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Mouvement républicain et citoyen

Le Mouvement républicain et citoyen (MRC) est un parti politique français fondé en 2003, qui prend la suite du Mouvement des citoyens et avant lui du Centre d'études, de recherches et d'éducation socialiste (CERES). De 2002 à 2004, il fait partie du Pôle républicain. Le parti prône un protectionnisme modéré ainsi qu'un fort étatisme.

Mouvement républicain et citoyen
Image illustrative de l’article Mouvement républicain et citoyen
Logotype officiel.
Présentation
Président Jean-Luc Laurent
Fondation
Fusion de Mouvement des citoyens
Fusionné dans Gauche républicaine et socialiste
Siège 3, avenue de Corbera
75012 Paris
Vice-présidents Catherine Coutard
Porte-parole Bastien Faudot
Positionnement Gauche
Idéologie Gaullisme de gauche[1] - [2] - [3]
Souverainisme[4]
Euroscepticisme modéré[5]
Interventionnisme
RĂ©publicanisme
Étatisme
Protectionnisme modéré
Affiliation nationale Pôle républicain (2003-2004)
Gauche républicaine et socialiste (depuis 2019)
Fédération de la gauche républicaine (2022)
Couleurs Rouge et bleu
Site web mrc-france.org
Représentation
Conseillers régionaux
1 / 1910

En 2019, il fusionne dans la Gauche républicaine et socialiste (GRS) en s'associant à l'Alternative pour un programme républicain, écologiste et socialiste, créée par Marie-Noëlle Lienemann et Emmanuel Maurel après leur départ du Parti socialiste, mais sans se fondre pour autant.

Historique

En , Jean-Pierre Chevènement démissionne de son poste de ministre de la Défense pour manifester son opposition à l'engagement français aux côtés des troupes américaines au Koweït, pourtant décidé par François Mitterrand. Le Mouvement des citoyens (MDC) est créé l'année suivante, prenant le relais de Socialisme et République, et avant lui du CERES (aile gauche du Parti socialiste). À nouveau en désaccord avec le PS sur la question du traité de Maastricht, le MDC fait scission pour devenir un parti politique indépendant au début de l'année 1993.

Après 2002

À l'occasion de l'élection présidentielle de 2002, où Jean-Pierre Chevènement, candidat du Pôle républicain, obtient 5,33 % des voix, le Mouvement des citoyens se transforme en Pôle républicain. Après l'échec de celui-ci aux élections législatives (il n'obtient aucun élu, contre 7 élus sortant pour le MDC), des dissidents fondent l'AGR.

Les et se tient le congrès fondateur du Mouvement républicain et citoyen. Il regroupe majoritairement des anciens membres du MDC, dont son président d'honneur, Jean-Pierre Chevènement, son premier secrétaire, Jean-Luc Laurent et son porte-parole, Georges Sarre. Le Pôle républicain subsiste alors en tant que confédération composée à parité de membres du MRC et de représentants des autres composantes (gaullistes de l'Union gaulliste pour une France républicaine (UGFR), radicaux de l'Union des républicains radicaux (U2R)…).

En , quatre secrétaires nationaux du MRC, dont Éric Coquerel et l'ancien juge Éric Halphen, décident à leur tour de démissionner et fondent le Mouvement pour une alternative républicaine et sociale (MARS), dissident, qui se rapprochera du PCF et de l'AGR.

En , des militants ayant appelé à voter PCF aux européennes sont exclus.

Lors du congrès de Paris XXe, au gymnase de la Bidassoa en , le MRC réaffirme sa volonté d'agir en faveur d'une refondation républicaine de la Gauche ; il élit comme premier secrétaire l'ancien ministre Georges Sarre à 69 % des voix, et se donne les moyens d'une action militante dans la campagne pour le non au traité constitutionnel européen, victorieux le .

Lors du congrès de Paris XIe, gymnase Japy, en , le MRC se prononce en faveur d'un candidat de rassemblement de la gauche qui puisse donner une suite au non du (voir Comité d'initiative pour un rassemblement antilibéral : élection présidentielle de 2007). Si un tel rassemblement devait ne pas aboutir, Jean-Pierre Chevènement se présenterait, soutenu par le MRC.

Les instances du MRC décident à 84 %, le , de ne pas présenter la candidature de Jean-Pierre Chevènement et de soutenir Ségolène Royal dès le premier tour. L’accord électoral prévoit que 10 circonscriptions sont réservées à des candidats MRC, qui sont également soutenus par le PS et que six places de suppléants de candidats socialistes sont réservées au MRC. Dans une soixantaine de circonscriptions, le MRC présente ses propres candidats à côté des candidats présentés ou soutenus par le PS (40). Il obtient finalement un seul siège, celui de Christian Hutin dans le Nord qui s'inscrit au groupe Socialiste, radical, citoyen.

Face au Front de gauche

Le , Jean-Pierre Chevènement prend la tĂŞte de la prĂ©sidence effective du MRC lors du congrès du Kremlin-BicĂŞtre (Val-de-Marne), avec l'appui de 167 voix sur 178 votants. M. Chevènement fait part Ă  cette occasion de son ambition de se prĂ©senter aux Ă©lections sĂ©natoriales de septembre de la mĂŞme annĂ©e. Il lance aussi un appel au PS et au PCF pour la fondation d'un grand parti de la gauche, dont le leader serait le candidat unique de la gauche de gouvernement Ă  l'Ă©lection prĂ©sidentielle de 2012[6].

Lors des élections sénatoriales, le MRC gagne un sénateur, Jean-Pierre Chevènement remportant le siège du Territoire de Belfort dans le cadre d'une triangulaire l'opposant au candidat socialiste PS Yves Ackermann et à l'UMP, le [7]. Fin novembre, le sénateur de la Loire-Atlantique, François Autain, quitte le MRC pour rejoindre le Parti de gauche, réduisant les effectifs sénatoriaux du parti à un et mettant un point final à son groupe commun avec le Parti communiste français, le CRC.

En 2009, en l'absence d'un « accord avec l'ensemble des forces de gauche » sur les européennes et après des négociations infructueuses avec le Parti socialiste et le Front de gauche, le MRC décide de renoncer à participer à ces élections, préférant préparer « les échéances qui viennent et plus particulièrement celles de 2012 »[8]. Cette consigne n'est pas suivie par l'ensemble du MRC, plusieurs fédérations et responsables du parti décidant de rejoindre le Front de gauche, la plupart du temps dans le cadre de la nouvelle organisation « République et socialisme »[9]. Le 14 mai, Jean-Pierre Chevènement annonce dans un communiqué de presse que le MRC appellera officiellement à voter blanc ou nul[10].

Lors des élections régionales de mars 2010, le MRC passe un accord avec le PS et obtient 19 élus. Le , deux conseillers régionaux MRC d'Île-de-France, Guillaume Vuilletet et Éric Chevaillier[11], annoncent rejoindre Europe Écologie. Cela porte à 5 le nombre d'élus MRC au conseil régional d'Île-de-France.

Le , le MRC conclut avec le PS un « contrat de législature » qui « fonde leur alliance pour 2012 »[12].

Les et , lors de son 6e congrès, le MRC reconduit Jean-Luc Laurent en tant que président et lance une convention nationale sur la question européenne en 2013 pour préparer les élections européennes de 2014. Elle sera précédée de conventions locales, ouvertes « aux autres partis de gauche, aux associations, au monde du travail, aux entrepreneurs, à ceux qui réfléchissent à l'avenir de l'Europe[13]. » Finalement, le parti annonce début mai qu'il ne présentera pas de candidats à ces élections et appelle les électeurs à boycotter le scrutin :

« Tous les cinq ans revient la même campagne de communication pour « vendre » aux citoyens ce parlement sans peuple. […] Cette élection dérisoire se fera sans nous[14]. »

Élection présidentielle de 2017

Le , Jean-Pierre Chevènement annonce qu’il quitte la prĂ©sidence d’honneur du MRC afin de « reprendre sa liberté »[15]. Cette dĂ©cision est critiquĂ©e par Jean-Luc Laurent qui la regrette publiquement et y voit un « refus des procĂ©dures dĂ©mocratiques et du vote des militants ». Ce dĂ©part, contrairement au vote du congrès du MRC qui rejetait le rapprochement avec Nicolas Dupont-Aignan, est saluĂ© par celui-ci[16]. La motion adoptĂ©e au congrès par 88,5 % des dĂ©lĂ©guĂ©s confirme l'inscription du MRC Ă  gauche sur l'Ă©chiquier politique et affirme la prĂ©sence d'un candidat pour l'Ă©lection prĂ©sidentielle de 2017. Ă€ cette fin, l'investiture est attribuĂ©e le Ă  Bastien Faudot, 37 ans, porte-parole du parti, conseiller dĂ©partemental du Territoire de Belfort et conseiller municipal de Belfort[17]. Sa candidature devait initialement s'insĂ©rer dans la primaire citoyenne de 2017, mais le premier secrĂ©taire du PS Jean-Christophe CambadĂ©lis la recale[18]. Il se retire le avec 18 parrainages validĂ©s[19].

Création de la Gauche républicaine et socialiste

En octobre 2018, un conseil national du parti valide une résolution visant à s'associer avec l'Alternative pour un programme républicain, écologiste et socialiste, créée par Marie-Noëlle Lienemann et Emmanuel Maurel[20]. Le Mouvement républicain et citoyen acte lors de son congrès national de Paris Reuilly, les 1er et , de s'engager dès 2019 dans la création d'une « nouvelle formation politique » conjointement avec les forces de l'APRÉS et visant à devenir la « maison commune de la gauche républicaine »[21]. Les Rencontres fondatrices de Valence les 2 et donnent naissance à une nouvelle formation politique dénommée Gauche républicaine et socialiste (GRS). Conformément à ce qui a été adopté lors de son congrès national de décembre 2018, le MRC ne disparaît pas[22].

Pour les élections européennes de 2019, le MRC présente une candidate sur la liste Maintenant le peuple de La France insoumise et de la GRS, Catherine Coutard, urgentiste et vice-présidente du parti[23].

En amont de l'élection présidentielle de 2022, le MRC et la GRS font défection de Mélenchon et participent à la campagne avortée d'Arnaud Montebourg[24] - [25]. Le 9 mars, après le retrait en janvier d'Arnaud Montebourg, le parti annonce son soutien à Fabien Roussel (PCF)[26]. Il participe à la fondation de la Fédération de la gauche républicaine, en , avec la Gauche républicaine et socialiste, la Nouvelle Gauche socialiste et Les Radicaux de gauche (LRG, scission du PRG) en vue des législatives[27].

Dirigeants

Présidents

Mouvement de jeunesse

Les jeunes du parti sont regroupés dans un mouvement appelé, de 2003 à 2006, « Jeunesses citoyennes[28] », puis, après quelques années d'interruption, dans une nouvelle organisation, créée en 2009 sous l’appellation « Les jeunes du MRC ».

Élus

Députés

SĂ©nateurs

1998-2004

RégionÉlusSièges
AquitaineEmmanuel Espagnol Âą
1 / 85
BourgogneMichel Vasquez
1 / 57
Franche-ComtéJean-Loup Coly, Éric Houlley, Christian Proust
3 / 43
Île-de-FranceÉric Ferrand, Nicole Touquoy-Morichaud, Christophe Lepage, Jean-Luc Laurent
4 / 209
Languedoc-RoussillonDenis Brouillet
1 / 68
Midi-PyrénéesMarie-Pierre Gleizes (Haute-Garonne)
1 / 91
Nord-Pas-de-CalaisFrançoise Dal (Nord), Claude Nicolet (Nord), Jean-Marie Alexandre (Pas-de-Calais)
3 / 113
PicardieMichel Vignal (Aisne), Sandrine Goffinon (Somme)
2 / 57
Provence-Alpes-CĂ´te d'AzurLadislas Polski (Alpes-Maritimes)
1 / 123
La RĂ©unionChristine Soupramanien
1 / 45
Total
17 / 1827

Âą Quitte le MDC en 2001 et rejoint le PS

2004-2010

RégionÉlusGroupeSièges
Île-de-FranceÉric Ferrand, Daniel Guérin (Val-de-Marne), Nicole Touquoy-Morichaud, Christophe Lepage
Guillaume Vuilletet (Val-d'Oise), Jean-Luc Laurent (Val-de-Marne), Rachid Adda
RĂ©publicain, radical et citoyen
7 / 209
Languedoc-RoussillonBéatrice Négrier (Hérault)Communistes, républicains et citoyens
1 / 68
Nord-Pas-de-CalaisFrançoise Dal (Nord), Christian Hutin (Nord), Jean-Marie Alexandre (Pas-de-Calais)Socialiste, citoyen et radical
3 / 113
Basse-NormandiePhilippe Bonneau (Calvados), Michèle Lemaux (Manche), Jacques Lecostey (Manche)Républicain et citoyen
3 / 47
Provence-Alpes-Côte d'AzurJean-Louis DieuxSocialiste, radical, citoyen et apparentés
1 / 123
Total
15 / 1880

2010-2015

RégionÉlusGroupeSièges
AuvergneJean-Marc Miguet (Puy-de-Dôme)Socialiste et républicain
1 / 47
Franche-ComtéAlain Letailleur (Doubs), Étienne Butzbach (Territoire-de-Belfort)Socialiste, républicain et gauche solidaire
2 / 43
Île-de-FrancePierre Dubreuil (Paris), Éric Chevaillier (Yvelines), Jean-Marc Nicolle (Essonne), Béatrice Desmartin (Seine-Saint-Denis)
Jean-Luc Laurent ¹ (Val-de-Marne), Daniel Guérin (Val-de-Marne), Guillaume Vuilletet (Val-d'Oise)
Socialiste, républicain et apparentés
7 / 209
Languedoc-RoussillonBéatrice Négrier (Hérault)Communistes, républicains et citoyens
1 / 68
Midi-PyrénéesMarie-Pierre Gleizes (Haute-Garonne)Parti socialiste et républicain
1 / 91
Nord-Pas-de-CalaisFrançoise Dal (Nord), Jean-Marie Alexandre (Pas-de-Calais)Socialiste, citoyen et radical
3 / 113
Pays-de-la-LoireJoël BatteuxSocialiste, républicain et citoyen
1 / 57
PicardieMichel Vignal (Aisne), Thierry Lucas (Somme)Socialiste, républicain et citoyen
2 / 57
Provence-Alpes-Côte d'AzurJean-Louis Dieux (Alpes-Maritimes)Socialiste, radical et républicain
1 / 123
Rhône-AlpesFrédéric VergezParti socialiste
1 / 45
Total
19 / 1749

¹ Démissionne le 12 juillet 2012 à la suite de son élection à l'Assemblée nationale.

2015-2022

RégionÉlusGroupeSièges
Île-de-FranceJean-Marc Nicolle¹ (Val-de-Marne)Radical, citoyen, démocrate, écologiste et centristes
1 / 209
OccitanieThierry Cotelle

Beatrice NĂ©grier

René Moreno
Socialiste, républicain et citoyen
Total
3 / 1757

¹ Jean-Marc Nicolle quitte le MRC en février 2018.
² Béatrice Negrier quitte le MRC en 2016 et rejoint le PS.

Porosité avec les autres partis

Petit parti, le MRC a subi plusieurs scissions et départs. Certains étaient individuels, d'autres groupés, et ont donné lieu à d'autres mouvements.

  • Ă€ gauche
  • Ă€ droite
  • Ă€ l'extrĂŞme droite
    • Florian Philippot, une des figures les plus mĂ©diatiques du Front national (FN) se revendique rĂ©gulièrement du MRC et de Jean-Pierre Chevènement, un hĂ©ritage que le MRC conteste fermement[34].
    • Plusieurs personnalitĂ©s affirmant avoir participĂ© Ă  la campagne de Jean-Pierre Chevènement en 2002 sont aujourd'hui militants Ă  l'extrĂŞme-droite. C'est notamment le cas de Paul-Marie CoĂ»teaux, ancien dĂ©putĂ© europĂ©en et fondateur du SouverainetĂ©, identitĂ© et libertĂ©s, de Gilles Lebreton, eurodĂ©putĂ© du mĂŞme mouvement affirmant avoir fait son entrĂ©e en politique avec la campagne de Chevènement[35] ou d'Alain Avello, conseiller rĂ©gional des Pays de la Loire et prĂ©sident du collectif Racines[36]. Mais si ces personnes mettent en avant leur engagement de 2002, elles n'ont jamais Ă©tĂ© membres du MRC et Chevènement conteste toute proximitĂ© avec eux[37].
    • La seule rĂ©elle « prise » du FN au MRC est celle de Bertrand Dutheil de La Rochère, cofondateur du Mouvement des citoyens puis du MRC, qui devient conseiller RĂ©publique et LaĂŻcitĂ© de Marine Le Pen lors de la campagne prĂ©sidentielle de 2012[38]. En un autre cadre national, Thibaut Garnier, alors secrĂ©taire national chargĂ© de l’action militante, rejoint le Front national[39].
    • On peut aussi noter la participation de militants (ou anciens militants) MRC Ă  des sites classĂ©s Ă  l'extrĂŞme droite. Ainsi Christine Tasin, ancienne militante Ă©galement passĂ©e par DLR, coprĂ©side le site Riposte laĂŻque[40], largement consacrĂ© Ă  la dĂ©fense de l'islamophobie. On peut Ă©galement citer Julien Landfried, encore membre du MRC et candidat aux lĂ©gislatives de 2012 sous cette Ă©tiquette, qui a cofondĂ© avec le très controversĂ© François Devoucoux du Buysson l'Observatoire du communautarisme[41] (aujourd'hui dissout). Ce mĂŞme Julien Landfried sera pointĂ© du doigt pour avoir donnĂ© une confĂ©rence sur son livre au local dirigĂ© par le militant fasciste Serge Ayoub[42], fait qu'il admet en expliquant ignorer qui tenait l'endroit.

Notes et références

  1. « Le gaullisme pluriel essaime à gauche et à droite: Laurent de Boissieu », sur gaullisme.net, (consulté le )
  2. « Trois visions du gaullisme pour une présidentielle: Charles Pasqua, Patrick Devedjian, Jean-Pierre Chevènement », sur gaullisme.net, (consulté le )
  3. Voir sur france-politique.fr.
  4. « Comment l’union des souverainistes de droite et de gauche pourrait modifier le clivage politique français », sur Atlantico.fr, (consulté le )
  5. « L'euroscepticisme. Les « eurosceptiques » en France », sur La Croix, (ISSN 0242-6056, consulté le )
  6. « Plébiscité par son parti, Chevènement veut refonder la gauche », AFP.
  7. « Jean-Pierre Chevènement se voit en « Vauban de la gauche » au Sénat », sur Le Monde, (consulté le ).
  8. Élections européennes : la position du Conseil national du Mouvement Républicain et Citoyen, résolution adoptée par le conseil national du Mouvement républicain et citoyen, dimanche .
  9. frontdegauche.eu, Appel de « République et Socialisme ».
  10. « Élections européennes : le MRC pour un vote blanc ou nul » sur le blog de J.-P. Chevènement.
  11. « Guillaume Vuilletet rejoint Europe Ecologie », leparisien.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  12. « Contrat de législature PS/MRC », Le Figaro, .
  13. Discours de Jean-Luc Laurent au congrès du MRC, .
  14. « Les chevènementistes appellent au boycott des européennes », Le Figaro, samedi 3 / dimanche , p. 4.
  15. La Nord, « Jean-Pierre Chevènement quitte le MRC pour « reprendre sa liberté » », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
  16. « Tweet de Dupont-Aignan qui salue le départ de Chevènement du MRC » (consulté le ).
  17. Béatrice Houchard, « Bastien Faudot (MRC) : Relever la gauche, et la France avec », L'Opinion, .
  18. « La primaire de la gauche « ce n’est pas “open bar” », prévient Jean-Christophe Cambadélis », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  19. « Retrait Bastien Faudot », sur europe1.fr, .
  20. Sylvia Zappi, « Emmanuel Maurel et Marie-Noëlle Lienemann lancent Après, avec 650 élus, cadres et militants socialistes », lemonde.fr, 19 octobre 2018.
  21. Jean-Luc Laurent, président du MRC, « Il se passe quelque chose à gauche ! », mrc-france.org (site officiel du Mouvement républicain et citoyen),‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. Jean-Luc Laurent, « Après les Rencontres fondatrices de Valence, construire la Gauche républicaine et socialiste (GRS) », sur Mouvement républicain et citoyen, (consulté le ).
  23. « Le MRC soutient la liste France insoumise aux élections européennes : Catherine Coutard, candidate du MRC sur la liste ! », sur Mouvement républicain et citoyen, (consulté le ).
  24. Arthur Nazaret, « Présidentielle : Arnaud Montebourg compose son équipe », sur Le Journal du dimanche, (consulté le ).
  25. Laurent Telo et Julie Carriat, « A gauche, les petits partis en arbitres du match présidentiel », sur Le Monde, (consulté le ).
  26. « Présidentielle 2022 : les ex-socialistes Emmanuel Maurel et Marie-Noëlle Lienemann ainsi que plusieurs partis de gauche soutiendront Fabien Roussel », sur Le Monde, (consulté le )
  27. Louis Mollier-Sabet, « Plusieurs partis de gauche créent la Fédération de la Gauche Républicaine », sur Public Sénat, (consulté le ).
  28. Voir sur blogg.org.
  29. « Éric Coquerel. La mer est rouge », sur Libération, .
  30. « Rencontre République et Socialisme et Front de Gauche, vendredi », site officiel de République & Socialisme.
  31. « Le MRC perd son unique conseiller régional», dans Le Parisien, le 17.11.2010
  32. Exemples de candidats DLF transfuges du MRC : Thomas Chamaille, candidat aux législatives en 2012 puis aux européennes en 2014, Christian Maes, conseiller municipal MRC de Roubais et septième sur la liste DLF aux européennes, etc.
  33. Rémi Noyon, « Belfort avant les européennes : à quoi joue donc Chevènement ? », sur Rue89, le (consulté le ).
  34. Marie-Françoise Bechtel, « Monsieur Philippot est chevenementiste comme je suis danseuse étoile ! », sur le site du MRC le .
  35. « Gilles Lebreton (FN), le prof havrais « mariniste », portrait dans Ouest-France, le .
  36. « Alain Avello, de Chevènement au FN », Ouest-France, 18 décembre 2015.
  37. « « Jean-Pierre Chevènement sur Florian Philippot et Paul-Marie Coûteaux : « je vous interdis de parler d'anciens chevènementistes » », sur Le Lab d'Europe 1, le .
  38. « Ralliement au Front national : Chevènement attristé, dans Marianne », le 28/06/2011.
  39. « Du MRC au FN, histoire d’un transfuge », L'Opinion, .
  40. Infographie du site Réflexes sur la nébuleuse de l'extrême-droite.
  41. Bio de Julien Landfried sur le site de France Inter.
  42. Delphine Legouté, « Un ancien candidat socialiste accusé d'avoir participé à une conférence organisée par Serge Ayoub », le Lab d'Europe 1, le .

Voir aussi

Liens externes

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