Pomme-d'Or, en bordure du plateau dominant la Garonne, du XVIIIe siècle. Elle a été partiellement détruite par un incendie en 2001 ; chapelle à abside semi-circulaire. Attribuables à l'architecte Louis Combes[119].
    • La maison de maître dite domaine Moulerin, rue d'Ambarès, à proximité de routes antiques, entourée de vignobles, date des XVIIe et XVIIIe siècles, mais a été très remaniée par la suite ainsi que le jardin (ruines de chapelle ?). Logis allongé et prolongé d'un logement et d'un chai portant la date de 1882. Lors de la vente comme bien national, le domaine comportait « maison de maître avec métairie, un chai, un cuvier, 103 journaux de vigne, terre, pré, aubarède et pacage Â»[120].
    • La maison de maître dite domaine Muscadet, rue d'Ambarès, à proximité de routes antiques, des XVIIIe et XIXe siècles. Ensemble composé d'un logis (partie ancienne) au centre d'une cour avec trois côtés entourés de dépendances. Les deux pavillons de la façade postérieure sont couverts d'une haute toiture d'ardoise percée d'Å“ils-de-bÅ“uf[121].
    • La maison de maître dite château de Séguinaud, chemin du Grand-Came, du XIXe siècle, acheté en 1878 par le négociant bordelais Urbain Maurel : cette maison de campagne comprenait alors « maison de maître, logement, chai, cuvier, grange, parc, jardin d'agrément et fontaine Â». Le domaine a été racheté par la municipalité de Bassens en 1973, qui en fait alors un centre de loisirs. Bâtiment construit en U au milieu d'un parc où les vestiges d'un belvédère donnent accès à un large panorama sur la vallée de la Garonne. Plus au sud, une fontaine alimente un lavoir auquel on accède par un escalier à une volée double[122].
    • Le manoir dit château Beaumont, rue Raoul-Bourdieu, au carrefour des routes reliant Bassens, Lormont et Carbon-Blanc, du XVIIIe siècle, remanié au XXe. L'édifice se compose d'un corps de logis carré avec deux tours circulaires découronnées. La chapelle est signalée par des ouvertures surmontées d'une croix. Le parc et le château ont été acquis par la municipalité en 1955. Actuellement maison des jeunes[123].
    • Le manoir dit château Grillon, rue La Fayette, situé à la limite des zones résidentielles et de la zone industrielle dont il est séparé par la voie de chemin de fer, des XVIIIe et XIXe siècles. Façade postérieure du logis principal le long de la route, avec deux corps à pignons découverts et tourelle d'angle d'inspiration médiévale[124].
    • Les vestiges du manoir dit domaine de Meignan, rue La Rochefoucault, à la limite de la zone résidentielle et de la zone viticole, des XVIIIe et XIXe siècles : puits galbé datant de la 1re moitié du XVIIIe siècle et portail composé d'une porte cochère flanquée de deux portes piétonnes datant du 1er quart du XIXe siècle ; la grille est ornée de motifs géométriques et hérissée d'artichauts. Le parc est devenu un jardin public[125].
    • Les vestiges du manoir dit château Puy-Pelat puis domaine des Balances, rue Franklin, du XVIIIe siècle, vestiges situés à la limite de la zone portuaire entre la voie ferrée et les nouvelles routes : quelques vestiges des murs du logis percés d'une porte cintrée[126].
    • Le château de Lagarde est construit vers 1864 par l'architecte Berger pour l'armateur bordelais Émile Maurel[127]. Il est détruit dans un incendie en 1913. Il en reste les communs (logements, écurie, bergerie, grenier, remise, orangerie). Le parc a été partiellement loti et transformé en jardin public[128].
    • L'éolienne de Beauval, rue du Tertre, datant de la fin du XIXe siècle, éolienne Bollée[129]. Elle est signalée dans le circuit-patrimoine en vélo qui traverse la commune[130].
    • Église de Bassens
    • Église Saint-Pierre de Bassens.
      Église Saint-Pierre de Bassens.
    • Église Saint-Pierre.
      Église Saint-Pierre.
    • Église Saint-Pierre.
      Église Saint-Pierre.
    • Église Saint-Pierre.
      Église Saint-Pierre.
    • Église Saint-Pierre.
      Église Saint-Pierre.
    • Autres lieux
    • Château Morin (ruine).
      Château Morin (ruine).
    • Château Beaumont.
      Château Beaumont.
    • Esplanade.
      Esplanade.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.

    Équipements culturels

    La construction de la médiathèque date de 1995. Elle a été réaménagée en 2013 (600 m2)[131], a été dotée d'un espace public numérique (EPN) labellisé Netpublic et d'une salle de spectacle de 80 places.

    Patrimoine environnemental

    Bassens adhère au projet de fil vert du parc des Coteaux reliant plusieurs communes de la rive droite[132], intégré à la Boucle verte de Bordeaux Métropole[133].

    Personnalités liées à la commune

    • Jacques Robelin (1605-1677), mort à Bassens, maître maçon parisien.
    • Hubert Prom (1807-1896), fondateur de Maurel & Prom, propriétaire du château de Beauval au XIXe siècle.
    • Simon-Antoine Delphin de Lamothe (1725-1781), professeur en droit bordelais puis avocat au parlement de Bordeaux, propriétaire du "domaine de Muscadet".
    • Herman Georges Berger (1875-1924), escrimeur, champion olympique par équipe en 1908.
    • Madeleine Cormier, dite Manon Cormier (1896-1945), résistante française.

    Héraldique

    Armes

    Les armes de Bassens (Gironde) se blasonnent ainsi :

    D'argent au navire de gueules et d'azur, habillé et pavillonné d'or, ouvert de six sabords aussi d'azur, voguant sur une champagne du même, chargée d'un croissant d'or surmonté d'une grappe de raisin de gueules feuillée de sinople, au chef aussi de gueules chargé d'un léopard aussi d'or armé et lampassé aussi d'azur.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Histoire et Patrimoine de Bassens, Association Histoire et patrimoine de Bassens,
    • F. Sévérino, Bernard Vallier, Bassens : quelques points de son histoire, Alan Sutton (Joué-lès-Tours),
    • Guy Mayeur et Bernard Vallier, Bassens : Mémoire en images, Association Histoire et patrimoine de Bassens, , 26 p. (OCLC 468709699)
    • Gaëlle Rousseau et Bernard Vallier, Une Famille de négociants à Bassens… les Maurel !, Association Histoire et patrimoine de Bassens, , 43 p. (OCLC 469574115)
    • Guy Mayeur, Bernard Vallier et Lucienne Mayeur, Bassens : Tome II, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton (Cyr-sur-Loire), , 128 p. (ISBN 2-84910-183-4)
    • Les Américains à Bassens : 1917-1919, Association Histoire et patrimoine de Bassens, , 32 p. (OCLC 469573910)
    • Histoire de la vigne à Bassens, Association Histoire et patrimoine de Bassens, , 50 p. (OCLC 470899369)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[17].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[18].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Entre-deux-Mers, portion de la Gironde comprise entre les rivières de la Garonne et de la Dordogne (cf. Actes de l’académie nationale des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Bordeaux, Volumes 32 à 34, 1870, p. 325) — À noter que l'atlas des paysages de la Gironde (Conseil départemental de la Gironde) n'inclut pas la commune de Bassens.
    2. Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), « Unité urbaine 2010 de Bordeaux (33701) », sur Insee (insee.fr), unité urbaine 2010 (consulté le ).
    3. Institut national de l’information géographique et forestière (IGN), « Bassens, 33530 », sur Géoportail (geoportail.fr) (consulté le ).
    4. Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Bassens (33) », sur Lion1906 (version du 14 mars 2017 sur Internet Archive), consulté le 11 août 2015 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau) — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
    5. Institut national de l’information géographique et forestière (IGN), « Répertoire géographique des communes (RGC) », sur professionnels.ign.fr, données 2014 (consulté le ).
    6. Mairie de Bassens, « Données géographiques », sur ville-bassens.fr (consulté le ).
    7. Aristide Guilbert, Histoire des villes de France, t. 2, Furne - Perrotin - Fournier, , p. 318.
    8. Département de la Gironde, « Atlas des paysages de la Gironde - L’agglomération bordelaise » (consulté le ).
    9. Conseil départemental de la Gironde, « Atlas des paysages de la Gironde - Le Bec d’Ambès » (consulté le ).
    10. Mairie de Bassens, Prévention des risques naturels, consulté le 11 septembre 2015.
    11. SNCF, « TER Aquitaine - Ligne 16 Bordeaux Angoulême », sur ter.sncf.com/aquitaine, document du 4 août 2015 (consulté le ).
    12. Le réseau TBM à compter du 4 septembre 2023
    13. TransGironde (Conseil départemental de la Gironde), « Plans des lignes - Bassens », sur transgironde.gironde.fr (consulté le ).
    14. a-urba, « Le réseau cyclable de la commune de Bassens : état des lieux et perspectives », Transports et mobilité, (consulté le ), p. 18 pages.
    15. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    16. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    17. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    18. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    19. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    20. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    21. « Station Météo-France Bordeaux-Paulin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    22. « Orthodromie entre Bassens et Bordeaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    23. « Station Météo-France Bordeaux-Paulin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    24. « Orthodromie entre Bassens et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    25. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    26. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    27. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    28. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    29. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    30. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    31. « Unité urbaine 2020 de Bordeaux », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    32. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    33. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    34. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    35. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    36. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    37. « Les risques près de chez moi - commune de Bassens », sur Géorisques (consulté le )
    38. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    39. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne », sur https://www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr/ (consulté le )
    40. « Cartographie des risques d'inondations du TRI de Bordeaux », sur www.nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    41. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    42. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    43. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Bassens », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    44. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    45. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
    46. Patrick Epron, Origine des noms de lieux en Gironde et en Aquitaine, Ed. PPC, (OCLC 21852628), p. 22.
    47. Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak, Origine des noms de villes et villages : Gironde, Saint-Jean-d'Angély, J.-M. Bordessoules, coll. « Collection Origine des noms de villes et villages », , 304 p. (ISBN 2-913471-40-4), p. 24-25.
    48. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    49. Carte archéologique de la Gironde, 1994, p. 56.
    50. Carte archéologique de la Gironde, 1994, page 329 (data BnF, notice BnF).
    51. « Présentation de la commune de Bassens », notice no IA33001288, base Mérimée, ministère français de la Culture, rédigée par Marie-Hélène Maffre (Conseil régional d'Aquitaine - Service chargé de l'inventaire), inventaire topographique du 13 novembre 2008.
    52. Media-culture (Mairie de Bassens), « Histoire de Bassens », sur mediaculture.ville-bassens.fr (consulté le ).
    53. Mairie de Bassens, « Histoire », sur ville-bassens.fr (consulté le ).
    54. Carte archéologique de la Gironde, page 328 (notice BnF).
    55. A. Fouquier, Annuaire historique universel ou Histoire politique pour 1853, Lebrun et Cie, libraires, , p. 256 — « Projet de loi autorisant la division en deux communes de celle de Bassens-Carbonc-Blanc (Gironde) ; présenté le 15 février 1853 ; en commission le 17 ; en rapport le 28 février ; rapporteur, M. le baron Portalis ; voté le 5 mars ».
    56. « Port dit Terminal de Bassens », notice no IA33001287, base Mérimée, ministère français de la Culture, document du 13 novembre 2008.
    57. Arte GEIE, « L’histoire méconnue des « Sammies Â» de Bassens », sur arte.tv, article du 26 novembre 2008.
    58. « Code général des collectivités territoriales - Article L2121-2 (nombre de conseillers municipaux) », sur legifrance.gouv.fr, version en vigueur au 23 mars 2014.
    59. Mairie de Bassens, « Vie municipale - Les élus », sur ville-bassens.fr (consulté le ).
    60. Bernard Lachaise et Jean Claude Drouin, Maires de la Gironde de la Révolution à la Restauration : Les maires des chefs-lieux de cantons de 1790 à 1824, MSHA, coll. « Travaux de la Maison des sciences de l'homme d'Aquitaine », , 103 p. (ISBN 978-2-85892-188-1), p. 79 - Lassegue Jacques, maire de Bassens de 1790 à 1791, né en 1735 à Bassens et décédé à Bassens en 1793.
    61. Maires de la Gironde de la Révolution à la Restauration, op. cit., p. 81 - Peyraud Elie, maire de Bassens de 1791 à 1792, né en 1731 à Bassens et décédé à Bassens en 1806, boulanger puis agriculteur et propriétaire.
    62. Amédée Latour (rédacteur en chef), L'Union médicale : Journal des intérêts scientifiques et pratiques, moraux et professionnels du corps médical, t. 17, , p. 619.
    63. Yannick Delneste, « Bassens (33) : l'ancien maire Jean Priol est décédé », sur Sud-Ouest, .
    64. Commune de Bassens sur le site de l'AMF, association des maires de France, consulté le 22 novembre 2011 et le 10 août 2015.
    65. Denis Garreau, « Les projets d’Alexandre Rubio, le nouveau maire de Bassens », sur sudouest.fr, (consulté le ).
    66. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Bassens, consultée le 25 octobre 2017
    67. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
    68. Insee, « Établissement public de coopération intercommunale de Bordeaux (243300316) », sur insee.fr (consulté le ).
    69. Mairie de Bassens, « Equipements sportifs », sur ville-bassens.fr (consulté le ).
    70. Décret no 2014-192 du 20 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Gironde sur le site de Légifrance.
    71. Carte des cantons et communes de la Gironde avant et après le redécoupage de 2014 sur le site du conseil départemental de la Gironde.
    72. Ministère de la Justice, « Annuaire des juridictions d'une commune - 33530 Bassens », sur annuaires.justice.gouv.fr (consulté le ).
    73. Jumelages sur le site de la mairie de Bassens.
    74. Jumelages étrangers de Bassens sur l'atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures.
    75. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    76. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    77. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    78. Ministère de l’Éducation nationale, « Annuaire - Bassens (33) », sur education.gouv.fr (consulté le ).
    79. Collège et lycée Bassens, sur Ville-Data(Pas de mention légale), consulté le 11 septembre 2015.
    80. Ministère de l'Éducation nationale, « Annuaire - Lormont », sur education.gouv.fr (consulté le ).
    81. Le Grand Projet des Villes Rive Droite, loi d’orientation pour l’aménagement et le développement durable du territoire de 1999, consulté le 11 septembre 2015.
    82. Bassens Culture (mairie de Bassens), festival Bulles en Hauts de Garonne, consulté le 11 septembre 2015.
    83. Musiques de nuit - Le rocher de Palmer (ville de Cenon), Festival des Hauts de Garonne 2015, consulté le 11 septembre 2015.
    84. Bassens Culture (mairie de Bassens), Souffles nomades, consulté le 11 septembre 2015.
    85. SIVOC Presqu'île en pages, consulté le 11 septembre 2015.
    86. Mairie de Bassens, Entre mots, entre nous, consulté le 11 septembre 2015.
    87. Caisse nationale de l'Assurance Maladie des travailleurs salariés (CNAMTS), « Je recherche un professionnel de santé - Bassens (33) », sur ameli-direct.ameli.fr (consulté le ).
    88. Mairie de Bassens, « Annuaire de la santé », sur ville-bassens.fr (consulté le ).
    89. Fédération hospitalière de France, « Recherche cartographique - Département de la Gironde », sur etablissements.fhf.fr (consulté le ).
    90. Mairie de Bassens, « Seniors - Résidences et maisons de retraite », sur ville-bassens.fr (consulté le ).
    91. Conseil départemental de la Gironde, L’accueil familial des personnes âgées, consulté le 11 septembre 2015.
    92. Insee, « Statistiques locales du territoire de Bassens (33032) », sur insee.fr, données 2012 (consulté le ).
    93. Mairie de Bassens, « Zone Industrialo-Portuaire », sur ville-bassens.fr (consulté le ).
    94. Bordeaux Métropole, Diagnostic territorial de la presqu'île d'Ambès, Rapport établi le 28 février 2006.
    95. À Bordeaux, cap sur le démantèlement de navires, Le Monde, 26 décembre 2012.
    96. Yannick Delneste, « La « Jeanne d'Arc » arrivera au port de Bassens (33) à la mi-octobre », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
    97. « Veolia monte en puissance dans le démantèlement », Les Échos,‎ (lire en ligne).
    98. Yannick Delneste, « Bassens (33): le démantèlement de la « Jeanne d'Arc » peut commencer », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
    99. Gaëlle Richard, « Bassens (33) : Le « Colbert » est arrivé dimanche soir pour être démantelé », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
    100. Maxime Amiot, « Pourquoi le caoutchouc reste le nerf de la guerre pour Michelin », Les Échos,‎ (lire en ligne).
    101. « Saipol décortique le tournesol pour le brûler », Les Échos,‎ (lire en ligne).
    102. Jean-Louis Mauvais, L'état de l'environnement sur la façade atlantique, Editions Quae - Ifremer, coll. « Bilans & prospectives », , 140 p. (ISBN 978-2-905434-98-2, présentation en ligne), p. 33.
    103. Mairie de bassens, Prévention des risques industriels, consulté le 11 septembre 2015.
    104. Bassens Culture (mairie de Bassens), Patrimoine bâti, consulté le 10 septembre 2015.
    105. Ministère de la Culture, « Base Mérimée - Bassens », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
    106. « Château de Beauval », notice no IA33001323, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    107. « Château Pomerol », notice no IA33001320, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    108. « Église paroissiale Saint-Pierre », notice no IA33001289, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    109. « Église - clocher », notice no PA00083126, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    110. Jean-Bernard Faivre, Le clocher neuf de l’église de Saint-Pierre de Bassens, construction-restauration, dans L’Entre-deux-Mers à la recherche de son identité, Actes du troisième colloque tenu à Monségur et Saint-Ferme les 19 et 20 octobre 1991, CLEM, 1992, p. 165-178.
    111. « Ferme dite clos du Barry », notice no IA33001316, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    112. « Ferme Boles », notice no IA33001301, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    113. « Ferme dite domaine le Bousquet », notice no IA33001311, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    114. « Ferme dite métairie de Fleur », notice no IA33001326, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    115. « Maison de maître dite Château d'Antichan », notice no IA33001310, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    116. « Maison de maître dite domaine Bellerive-Les Moines », notice no IA33001293, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    117. « Maison de maître dite Château les Griffons », notice no IA33001305, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    118. « Maison de maître dite domaine Lagrange », notice no IA33001297, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    119. « Maison de maître dite Château Morin », notice no IA33001318, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    120. « Maison de maître dite domaine Moulerin », notice no IA33001294, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    121. « Maison de maître dite domaine Muscadet », notice no IA33001295, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    122. « Maison de maître dite Château de Séguinaud », notice no IA33001304, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    123. « Manoir dit Château Beaumont », notice no IA33001319, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    124. « Manoir dit Château Grillon », notice no IA33001307, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    125. « Manoir dit domaine de Meignan », notice no IA33001309, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    126. « Manoir dit Château Puy-Pelat puis domaine des Balances », notice no IA33001299, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    127. Mairie de Bassens, Une famille de négociants à Bassens..., document du 27 décembre 2012.
    128. « Château de Lagarde », notice no IA33001314, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    129. « éolienne de Beauval », notice no IA33001325, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    130. Bordeaux Métropole, « Villégiatures sur la rive droite, Journal de la CUB no 12 », (consulté le ).
    131. Aqui.fr (SAS Aqui!Presse), A Bassens (Gironde) une médiathèque, nouvelle génération, consulté le 9 septembre 2015.
    132. Bassens Culture (mairie de Bassens), Le Parc des Coteaux, consulté le 10 septembre 2015.
    133. Google Maps, Boucle verte, consulté le 10 septembre 2015.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.