Brezolles
Brezolles (ou Brézolles[1]) est une commune française située dans la région naturelle du Thymerais au nord-ouest du département d'Eure-et-Loir et de la région Centre-Val de Loire.
Brezolles | |||||
L'église Saint-Nicolas de Brezolles, XVe siècle Classé MH (1913). | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Eure-et-Loir | ||||
Arrondissement | Dreux | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays de Dreux | ||||
Maire Mandat |
Loïc Barbier 2020-2026 |
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Code postal | 28270 | ||||
Code commune | 28059 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Brézolliens | ||||
Population municipale |
1 814 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 127 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 41′ 28″ nord, 1° 04′ 24″ est | ||||
Altitude | Min. 144 m Max. 185 m |
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Superficie | 14,23 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Lubin-des-Joncherets | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | http://www.brezolles.fr/ | ||||
Située non loin de la vallée de l'Avre, la rivière qui servait de frontière naturelle entre le royaume de France et la Normandie, la ville qui dépendait au XIIIe siècle de la puissante baronnie de Châteauneuf-en-Thymerais a longtemps été le théâtre d’affrontements armés entre les deux camps.
Géographie
Situation
Située dans le nord-ouest de l'Eure-et-Loir, la commune se trouve seulement à quelques kilomètres de la frontière entre la région Centre-Val de Loire et la Normandie. La ville fait partie du Thymerais, une sous-région née du défrichement du Perche[2]. Celui-ci désignait une zone forestière connue avant le VIe siècle, à ne pas confondre avec l'ensemble formé par les circonscriptions politiques établies sur l'ancienne silva pertica.
- Brezolles dans son arrondissement.
- Carte de la commune de Brezolles.
Communes limitrophes
Hydrographie
Brezolles est traversée par la Meuvette, affluent en rive droite de l'Avre, sous-affluent du fleuve la Seine par l'Eure[3].
Accès routier
Brezolles est traversée du nord-ouest au sud-est par la D 939, qui relie Verneuil-sur-Avre (Eure) à Angerville (Essonne), via Châteauneuf-en-Thymerais et Chartres.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rueil », sur la commune de Rueil-la-Gadelière, mise en service en 1948[10] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[11] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 663,9 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Évreux-Huest », sur la commune de Huest, dans le département de l'Eure, mise en service en 1968 et à 40 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[14] à 10,8 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Brezolles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [17] - [18] - [19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,1 %), zones urbanisées (7,4 %), prairies (6,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %), forêts (1,3 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Brezolles est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par ruissellement et coulée de boue, notamment la Gervaine et le Meuvette. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2018[25] - [23].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[26]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 59,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 696 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 485 sont en en aléa moyen ou fort, soit 70 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[23].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[29].
Toponymie
Brézolles devient Brezolles le 1er janvier 1997.
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Bruerolensts vicus vers 1060, Bruerolae en 1189, Brueroliae en 1200, Brusolles en 1308, Bresolles en 1466[30].
De l'oïl bruère « champ de bruyères »[30]. Toponyme apparentés au latin médiéval brugariae, brousse ou petit bois, contrée ou paysage de landes à éricacées, en particulier à bruyères.
L'évolution du toponyme gallo-romain sous diverses formes peut donner en ancien français Bruères, Brouères, Blouire, Belouires, Bière, Berrioure, Bérouère.
Histoire
La région environnante couverte de forêts était appelée, vers l'an 600 voire à une époque bien plus reculée, le Perche. Cette appellation ne s'appliquait pas encore au début du XIe siècle aux divisions politiques ou administratives. Néanmoins, la région boisée du Perche fut partagée entre le comté de Corbon (Mortagne), la baronnie de Châteauneuf, le comté et l’évêché de Chartres, la vicomté de Châteaudun et le comté de Vendôme. Le défrichement progressif de cette forêt fit reculer le Perche et laissa place au Thymerais.
Le premier seigneur connu de Brezolles fut Ingulphe Ribaud qui fonda l'église primitive et mourut vers 1050. Son fils Albert lui succéda de 1050 à 1072 et donna l'église aux moines de l'abbaye de Saint-Père de Chartres. En 1070, les moines construisirent l'étang sur des terres qu'ils achetèrent au chevalier Gauthier d'Angennes. Le successeur d'Albert, Hugues Ier (1073-1090) fit agrandir l'étang. Gervais Ier, seigneur de Brezolles et du Thymerais, donna aux moines un four, la terre de Tournaise, la moitié d'une tannerie et l'eau nécessaire pour leur exploitation. En 1152, lors du règne de Hugues II (1140-1170), le château fut incendié puis de nouveau en 1159 et 1168.
Brezolles, tout comme La Ferté-Vidame, Maillebois et Châteauneuf-en-Thymerais possédait une place forte qui faisait partie de la seconde ligne défensive du Royaume de France face à la Normandie, située de l'autre côté de l'Avre depuis le traité de Saint-Clair-sur-Epte de 911.
Brezolles ainsi que toute la région dépendait au XIIIe siècle des puissants barons de Châteauneuf-en-Thymerais. D'un point de vue féodal[31], ce grand fief formé dès 1200, fut divisé en 1563 en deux parties relevant l'une et l'autre de la Couronne de France ; d'un côté Châteauneuf, de l'autre Senonches et Brezolles, érigées plus tard en comté de Senonches.
Avec la fin de la lignée des barons de Châteauneuf, leurs fiefs sont séparés. Brezolles revient au gré de l'histoire à Charles de Gonzague, de la Maison de Gonzague, une famille de princes italiens originaires de Mantoue, et qui sont ducs de Nevers. Ils détiennent aussi la seigneurie de Senonches, et achèteront plus tard Châteauneuf-en-Thymerais. La ville doit son blason à cette famille, et à cette époque. En 1566, les seigneuries de Senonches et Brezolles sont érigées en principauté de Mantoue par Charles IX, en faveur de Louis IV de Gonzague.
1899-1932 (Tramways d'Eure-et-Loir)
En 1899, les Tramways d'Eure-et-Loir ouvrent la ligne Dreux-Brezolles. En 1907, la ligne est prolongée jusqu'à Senonches.
1939 (guerre civile espagnole)
Entre le 29 janvier 1939 et le 8 février, plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de Lucé et la prison de Châteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis à contribution[32], dont[33]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le Sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[34]. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, mais en décembre, 922 ont préféré rester et sont rassemblés à Dreux et Lucé[35].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
Enseignement
Brezolles est situé dans l'académie d'Orléans-Tours en zone B[40] et les établissements présents sur son territoire sont placés sous l'autorité des services de la DSDEN d'Eure-et-Loir[41]. Ces administrations représentent au niveau local le ministère de l'Éducation nationale qui pilote au plan national le système éducatif français. C'est la carte scolaire qui régit l'enseignement sur la commune. La ville dispose de plusieurs établissements scolaires publics et privés.
Enseignement primaire
Les établissements d'enseignement primaire de la commune appartiennent à la circonscription territoriale du premier degré de Dreux II[42] des services de la DSDEN d'Eure-et-Loir. Ces établissements scolaires se répartissent entre écoles maternelles et écoles élémentaires.
Les écoles maternelles
L'école maternelle est une école qui accueille de très jeunes enfants pour les préparer aux apprentissages fondamentaux de la lecture, de l'écriture et du calcul. C'est une période préparatoire à l'enseignement élémentaire : les objectifs essentiels sont la socialisation, la mise en place du langage, du nombre et du geste graphique.
Les établissements communaux sont :
- école maternelle J. Desforges
- école maternelle privée Sainte-Marie
Les écoles élémentaires
L'objectif principal de l'école élémentaire est d'enseigner aux enfants les savoirs fondamentaux tels que l'apprentissage de la lecture (lire), de l'écriture (écrire) et du calcul (compter). Les activités d'éveil (activités artistiques et ludiques) y restent importantes, surtout dans les premières classes.
Les établissements communaux sont :
- école élémentaire Les Remparts
- école élémentaire privée Sainte-Marie
Enseignement secondaire
Les établissements d'enseignement secondaire comprennent les collèges et les lycées dont l'enseignement est sanctionné par des diplômes.
La commune accueille le collège Maurice de Vlaminck. L'enseignement s'y déroule sur quatre années de la 6e à la 3e et correspond au premier cycle des études du second degré. Elles sont sanctionnées par le diplôme national du brevet (DNB), anciennement BEPC.
Orientation
Au niveau de l'orientation, Brezolles dépend du CIO de Dreux[43], l'un des quatre CIO que compte le département d'Eure-et-Loir[44]. Les informations proposées par les CIO peuvent être complétées par celles proposées au plan national par l'Onisep. Placé sous la tutelle commune des ministères de l'Éducation nationale et de l'enseignement supérieur et de la Recherche, cet organisme a pour vocation d'offrir toutes les informations sur les études et les métiers : formations, établissements formateurs, débouchés, etc.
Cultes
- Catholicisme : Brezolles dépend du diocèse de Chartres et appartient à la paroisse Saint François de Laval en Thymerais[45] de la doyenné des Forêts[46]. Le lieu de culte est l'église Saint-Nicolas.
- Protestantisme : Brezolles abritait une importante communauté protestante[47] et la ville semble avoir eu plusieurs pasteurs avant 1572. L'un d'eux, Mathieu Cartaut[48], fut chassé par le massacre de la Saint-Barthélemy et se réfugia en Angleterre avant de se fixer à Dieppe vers 1589. Le protestantisme semble s'être néanmoins maintenu dans la ville jusqu'en 1608. Une partie de la communauté s'est ensuite réfugiée à La Ferté-Vidame[49].
- Judaïsme : L'existence d'une rue dite aux juifs atteste l'existence d'une communauté à Brezolles, probablement au Moyen-âge.
Culture locale et patrimoine
Église Saint-Nicolas
XVe siècle, Classé MH (1913)[50].
Éolienne Bollée
Une éolienne Bollée est conservée sur le territoire de la commune[51].
- Le monument aux morts.
- Les halles.
Personnalités liées à la commune
- Thomas François Tillionbois de Valleuil (1761-1837), homme politique maire de Brezolles et député d'Eure-et-Loir de 1791 à 1792 ;
- Le père du peintre Henri Foreau (1866 - Paris, 1938) est né dans la commune.
Héraldique
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Les armes de la commune se blasonnent ainsi : D'or (D'argent) à la croix en filet, les extrémités pattées [croix pattée estrée] de gueules, cantonnée de quatre aiglettes de sable (becquées, languées et membrées de gueules); sur le tout, écartelé aux 1er et 4e d'argent (de gueules) au lion d'or, aux 2e et 3e de sable (d'argent / d'or) à trois fasces d'or (de sable) [52]. |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Brezolles sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- L'orthographe « Brézolles » avec l'accent aigu figure dans certains textes de loi officiels, par exemple la loi no 86-1197 du 24 novembre 1986 relative à la délimitation des circonscriptions pour l'élection des députés dans sa liste en annexe, et dans certains décrets et arrêtés préfectoraux ou gouvernementaux, ou des arrêts de justice de plusieurs juridictions.
- Le Perche par René Musset Annales de Géographie, année 1919, volume 28, no 155, p. 354.
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Meuvette (H4240600) » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Rueil - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Brezolles et Rueil-la-Gadelière », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Rueil - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Brezolles et Huest », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Brezolles », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Brezolles », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Ernest Nègre - 1990 - Toponymie générale de la France - page 265.
- Charte servant de pièce justificative à la géographie du Perche par le vicomte de Romanet
- Jeanine Sodigné-Loustau, « L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre », Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43.
- Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46.
- Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44.
- Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47.
- « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Calendrier scolaire sur le site du ministère de l’Éducation
- DSDEN d'Eure-et-Loir
- Circonscription territoriale Dreux II-DSDEN Eure-et-Loir
- CIO Centre d'Information et d'Orientation de Dreux
- CIO d'Eure-et-Loir
- Paroisse Saint François de Laval en Thymerais
- Doyenné des Forêts, Diocèse de Chartres
- Bulletin historique et littéraire / Société de l'histoire du protestantisme français, 1895 (A4, SER4, T44), p. 85
- Bulletin historique et littéraire / Société de l'histoire du protestantisme français, 1895 (A4, SER4, T44), p. 86
- Bulletin historique et littéraire / Société de l'histoire du protestantisme français, 1895 (A4, SER4, T44), p. 87
- « Église Saint-Nicolas », notice no PA00096983, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- L'éolienne Bollée de Brezolles, sur le site de la ville.
- « Blason… », sur armorialdefrance.fr.