Parti radical de gauche
Le Parti radical de gauche (PRG) est un parti politique français de centre gauche, républicain et laïc, créé en 1972 par des membres dissidents du Parti radical. Il connaît plusieurs dénominations au cours de son existence, notamment celle du Mouvement des radicaux de gauche (MRG) de 1973 à 1994.
Parti radical de gauche | |
Logotype officiel. | |
Présentation | |
---|---|
Président | Guillaume Lacroix |
Fondation | 1972 (MGRS) 1973 (MRG) 1994 (Radical) 1996 (PRS) 1998 (PRG) |
Scission de | RAD (1972) MR (2019) |
Siège | 320 rue Saint-Honoré 75001 Paris |
Présidents d'honneur | Jean-Michel Baylet Roger-Gérard Schwartzenberg |
1er vice-président | Vincent Garel |
Secrétaire général | Hadrien Laurent |
Trésorier | Jean-Bernard Bros |
Coordinateur du Secrétariat national | Cédric Rousset |
Porte-paroles | Franck Guéguéniat Assia Meddah |
Mouvement de jeunesse | JRG – Jeunes du centre gauche |
Adhérents | 3 500[1] (2022) |
Positionnement | Centre gauche |
Idéologie | Radicalisme Laïcisme Républicanisme Solidarisme Social-libéralisme[2] Fédéralisme européen |
Affiliation française | La Convention |
Affiliation européenne | ARE (1994-1999) |
Couleurs | Bleu et jaune |
Site web | partiradicaldegauche.fr |
Présidents de groupe | |
SĂ©nat | Jean-Claude Requier (RDSE) |
Représentation | |
SĂ©nateurs | 3 / 348 |
Présidence de conseils départementaux | 2 / 95 |
Conseillers départementaux | 100 / 4058 |
Conseillers régionaux | 34 / 1757 |
Présidence de communautés d'agglomération | 1 / 227 |
Maires | 127 / 34955 |
Le parti décide en 2017 d'entamer un processus d'union avec le Parti radical au sein du Mouvement radical (MR). Avant la dissolution prévue du PRG, sa direction nationale décide de restaurer son indépendance début 2019. Une partie des membres font alors le choix de rester au MR. Guillaume Lacroix devient dans la foulée président du parti.
Histoire
1972-1973 : Mouvement de la gauche radicale-socialiste
Le PRG est né en 1972 d'une scission du Parti radical, car ses animateurs (Maurice Faure, René Billères, Robert Fabre et Jacques Maroselli) souhaitaient adhérer au programme commun de la gauche et soutenir la candidature unique de François Mitterrand pour l'élection présidentielle de 1974. La tendance, opposée aux orientations de Jean-Jacques Servan-Schreiber est initialement connue sous le nom de Groupe d'études et d'action radical-socialiste (GEARS).
Selon Frédéric Fogacci, historien spécialiste du radicalisme et directeur des études à la Fondation Charles-de-Gaulle, « la rupture de 1972 s'est faite au moment de l'union de la gauche. Son président d'alors, Jean-Jacques Servan-Schreiber, refuse de s'allier aux communistes. Mais ceux qui, localement, avaient besoin des voix de la gauche pour gagner aux législatives de 1973, ont fait scission pour sauver leur siège. Il s'agissait davantage de stratégies locales que de désaccords idéologiques »[3].
Le mouvement prend ensuite le nom de Mouvement de la gauche radicale-socialiste (MGRS), qui l'emporte sur Mouvement d'action radical-socialiste (MARS).
1973-1994 : Mouvement des radicaux de gauche
En , son nom change et devient Mouvement des radicaux de gauche (MRG).
Les tentatives de Robert Fabre qui voulait accueillir au sein du MRG un certain nombre de gaullistes de gauche, comme Léo Hamon ou Jean Charbonnel, lui valent de solides inimitiés de la part des radicaux de gauche les plus proches du PS. Il est nommé, en 1978, Médiateur de la République par Valéry Giscard d'Estaing. Son départ est suivi de l'exclusion de plusieurs de ses proches.
Le Mouvement des radicaux de gauche gagne la présidence du Conseil régional de la Corse en 1974 avec François Giacobbi et la garde jusqu’en 1980 pour la récupérer en 1981-1982. En 1982, la Corse change de statut et devient une collectivité territoriale, dès lors c’est le président de l’assemblée de Corse qui dirige l’exécutif insulaire. Prosper Alfonsi (MRG) président de la région corse devient président de l’assemblée de Corse et le reste jusqu’en 1984. Après 1984, la droite remporte les élections territoriales.
La candidature de Michel Crépeau à l'élection présidentielle de 1981 est décevante. Il obtient 2,09 % des voix[4]. Le MRG participe au gouvernement et obtient 14 élus aux élections législatives.
Une scission survient en 1982 et voit la création du Parti démocrate français (PDF)[5].
Aux élections européennes de 1984, le MRG présente une liste commune avec des écologistes (dont Brice Lalonde) et l'UCR d'Olivier Stirn. La liste « Entente radicale écologiste pour les États-Unis d'Europe » obtient 3,32 % des voix, mais aucun élu.
Aux élections législatives de 1986, une tentative de présenter des listes autonomes en alliance avec le MGP (Mouvement gaulliste populaire) achève de convaincre le MRG que l'alliance avec le PS demeure la seule solution raisonnable pour sa survie. Seuls sept députés sont élus. Dès lors, François Doubin puis Émile Zuccarelli s'emploieront, à la tête du MRG, à reconstruire tout à la fois une identité politique aux radicaux de gauche et une alliance équilibrée avec le Parti socialiste.
Lors de l'élection présidentielle de 1988, le MRG soutient dès le premier tour la candidature de François Mitterrand. Il obtient 9 élus aux élections législatives et participe, à nouveau, au gouvernement. Aux élections européennes de 1989, il participe à la liste conduite par le PS et obtient 2 élus (Jean-François Hory et André Sainjon).
En 1993, le MRG ne compte plus que six députés dont une nouvelle recrue : Bernard Tapie[6] qui adhère le [7]. Le MRG des Bouches-du-Rhône et « Énergie Sud », créé aux élections régionales de mars 1992 par Bernard Tapie, fusionnent.
1994-1996 : Radical
La liste « Énergie radicale » conduite par Bernard Tapie aux élections européennes de 1994 obtient 12,0 % des voix et 13 élus : Noël Mamère, Bernard Tapie, Jean-François Hory, Catherine Lalumière, Christiane Taubira, Michel Dary, André Sainjon, Bernard Castagnède, Odile Leperre-Verrier, Pierre Pradier, Christine Mustin-Mayer, Dominique Saint-Pierre et Antoinette Fouque.
Le , le parti abrège son nom pour s'appeler tout simplement « Radical »[8], mais il garde en sous-titre la mention « Mouvement des radicaux de gauche, de la réforme et de la république ».
En , Jean-François Hory, président du mouvement, annonce sa candidature à l'élection présidentielle d'avril suivant ; il propose notamment la « mise hors la loi » du chômage des jeunes et la « fiscalisation de la protection sociale »[9]. Il se retire quelques mois plus tard, devant les sondages défavorables[10] et faute de soutien de Bernard Tapie et des cadres du MRG (Émile Zuccarelli, Michel Crépeau ou Roger-Gérard Schwartzenberg, qui préfèrent soutenir Lionel Jospin dès le premier tour)[11]. Jean-François Hory quitte alors la présidence du MRG.
1996-1998 : Parti radical-socialiste
En , Jean-Michel Baylet succède à Jean-François Hory et s'associe avec une autre figure médiatique, Bernard Kouchner qui est alors nommé « président délégué à l'innovation politique[12] ». Le parti est rebaptisé Parti radical-socialiste (PRS) le [8].
Aux élections législatives de 1997, au sein de la gauche plurielle, le PRS obtient 14 élus ou apparentés et participe au gouvernement. Jusqu'en 2002[13], ces députés siègent à l'Assemblée nationale aux côtés des Verts et des chevènementistes au sein du Groupe radical, citoyen et vert (RCV).
Présidence de Jean-Michel Baylet (jusqu’en 2016)
Le parti est rebaptisé Parti radical de gauche le [8].
Durant l'élection présidentielle de 2002, le PRG choisit d'être représenté par une personnalité non membre, Christiane Taubira, députée de Guyane. Cette décision crée au sein du PRG de fortes tensions, plusieurs de ses élus et dirigeants et au premier plan d'entre eux Émile Zuccarelli choisissant de soutenir la candidature du républicain Jean-Pierre Chevènement. Christiane Taubira obtient 2,32 % au scrutin présidentiel. Elle intègre provisoirement le PRG en qualité de vice-présidente avant de renoncer à cette fonction en 2005 et d'appeler avec Émile Zuccarelli et une majorité de députés PRG à voter « non » au référendum du sur le projet de Traité constitutionnel européen. Le PRG apparaît alors divisé entre un courant « social-libéral » autour de Jean-Michel Baylet et un courant républicain de gauche conduit par Émile Zuccarelli conforté par ses victoires consécutives au référendum insulaire puis au référendum sur le TCE.
Pour l'élection présidentielle de 2007, les militants réunis en congrès extraordinaire ont validé à une forte majorité la stratégie d'union avec le Parti socialiste dès le premier tour de l'élection présidentielle. Il en résulte un accord global entre le PS et le PRG pour les législatives : 36 circonscriptions électorales lui sont réservées. La majorité élue étant de droite, le PRG obtient neuf députés dont cinq femmes. Plusieurs sortants sont battus : Émile Zuccarelli, Roger-Gérard Schwartzenberg, François Huwart… Faute d'avoir obtenu la réduction à 15 députés du seuil de constitution d'un groupe parlementaire, les députés radicaux de gauche décident de constituer le groupe Socialiste, radical, citoyen et divers gauche (SRC) avec les députés du Parti socialiste et du Mouvement républicain et citoyen. Le groupe SRC est présidé par Jean-Marc Ayrault.
En 2008, six députés radicaux de gauche[14] et des sénateurs du RDSE se prononcent en faveur de la révision de la constitution et contribuent à ce que celle-ci soit adoptée.
Lors des élections régionales de 2010, la vague rose apparue lors des précédentes élections régionales de 2004 est consolidée, le PS et le PRG gardent toutes leurs régions. Le PRG arrache la Corse à la droite. Il ne reste à la droite que l’Alsace. D’ailleurs, si dans toutes les régions le PS est tête de liste et le PRG son allié, en Corse la situation est inversée. Le PRG fort de son ancrage local présente deux listes: une avec Émile Zuccarelli, maire de Bastia à sa tête et une avec Paul Giacobbi, fils du 1er président de la région Corse. La liste Giacobbi arrive devant, les deux listes PRG fusionnent et gagnent les élections territoriales. La Collectivité territoriale de Corse repasse aux mains des radicaux de gauche 26 ans après l’avoir dirigée. Paul Giacobbi est élu président du conseil exécutif de Corse, le 25 mars 2010 ; il le reste jusqu’en décembre 2015.
Jean-Michel Baylet se présente à la primaire citoyenne de 2011 organisée par le Parti socialiste afin de faire candidature commune à la présidentielle. Il finit en dernière position avec 0,6 % des voix. En , les statuts d'un « Pôle radical et écologiste » sont signés entre le PRG et Génération écologie[15] - [16].
À la suite des élections présidentielle et législatives de 2012, à l'entrée de plusieurs ministres PRG au gouvernement (Anne-Marie Escoffier, Sylvia Pinel, Christiane Taubira), le PRG forme, à l'Assemblée nationale, avec un député MdP (Jean-Noël Carpentier), un dissident PS (Olivier Falorni), un élu MoDem (Thierry Robert) et un élu GUSR (Ary Chalus), le groupe parlementaire Radical, républicain, démocrate et progressiste (RRDP). Paul Giacobbi quitte en 2014 le PRG en raison de conflits avec la direction nationale de son parti.
Présidence de Sylvia Pinel (2016-2017)
Le , Sylvia Pinel succède à Jean-Michel Baylet à la présidence du PRG. Exerçant cette charge par intérim, elle doit affronter lors du congrès de septembre un autre candidat à la présidence du parti, Guilhem Porcheron, ce qui rompt avec les pratiques en cours sous la présidence de Jean-Michel Baylet, qui était élu par acclamation ou à mains levées[17]. Après avoir annoncé sa candidature l'élection présidentielle de 2017 sans passer par la primaire de gauche, Sylvia Pinel fait voter sa participation à ladite primaire[18] - [19] : elle termine en avant-dernière position, avec 2,02 % des voix[20]. Alors que le parti soutient le vainqueur de la primaire, Benoît Hamon, plusieurs personnalités du PRG, comme Jean-Michel Baylet, Thierry Braillard et Annick Girardin, appellent à voter pour le candidat En marche, Emmanuel Macron[21] - [22].
Annick Girardin et Jacques Mézard font leur entrée dans le gouvernement Édouard Philippe après la victoire d’Emmanuel Macron. Si le PRG propose au nouveau président « une coalition large de gouvernement, capable de lui assurer une majorité présidentielle pour agir utilement dans l'intérêt de la France et des Français », aucun accord électoral n'est conclu entre les deux partis, le MoDem étant l'unique parti à être associé par La République en marche aux élections législatives[23]. Après le scrutin, le PRG essaie sans succès de constituer à l'Assemblée nationale un groupe indépendant du groupe socialiste rassemblant les radicaux de gauche, des dissidents socialistes (comme Manuel Valls), des divers gauche et des écologistes[24].
2017-2019 : fusion au sein du Mouvement radical
Historiquement, une fusion a régulièrement été envisagée avec le parti radical « valoisien ». Ainsi, en 2007, Jean-Michel Baylet et Jean-Louis Borloo (parti radical) font part de leur souhait de fusion des deux mouvements[25].
Après les élections législatives de 2017, le projet de fusion prend corps[26]. Le 15 et , les deux partis se rassemblent lors d'universités d'été communes à Montpellier[27]. Pour l'occasion, trois noms ont été déposés pour le nouveau parti réunifié : Les Progressistes, Force sociale et libérale et La République radicale[27]. La réunification des deux partis est soumise au vote lors du congrès organisé conjointement par les deux partis les 9 et [28]. Les deux partis fusionnent en un Mouvement radical (MR)[29]. Le parti réunifié est coprésidé, durant une période de transition de deux ans, par Laurent Hénart et Sylvia Pinel[30].
Opposés à la fusion, Virginie Rozière et Stéphane Saint-André annoncent la création d'un nouveau mouvement politique, Les Radicaux de gauche, dont ils sont les co-présidents[31]. En réaction, Sylvia Pinel décide de les démettre de leurs fonctions au sein du PRG[32].
Depuis 2019 : relance du parti
Le , avant l'extinction de la période transitoire de deux ans à l'issue de laquelle le PRV et le PRG devaient pleinement fusionner, le comité exécutif du PRG décide de quitter le MR, redoutant que ce dernier ne rejoigne la majorité présidentielle d'Emmanuel Macron lors de son congrès du [33]. Guillaume Lacroix est élu à cette occasion président du PRG[34]. En effet, une partie du MR avait tendu la main à La République en marche en vue des élections européennes[35]. Sylvia Pinel s'associe à cette démarche et renonce à la co-présidence du MR[36].
Le , le PRG se réunit pour officialiser la décision[37] - [38]. Son président annonce vouloir à cette occasion « refonder le centre-gauche » et appeler à la « création d'une fédération des forces humanistes et sociales »[37].
Lors de la convention nationale du PRG du , le parti change de nom et devient « PRG – Le centre gauche »[39] - [40]. Cependant, la dénomination « Parti radical de gauche » reste en usage sur ses comptes sur les réseaux sociaux[41] - [42] et dans les statuts du parti[43]. Guillaume Lacroix est élu à bulletin secret ce même jour[44]. Le parti se présente comme un allié de l'ancien Premier ministre socialiste Bernard Cazeneuve[40].
Le 18 décembre 2021, le PRG annonce son soutien à la candidature de Christiane Taubira à l'élection présidentielle de 2022, alors que celle-ci a annoncé la possibilité d'une candidature[45] - [46]. Finalement, le parti annonce le 14 février 2022 se mettre en retrait de cette candidature ajoutant que les élus PRG seraient libres de soutenir Christiane Taubira. Le parti ne soutient, en ce sens, aucun candidat, regrettant l'impossibilité pour la gauche de s'unir pour cette élection présidentielle[47].
Pour les législatives de 2022, le Parti radical de gauche a décidé de ne pas rejoindre la NUPES aux côtés des insoumis, des écologistes, des socialistes et des communistes et ainsi il présentera des candidatures indépendantes dans une centaine de circonscriptions[48] - [49]. La formation souhaite rallier les candidats socialistes dissidents, également opposés à la NUPES, au sein d'une « Gauche au réel » (républicaine, écologiste, européenne et laïque) pour rassembler le centre gauche opposé à Emmanuel Macron.
Le Parti radical de gauche a perdu ses deux sièges de députés lors de ces dernières législatives mais conserve un député apparenté (Olivier Falorni)[50], qui rejoint cependant le groupe MoDem trois mois plus tard[51].
Depuis les présidentielles 2022, et en réaction à la création de la NUPES, quelques élus locaux ont rejoint le PRG[52] - [53].
Le 11 mars 2023, le PRG rejoint "La Convention", mouvement créé par l'ancien Premier ministre socialiste Bernard Cazeneuve, qu'il avait d'ailleurs initialement soutenu pour la présidentielle[54], pour incarner une "gauche crédible" face au "risque d'une extrême-droite au pouvoir"[55] - [56].
Présidents
- Michel Crépeau (1978-1981 / MRG)
- Roger-GĂ©rard Schwartzenberg (1981-1983 / MRG)
- Jean-Michel Baylet (1983-1985 / MRG)
- François Doubin (1985-1988 / MRG)
- Yvon Collin (1988-1989 / MRG)
- Émile Zuccarelli (1989-1992 / MRG)
- Jean-François Hory (1992-1996 / Radical -
MRG) - Sylvia Pinel (2016-2019 / PRG)
- Guillaume Lacroix (depuis 2019 / PRG)
Identité visuelle
- Logo du MRG
de 1973 Ă 1994. - Logo de Radical
de 1994 Ă 1996. - Logo du PRS
de 1996 Ă 1998. - Logo du PRG
de 1998 Ă 2009. - Logo du PRG
de 2009 Ă 2013. - Logo du PRG
de 2013 Ă 2016. - Logo du PRG
de 2016 Ă 2019. - Logo du PRG
depuis 2019.
Membres de gouvernements
Les personnalités suivantes, issues du parti, ont été membre d'un gouvernement :
- François Abadie
- Secrétaire d’État auprès du ministre du Temps libre, chargé du Tourisme dans le gouvernement Pierre Mauroy (1) et gouvernement Pierre Mauroy (2)
- Jean-Michel Baylet
- Secrétaire d’État auprès du ministre des Relations extérieures dans le gouvernement Laurent Fabius
- Ministre délégué auprès du ministre de l'Industrie, chargé du Tourisme dans le gouvernement Michel Rocard (2)
- Ministre délégué auprès du ministre de l'Intérieur, chargé des Collectivités territoriales dans le gouvernement Michel Rocard (2)
- Ministre délégué auprès du ministre de l'Équipement, chargé du Tourisme dans le gouvernement Édith Cresson
- Ministre délégué auprès du ministre de l'Industrie, chargé du Tourisme dans le gouvernement Pierre Bérégovoy
- Ministre de l'Aménagement du Territoire, de la Ruralité et des Collectivités territoriales dans le gouvernement Manuel Valls (2) et le gouvernement Cazeneuve
- Thierry Braillard
- Secrétaire d'État aux Sports auprès de la ministre des droits de la Femme, de la Ville, des Sports et de la Jeunesse dans les gouvernements Manuel Valls (1) et (2) et le gouvernement Bernard Cazeneuve
- Michel Crépeau
- Ministre de l’Environnement dans le gouvernement Pierre Mauroy (1) et gouvernement Pierre Mauroy (2)
- Ministre du Commerce et de l’Artisanat dans le gouvernement Pierre Mauroy (3) et dans le gouvernement Laurent Fabius
- Garde des Sceaux, ministre de la Justice dans le gouvernement Laurent Fabius
- Jacques Dondoux
- Secrétaire d'État auprès du ministre de l'Économie et des Finances, chargé du Commerce extérieur dans le gouvernement Lionel Jospin
- François Doubin
- Ministre délégué auprès du ministre de l’Industrie, du Commerce extérieur et de l’Aménagement du territoire, chargé du Commerce, de l’Artisanat et du Tourisme dans le gouvernement Michel Rocard (1)
- Ministre délégué auprès du ministre de l'Industrie, chargé du Commerce et de l'Artisanat dans le gouvernement Michel Rocard (2)
- Ministre délégué auprès du ministre d'État, ministre de l'Économie et des Finances, chargé de l'Artisanat, du Commerce et de la Consommation dans le gouvernement Édith Cresson
- Anne-Marie Escoffier
- Ministre déléguée à la Décentralisation auprès de la ministre de la Réforme de l'État, de la Décentralisation et de la Fonction publique dans le gouvernement Jean-Marc Ayrault (2)
- Maurice Faure
- Garde des sceaux, ministre de la Justice dans le gouvernement Pierre Mauroy (1)
- Ministre d’État, ministre de l’Équipement et du Logement dans le gouvernement Michel Rocard (1) et le gouvernement Michel Rocard (2)
- Annick Girardin
- Secrétaire d'État à la Francophonie et au développement auprès du Ministre des Relations extérieures dans les gouvernements Manuel Valls (1) et (2)
- Ministre de la Fonction publique dans le gouvernement Manuel Valls (2) et le gouvernement Cazeneuve
- Ministre des Outre-Mer dans les gouvernements Philippe I et II.
- François Huwart
- Secrétaire d'État auprès du ministre de l'Économie et des Finances, chargé du Commerce extérieur dans le gouvernement Lionel Jospin
- Jacques MĂ©zard
- Ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation dans le gouvernement Philippe I
- Ministre de la Cohésion des territoires dans le gouvernement Philippe II
- Sylvia Pinel
- Ministre déléguée à l'Artisanat, au Commerce et au Tourisme dans le gouvernement Jean-Marc Ayrault (1)
- Ministre de l'Artisanat, du Commerce et du Tourisme dans le gouvernement Jean-Marc Ayrault (2)
- Ministre au Logement et à l'Égalité des Territoires dans le gouvernement Manuel Valls (1) et le gouvernement Manuel Valls (2)
- Roger-GĂ©rard Schwartzenberg
- Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Éducation nationale dans le gouvernement Pierre Mauroy (3)
- Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Éducation nationale, chargé des Universités dans le gouvernement Laurent Fabius
- Ministre de la Recherche dans le gouvernement Lionel Jospin
- Bernard Tapie
- Ministre de la Ville dans le gouvernement Pierre Bérégovoy
- Christiane Taubira (non-membre)
- Garde des Sceaux, ministre de la Justice dans le gouvernement Jean-Marc Ayrault (1) et gouvernement Jean-Marc Ayrault (2) et dans le gouvernement Manuel Valls (1) et le gouvernement Manuel Valls (2)
- Émile Zuccarelli
- Ministre des Postes et Télécommunications dans le gouvernement Pierre Bérégovoy
- Ministre de la Fonction publique, de la Réforme de l'État et de la Décentralisation dans le gouvernement Lionel Jospin
RĂ©sultats Ă©lectoraux
Élections présidentielles
Année | Candidat | Résultats (1er tour) | ||
---|---|---|---|---|
Voix | % | Rang | ||
1974 | soutien à François Mitterrand | |||
1981 | Michel Crépeau | 642 847 | 2,21 | 7e |
1988 | soutien à François Mitterrand | |||
1995 | soutien Ă Lionel Jospin | |||
2002 | Christiane Taubira | 660 447 | 2,32 | 13e |
2007 | soutien à Ségolène Royal | |||
2012 | soutien à François Hollande | |||
2017 | soutien à Benoît Hamon |
Élections législatives
Année | % | Sièges[57] | Statut | Gouvernement | |
---|---|---|---|---|---|
1er tour | 2d tour | ||||
1973 | 2,8 | ? | 13 / 490 |
Opposition | |
1978 | 2,1 | 2,4 | 10 / 491 |
Opposition | |
1981 | 1,4 | ? | 14 / 491 |
Majorité absolue | Mauroy I, Mauroy II, Mauroy III, Fabius |
1986 | 0,4 | 7 / 577 |
Opposition | ||
1988 | 1,1 | 1,3 | 9 / 577 |
Majorité absolue puis relative | Rocard I, Rocard II, Cresson, Bérégovoy |
1993 | 0,9 | 1,2 | 6 / 577 |
Opposition | |
1997 | 1,4 | 2,2 | 13 / 577 |
Majorité absolue | Jospin |
2002 | 1,5 | 2,1 | 7 / 577 |
Opposition | |
2007 | 1,3 | 1,6 | 8 / 577 |
Opposition | |
2012 | 1,7 | 2,3 | 12 / 577 |
Majorité absolue | Ayrault II, Valls I, Valls II, Cazeneuve, Philippe I |
2017 | 0,5 | 0,4 | 3 / 577 |
Opposition | |
2022 | 0,5 | 0,2 | 0 / 577 |
Extra-parlementaire |
Élections européennes
Année | Voix | % | Sièges | Rang | Tête de liste | Groupe |
---|---|---|---|---|---|---|
1979a | 4 763 026 | 23,5 | 2 / 81 |
2e | François Mitterrand (PS) | SOC |
1984b | 670 474 | 3,32 | 0 / 81 |
6e | Olivier Stirn (UCR) Brice Lalonde (MEP) François Doubin (MRG) | Aucun |
1989a | 4 286 354 | 23,6 | 5 / 81 |
2e | Laurent Fabius (PS) | SOC |
1994 | 2 344 457 | 12,03 | 13 / 87 |
4e | Bernard Tapie (MRG) | ARE |
1999c | 3 874 231 | 22,0 | 2 / 87 |
1er | François Hollande (PS) | PSE |
2014a | 2 650 357 | 14,0 | 1 / 74 |
3e | Jean-Christophe Cambadélis (PS) | S&D |
2019d | 1 403 170 | 6,19 | 0 / 79 |
6e | Raphaël Glucksmann (PP) | S&D |
a Liste commune avec le Parti socialiste (1979 : 20 sièges ; 1989 : 17 sièges ; 2014 : 12 sièges).
b Liste commune avec le UCR (0 siège) et le MEP (0 siège).
c Liste commune avec le Parti socialiste (18 sièges) et le Mouvement des citoyens (2 sièges).
d Liste commune avec Place publique (2 sièges), Nouvelle Donne (1 siège) et le Parti socialiste (3 sièges).
Elections régionales
Année | Voix | % | Sièges[58] | Présidents
(membre du PRG) |
---|---|---|---|---|
1986 | 11 416 135
(Programme commun: PS - PRG - PCF) |
41,72 | 27 / 1776 |
0 / 26 |
1992 | 6 024 904 | 24,46 | 13 / 1859 |
0 / 26 |
1998 | 8 005 830 Gauche plurielle | 36,55 | 27 / 1827 |
0 / 26 |
2004 | 12 896 828 | 49,92 | 64 / 1880 |
0 / 26 |
2010 | 11 456 758 | 54,05 | 70 / 1839 |
1 / 26 |
2015 | 8 083 168 | 32,12 | 36 / 1757 |
0 / 18 |
2021 | 34 / 1757 |
0 / 18 |
Élections cantonales et départementales
Année | Premier tour | Second tour | Conseillers | Présidents | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Rang | Voix | % | Rang | |||
1973 | 164 712 | 1,99 | NC | 68 / 1926 |
/ 100 | |||
1976 | 253 158 | 2,44 | NC | 169 928 | 2,68 | NC | 97 / 1863 |
/ 101 |
1979 | 203 157 | 1,89 | NC | 136 655 | 1,88 | NC | 25 / 1847 |
/ 101 |
1982 | 217 143 | 1,72 | NC | 132 798 | 1,74 | NC | 61 / 2014 |
5 / 101 |
1985 | 173 348 | 1,72 | NC | 139 266 | 1,78 | NC | 57 / 2044 |
/ 100 |
1988 | 129 847 | 1,42 | NC | 91 153 | 1,52 | NC | 44 / 2043 |
/ 100 |
1992 | 108 764 | 0,88 | NC | 88 774 | 1,04 | NC | 33 / 1945 |
4 / 100 |
1994 | 130 178 | 1,19 | NC | 73 548 | 0,92 | NC | 26 / 1922 |
3 / 100 |
1998 | 119 272 | 1,05 | NC | 88 524 | 1,04 | NC | 28 / 2038 |
5 / 100 |
2001 | 150 695 | 1,23 | NC | 100 143 | 1,33 | NC | 26 / 1997 |
4 / 100 |
2004 | 156 296 | 1,27 | NC | 134 365 | 1,29 | NC | 44 / 2034 |
3 / 100 |
2008 | 183 208 | 1,37 | NC | 100 861 | 1,47 | NC | 84 / 2020 |
2 / 100 |
2011 | 135 958 | 1,48 | NC | 119 697 | 1,51 | NC | 51 / 2026 |
3 / 101 |
2015 | 62 370 | 0,31 | NC | 64 110 | 0,35 | NC | 63 / 4108 |
3 / 98 |
2021 | NC | NC | NC | NC | NC | NC | 100 / 4058 |
2 / 95 |
Élus
Députés
À la suite des élections législatives de juin 2017, le PRG remporte deux sièges sous étiquette PRG et en tant que soutiens de la majorité présidentielle[59]. Les sortants Alain Tourret (LREM), suspendu de ses fonctions au sein du PRG pour son soutien à Emmanuel Macron[60] et opposé à une candidate PRG sur sa circonscription[61], Joël Giraud (PRG) et Jacques Krabal (PRG) sont quant à eux réélus sous une autre étiquette. En outre, Stéphane Mazars et Anne Blanc sont des conseillers départementaux et membres du PRG mais sont élus à l'Assemblée nationale sous l'étiquette LREM. Stéphanie Kerbarh est quant à elle aussi membre du PRG[62] lors de son élection tout en recevant l'investiture LREM[63].
Annick Girardin étant nommée au gouvernement en , son suppléant, Stéphane Claireaux, devient député[64].
Identité | Circonscription |
---|---|
Jean-Michel Baylet | 2e circonscription de Tarn-et-Garonne |
Alain Paul Bonnet | 3e circonscription de Dordogne |
Bernard Charles | 1re circonscription de Lot |
Michel Crépeau | 4e circonscription de Charente-Maritime |
Jean-Pierre Defontaine | 1re circonscription du Pas de Calais |
Kamilo Gata (depuis 1989) | 1re circonscription de Wallis-et-Futuna |
Claude Gaits | 2e circonscription des Hautes-Pyrénées |
Roger-GĂ©rard Schwartzenberg | 3e circonscription du Val-de-Marne |
Lionel Stoléru | 5e circonscription de l'Oise |
Émile Zuccarelli | 1re circonscription de Haute-Corse |
Identité | Circonscription |
---|---|
Bernard Charles | 1re circonscription de Lot |
Jean-Pierre Defontaine | 1re circonscription du Pas de Calais |
Kamilo Gata | 1re circonscription de Wallis-et-Futuna |
Roger-GĂ©rard Schwartzenberg | 3e circonscription du Val-de-Marne |
Bernard Tapie | 10e circonscription des Bouches-du-RhĂ´ne |
Émile Zuccarelli | 1re circonscription de la Haute-Corse |
Identité | Circonscription |
---|---|
Jean-Pierre Defontaine | 1re circonscription du Pas de Calais |
GĂ©rard Charasse | 1re circonscription de l'Allier |
Bernard Charles | 1re circonscription de Lot |
Michel Crépeau | 4e circonscription de Charente-Maritime |
Jacques Dondoux | 2e circonscription de l'Ardèche |
Robert Honde | 2e circonscription des Alpes-de-Haute-Provence |
François Huwart | 3e circonscription d'Eure-et-Loir |
Jean-Paul Nunzi | 2e circonscription du Tarn-et-Garonne |
Jacques Rebillard | 2e circonscription de SaĂ´ne-et-Loire |
Jean Rigal | 2e circonscription d'Aveyron |
Christiane Taubira* | 1re circonscription de Guyane |
Alain Tourret | 6e circonscription du Calvados |
Roger-GĂ©rard Schwartzenberg | 3e circonscription du Val-de-Marne |
Émile Zuccarelli | 1re circonscription de la Haute-Corse |
Identité | Circonscription |
---|---|
Jean-Pierre Defontaine | 1re circonscription du Pas de Calais |
GĂ©rard Charasse | 3e circonscription de l'Allier |
Paul Giacobbi | 2e circonscription de la Haute-Corse |
Joël Giraud | 2e circonscription des Hautes-Alpes |
Chantal Robin-Rodrigo | 2e circonscription des Hautes-Pyrénées |
Christiane Taubira* | 1re circonscription de Guyane |
Roger-GĂ©rard Schwartzenberg | 3e circonscription du Val-de-Marne |
Émile Zuccarelli | 1re circonscription de la Haute-Corse |
Identité | Circonscription |
---|---|
François Huwart | 3e circonscription d'Eure-et-Loir |
Identité | Circonscription |
---|---|
Chantal Berthelot* | 2e circonscription de Guyane |
GĂ©rard Charasse | 3e circonscription de l'Allier |
Paul Giacobbi | 2e circonscription de la Haute-Corse |
Annick Girardin | 1re circonscription de Saint-Pierre-et-Miquelon |
Joël Giraud | 2e circonscription des Hautes-Alpes |
Albert Likuvalu* | 1re circonscription de Wallis-et-Futuna |
Jeanny Marc* | 3e circonscription du Guadeloupe |
Dominique Orliac | 1re circonscription du Lot |
Sylvia Pinel | 2e circonscription du Tarn-et-Garonne |
Chantal Robin-Rodrigo | 2e circonscription des Hautes-Pyrénées |
Christiane Taubira* | 1re circonscription de Guyane |
Identité | Circonscription |
---|---|
Chantal Berthelot* | 2e circonscription de Guyane |
Thierry Braillard | 1re circonscription du RhĂ´ne |
GĂ©rard Charasse | 3e circonscription de l'Allier |
Jeanine Dubié | 2e circonscription des Hautes-Pyrénées |
Paul Giacobbi * | 2e circonscription de la Haute-Corse |
Annick Girardin | 1re circonscription de Saint-Pierre-et-Miquelon |
Joël Giraud | 2e circonscription des Hautes-Alpes |
Jacques Krabal | 5e circonscription de l'Aisne |
Dominique Orliac | 1re circonscription du Lot |
Sylvia Pinel | 2e circonscription du Tarn-et-Garonne |
Stéphane Saint-André | 9e circonscription du Pas-de-Calais |
Roger-GĂ©rard Schwartzenberg | 3e circonscription du Val-de-Marne |
Alain Tourret | 6e circonscription du Calvados |
Identité | Circonscription |
---|---|
Annick Girardin | 1re circonscription de Saint-Pierre-et-Miquelon |
Identité | Circonscription | Groupe parlementaire |
---|---|---|
Jeanine Dubié | 2e circonscription des Hautes-Pyrénées | LT |
Olivier Falorni | 1re circonscription de Charente-Maritime | LT |
Sylvia Pinel | 2e circonscription de Tarn-et-Garonne | LT |
Identité | Circonscription | Groupe parlementaire |
---|---|---|
Annick Girardin | Circonscription de Saint-Pierre-et-Miquelon | LREM |
Stéphane Claireaux | ||
Anne Blanc | 2e circonscription de l'Aveyron | LREM |
Joël Giraud | 2e circonscription des Hautes-Alpes | LREM |
Stéphanie Kerbarh | 9e circonscription de la Seine-Maritime | LREM puis LT |
Jacques Krabal | 5e circonscription de l'Aisne | LREM |
Stéphane Mazars | 1re circonscription de l'Aveyron | LREM |
Alain Tourret | 6e circonscription circonscription du Calvados | LREM |
SĂ©nateurs
Au Sénat, le PRG est membre du groupe du Rassemblement démocratique et social européen.
Identité | Département | Groupe parlementaire |
---|---|---|
Maryse Carrère | Hautes-Pyrénées | RDSE |
Christian Bilhac | HĂ©rault | RDSE |
Jean-Yves Roux | Alpes-de-Haute-Provence | RDSE |
Structures associées
Les JRG - Jeunes de centre gauche sont reconstitués lors de la convention du PRG de 2019. Ils regroupent les adhérents du parti âgés entre 15 et 29 ans[65].
Les élus membres du PRG sont regroupés au sein de l'Association nationale des élus de la gauche radicale et républicaine (ANEGRR).
HES, Homosexualité et socialisme est une association traitant des questions LGBT, organisme associé depuis 2019 au PRG[66].
A la télévision
Le Parti radical de gauche est mentionné sur les affiches de campagne des candidats de gauche dans la série Baron noir et plus particulièrement pendant la campagne présidentielle de Philippe Rickwart.
Notes et références
- Vincent Coste, « En Occitanie, les Radicaux de gauche campent sur leur position » (consulté le ).
- (en) Wolfram Nordsieck, « Parties and Elections in Europe » (consulté le ).
- « Pour affronter le "nouveau monde", les radicaux veulent renaître de leur centre », sur LExpress.fr (consulté le ).
- « 40e anniversaire de la 1ère élection de Michel Crépeau à l'Assemblée nationale », sur www.assemblee-nationale.fr, (consulté le ).
- « Parti démocrate français », sur date.bnf.fr
- « Interview de M. Bernard Tapie, député MRG, à TF1 le 23 mai 1993, sur la stratégie du MRG, l'emploi, les projets gouvernementaux sur les contrôles d'identité et le code de la nationalité, et l'OM », sur discours.vie-publique.fr
- « Tapie va sur les terres d'un député MRG », sur L'Humanité, .
- « Parti Radical de Gauche PRG », sur france-politique.fr (consulté le )
- « Jean-François Hory se présente à l'Elysée », sur humanite.fr, .
- Florent Leclercq, « Lionel Jospin de A à Z », L'Express, 24 avril 1995
- https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2017/12/28/jean-francois-hory-ancien-president-des-radicaux-de-gauche-est-mort_5235365_3382.html Jean-François Hory, ancien président des radicaux de gauche, est mort. Journal Le Monde, 28 décembre 2017.
- Burnier 2008, p. 405-407.
- Clarisse Vernhes, « La gauche à reconstruire », sur RFI,
- Gérard Charasse, Paul Giacobbi, Annick Girardin, Joël Giraud, Dominique Orliac, Sylvia Pinel, « En attendant la Sixième République… », Le Figaro, 21 juillet 2008.
- « Baptême du Pôle Radical et Écologique », generation-ecologie.fr, consulté le 21 décembre 2011
- « Création du « pôle radical et écologique », planeteradicale.org, consulté le 21 décembre 2011
- Étienne Baldit, « Historique : Sylvia Pinel aura bien un concurrent pour la présidence du PRG », lelab.europe1.fr, 19 juillet 2016.
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- « Le Parti radical de gauche annonce rejoindre le mouvement lancé par Bernard Cazeneuve », sur lejdd.fr (consulté le )
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- Pour les sièges obtenus entre 1973 et 2012, voir : « Chronologie du Parti radical de gauche (PRG) », sur france-politique.fr, site de Laurent de Boissieu.
- Pour les sièges obtenus entre 1986 et 2010, voir : « Chronologie du Parti radical de gauche (PRG) », sur france-politique.fr, site de Laurent de Boissieu.
- « Affiche de campagne de Sylvia Pinel 2017 »
- « Alain Tourret suspendu de ses fonctions au PRG pour son soutien à Macron », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le )
- Fanny Laison, « Législatives. Le PRG présente une candidate face à Alain Tourret », sur Ouest-France.fr, (consulté le )
- AFP, « A Montpellier, les radicaux clament leur volonté d'union et d'indépendance », sur france24.com, (consulté le )
- Stéphanie Kerbarh, « Votre députée de Seine-Maritime - Stéphanie Kerbarh », sur deputee-stephanie-kerbarh.fr (consulté le )
- Vincent Coquaz, « Combien de députés LREM ont quitté leur groupe à l'Assemblée nationale ? », sur Libération, (consulté le ).
- « Nos statuts », sur Parti Radical de Gauche - PRG - Le Centre Gauche (consulté le )
- « Nos partenaires », sur Parti Radical de Gauche - PRG - Le Centre Gauche (consulté le )