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Lucé (Eure-et-Loir)

LucĂ© est une commune française de la banlieue ouest de Chartres, situĂ©e dans le dĂ©partement d'Eure-et-Loir en rĂ©gion Centre-Val de Loire. La commune, qui compte plus de 15 000 habitants, est, par sa population, la troisiĂšme plus grande ville du dĂ©partement aprĂšs Chartres et Dreux.

Lucé
Lucé (Eure-et-Loir)
L'église Saint-Pantaléon.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté d'agglomération Chartres Métropole
Maire
Mandat
Florent Gauthier
2020-2026
Code postal 28110
Code commune 28218
DĂ©mographie
Population
municipale
15 525 hab. (2020 en diminution de 4,4 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 2 562 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 26â€Č 20″ nord, 1° 27â€Č 57″ est
Altitude Min. 142 m
Max. 162 m
Superficie 6,06 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Chartres
(banlieue)
Aire d'attraction Chartres
(commune du pĂŽle principal)
Élections
Départementales Canton de Lucé
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Lucé
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Lucé
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Lucé
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Lucé
Liens
Site web http://www.ville-luce.fr

    GĂ©ographie

    Situation

    Position de Lucé (en rose) dans l'arrondissement de Chartres (en vert) au sein du département d'Eure-et-Loir (grisé).
    Position de Lucé (en rose) dans l'arrondissement de Chartres (en vert) au sein du département d'Eure-et-Loir (grisé).
    Carte de la commune de Lucé et des communes limitrophes

    Communes limitrophes

    Desserte ferroviaire

    La gare de Lucé est située sur la Ligne de Chartres à Bordeaux-Saint-Jean.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 636 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[9] Ă  11 °C pour 1981-2010[10], puis Ă  11,4 °C pour 1991-2020[11].

    Urbanisme

    Typologie

    LucĂ© est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [12] - [13] - [14]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Chartres, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 9 communes[15] et 88 995 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune du pĂŽle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[18] - [19].

    Un projet d'Agri-quartier inédit est proposé par la Société coopérative agricole d'Eure-et-Loir afin d'aménager le site de 8 ha sur lequel ont été construits en 1970 les silos de la société, desservis par une gare de fret[20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (86,9 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (85 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (56,5 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (27,5 %), terres arables (9,1 %), forĂȘts (4 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (2,9 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de LucĂ© est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et le risque industriel[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau et par ruissellement et coulĂ©e de boue, notamment la Blaise et le ruisseau de Saint-Cyr. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1994, 1999 et 2018[24] - [22].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lucé.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile, des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des effondrements généralisés[25]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 40,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (52,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 890 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 909 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 31 %, Ă  comparer aux 70 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1993, 2011 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Risques technologiques

    La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[28].

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[29].

    Toponymie

    Le nom de la localitĂ© est attestĂ© sous les formes Luciacum vers 1116 (cart. de Saint-PĂšre-en-VallĂ©e, p. 307), Lucetumvers 1140 (ch. de la lĂ©pr. du Grand-Beaulieu), Luceium en 1224 (ch. de l’abb. de Josaphat), Lucey en 1641 (ch. de l’abb. de Saint-Jean-en-VallĂ©e)[30].

    Histoire

    De la Révolution française à la monarchie de Juillet

    • En 1791, la commune de LucĂ© est rĂ©unie Ă  celle de Mainvilliers par le dĂ©cret de l'AssemblĂ©e nationale du .
    Ainsi, les plans du cadastre napoléonien de Mainvilliers, établis en 1809, comporte une section Q « dite du Hameau de Lucé », mentionnant notamment l'église de cette paroisse et les hameaux du Petit et du Grand Lucé[31].
    • En 1836, la section cadastrale de LucĂ© est sĂ©parĂ©e des autres sections de Mainvilliers et Ă©rigĂ©e en commune sous Louis-Philippe par l'ordonnance royale du . Une petite portion de la commune Amilly est alors prise pour faire partie de la nouvelle commune de LucĂ© et ainsi avoir une superficie de 547 hectares et 36 ares. La commune n'est alors constituĂ©e que de quelques groupes de maisons : le Grand-LucĂ© oĂč se situaient les fermes et le plus grand nombre de maisons ; le Petit-LucĂ© avec quelques maisons autour de l'Ă©glise ; les Barres avec deux fermes ; Poiffonds, hameau Ă©loignĂ©, comportait quelques petites fermes. Les Granges Ă©tait le nom d'une ferme sur la route d'Illiers.

    Au XXe siĂšcle

    En 1914, le Génie militaire agrandit son entrepÎt et occupe de nombreux terrains. Une usine de fabrication de grenades est construite aux "Malbrosses". Elle est désaffectée aprÚs la PremiÚre Guerre mondiale et transformée en scierie, à proximité de laquelle de nombreux logements sont construits. Les terrains ne sont alors pas chers et ce sont essentiellement des ouvriers, employés des chemins de fer qui font construire. Les rues de la Bécasse, de Mainvilliers, Rabuan-du-Coudray, Gambetta et des Barres sont alors créées. La scierie est détruite en 1935.

    En 1936, au moment de la guerre d'Espagne, le dĂ©partement fait remettre en Ă©tat des anciennes baraques de la guerre 14-18 oĂč Ă©taient logĂ©s les prisonniers de guerre allemands pour y loger de nombreux Espagnols rĂ©fugiĂ©s en France.

    En 1937, l'administration militaire dĂ©cide de construire une importante caserne de Gardes rĂ©publicains, sur la route d'Illiers. Mais en 1939, seuls les logements des officiers sont terminĂ©s. L'occupant allemand fait terminer les casernes et installe une Ă©cole de sous-officiers de dĂ©fense contre l'aviation. À la LibĂ©ration, ces logements provisoires servent Ă  reloger les sinistrĂ©s ou les gens manquant de logements. Cet ensemble de baraques fut dĂ©signĂ© sous les noms de citĂ©s provisoires de Jean-Moulin, des Gardes-Mobiles et des Charlots.

    De nombreux lotissements sont crĂ©Ă©s par la commune et de nouvelles rues sont ouvertes : rue Michel Vintant, RĂ©mi Gaschet, Jean Moulin, d'Ornano, MarĂ©chal Foch, Jules Ferry, des Écoles, Louis VayssiĂ©, Victor Hugo, Charles PĂ©guy, des Castors, du Moulin, du Manteau jaune, Anatole Wargnier, Charles Brune, Clemenceau, Kennedy, etc.[32]

    • Cartes postales anciennes
    • L'Ă©glise Saint-PantalĂ©on avant 1910.
      L'église Saint-Pantaléon avant 1910.
    • « Le Grand LucĂ© », 1909-1910.
      « Le Grand Lucé », 1909-1910.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires Ă  partir de 1945
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1947 1989 Edmond Desouches Rad. puis MRG Député d'Eure-et-Loir
    1989 1995 James Benoist PS Conseiller général du canton de Lucé
    1995 2001 Fernand Mira PRG Conseiller général du canton de Lucé[33]
    2001 2006 Jacques Morland FN Conseiller général du canton de Lucé
    2006 2008 Boris Minsky UMP
    2008 3 juillet 2020 Emmanuel Lecomte PRG Permanent politique
    3 juillet 2020[34] En cours Florent Gauthier DVC Responsable juridique

    Politique de développement durable

    La commune s’est engagĂ©e dans une politique de dĂ©veloppement durable en lançant une dĂ©marche d'Agenda 21[35].

    Cadre de vie

    Ville fleurie : trois fleurs attribuées par le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris[36].

    Jumelages

    La ville de Lucé est jumelée avec :

    Jumelages et partenariats de Lucé.
    VillePaysPĂ©riode
    FajÔes (en)[37]Portugaldepuis
    Traunreut[37]Allemagnedepuis

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1836. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă  la suite d'une enquĂȘte par sondage auprĂšs d'un Ă©chantillon d'adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans[38] - [Note 7].

    En 2020, la commune comptait 15 525 habitants[Note 8], en diminution de 4,4 % par rapport Ă  2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876
    414413436484463494497530493
    1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926
    5326456586988008129481 2621 283
    1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
    1 5051 4972 0303 3036 55511 08513 72117 43318 796
    1999 2006 2011 2016 2020 - - - -
    17 70116 01116 22815 75515 525----
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee Ă  partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    • LycĂ©e des mĂ©tiers Elsa-Triolet ;
    • LycĂ©e professionnel mĂ©tiers du bĂątiment Philibert de l'Orme ;
    • Conservatoire de musique et d'art dramatique.
    • Établissements d'enseignement Ă  LucĂ©
    • LycĂ©e Elsa-Triolet.
      Lycée Elsa-Triolet.
    • LycĂ©e mĂ©tiers du bĂątiment Philibert de l'Orme.
      Lycée métiers du bùtiment Philibert de l'Orme.
    • Conservatoire de musique et d'art dramatique.
      Conservatoire de musique et d'art dramatique.

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-PantalĂ©on

    L'Ă©glise est dĂ©diĂ©e Ă  PantalĂ©on de NicomĂ©die, patron des mĂ©decins[41]. Devant son mur sud, se dresse un cĂšdre de l'Atlas d'une hauteur de 30 m et d'une circonfĂ©rence de m, recensĂ© dans la base du conseil dĂ©partemental d'Eure-et-Loir[42].

    • L'Ă©glise Saint-PantalĂ©on
    • L'Ă©glise et le cĂšdre de l'Atlas.
      L'Ă©glise et le cĂšdre de l'Atlas.
    • EntrĂ©e sud et fonts baptismaux.
      Entrée sud et fonts baptismaux.
    • Statue de Gertrude de Nivelles.
    • Mur sud avec porte romane murĂ©e.
      Mur sud avec porte romane murée.
    • Le chƓur et les vitraux de Gabriel Loire.
      Le chƓur et les vitraux de Gabriel Loire.
    • Nef vue du chƓur, dĂ©part des bras du transept.
      Nef vue du chƓur, dĂ©part des bras du transept.

    Autres lieux et monuments

    • Monument aux morts ;
    • StĂšle Charles de Gaulle : « Hommage aux Français Libres » ;
    • Église Saint-François.
    • Autres lieux et monuments
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.
    • StĂšle de Gaulle.
      StĂšle de Gaulle.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi : tiercĂ© en fasce d’argent, de sinople et de gueules, le 2) au soleil d’or non figurĂ©.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station météofrance Chartres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Lucé et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Unité urbaine 2020 de Chartres », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    16. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    20. « Un projet d'Agri-quartier inédit à Lucé », sur http://www.lechorepublicain.fr, .
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Lucé », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
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