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Saint-Arnoult-des-Bois

Saint-Arnoult-des-Bois est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Saint-Arnoult-des-Bois
Saint-Arnoult-des-Bois
Église Saint-Arnoult, vue de la route de Billancelles.
Sur la droite, le lit à sec du Coisnon.
Blason de Saint-Arnoult-des-Bois
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté de communes Entre Beauce et Perche
Maire
Mandat
Christian Meunier
2020-2026
Code postal 28190
Code commune 28324
Démographie
Gentilé Saint-Arnolphiens
Population
municipale
886 hab. (2020 en augmentation de 0,45 % par rapport à 2014)
Densité 43 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 29′ 36″ nord, 1° 15′ 50″ est
Altitude Min. 163 m
Max. 247 m
Superficie 20,67 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Chartres
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Illiers-Combray
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Arnoult-des-Bois
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Saint-Arnoult-des-Bois
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Saint-Arnoult-des-Bois
Liens
Site web http://www.saintarnoultdesbois.fr

    Géographie

    Situation

    • Situation géographique
    • Saint-Arnoult-des-Bois dans son arrondissement.
      Saint-Arnoult-des-Bois dans son arrondissement.
    • Carte de la commune de Saint-Arnoult-des-Bois.
      Carte de la commune de Saint-Arnoult-des-Bois.

    Communes limitrophes

    Lieux-dits et écarts

    • La Charmoie, Goinville, Besnez, Chigneaux, les Rostys, le Tronchay, le Brosseron, le Breuil Saint-Nicolas, Fleurfontaine.

    Hydrographie

    • La commune est traversée par la vallée du Coisnon[Note 1], affluent en rive gauche de l'Eure donc de la Seine, dont la confluence est à Saint-Luperce, ainsi que par la vallée du Petit Coisnon.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 688 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Thimert », sur la commune de Thimert-Gâtelles, mise en service en 1979[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 622,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et à 18 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 11 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Arnoult-des-Bois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (83,6 %), zones agricoles hétérogènes (12,2 %), forêts (3 %), zones urbanisées (1,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Arnoult-des-Bois est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondationset séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vallée. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1996 et 1999[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Arnoult-des-Bois.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 77,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 414 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 413 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Sanctus Arnulfus en 1218[25], Saint-Arnoult-des-Bois en 1801[26].

    Saint-Arnoult est un hagiotoponyme. Saint Arnoul : martyr au diocèse de Reims, vivait au VIe siècle. Il voulait être enterré à Tours mais au cours du voyage, on du laisser le corps dans la Forêt d'Yveline. Cela explique l’existence du bourg de Saint-Arnoult (Yvelines)

    Histoire

    XIIe siècle

    Geoffroy de Lèves, évêque de Chartres de 1115 à 1149, donne avec son frère Gosselin de Lèves [Note 9], seigneur de Lèves, sur leurs terres ancestrales[27] - [28]., en 1117 pour la fondation de l'abbaye Notre-Dame de Josaphat, les cures de Saint-Arnoult-des-Bois et de Saint-Martin d'Orouër, et d'autres terres dans le Perche[29]

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2002 mars 2008 Maryvonne Buhot
    mars 2008 2014 Joël Racinet
    mars 2014 En cours Christian Meunier[30] - [31] Ancien employé

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

    En 2020, la commune comptait 886 habitants[Note 10], en augmentation de 0,45 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    538773768748756767739761758
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    744705710684711706775750700
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    605576583549546521534530495
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    396360355480646667815856886
    2018 2020 - - - - - - -
    887886-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Vestiges du canal inachevé de l'Eure

    Deux arches marquant le chemin suivi par le canal sont visibles sur la commune de Saint-Arnoult-des-Bois :

    • une petite arche se trouve au lieu-dit le Brosseron en dessous de la route D139 qui suit ici exactement l'emplacement du canal48° 28′ 38″ N, 1° 15′ 14″ E.
    • une arche plus importante appelée l'arche à Mulet (panneau sur place) est située à l'est du Brosseron. Elle devait permettre au canal d'enjamber la rivière le Coisnon48° 28′ 55″ N, 1° 16′ 07″ E.

    « À l’ouest, dans la direction de Chuisnes et Pontgouin, au nord, à côté de Saint-Arnoult-des-bois et de Fontaine-la-Guyon, on remarque dans les environs de Courville les traces d’un ancien canal que la tradition populaire appelle encore la Rivière neuve : c’est l’ancien aqueduc de Maintenon ou canal de Louis XIV.
    On sait que le grand roi, désirant procurer de l’eau vive aux jardins du château et à la ville de Versailles, conçut le projet de s’emparer du cours de l’Eure à Pontgouin[35], et ce au moyen d’un vaste barrage de maçonnerie […] d’une hauteur de 12 à 15 mètres, fermant hermétiquement la vallée d’une colline à l’autre ; ce barrage, arrêtant sur ce point le volume d’eau, devait le forcer à l’amener dans un canal creusé à côté de la rivière. […]
    Sous la direction de Vauban[36] et de La Hire[37], les travaux commencèrent en 1684 et furent poussés avec activité : 30 000 ouvriers dont un tiers de maçons et terrassiers, et les deux autres tiers de soldats […] travaillèrent à cette gigantesque entreprise.
    Sur toute la ligne des ouvrages, des régiments entiers vinrent cantonner pendant 3 ou 4 ans ; à Pontgouin, à Chuisnes, à Courville des camps furent établis. […]
    L’entreprise, dit M. de Noailles, fut si rapidement conduite qu’en moins d’un an le canal depuis Pontgouin jusqu’à Berchères fut établi et que le , l’académie s’y transporta dans la personne de La Hire, Cassini[38], Sédileau et de plusieurs membres, pour assister à l’entrée dans le canal qui devait avoir lieu, comme épreuve, ce même jour. L’épreuve réussit complètement, et l’eau arriva sans obstacle de Pontgouin à Berchères.
    Quelques jours après, le , le roi Louis XIV lui-même vint à Courville pour examiner l’entreprise […].
    Cependant pendant la durée des travaux, les maladies qui décimèrent les troupes, puis la guerre qui éclata à la fin de l’année 1688 firent abandonner ce projet grandiose. »

    — Armand Pelé, Courville, Essais historiques, collection Monographies des villes et villages de France.

    .

    • L'arche à Mulet permettant le franchissement du Coisnon.
      L'arche à Mulet permettant le franchissement du Coisnon.
    • Panneau d'information no 2.
      Panneau d'information no 2.

    Blasonnement

    Les armoiries de Saint-Arnoult-des-Bois se blasonnent ainsi :
    Parti: au 1er coupé au I d'or à la pompe à eau du lieu au naturel, au II d'or à deux arbres au naturel, celui de dextre penché en barre et brochant sur l'autre, au 2e de gueules à Saint Arnoult, évêque, d'or tenant de sa senestre une crosse contournée du même ; à la bordure de sinople chargée en flanc et en pointe de douze épis de blés feuillés de deux pièces d'or posés dans le sens de la bordure ; sur le tout au comble d’argent chargé de l’inscription en lettres gothiques de sable. Saint-Arnoult-des-Bois

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. À distinguer du Coinon, également affluent en rive gauche de l'Eure, dont la confluence est à Lèves.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Ne pas le confondre avec son neveu Gosselin de Lèves qui lui succéda sur le siège épiscopal de Chartres de 1149 à 1155
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Thimert - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Arnoult-des-Bois et Thimert-Gâtelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Thimert - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Arnoult-des-Bois et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Arnoult-des-Bois », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    25. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Droz, , p. 1529.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Eugène-Louis-Ernest de Buchère de Lépinois, « Couvents dans la ville et sa banlieue : 4-Abbaye Notre-Dame de Josaphat », dans Histoire de Chartres, t. 1, Garnier, (lire en ligne).
    28. Métais 1911, p. VII.
    29. Abbé Charles Métais, Cartulaire de Notre-Dame de Josaphat, 2 vol. 1911
    30. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    31. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. Au lieudit « les écluses de Boizard »
    36. Vauban, maréchal de France, il dirigea plusieurs sièges et fortifications de frontière
    37. La Hire, astronome et mathématicien français, son nom est resté attaché aux grands travaux géodésiques de l’époque
    38. Cassini, astronome et géodésien, organisateur de l’Observatoire de Paris
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