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Courville-sur-Eure

Courville-sur-Eure est une commune française, située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Courville-sur-Eure
Courville-sur-Eure
L'Ă©glise Saint-Pierre
Logo monument historique ClassĂ© MH (1907)[1].
Blason de Courville-sur-Eure
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté de communes Entre Beauce et Perche
Maire
Mandat
Hervé Buisson
2020-2026
Code postal 28190
Code commune 28116
DĂ©mographie
Gentilé Courvillois
Population
municipale
2 812 hab. (2020 en diminution de 0,11 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 253 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 27â€Č 03″ nord, 1° 14â€Č 28″ est
Altitude Min. 155 m
Max. 194 m
Superficie 11,13 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Courville-sur-Eure
(ville isolée)
Aire d'attraction Chartres
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Illiers-Combray
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Courville-sur-Eure
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Courville-sur-Eure
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Courville-sur-Eure
Liens
Site web courville-sur-eure.fr

    GĂ©ographie

    Situation

    • Situation gĂ©ographique
    • Courville-sur-Eure dans son arrondissement.
      Courville-sur-Eure dans son arrondissement.
    • Carte de la commune de Courville-sur-Eure.
      Carte de la commune de Courville-sur-Eure.

    Communes limitrophes

    Lieux-dits et Ă©carts

    • Lancey, Vaujoly, le Tronchet.

    Hydrographie

    Provenant de l'ouest par Chuisnes, la riviĂšre l'Eure, affluent en rive gauche du fleuve la Seine, traverse le sud de la commune pour se diriger ensuite vers l'est et Saint-Luperce.

    Voies de communication et transports

    La gare.
    La gare.

    Desserte ferroviaire

    La gare de Courville-sur-Eure se situe sur la ligne de Paris-Montparnasse Ă  Brest.

    RĂ©seau routier

    La ville est l'extrĂ©mitĂ© de l'ancienne route nationale 820, aujourd'hui D920, reliant BellĂȘme Ă  Courville-sur-Eure.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 664 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Thimert », sur la commune de Thimert-GĂątelles, mise en service en 1979[8] et qui se trouve Ă  13 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 622,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et Ă  19 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă  11 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  11,4 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Courville-sur-Eure est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Courville-sur-Eure, une unitĂ© urbaine monocommunale[18] de 2 867 habitants en 2017, constituant une ville isolĂ©e[19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (82,3 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (86,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (72,7 %), zones urbanisĂ©es (15,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (8 %), eaux continentales[Note 8] (2,4 %), prairies (1,6 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Courville-sur-Eure est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondationset sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Eure. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1995, 1997 et 1999[26] - [24].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Courville-sur-Eure.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 65,6 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (52,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 102 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 525 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 48 %, Ă  comparer aux 70 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[24].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[28].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes suivantes : Curvavilla vers 1030; Curba-villa en 1031; Corbevilla en 1168; Curbevilla en 1258; Courbeville en 1289; Courbville 1463; Corvilla en 1351; Saint-Nicolas de Courville en 1736[29] - [30].

    Il s'agit d'une formation toponymique médévale en -ville (ancien français vile) au sens ancien de « domaine rural, village »[29]. Il est précédé de l'adjectif courbe[29] dont l'association avec -ville donne un sens global obscur : que signifie exactement « domaine, village courbe » ?

    L'Eure est une riviÚre qui prend sa source dans la région naturelle du Perche et qui coule dans les départements de l'Orne, d'Eure-et-Loir, de l'Eure et de la Seine-Maritime.

    Histoire

    Ancien RĂ©gime

    Lorsqu'en 877 l'hérédité des fiefs fut proclamée par le capitulaire de Quierzy, un ordre social nouveau remplace la société gallo-romaine : la féodalité se constitue. Partout se construisent des chùteaux fortifiés, symboles de la domination féodale : Courville devint une chùtellenie, sous la domination d'un petit seigneur féodal, appelé sire d'abord sous la famille Vieux-pont, puis baron avec les Billy et les Ligneris ; en 1656, la baronnie de Courville est érigée en marquisat lorsque cette seigneurie passe entre les mains des descendants de Sully[30].

    Courville fut autrefois entourĂ© de murailles et de fossĂ©s ; on y accĂšde alors par plusieurs portes. Mais ces fortifications ne tardent pas Ă  devenir inutiles. Au XIIe siĂšcle, resserrĂ© dans les limites trop Ă©troites de son enceinte, Courville s’agrandit, sa population augmente, sa bourgeoisie commerçante et aisĂ©e obtient des privilĂšges et peut prendre part Ă  l'administration locale. Un syndic, nommĂ© pour trois ans, est chargĂ© de faire exĂ©cuter les « ordres du Roy et les ordonnances de Monseigneur l'Intendant et de veiller pareillement Ă  tout ce qui pouvait ĂȘtre des intĂ©rĂȘts de la communautĂ© des habitants »[30].

    En 1643, un couvent de bernardines, consacré à Saint-Bernard, ouvre à Courville. Face à la faible importance de la communauté, le monastÚre est supprimé en 1748, ses biens répartis entre les autres communautés des environs et l'HÎtel-Dieu, par lettre patentes de Louis XV[31].

    Civilement, Courville faisait partie de la généralité d'Orléans et de l'élection de Chartres, religieusement, c'était le chef-lieu d'un doyenné relevant de l'archidiaconé de Chartres[30].

    Révolution française et Empire

    Par un dĂ©cret du 15 janvier 1790, l'assemblĂ©e nationale divise la France en 83 dĂ©partements, chacun d'eux Ă©tant partagĂ© en district, les districts en cantons et ces derniers en municipalitĂ©s. Le canton de Courville-sur-Eure est compris dans le district de ChĂąteauneuf et composĂ© de douze municipalitĂ©s[Note 9]. Mais la loi du 28 pluviĂŽse an VIII modifie cette organisation ; les districts sont remplacĂ©s par des sous-prĂ©fectures. Puis, l'arrĂȘtĂ© du 29 fructidor an IX, qui rĂ©duit le nombre des cantons, constitue celui de Courville comme il l'est actuellement, en ajoutant quatre communes aux douze prĂ©cĂ©dentes[30] - [Note 10].

    Époque contemporaine

    Entre le 29 janvier 1939 et le 8 fĂ©vrier, plus de 2 000 rĂ©fugiĂ©s espagnols fuyant l'effondrement de la rĂ©publique espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de LucĂ© et la prison de ChĂąteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis Ă  contribution[32], dont Courville-sur-Eure[33]. Les rĂ©fugiĂ©s, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont dĂ©sarmĂ©s et retenus dans le sud de la France), sont soumis Ă  une quarantaine stricte, vaccinĂ©s, le courrier est limitĂ©, le ravitaillement, s'il est peu variĂ© et cuisinĂ© Ă  la française, est cependant assurĂ©[34]. Une partie des rĂ©fugiĂ©s rentrent en Espagne, incitĂ©s par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, mais en dĂ©cembre, 922 ont prĂ©fĂ©rĂ© rester et sont rassemblĂ©s Ă  Dreux et LucĂ©[35].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires Ă  partir de 1945
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1959 1974 Georges Fessard (1902-1979)
    Les données manquantes sont à compléter.
    Robert Bizard[38] (1921-2008) RI puis
    UDF-PR
    Dirigeant d'entreprise, ancien militaire de carriĂšre
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Courville-sur-Eure (1978 → 1994)
    Vice-président du conseil général d'Eure-et-Loir
    Daniel Pothier (1928-2008)
    Bernard Gautier (1954- ) SE Directeur commercial
    En cours
    (au 28 mai 2020)
    Hervé Buisson[39] - [40] (1965- ) DVD[41] Cadre administratif et commercial d'entreprise
    Conseiller départemental depuis 2021, suppléant du député Luc Lamirault
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    La commune est jumelée depuis 1987 avec Alveston (South Gloucestershire)[42].

    Jumelages et partenariats de Courville-sur-Eure.
    VillePaysPĂ©riode
    Alveston[43]Royaume-Unidepuis

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[45].

    En 2020, la commune comptait 2 812 habitants[Note 11], en diminution de 0,11 % par rapport Ă  2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3431 3811 3411 3401 4451 5351 5471 6531 646
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5951 6281 7181 7071 7411 6681 7161 7401 840
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8161 8761 8591 7441 7981 7261 8401 9471 862
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    2 0441 9722 0302 2602 3752 7392 6992 7002 794
    2015 2020 - - - - - - -
    2 8102 812-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee Ă  partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune possÚde le plus grand collÚge d'Eure-et-Loir en termes de capacité d'accueil. Deux écoles primaires sont aussi présentes, une publique et l'autre privée catholique.

    Sports et activités culturelles

    Amicale courvilloise.
    Logo du Amicale courvilloise.
    Généralités
    Fondation
    Couleurs Blanc et bleu
    SiĂšge Rue Pannard,
    28190 Courville-sur-Eure
    Président Serge Juhel
    Sections actuelles Basket-ball, boxe, Dentelle aux fuseaux, Football, Gymnastique volontaire, Judo, Karaté, Philatélie, Randonnée pédestre Tarot, Tennis et Yoga
    Sections anciennes Gymnastique et la préparation militaire

    L'association rĂ©gie par la loi 1901 Amicale courvilloise, fondĂ©e le 14 janvier 1913, a pour objet de regrouper des sections ayant pour but la promotion, l'apprentissage, la pratique et le dĂ©veloppement de toute activitĂ© Ă  caractĂšre sportif ou culturel au bĂ©nĂ©fice du plus grand nombre possible de pratiquants. À son origine, deux disciplines sont pratiquĂ©es : la gymnastique et la prĂ©paration militaire[48].

    En 1920 apparaĂźt la premiĂšre Ă©quipe de football[49].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    La salle des fĂȘtes de la ville portant son nom est inaugurĂ©e le 14 mai 1899. Elle est reconstruite au XXIe siĂšcle dans la mĂȘme rue portant son nom[53] ;

    HĂ©raldique

    Blason de Courville-sur-Eure Blason
    D'argent à dix annelets de gueules ordonnés 3, 3, 3 et 1.
    DĂ©tails
    Armoiries de la famille de Vieuxpont.

    Adopté par la municipalité le .

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. À savoir : Courville, Billancelles, Chuisnes, Dangers, FruncĂ©, Landelles, Le Favril, Mittainvilliers, Pontgouin, Saint-Arnoult-des-Bois, Saint-Germain-le-Gaillard et VĂ©rigny
    10. Fontaine-la-Guyon, Saint-Georges-sur-Eure et Saint-Luperce qui faisaient partie du canton de Bailleau-l'ÉvĂȘque supprimĂ© et Orrouer qui appartenait Ă  celui d’Illiers-Combray
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « L'église Saint-Pierre », notice no PA00097088, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Thimert - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Courville-sur-Eure et Thimert-Gùtelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Thimert - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Courville-sur-Eure et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Courville-sur-Eure », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
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