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Fontaine-la-Guyon

Fontaine-la-Guyon est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Fontaine-la-Guyon
Fontaine-la-Guyon
La mairie, installée dans l'ancien château acquis en 1998.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté de communes Entre Beauce et Perche
Maire
Mandat
Pascal Riolet
2020-2026
Code postal 28190
Code commune 28154
Démographie
Gentilé Guidofontanais
Population
municipale
1 699 hab. (2020 en augmentation de 3,79 % par rapport à 2014)
Densité 116 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 28′ 22″ nord, 1° 18′ 48″ est
Altitude Min. 158 m
Max. 237 m
Superficie 14,59 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Chartres
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Illiers-Combray
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Fontaine-la-Guyon
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Fontaine-la-Guyon
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Fontaine-la-Guyon
Liens
Site web http://www.fontainelaguyon.fr/

    Géographie

    Situation

    La commune est située à 13 km à l'ouest de Chartres.

    • Situation géographique
    • Fontaine-la-Guyon dans son arrondissement.
      Fontaine-la-Guyon dans son arrondissement.
    • Carte de la commune de Fontaine-la-Guyon.
      Carte de la commune de Fontaine-la-Guyon.

    Communes limitrophes

    Lieux-dits et écarts

    • Orébin, Flonville, Boissay, la Croix Boissière.

    Hydrographie

    • La commune est traversée par la vallée du Coisnon[Note 1], affluent en rive gauche de l'Eure donc de la Seine, dont la confluence est à Saint-Luperce.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 704 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Thimert », sur la commune de Thimert-Gâtelles, mise en service en 1979[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 622,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et à 14 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 11 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Fontaine-la-Guyon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,6 %), forêts (21,6 %), zones urbanisées (9,1 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Fontaine-la-Guyon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondationset séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vallée. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1995 et 1999[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Fontaine-la-Guyon.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 90,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 597 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 594 sont en en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attestée sous les formes Fons Guidonis en 1220[25], Fontanae Guidonis en 1248, Fontaine la Guyon en 1793, Fontaine-le-Guyon en 1801[26].

    Fontaines, Fontanae en référence à la fontaine Saint Gorgon réputée pour la guérison des douleurs, et aux multiples sources situées sur la colline au nord du village.

    Guyon est un nom de personne au cas régime de l'ancien français, ce qui a engendré une disparition de l'ancienne prononciation « gui-on » [giɔ̃][27]. La forme moderne est « Guy ». En mémoire de Guido(n), le maire[Note 9] (major domus) de ce domaine.
    L’anthroponyme Guy est d’origine germanique et généralement latinisé en Guido, parfois en Wido, selon son étymologie germanique.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs depuis 1945
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1964 2001 Paul Dassier
    Mars 2001 Juillet 2020 Claude Dassier DVD Retraité
    Juillet 2020 En cours Pascal Riolet

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

    En 2020, la commune comptait 1 699 habitants[Note 10], en augmentation de 3,79 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    655605653642640718652635597
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    603611610589588592529540544
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    519522501457505458423462447
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    4934885706757321 0201 3631 4131 625
    2017 2020 - - - - - - -
    1 6641 699-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Martin (ou saint-Gorgon) des XIVe – XVIe siècles, très retouchée au XIXe siècle après avoir été dévastée à la Révolution[31] ;
    • L'église Saint-Martin
    • L'église Saint-Martin.
      Mur sud.
    • Chevet.
      Chevet.
    • Mur nord.
      Mur nord.
    • Le château du XVIIIe siècle abrite aujourd'hui la mairie. Le parc du château comprend à l'entrée une grange dite « dîmière »[32], un pavillon carré à toit aigu et le porche de l'ancien château détruit au XVIIe siècle lors de la construction du canal inachevé de l'Eure. Il comprend également six cèdres du Liban remarquables, dont :
      • À côté du puits, un cèdre planté en 1779 par Anne Marie Reviers de Maury à 4 ans (1775-1862), hauteur 30 m, circonférence 6,20 m ;
      • À côté de la porte Renaissance, un cèdre d'une hauteur de 30 m et de 5,30 m de circonférence ;
      • Enfin, allée Jehan de Montangon, le plus imposant, d'une hauteur de 33 m et 7,20 m de circonférence[33] - [34].
    • L'ancien château
    • Vue générale.
      Vue générale.
    • L'ancien porche.
      L'ancien porche.
    • La grange « dîmière » et un cèdre remarquable.
      La grange « dîmière » et un cèdre remarquable.
    • Vestiges du canal Louis XIV
    • Le château et le canal.
      Le château et le canal.
    • Canal Louis XIV dans le parc.
      Canal Louis XIV dans le parc.
    • Panneau d'information n°3.
      Panneau d'information n°3.
    • Le musée de Papi ;
    • La bibliothèque[35] ;
    • L'agence postale communale ;
    • Le monument aux morts.
    • Autres lieux et monuments
    • Toits et clochers.
      Toits et clochers.
    • L'agence postale.
      L'agence postale.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. À distinguer du Coinon, également affluent en rive gauche de l'Eure, dont la confluence est à Lèves.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. C’est au IXe siècle, que l’abbé Irminon († vers 826), dans un ouvrage où il décrit les biens détenus par l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés, emploie le terme major quand il parle du représentant du domaine. les mairies couvraient le sol beauceron, tout particulièrement dans les domaines de l’Eglise. La mairie représentait le district soumis à l’administration et à la juridiction du maire. Elle comprenait en général plusieurs hébergements ou fermes bâties, des hospices, des métairies, manoirs occupés par des hommes de corps, des hôtes ou des colons, et les droits féodaux assis sur les immeubles. Ainsi, en Beauce, « Les maires étaient les principaux officiers ruraux du Chapitre. Ils cumulaient tout à la fois les fonctions de juges-de-paix, de commissaires de police, d’intendants, de gardes champêtres et de collecteurs d’impôts. Ces attributions variées en firent promptement des personnages, et, quoique partis, pour la plupart, dans l’origine, des rangs du servage, ils étaient parvenus, dès la fin du XIe siècle, à rendre leurs offices héréditaires et à régner en maître sur leurs administrés. Ils relevaient d’abord des prévôts et un peu des sergents des prévôtés, et, selon l’ordinaire, ils enchérissaient sur les exactions de leurs supérieurs (D’après le Cartulaire de Notre-Dame de Chartres, tome 1 publié par la Société archéologique d’Eure-et-Loir (1862) – Gallica Bnf).
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Thimert - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Fontaine-la-Guyon et Thimert-Gâtelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Thimert - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Fontaine-la-Guyon et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Fontaine-la-Guyon », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    25. Toponymie générale de la France : Formations dialectales (suite) et françaises, Droz, , p. 1688.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Albert Dauzat (préface de Marie-Thérèse Morlet), Noms et prénoms de France, éditions Larousse 1980, p. 316b sous Guy.
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. « Liste des objets classés de l'église », base Palissy, ministère français de la Culture.
    32. Mairie de Fontaine-la-Guyon - Histoire, « La grange du château, "dimière"... Ou pas ? », sur http://www.fontainelaguyon.fr, (consulté le )
    33. J. Charron - Fondation patrimoine, « Le parc et les cèdres du château », sur http://www.fontainelaguyon.fr, (consulté le )
    34. Exposition « Arbres remarqués d'Eure-et-Loir », maison des Espaces Naturels d'Écluzelles, 2022.
    35. Bibliothèque, 8 rue Saint-Martin, http://bibliotheque-fonta.wix.com/lirafontainelaguyon, facebook.com/fontainelaguyon.bibliotheque.
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