Amilly (Eure-et-Loir)
Amilly est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.
Amilly | |||||
La mairie, l'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul en arrière-plan. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Eure-et-Loir | ||||
Arrondissement | Chartres | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Chartres Métropole | ||||
Maire Mandat |
Denis-Marc Sirot-Foreau 2020-2026 |
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Code postal | 28300 | ||||
Code commune | 28006 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Amilliens(nes) | ||||
Population municipale |
1 809 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 90 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 26′ 34″ nord, 1° 23′ 35″ est | ||||
Altitude | Min. 149 m Max. 169 m |
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Superficie | 20,01 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Chartres (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Lucé | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | https://amilly28.fr | ||||
Géographie
Situation
Amilly est située à 7 km à l'ouest de Chartres.
- Amilly dans son arrondissement.
- Carte de la commune d'Amilly.
Communes limitrophes
Lieux-dits et écarts
- Mondonville, Dondainville, la Grande Cave, la Noue, le Croc, Ouerray.
Voies de communication et transports
Desserte ferroviaire
Amilly-Ouerray est desservie par les trains du réseau TER Centre-Val de Loire circulant entre Chartres et Nogent-le-Rotrou[1]. La gare est desservie par 7,5 allers-retours par jour en semaine. Au-delà de Chartres, 3 allers-retours sont prolongés ou amorcés en gare de Paris-Montparnasse. Au-delà de Nogent-le-Rotrou, un aller-retour, appartenant alors à partir de cette gare au réseau TER Pays de la Loire, est prolongé ou amorcé en gare du Mans.
Cependant, le , la gare est fermée au service des voyageurs à la suite d'un accident mortel survenu au passage à niveau jouxtant la gare[2]. Sa réouverture, initialement programmée pour le , est repoussée et aucun train ne dessert la gare jusqu'au [3].
Les trains desservent à nouveau la gare depuis fin 2013.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923[10] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[11] - [Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[12] à 11 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Amilly est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95 %), zones urbanisées (5 %), forêts (0,1 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Amilly est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par ruissellement et coulée de boue, notamment La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2000, 2001 et 2018[23] - [21].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile, des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des effondrements généralisés[24]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 42,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 823 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 578 sont en en aléa moyen ou fort, soit 70 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[21].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[27].
Toponymie
Le nom de la localité est attestée sous une forme Amilli en 1120 dans le cartulaire de l'abbaye Notre-Dame de Josaphat. L'apparition de ce toponyme en 1230 dans une charte de l'abbaye de Saint-Chéron dans l'expression Amilliacum Villa permet de penser que ce toponyme dérive probablement d'un anthroponyme gallo-romain Aemilius[28], suivi du suffixe gaulois -acum.
Une forme ancienne du nom du hameau de Mondonville est attestée dans l'expression Mumdumvilla que est juxta Carnotensem villam en 1144[29].
Histoire
Antiquité
Les origines d'Amilly datent de l'époque romaine : le village s'appelait alors Amilliacum villa, c'est-à -dire domaine d'Amillius, le propriétaire terrien implanté ici. Une voie romaine traversait le bourg, elle reliait Chartres à Courville. Sous nos pieds se trouve un aqueduc romain qui, parti d'une source de Landelles, rejoignait les thermes de Chartres et la ville haute. Des vestiges ont été découverts sous l'hôtel de France, place des Épars. Ce conduit maçonné d'environ 1,60 m de hauteur se situe à environ 1 m de profondeur et traverse toute la commune en laissant son nom à deux hameaux : la Cave et le Croc. Il n'est malheureusement pas accessible.
XXe siècle
Le , un Boeing B-17 abattu en bombardant la base aérienne 122 Chartres-Champhol s'écrase avec son équipage à Amilly.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].
En 2020, la commune comptait 1 809 habitants[Note 7], en diminution de 1,84 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
- École maternelle : les Petits Épis ;
- École élémentaire : la Martinerie.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune a adhéré en 2002 à l'association Terre de Beauce, chargée de faire connaître le patrimoine d'Eure-et-Loir.
Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul
- La nef est du XIIe siècle, son chœur est du XIIIe siècle remanié au XVe siècle, les fonts baptismaux du XVIIIe siècle.
- Les bancs clos du XVIIIe siècle sont remarquables, de même que les boiseries et surtout les fameuses peintures polychromes médiévales (le Dit des trois Morts et des trois Vifs) mises au jour lors de la restauration de 1999.
- Les vitraux sont du XIXe et XXe siècles, à l'exception du vitrail en grisaille derrière le retable et de 2 fragments dans les lancettes de la fenêtre nord qui représentant 2 anges sur fond bleu de Chartres datés du XVIe siècle[36].
- L'église entourée de son cimetière.
- Entrée de la façade ouest.
- Façade ouest et son porche-caquetoire, mur sud.
Autres lieux et monuments
- Le monument aux morts, édifié en commun avec Cintray, commémorant notamment la chute d'un bombardier allié le ;
- Le château de Dondainville[37] ;
- Le canal.
- Le monument aux morts d'Amilly-Cintray.
- Monument aux 9 aviateurs américains morts le .
- Le canal.
Personnalités liées à la commune
- Alexandre Ségé (1819-1885), peintre et graveur français, a réalisé en 1844 deux toiles représentant le hameau d'Ouerray : Une ferme à Ouerray et Intérieur de ferme à "Voiray" (environs de Chartres).
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- [PDF] : « Fiche horaire Paris – Le Mans valable à partir du 9 décembre 2012 » (consulté le ).
- Laurence Faucon, « Gare D’Amilly-Ouerray : service aux voyageurs suspendu jusqu’au 03 mars 2013 », sur maligne-ter.com, SNCF, (consulté le ).
- « http://www.lechorepublicain.fr/eure-et-loir/actualite/pays/pays-chartrain/2013/03/09/la-gare-leur-est-indispensable-1470147.html »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)Hélène Duffay, « La gare leur est indispensable », sur www.lechorepublicain.fr, L'Écho Républicain, (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Chartres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Amilly et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune d'Amilly », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
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- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Jacques Debal - Histoire d'Orléans et de son terroir: Des origines à la fin du XVIe siècle. Page 129. (ISBN 2717102760).
- Métais (abbé), cartulaire de Notre-Dame de Josaphat. (1912), t. 1, p. 170, §CXXXIII.
- « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- [PDF] Églises ouvertes en Eure-et-Loir, « Église Saints Pierre et Paul d'Amilly », sur http://www.eglises-ouvertes-eure-et-loir.fr (consulté le ).
- Mairie d'Amilly, « Château de Dondainville », sur http://amilly28.fr (consulté le ).