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Mainvilliers (Eure-et-Loir)

Mainvilliers est une commune française située dans la banlieue ouest de Chartres, dans le département d'Eure-et-Loir, en région Centre-Val de Loire. SixiÚme ville du département par sa population, ses habitants sont appelés les Mainvillois et Mainvilloises.

Mainvilliers
Mainvilliers (Eure-et-Loir)
« La Folie », hÎtel de ville construit en 1902 sous le mandat de Pierre Chenais.
Blason de Mainvilliers
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté d'agglomération Chartres Métropole
Maire
Mandat
MichĂšle Bonthoux (PS)
2022-2026
Code postal 28300
Code commune 28229
DĂ©mographie
Population
municipale
11 186 hab. (2020 en augmentation de 5,95 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 938 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 27â€Č 03″ nord, 1° 27â€Č 50″ est
Altitude Min. 133 m
Max. 165 m
Superficie 11,92 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Chartres
(banlieue)
Aire d'attraction Chartres
(commune du pĂŽle principal)
Élections
DĂ©partementales Canton de Chartres-3
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Mainvilliers
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Mainvilliers
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Mainvilliers
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Mainvilliers
Liens
Site web ville-mainvilliers.fr

    GĂ©ographie

    Situation

    Mainvilliers est Ă  km de Chartres, de LucĂ© et de LĂšves, Ă  km d'Amilly et Ă  6,5 km de Bailleau-l'ÉvĂȘque.

    Le principal hameau de Mainvilliers est Seresville.

    Position de Mainvilliers (en rose) dans l'arrondissement de Chartres (en vert) au sein du département d'Eure-et-Loir (grisé).
    Position de Mainvilliers (en rose) dans l'arrondissement de Chartres (en vert) au sein du département d'Eure-et-Loir (grisé).
    Carte de la commune de Mainvilliers et des communes limitrophes

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Au nord de Seresville, Mainvilliers est traversĂ© par le Coinon ou Couanon ou Couasnon, provenant de Bailleau-l'ÉvĂȘque et rejoignant LĂšves, lieu de sa confluence avec l'Eure. Il prend le nom de « vallĂ©e des Joncs » lors de son parcours sur la commune.

    Mainvilliers a bĂ©nĂ©ficiĂ© d'une station hydrologique sur le Coinon de 1969 Ă  1985 : le dĂ©bit moyen annuel ou module, observĂ© durant cette pĂ©riode de 16 ans, est de 0,022 m3/s, soit 22 litres par seconde pour une surface de bassin versant de 755 km2.

    Durant les mois de dĂ©cembre, janvier et fĂ©vrier, le dĂ©bit moyen annuel du Couasnon est au plus haut avec 0,08 m3/s en fĂ©vrier, soit 80 litres par seconde. Le dĂ©bit peut ĂȘtre nul Ă  la fin d'Ă©tĂ© en septembre. La hauteur maximale instantanĂ©e, relevĂ©e le , est de 1,40 m[1]. Au moins une perte est rĂ©pertoriĂ©e dans le lit du Couasnon[2].

    RĂ©seau routier
    Entrée de Mainvilliers par la RD 939.
    Entrée de Mainvilliers par la RD 939.
    • Provenant de l'ouest, Mainvilliers est traversĂ©e par la route dĂ©partementale 24 (RD 24), reliant Senonches (35 km) Ă  Chartres par Digny (25 km). Sur la commune, elle prend le nom de rue du ChĂąteau d'Eau, puis, aprĂšs le croisement avec la rue de la LibĂ©ration, prend le nom de rue de la RĂ©publique et rejoint Chartres au « pont de Mainvilliers ».
    • Plus au nord, la route dĂ©partementale 939 (RD 939) traverse Ă©galement la commune, en reliant Verneuil-sur-Avre (Eure), distant de 53 km, Ă  Angerville (Essonne), par Brezolles (40 km) et ChĂąteauneuf-en-Thymerais (22 km). Sur la commune, elle prend le nom de rue Gambetta, avant d'ĂȘtre renommĂ©e rue du Faubourg Saint-Jean sur la commune de Chartres.
    RĂ©seau ferroviaire
    Bifurcation ferroviaire de Mainvilliers.

    La gare de Chartres étant à moins de km du centre-ville de Mainvilliers, cette commune n'a pas de halte ferroviaire. Elle est néanmoins traversée par deux lignes de chemin de fer dont la bifurcation se situe au sud de la rue Pierre-de-Coubertin :

    Ces deux lignes ont contribué jusqu'à la Seconde Guerre mondiale à relier par chemin de fer Rouen à Orléans.

    Bus

    La commune est desservie par les lignes 1, 5, 8 et 10 du réseau de bus Filibus.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 638 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923[10] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[11] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă  11 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  11,4 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Mainvilliers est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Chartres, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 9 communes[18] et 88 995 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune du pĂŽle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (61,5 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (69,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (58,4 %), zones urbanisĂ©es (17,6 %), forĂȘts (9,6 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (9,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (3,1 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (1,9 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Mainvilliers est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau et par ruissellement et coulĂ©e de boue, notamment le Coinon. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1994, 1999 et 2018[26] - [24].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Mainvilliers.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[27]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 48,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (52,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 236 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1178 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 53 %, Ă  comparer aux 70 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1997, 2011 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[30].

    Toponymie

    A l’époque Gallo-Romaine, un grand nombre de villages de Beauce portent un nom qui se termine par Ville ou Villiers. Au Ve siĂšcle, Ă  la suite de l’arrivĂ©e de Germains en Beauce des domaines se forment. Ils continuent de s’appeler Villa ou Villieri mais prennent le nom des nouveaux occupants. Sur la commune, c’est le germain Mahin qui possĂšde un domaine important. Le nom Mainvilliers s’est alors construit en plusieurs Ă©tapes. La ville s’appelle d’abord Mahin Villieri puis Ma-in Villiers pour finir par se nommer Mainvilliers[31].

    Histoire

    De la Révolution française à la monarchie de Juillet

    • 1791 : la commune de LucĂ© est rĂ©unie Ă  celle de Mainvilliers par le dĂ©cret de l'AssemblĂ©e nationale du .
    Ainsi, les plans du cadastre napoléonien de Mainvilliers, établis en 1809, comporte une section Q « dite du Hameau de Lucé », mentionnant notamment l'église de cette paroisse et les hameaux du Petit et du Grand Lucé[32].
    • 1836 : la section cadastrale de LucĂ© est sĂ©parĂ©e des autres sections de Mainvilliers et Ă©rigĂ©e en commune sous Louis-Philippe par l'ordonnance royale du .

    Du Second Empire Ă  l'invasion prussienne de 1870-1871

    En 1871, le préfet d'Eure-et-Loir rapporte que Mainvilliers a été occupé presque cinq mois par les Prussiens, du , date à laquelle le chùteau a été bombardé, au [33].

    XXe siĂšcle

    Politique et administration

    Liste des maires

    À la suite de l'annulation des Ă©lections municipales de 2020 par un arrĂȘt du Conseil d'État du 22 octobre 2021, la commune est sous la tutelle de l'État[34]. Pour les actes de pure administration et de gestion urgente, la commune est administrĂ©e par une dĂ©lĂ©gation spĂ©ciale nommĂ©e par le prĂ©fet d'Eure-et-Loir le avec pour prĂ©sidente Anne-Marie Borderon[35].

    Le , les Ă©lecteurs renouvellent leur confiance Ă  MichĂšle Bonthoux avec 59,06 % des voix, le taux de participation Ă©tant de 36,03 %[36]. Elle retrouve son siĂšge de maire le 28 janvier 2022.

    Politique de développement durable

    La commune s’est engagĂ©e dans une politique de dĂ©veloppement durable en lançant une dĂ©marche d'Agenda 21 en 2013[37].

    Jumelages

    Mainvilliers est jumelée avec[38] :

    Jumelages et partenariats de Mainvilliers.
    VillePaysPĂ©riode
    Römerberg[39]Allemagnedepuis

    Équipements et services publics

    "Espaces aquatique et forme - Les Vauroux"
    "Espaces aquatique et forme - Les Vauroux".
    CollÚge Jean-Macé.
    CollÚge Jean-Macé.

    Espaces publics

    • Dans son palmarĂšs 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribuĂ© trois fleurs Ă  la commune au Concours des villes et villages fleuris[40].
    • La commune est dotĂ©e des « Espaces aquatique et forme - Les Vauroux ». AprĂšs avoir Ă©tĂ© gĂ©rĂ©s en collaboration avec la commune voisine de LucĂ©, l'Ă©quipement est aujourd'hui placĂ© sous la responsabilitĂ© de la communautĂ© d'agglomĂ©ration Chartres MĂ©tropole.
    • La ville offre un service de bibliothĂšque gratuite, Jean de la Fontaine.
    • Depuis 2020, la ville est Ă©quipĂ©e d'un musĂ©e numĂ©rique, la Microfolie.
    • En septembre 2022, le Conservatoire des Machines Agricoles (COMPA) a rouvert ses portes au public aprĂšs deux ans de fermeture.

    Enseignement

    Les Ă©tablissements d'enseignement de Mainvilliers sont au nombre de cinq[41] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă  la suite d'une enquĂȘte par sondage auprĂšs d'un Ă©chantillon d'adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans[44] - [Note 7].

    En 2020, la commune comptait 11 186 habitants[Note 8], en augmentation de 5,95 % par rapport Ă  2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7509189081 0321 046720706736819
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8398839741 1001 1181 2301 2511 3721 491
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6051 5561 7251 6531 6902 0332 1782 4222 580
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    4 0686 1198 49910 0689 95610 01810 33110 19411 323
    2020 - - - - - - - -
    11 186--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee Ă  partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    • CS Mainvilliers-Chartres Handball devenu le C 'Chartres MĂ©tropole Handball
    • C.S. Mainvilliers Football
    • CS Mainvilliers Basket
    • CS Mainvilliers Cyclisme
    • CS Mainvilliers-ASPTT Tennis
    • BAPAMA club de Badminton
    • CNV club nautique des Vauroux
    • LMPTTA club d'athlĂ©tisme
    • Shorinji kempo
    • École de karatĂ© de Mainvilliers (Shotokan)
    • Dojo beauceron (judo, ju-jitsu, taĂŻso)
    • La PĂ©tanque Sportive
    • RAVENS club de football amĂ©ricain
    • ASCM Amicale Sportive des cheminots de Mainvilliers
    • ACCM Amicale des cheminots corpo de Mainvilliers
    • La Palme EurĂ©lienne
    • Majo-Twirling Mainvillois club de majorettes

    Manifestations culturelles et festivités

    La fĂȘte annuelle de la ville rend hommage Ă  saint Hilaire, protecteur de l'Ă©glise de Mainvilliers. En 2019, elle se dĂ©roule pendant trois jours en fin de semaine, courant juin[47].

    Économie

    La Cueillette de Seresville.
    La Cueillette de Seresville.
    • Entre Mainvilliers et Seresville se trouve La Cueillette de Seresville, ferme de 20 ha proposant aux eurĂ©liens de faire eux-mĂȘmes la cueillette de leurs fruits et lĂ©gumes[48].
    • L’usine de valorisation des dĂ©chets Orisane, du groupe Novergie Suez traite la production de 301 000 habitants de la communautĂ© d’agglomĂ©ration, ainsi que celles du Somel et de Sirtom du Pays Chartrain[49].

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Hilaire

    L'Ă©glise Saint-Hilaire.
    L'Ă©glise Saint-Hilaire.
    L'église Saint-Hilaire possÚde quatre vitraux classées monuments historiques[50].

    Autres lieux et monuments

    • Lieux et monuments
    • Archives dĂ©partementales d'Eure-et-Loir.
      Archives départementales d'Eure-et-Loir.
    • Parc de l'ancien chĂąteau.
      Parc de l'ancien chĂąteau.
    • La mare Corbonne.
      La mare Corbonne.
    • Le Compa.
      Le Compa.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.

    Personnalités liées à la commune

    • PhilarĂšte Chasles, historien de la littĂ©rature et bibliothĂ©caire de la BibliothĂšque Mazarine.
      PhilarÚte Chasles, historien de la littérature et bibliothécaire de la BibliothÚque Mazarine.
    • Caricature de Ferdinand DuguĂ© par Nadar.
      Caricature de Ferdinand Dugué par Nadar.

    HĂ©raldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi : de gueules Ă  l’épĂ©e d’argent garnie d’or, aux deux clefs Ă  l’anneau en losange, l’une du mĂȘme et l’autre aussi d’argent, passĂ©es en sautoir brochant sur le tout.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Banque Hydro - MEDDE, « SynthÚse de la Banque Hydro - Le Coinon à Mainvilliers (H9033310) » (consulté le ).
    2. « Perte du Couasnon », sur openstreetmap.org le site d'OpenStreetMap, (consulté le ).
    3. "Chartres-Orléans Réouverture au trafic voyageurs, Le calendrier", Réseau ferré de France.
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station météofrance Chartres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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