Champhol
Champhol est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.
Champhol | |||||
L'hôtel de ville en 2017 : Liberté égalité fraternité laïcité[2]. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Eure-et-Loir | ||||
Arrondissement | Chartres | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Chartres Métropole | ||||
Maire Mandat |
Étienne Rouault 2020-2026 |
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Code postal | 28300 | ||||
Code commune | 28070 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
3 737 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 696 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 28′ 10″ nord, 1° 30′ 11″ est | ||||
Altitude | Min. 117 m Max. 156 m |
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Superficie | 5,37 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Chartres (banlieue) |
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Aire d'attraction | Chartres (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Chartres-1 | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | ville-champhol.fr | ||||
Géographie
Situation
Communes limitrophes
Hydrographie
La rivière Eure, affluent en rive gauche du fleuve la Seine, borde Champhol au nord-ouest.
Voies ferrées
Deux lignes traversent le territoire communal, sans haltes :
- la ligne de Paris-Montparnasse à Brest, qui emprunte la vallée de l'Eure ;
- la ligne de Paris à Chartres par Gallardon, fermée dès 1939 aux voyageurs.
Les gares les plus proches sont Chartres et la Villette-Saint-Prest.
Climat
La station météorologique de Chartres est située sur la commune de Champhol, à 156 mètres d'altitude. Elle mesure quotidiennement plusieurs paramètres météorologiques.
Le climat est de type océanique dégradé, principalement sous l'influence des vents provenant en moyenne de 250 ° ouest - sud-ouest. Il est caractérisé par des températures moyennes comprises entre 10 °C et 13 °C et des précipitations paraissant beaucoup plus abondantes qu'elles ne le sont.
La vitesse du vent à Chartres est peu élevée environ 22 km/h de moyenne avec une hygrométrie de 81 %[3] et une pression atmosphérique de 1 006,1 hPa.
La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1918 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[4]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,2 | 1 | 3,2 | 4,8 | 8,3 | 11,2 | 13,2 | 13,1 | 10,4 | 7,8 | 4,1 | 1,8 | 6,7 |
Température moyenne (°C) | 3,8 | 4,3 | 7,4 | 9,7 | 13,4 | 16,5 | 18,9 | 18,8 | 15,6 | 11,8 | 7,1 | 4,3 | 11 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,4 | 7,6 | 11,5 | 14,7 | 18,4 | 21,8 | 24,6 | 24,6 | 20,9 | 15,9 | 10,2 | 6,7 | 15,3 |
Record de froid (°C) date du record |
−18,4 17.01.1985 |
−15 24.02.1963 |
−11 01.03.05 |
−4,9 04.04.1973 |
−1 01.05.1945 |
1,4 02.06.1962 |
0,9 30.07.1928 |
3 17.08.1927 |
0,5 22.09.1928 |
−5,4 28.10.1931 |
−11,3 30.11.10 |
−14,2 29.12.1964 |
−18,4 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,1 27.01.03 |
20,5 27.02.19 |
24,8 31.03.21 |
28,2 18.04.1949 |
31,4 16.05.1945 |
36,5 21.06.17 |
41,4 25.07.19 |
39,6 06.08.03 |
34,3 14.09.20 |
29,4 01.10.11 |
20,9 07.11.15 |
17 06.12.1979 |
41,4 2019 |
Ensoleillement (h) | 65,7 | 83,7 | 135,8 | 176,1 | 202,9 | 222,6 | 224,5 | 219,6 | 177,8 | 119,2 | 71,9 | 58,2 | 1 758 |
Précipitations (mm) | 49,2 | 40,2 | 44,4 | 45 | 54,7 | 48,2 | 56,5 | 43 | 46,9 | 62,3 | 52,2 | 56,3 | 598,9 |
Ville | Ensoleillement | Pluie | Neige | Orage | Brouillard | Gel |
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Paris | 1 797 h/an | 642 mm/an | 15 j/an | 19 j/an | 13 j/an | 29j/an |
Nice | 2 694 h / an | 767 mm / an | 1 j / an | 31 j / an | 1 j / an | 2j/an |
Strasbourg | 1 637 h/an | 610 mm/an | 30 j/an | 29 j/an | 65 j/an | 76j/an |
Chartres-Champhol | 1 749 h / an | 579 mm / an | 15 j / an | 15 j / an | 51 j / an | 56j/an |
Moyenne nationale | 1 973 h/an | 770 mm/an | 14 j/an | 22 j/an | 40 j/an |
Urbanisme
Typologie
Champhol est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [5] - [6] - [7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chartres, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[8] et 88 995 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[9] - [10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11] - [12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (64,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (31 %), zones urbanisées (28,4 %), prairies (22,3 %), forêts (10,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,7 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Champhol est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Eure. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999[16] - [14].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile, des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des effondrements généralisés[17]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 65,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 352 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 925 sont en en aléa moyen ou fort, soit 68 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[14].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[20].
Toponymie
Bas latin Campus Follis, vers 986 (cartulaire Saint-Père-en-Vallée de Chartres) de campus = « champ », follis = « aux herbes folles » ; c’est-à -dire : champ où poussent des herbes folles.
Campus Fauni, 1127 (cartulaire Saint-Père-en-Vallée de Chartres), ce nom indiquerait plutôt un champ du Faune, divinité latine champêtre. Cette deuxième forme, plus tardive, semble être une traduction de la forme romane incomprise.
Histoire
Au Moyen Âge, alors que chaque commune produisait son propre vin, celui de Champhol, dit « Sèchecôte », était considéré comme le meilleur de la région. L'écusson de la ville représente d'ailleurs deux pieds de vigne entourant une serpe.
En 1620, y est créé un carmel[21] qui ferme en 2016[22] - [23].
Le 15 août 1858, le hameau de La Mihoue fut détruit par un incendie. 71 maisons, toutes ayant un toit en chaume, furent détruites. Il y eut trois morts : Louis Brault, 83 ans, et les époux Jumentier, âgés de 66 et 62 ans.
Avant la Première Guerre mondiale s'installe à Champhol un terrain d'aviation, qui deviendra la base aérienne 122 Chartres-Champhol. L'école de pilotage militaire formera près d'un quart des pilotes de la Première Guerre mondiale, mémoire transmise dans la symbolique de l'insigne de tradition de cette base aérienne : un pélican se sacrifie et donne son sang pour sauver ses petits. La base aérienne entretiendra une activité navigante jusqu'en 1961, date du départ du Groupe de Transport 61 vers celle située à Orléans-Bricy. Elle a fermé définitivement en 1997.
Politique et administration
Élections municipales du 15 mars 2020
- Maire sortant : Christian Gigon
- 27 sièges à pourvoir au conseil municipal (population légale 2017 : 3 656 habitants)
- 2 sièges à pourvoir au conseil communautaire (communauté d'agglomération Chartres Métropole)
Aucun siège n'est pourvu lors de ce premier tour[24].
Liste des maires
Politique environnementale
Dans son palmarès 2017, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[27].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].
En 2020, la commune comptait 3 737 habitants[Note 3], en augmentation de 5,15 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Église Saint-Denis
Le 2 mars 1944, à partir de 16 h 50, la base aérienne de Chartres est attaquée pendant une vingtaine de minutes par 84 bombardiers B 17 en 4 vagues de 21 avions des 388th BG, 399th BG et 100th BG. De l'église il ne reste que le clocher, intact.
Château de Vauventriers
- Inscrit MH (1969, 2006)[32].
- L'église Saint-Denis, vue des jardins de l'évêché de Chartres.
- L'église Saint-Denis et le monument aux morts.
- Le château de Vauventriers.
Personnalités liées à la commune
- Gérard Du Doyer de Gastels (1732-1798), poète et dramaturge né à Champhol.
- Laurie Derouard (1996-), Miss Eure-et-Loir et Miss Centre-Val de Loire 2018[33].
Héraldique
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Les armes de la commune de Champhol se blasonnent ainsi : D'or à la serpette de vigneron d'argent emmanchée d'azur, posée en pal, accostée de deux ceps de vigne de sable fruités d'une pièce aussi d'azur et feuillés d'une pièce de sinople, à la champagne aussi d'or grillagée aussi de sable. |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Blog personnel sur la Base Aérienne de Chartres entre les deux guerres
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « La mairie de Champhol perd « sa » laïcité », sur http://www.cactus.press, (consulté le ).
- « La mairie de Champhol perd « sa » laïcité », sur http://www.cactus.press, (consulté le ).
- Infoclimat.
- « Fiche du Poste 28070001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Chartres », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Champhol », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Champhol », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Pause au Carmel de Champhol
- Le diocèse tourne une page de son histoire
- CHAMPHOL - Les Carmélites quittent la ville
- Ministère de l'Intérieur, « Résultats du 1er tour - Champhol », sur https://elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
- Journal Radical 605, PRG, consulté le 22 avril 2014
- « Étienne Rouault présente ses colistiers aux élections municipales de Champhol », sur https://www.lechorepublicain.fr, .
- Site des villes et villages fleuris, consulté le 23 février 2018.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Château de Vauventriers », notice no PA00096988, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Géraldine Sellès, « Miss France : retour sur le parcours de Laurie Derouard, Miss Centre-Val de Loire », sur https://www.lechorepublicain.fr, .