Lucé (Eure-et-Loir)
Lucé est une commune française de la banlieue ouest de Chartres, située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire. La commune, qui compte plus de 15 000 habitants, est, par sa population, la troisiÚme plus grande ville du département aprÚs Chartres et Dreux.
Lucé | |||||
L'église Saint-Pantaléon. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Centre-Val de Loire | ||||
DĂ©partement | Eure-et-Loir | ||||
Arrondissement | Chartres | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Chartres Métropole | ||||
Maire Mandat |
Florent Gauthier 2020-2026 |
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Code postal | 28110 | ||||
Code commune | 28218 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
15 525 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 2 562 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 48° 26âČ 20âł nord, 1° 27âČ 57âł est | ||||
Altitude | Min. 142 m Max. 162 m |
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Superficie | 6,06 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Chartres (banlieue) |
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Aire d'attraction | Chartres (commune du pĂŽle principal) |
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Ălections | |||||
Départementales | Canton de Lucé (bureau centralisateur) |
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LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
GĂ©olocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | http://www.ville-luce.fr | ||||
GĂ©ographie
Situation
Communes limitrophes
Desserte ferroviaire
La gare de Lucé est située sur la Ligne de Chartres à Bordeaux-Saint-Jean.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923[7] et qui se trouve Ă 4 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[9] Ă 11 °C pour 1981-2010[10], puis Ă 11,4 °C pour 1991-2020[11].
Urbanisme
Typologie
Lucé est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [12] - [13] - [14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chartres, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[15] et 88 995 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune du pÎle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18] - [19].
Un projet d'Agri-quartier inédit est proposé par la Société coopérative agricole d'Eure-et-Loir afin d'aménager le site de 8 ha sur lequel ont été construits en 1970 les silos de la société, desservis par une gare de fret[20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (86,9 % en 2018), en augmentation par rapport Ă 1990 (85 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (56,5 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (27,5 %), terres arables (9,1 %), forĂȘts (4 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (2,9 %)[21].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de LucĂ© est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et le risque industriel[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau et par ruissellement et coulĂ©e de boue, notamment la Blaise et le ruisseau de Saint-Cyr. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1994, 1999 et 2018[24] - [22].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile, des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des effondrements généralisés[25]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 40,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (52,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 890 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 909 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 31 %, Ă comparer aux 70 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1993, 2011 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[22].
Risques technologiques
La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[28].
Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible dâavoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusquâĂ 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions dâurbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[29].
Toponymie
Le nom de la localitĂ© est attestĂ© sous les formes Luciacum vers 1116 (cart. de Saint-PĂšre-en-VallĂ©e, p. 307), Lucetumvers 1140 (ch. de la lĂ©pr. du Grand-Beaulieu), Luceium en 1224 (ch. de lâabb. de Josaphat), Lucey en 1641 (ch. de lâabb. de Saint-Jean-en-VallĂ©e)[30].
Histoire
De la Révolution française à la monarchie de Juillet
- En 1791, la commune de Lucé est réunie à celle de Mainvilliers par le décret de l'Assemblée nationale du .
- Ainsi, les plans du cadastre napoléonien de Mainvilliers, établis en 1809, comporte une section Q « dite du Hameau de Lucé », mentionnant notamment l'église de cette paroisse et les hameaux du Petit et du Grand Lucé[31].
- En 1836, la section cadastrale de LucĂ© est sĂ©parĂ©e des autres sections de Mainvilliers et Ă©rigĂ©e en commune sous Louis-Philippe par l'ordonnance royale du . Une petite portion de la commune Amilly est alors prise pour faire partie de la nouvelle commune de LucĂ© et ainsi avoir une superficie de 547 hectares et 36 ares. La commune n'est alors constituĂ©e que de quelques groupes de maisons : le Grand-LucĂ© oĂč se situaient les fermes et le plus grand nombre de maisons ; le Petit-LucĂ© avec quelques maisons autour de l'Ă©glise ; les Barres avec deux fermes ; Poiffonds, hameau Ă©loignĂ©, comportait quelques petites fermes. Les Granges Ă©tait le nom d'une ferme sur la route d'Illiers.
Au XXe siĂšcle
En 1914, le Génie militaire agrandit son entrepÎt et occupe de nombreux terrains. Une usine de fabrication de grenades est construite aux "Malbrosses". Elle est désaffectée aprÚs la PremiÚre Guerre mondiale et transformée en scierie, à proximité de laquelle de nombreux logements sont construits. Les terrains ne sont alors pas chers et ce sont essentiellement des ouvriers, employés des chemins de fer qui font construire. Les rues de la Bécasse, de Mainvilliers, Rabuan-du-Coudray, Gambetta et des Barres sont alors créées. La scierie est détruite en 1935.
En 1936, au moment de la guerre d'Espagne, le dĂ©partement fait remettre en Ă©tat des anciennes baraques de la guerre 14-18 oĂč Ă©taient logĂ©s les prisonniers de guerre allemands pour y loger de nombreux Espagnols rĂ©fugiĂ©s en France.
En 1937, l'administration militaire décide de construire une importante caserne de Gardes républicains, sur la route d'Illiers. Mais en 1939, seuls les logements des officiers sont terminés. L'occupant allemand fait terminer les casernes et installe une école de sous-officiers de défense contre l'aviation. à la Libération, ces logements provisoires servent à reloger les sinistrés ou les gens manquant de logements. Cet ensemble de baraques fut désigné sous les noms de cités provisoires de Jean-Moulin, des Gardes-Mobiles et des Charlots.
De nombreux lotissements sont crĂ©Ă©s par la commune et de nouvelles rues sont ouvertes : rue Michel Vintant, RĂ©mi Gaschet, Jean Moulin, d'Ornano, MarĂ©chal Foch, Jules Ferry, des Ăcoles, Louis VayssiĂ©, Victor Hugo, Charles PĂ©guy, des Castors, du Moulin, du Manteau jaune, Anatole Wargnier, Charles Brune, Clemenceau, Kennedy, etc.[32]
- L'église Saint-Pantaléon avant 1910.
- « Le Grand Lucé », 1909-1910.
Politique et administration
Liste des maires
Politique de développement durable
La commune sâest engagĂ©e dans une politique de dĂ©veloppement durable en lançant une dĂ©marche d'Agenda 21[35].
Cadre de vie
Ville fleurie : trois fleurs attribuées par le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris[36].
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1836. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă la suite d'une enquĂȘte par sondage auprĂšs d'un Ă©chantillon d'adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans[38] - [Note 7].
En 2020, la commune comptait 15 525 habitants[Note 8], en diminution de 4,4 % par rapport Ă 2014 (Eure-et-Loir : â0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
- Lycée des métiers Elsa-Triolet ;
- Lycée professionnel métiers du bùtiment Philibert de l'Orme ;
- Conservatoire de musique et d'art dramatique.
- Lycée Elsa-Triolet.
- Lycée métiers du bùtiment Philibert de l'Orme.
- Conservatoire de musique et d'art dramatique.
Culture locale et patrimoine
Ăglise Saint-PantalĂ©on
L'église est dédiée à Pantaléon de Nicomédie, patron des médecins[41]. Devant son mur sud, se dresse un cÚdre de l'Atlas d'une hauteur de 30 m et d'une circonférence de 3 m, recensé dans la base du conseil départemental d'Eure-et-Loir[42].
- L'Ă©glise et le cĂšdre de l'Atlas.
- Entrée sud et fonts baptismaux.
- Statue de Gertrude de Nivelles.
- Mur sud avec porte romane murée.
- Le chĆur et les vitraux de Gabriel Loire.
- Nef vue du chĆur, dĂ©part des bras du transept.
Autres lieux et monuments
- Monument aux morts ;
- StÚle Charles de Gaulle : « Hommage aux Français Libres » ;
- Ăglise Saint-François.
- Monument aux morts.
- StĂšle de Gaulle.
Personnalités liées à la commune
- Raoul Brandon (Lucé, 1878 - Assay, 1941), architecte et député républicain-socialiste sous la TroisiÚme République.
HĂ©raldique
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Les armes de la commune se blasonnent ainsi : tiercĂ© en fasce dâargent, de sinople et de gueules, le 2) au soleil dâor non figurĂ©. |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative Ă la musique :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de nâafficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă 1999, que les populations correspondant Ă une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par lâInsee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Chartres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Lucé et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
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- « Un projet d'Agri-quartier inédit à Lucé », sur http://www.lechorepublicain.fr, .
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Lucé », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lucé », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
- Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, BibliothÚque nationale de France.
- "Section Q, le Hameau de Lucé, en une feuille.", Archives départementales d'Eure-et-Loir.
- L'Ăcho rĂ©publicain de la Beauce et du Perche, aoĂ»t 1971 : "La ville de LucĂ© : un hameau en 1836" (article non signĂ©)
- L'ancien maire de LucĂ©, Fernand Mira, est dĂ©cĂ©dĂ©, L'Ăcho RĂ©publicain du 1er juin 2016.
- François Feuilleux, « Florent Gauthier enfile l'écharpe tricolore de maire à Lucé », sur https://www.lechorepublicain.fr, .
- FICHE | Agenda 21 de Territoires - Lucé, consultée le 7 novembre 2017
- Villes et villages fleuris - Eure-et-Loir
- « http://www.ville-luce.fr/index.php?Rub0=6&Rub1=34&Message=Article&o=0 » (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- [PDF] Paroisse Sainte Marie des Peuples, diocĂšse de Chartres, « Ăglise de LucĂ© », sur http://www.eglises-ouvertes-eure-et-loir.fr/ (consultĂ© le ).
- Conseil départemental d'Eure-et-Loir, « Arbres remarqués d'Eure-et-Loir », sur https://www.eurelien.fr, (consulté le ).