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Bassens (Savoie)

Bassens [basɛ̃] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de la Savoie en rĂ©gion Auvergne-RhĂŽne-Alpes. Elle fait partie de l'agglomĂ©ration chambĂ©rienne et du Grand ChambĂ©ry.

Bassens
Bassens (Savoie)
Vue sur Bassens prĂšs du chef-lieu,
au pied des Monts.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂŽne-Alpes
DĂ©partement Savoie
Arrondissement Chambéry
Intercommunalité Grand Chambéry
Maire
Mandat
Alain Thieffenat
2020-2026
Code postal 73000
Code commune 73031
DĂ©mographie
Gentilé Bassinots
Population
municipale
5 063 hab. (2020 en augmentation de 26,2 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 1 628 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 34â€Č 32″ nord, 5° 56â€Č 24″ est
Altitude Min. 280 m
Max. 810 m
Superficie 3,11 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Chambéry
(banlieue)
Aire d'attraction Chambéry
(commune du pĂŽle principal)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Alban-Leysse
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Bassens
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Bassens
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Bassens
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Bassens
Liens
Site web bassens-savoie.fr

    GĂ©ographie

    Situation

    Avenue venant de Chambéry traversant le centre commercial de Bassens, avec le mont Peney (Bauges) en arriÚre-plan.

    Bassens se trouve à l'est de la ville de Chambéry dans le département de la Savoie, sur les contreforts sud de la chaßne du Revard (massif des Bauges).

    La commune est proche du parc naturel régional des Bauges situé a environ km en allant vers Saint-Jean-d'Arvey.

    Communes limitrophes

    Bassens est commune limitrophe de ChambĂ©ry, avec laquelle elle partage sa limite ouest. De par sa relativement faible superficie, la commune ne possĂšde que deux autres communes limitrophes : Barberaz au sud et Saint-Alban-Leysse Ă  l'est. La commune de La Ravoire est situĂ©e au sud-est de Bassens mais n’a pas vĂ©ritablement de limite commune car « coincĂ©e entre » Barberaz et Saint-Alban-Leysse.

    Communes limitrophes de Bassens
    Saint-Alban-Leysse
    Chambéry Bassens
    Barberaz

    GĂ©ologie et relief

    La superficie de la commune est de 311 hectares ; son altitude varie de 280 Ă  564 mĂštres[1].

    Le point le plus haut est au niveau des Monts en allant vers Verel-Pragondran.

    Hydrographie

    En termes d'hydrographie, la riviĂšre Leysse longe la commune dont elle marque par ailleurs la limite sud qu'elle partage avec Barberaz.

    Voies routiĂšres

    La commune de Bassens voit passer Ă  l'extrĂȘme sud-ouest de son territoire la route nationale 201 (N 201, la Voie Rapide Urbaine (VRU) de ChambĂ©ry) Ă  sa sortie du tunnel des Monts en direction de l’A41 pour Grenoble et de l’A43 pour les vallĂ©es et l’Italie.

    La D 1006 (ex-nationale 6), reliant Paris Ă  l'Italie par le col du Mont-Cenis, passe Ă©galement au sud de la commune, dont elle marque par ailleurs la limite avec la commune de Barberaz.

    Transport ferroviaire

    La gare ferroviaire la plus proche est la gare de ChambĂ©ry-Challes-les-Eaux situĂ©e Ă  2 kilomĂštres et situĂ©e sur la ligne de la Maurienne passant non loin au sud-ouest de Bassens. Des correspondances TGV existent pour relier notamment Paris mais aussi Turin et Milan en Italie. Les liaisons rĂ©gionales (TER) pour leur part permettent de relier les communes de Lyon, Grenoble, Annecy, GenĂšve et les vallĂ©es savoyardes que sont la Tarentaise et la Maurienne.

    Transport aérien

    L'aĂ©roport le plus proche est l’aĂ©roport de ChambĂ©ry-Savoie situĂ© Ă  8 kilomĂštres au nord de ChambĂ©ry[2]. Un aĂ©rodrome, l'aĂ©rodrome de ChambĂ©ry - Challes-les-Eaux, est Ă©galement situĂ©e sur la commune de Challes-les-Eaux Ă  moins d'une dizaine de kilomĂštres au sud-est de Bassens.

    Bus

    Un bus du réseau STAC, en direction de Bassens, à Saint-Baldoph en août 2017.

    Le territoire communal est desservi par trois lignes du réseau de bus Synchro (réseau de transport), géré conjointement par Grand Chambéry et Keolis. Les lignes concernées sont :

    • la ligne B , qui traverse le centre commercial qui relie Sonnaz Ă  Barby.
    • la ligne D , qui traverse Bassens d’est en ouest, relie Saint-Alban-Leysse au quartier de Bissy (plus prĂ©cisĂ©ment Ă  Chamoux). Elle dessert quatre arrĂȘts dans la commune (“Boulodrome”, “Bassens Centre”, “HĂŽpital Bassens” et “Gonrat”).
    • la ligne 6 , qui arrive sur le territoire depuis l’est et dispose de son terminus Ă  Bassens, relie la commune Ă  Saint-Baldoph. Outre son terminus (“Galion”), elle dessert quatre arrĂȘts dans la commune (“Boulodrome”, “Bassens Centre”, “HĂŽpital Bassens” et “Longefand”).
    • la ligne 11 , qui entre sur le territoire communal Ă  l’est et en sort au nord, relie le collĂšge de Maistre, dans la commune voisine de Saint-Alban-Leysse, Ă  Verel-Pragondran. Elle dessert deux arrĂȘts sur le territoire bassinot (“Boulodrome” et “Praz du Nant”) ainsi qu’un situĂ© Ă  la limite avec Verel-Pragondran (“BĂ©maz”). En heures creuses, cette ligne est assurĂ©e en transport Ă  la demande, ce qui permet, en rĂ©servant son trajet jusqu’à deux heures avant l’heure souhaitĂ©e, d’ĂȘtre rĂ©cupĂ©rĂ© par un bus et dĂ©posĂ© Ă  l’arrĂȘt Boulodrome, d’oĂč la ligne D assure des dĂ©parts vers le centre-ville de ChambĂ©ry.

    Le dimanche et les jours fériés, seules les lignes B et D circulent. Le réseau de nuit ayant été supprimé dans le cadre du nouveau réseau, la commune ne voit plus de bus traverser son territoire aprÚs 22 ou 23 heures, selon les jours.

    Urbanisme

    Typologie

    Bassens est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de ChambĂ©ry, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 35 communes[6] et 190 279 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de ChambĂ©ry, dont elle est une commune du pĂŽle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[9] - [10].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (58,9 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (52 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (48,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (30 %), forĂȘts (11,2 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (10,5 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    • Carte en couleurs prĂ©sentant l'occupation des sols.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Photo aĂ©rienne en couleurs de la commune.
      Carte orthophotogrammétrique de la commune.

    Toponymie

    • DÂŽorigine burgonde, selon Perrenot dÂŽun primitif Bassingos, dĂ©rivĂ© du nom propre Basso.
    • Baisinis ou Basinis vers 1100, Basins en 1164, Baisins au XIIe siĂšcle, Bacins en 1224, Bassinum en 1234, Bacinum en 1479, Bassin en 1675, Bassins en 1732.

    En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit BassÚ (graphie de Conflans) ou Bassens (ORB)[12].

    Histoire

    Durant la PremiÚre Guerre mondiale, de nombreux soldats belges blessés, en particulier par les gaz, ont été soignés dans l'hÎpital de la commune. Une centaine d'entre eux sont morts de leurs blessures, et sont enterrés dans le cimetiÚre de la commune, dans un carré militaire belge.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le conseil municipal de Bassens se compose du maire, de huit adjoints, de 4 conseillers municipaux délégués et de 14 conseillers municipaux.

    Voici ci-dessous le partage des siĂšges au sein du conseil municipal :

    GroupePrésidentEffectifStatut
    SEAlain Thieffenat21Majorité
    DVGJean-Pierre Burdin6Opposition

    Tendances politiques et résultats

    RĂ©sultats des derniers scrutins Ă©lectoraux
    1er score 2e score Participation
    Élections europĂ©ennes de 2014 23,33 % pour Renaud Muselier (UMP) 21,34 % pour Jean-Marie Le Pen (FN) 45,88 %
    Élections municipales de 2014 50,15 % pour Alain Thieffenat (SE) 49,84 % pour Jean-Pierre Burdin (DVG) 63,56 %
    Élection prĂ©sidentielle de 2012 55,75 % pour Nicolas Sarkozy (UMP) 44,25 % pour François Hollande (PS) 82,31 %
    Élections lĂ©gislatives de 2012 53,27 % pour Bernadette Laclais (PS) 46,73 % pour Christiane Brunet (DVD) 55,09 %
    Élections rĂ©gionales de 2010 51,74 % pour Jean-Jack Queyranne (PS) 35,97 % pour Françoise GrossetĂȘte (UMP) 52,94 %
    Élections cantonales de 2008 65,92 % pour Jean-Pierre Burdin (PRG) (Ă©lu au 1er tour) 23,02 % pour Christiane Nantois (DVD 62,02 %

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    juin 1995 mars 2014 Jean-Pierre Burdin[13] PRG Architecte
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Saint-Alban-Leysse (2001 → 2015)
    Vice-président de Chambéry métropole
    mars 2014 En cours
    (au 30 juin 2020)
    Alain Thieffenat[14] DVD Chef d'entreprise retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Drapeau de la France Bassens (Gironde) (France).

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[16].

    En 2020, la commune comptait 5 063 habitants[Note 3], en augmentation de 26,2 % par rapport Ă  2014 (Savoie : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
    285426418435453426443765462
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    9191 0351 0281 0301 0901 1841 1941 1951 313
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    1 4371 5261 7151 9702 0872 8333 0093 5484 016
    1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019 2020
    3 6253 5773 5033 9203 8663 7094 0124 7855 063
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee Ă  partir de 2006[18].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Santé

    Le centre hospitalier spécialisé départemental est installé à Bassens.

    Économie

    La commune de Bassens accueille l'une des deux grandes unitĂ©s commerciales de l’agglomĂ©ration de ChambĂ©ry. AppelĂ© Centre commercial de Bassens, le lieu regroupe diverses enseignes parmi lesquelles notamment celle du groupe Carrefour, ou encore Saint-Maclou, BUT ou Darty.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Vue aérienne du CHS d'origine devant les grandes surfaces de la zone commerciale.

    À Bassens on peut encore remarquer des traces du passĂ©.

    Le plus imposant est le chĂąteau de Bressieux datĂ© de 1527, aujourd’hui intĂ©grĂ© au centre hospitalier spĂ©cialisĂ© (CHS) installĂ© depuis le XIXe siĂšcle. On y voit une belle façade du XVIIIe siĂšcle, Ɠuvre du maçon Jean Petet, ainsi que la maison forte de Lambert datĂ©e de 1314, situĂ©e sous l'Ă©glise, avec sa tour ronde et sa porte en accolade du XVIe siĂšcle, et la Maison Pointet ou chĂąteau La Thieppaz du XVIe siĂšcle Ă©galement, mais trĂšs remaniĂ©e.

    Il y a Ă©galement l’église Sainte-ThĂ©rĂ©se dont la façade date du XIXe siĂšcle, avec de belles piĂšces Ă  l’intĂ©rieur (christ en croix de bois naturel, statue de saint BarthĂ©lemy)[2].

    Espaces verts et fleurissement

    En 2014, la commune de Bassens a été récompensée par le « Concours des villes et villages fleuris » avec « une fleur »[19] - [20].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • MichĂšle Brocard, Lucien Lagier-Bruno et AndrĂ© Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes, vol. 1 : ChambĂ©ry et ses environs. Le Petit Bugey, Roanne, Éditions Horvath, , 475 p. (ISBN 978-2-7171-0229-1), p. 212-216. ([PDF] lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.

    Références

    1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestiÚre, [lire en ligne].
    2. Bassens Savoie [en ligne]. Mairie, [consulté le 8 décembre 2010]. Disponible sur : http://www.bassens-savoie.fr/fr/présentation_ville.php.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Chambéry », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chambéry », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    12. Lexique Français - Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 20
      Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
      .
    13. Extrait de la fiche de M. Jean-Pierre BURDIN, sur lesbiographies.com
    14. « Qui sont les 38 maires des communes de Grand Chambéry ? », Le Dauphiné libéré, édition Savoie, (consulté le ).
    15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    19. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
    20. Musée de l'Ordre de la Libération
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