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BellĂȘme

BellĂȘme est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de l’Orne en rĂ©gion Normandie, peuplĂ©e de 1 455 habitants en 2020.

BellĂȘme
BellĂȘme
BellĂȘme vue du ciel.
Blason de BellĂȘme
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Orne
Arrondissement Mortagne-au-Perche
Intercommunalité Communauté de communes des Collines du Perche Normand
Maire
Mandat
RĂ©my Tessier
2020-2026
Code postal 61130
Code commune 61038
DĂ©mographie
GentilĂ© BellĂȘmois
Population
municipale
1 455 hab. (2020 en diminution de 9,96 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 851 hab./km2
Population
agglomération
2 371 hab. (2016)
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 22â€Č 35″ nord, 0° 33â€Č 38″ est
Altitude Min. 162 m
Max. 230 m
Superficie 1,71 km2
Type Commune rurale
UnitĂ© urbaine BellĂȘme
(ville-centre)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Ceton
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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BellĂȘme
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BellĂȘme
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BellĂȘme
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BellĂȘme
Liens
Site web www.villedebelleme.fr
    Le quartier de l'église Saint-Sauveur et ses maisons aux façades colorées.

    GĂ©ographie

    Au nord du parc naturel rĂ©gional du Perche, dans le dĂ©partement de l'Orne, BellĂȘme se trouve sur une colline de la rĂ©gion naturelle du Perche.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 790 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Belleme_sapc », sur la commune de Saint-Martin-du-Vieux-BellĂȘme, mise en service en 1997[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 826,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, mise en service en 1946 et Ă  35 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,9 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11,3 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    BellĂȘme est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de BellĂȘme, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 2 communes[17] et 2 041 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[18] - [19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (72,7 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (64 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (42,6 %), prairies (22,8 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (16 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (14,1 %), terres arables (4,5 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Belismo au Xe siÚcle[24].

    De Belisama (déesse gauloise)[25].

    Le gentilĂ© est BellĂȘmois.

    Histoire

    BellĂȘme fut le centre de la seigneurie de BellĂȘme du Xe siĂšcle jusqu'en l'an 1113. En 1087, Robert de BellĂȘme, apprenant la mort du duc, aprĂšs avoir expulsĂ© la garnison locale et repris le chĂąteau d'Alençon fit de mĂȘme Ă  BellĂȘme[26].

    Henri Ier, roi d'Angleterre et duc de Normandie, la prit en 1114, Saint Louis en 1228, les Bourguignons en 1413, les Anglais en 1424 et Jean II, duc d'Alençon, en 1449[27] L'un des Ă©pisodes marquants de la localitĂ© fut le siĂšge de BellĂȘme par Blanche de Castille, rĂ©gente du jeune Louis IX, le futur Saint Louis, pour la soutirer au breton Pierre Mauclerc[28].

    Deux habitants de BellĂȘme ont Ă©migrĂ© en 1651 en Nouvelle-France au XVIIe siĂšcle et ainsi contribuĂ© Ă  l'Ă©popĂ©e des Percherons au Canada : François Peuvret, sieur de Margontier (mort en 1657), sans descendance, et son frĂšre, Jean-Baptiste Peuvret, sieur de Mesnu (baptisĂ© vers 1632, mort en 1697 Ă  QuĂ©bec), ancĂȘtre des Peuvret du QuĂ©bec[29].

    Jusqu'en 1784, BellĂȘme est traversĂ©e par le chemin royal de Paris en Bretagne, qui passe par Dreux, ChĂąteauneuf-en-Thymerais, RĂ©malard, BellĂȘme, IgĂ©, BonnĂ©table, Le Mans et Angers, jusqu'Ă  Nantes. À partir de cette date, le chemin royal est dĂ©tournĂ© et passe Ă  Nogent-le-Rotrou et La FertĂ©-Bernard, jusqu'au Mans. En s'alliant avec Nogent-le-Rotrou, elle rĂ©ussit Ă  s'imposer contre Mortagne pour rĂ©unir, en , les Ă©tats gĂ©nĂ©raux du bailliage du Perche. Bellesme fut chef-lieu de district sous la RĂ©volution.

    BellĂȘme a connu une activitĂ© textile florissante, particuliĂšrement aux XVIIe et XVIIIe siĂšcles.

    • Le porche du chĂąteau.
      Le porche du chĂąteau.
    • La forĂȘt de BellĂȘme.
      La forĂȘt de BellĂȘme.

    HĂ©raldique

    Armes de BellĂȘme

    Les armes de la commune de BellĂȘme se blasonnent ainsi :
    De sable à une forteresse crénelée à trois tours d'or.

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1815 1821 Louis Alexandre Guillaume de Nolet de Malvoue
    1977[30] mars 2001 Francis Geng UDF Cadre,
    député de 1978 à 1993
    mars 2001[31] mars 2008 Christiane Roussel PS Adjointe administrative
    mars 2008[32] juillet 2018 Vincent Segouin[33] LR Agent général d'assurance
    juillet 2018[34] mai 2020 Olivier Voisin SE Chef d'entreprise
    mai 2020[35] En cours RĂ©my Tessier SE Directeur d’hĂŽpital honoraire
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[37].

    En 2020, la commune comptait 1 455 habitants[Note 7], en diminution de 9,96 % par rapport Ă  2014 (Orne : −3,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
    2 7712 7082 8623 1033 2633 1433 3503 1263 130
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    3 1533 1083 1992 9352 8252 6562 5632 5992 627
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    2 3382 1871 9441 9921 9381 7921 6971 6271 844
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    1 7421 8431 8491 7881 7741 6021 5761 5931 464
    2020 - - - - - - - -
    1 455--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee Ă  partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    La rue Ville-Close.
    • L'Ă©glise Saint-Sauveur.
      L'Ă©glise Saint-Sauveur.
    • Une des portes des anciens remparts.
      Une des portes des anciens remparts.
    • La statue d'Aristide Boucicaut.
      La statue d'Aristide Boucicaut.
    • Les douves de l'ancien chĂąteau.
      Les douves de l'ancien chĂąteau.
    • Le square place au BlĂ©.
      Le square place au Blé.
    • Le golf de BellĂȘme.
      Le golf de BellĂȘme.
    • BellĂȘme illuminĂ©e Ă  NoĂ«l.
      BellĂȘme illuminĂ©e Ă  NoĂ«l.
    • Statue de la jeune fille jouant Ă  colin-maillard.
      Statue de la jeune fille jouant Ă  colin-maillard.
    • Le « ChĂȘne de l'Ă©cole », dans la forĂȘt qui borde le village, qui a plus de 350 ans[43].

    Personnalités liées à la commune

    Activité et manifestations

    Jumelages

    Manifestations

    • Les Mycologiades internationales : festival annuel de mycologie.
    • Spectacle historique nocturne estival de l'association Au CƓur du Perche, Le TrĂ©sor maudit, au parc de Vigan, labellisĂ© par la FĂ©dĂ©ration française des fĂȘtes et spectacles historiques[46].
    • Foire de la Saint-Simon (Simon le ZĂ©lote) le 28 octobre.
    • Les illuminations de dĂ©cembre depuis NoĂ«l 2008.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Belleme_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre BellĂȘme et Saint-Martin-du-Vieux-BellĂȘme », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    9. « Station Météo-France Belleme_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre BellĂȘme et Alençon », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    11. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « UnitĂ© urbaine 2020 de BellĂȘme », sur https://www.insee.fr/ (consultĂ© le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    24. Cahiers LĂ©opold Delisle - Volumes 27 Ă  28 - Page 52.
    25. La Religion dans la toponymie, Sylvie Lejeune. expert auprÚs de la Commission de toponymie de l'IGN, secrétaire de la commission nationale de toponymie, page 1, paragraphe 1, ligne 6 lire en ligne.
    26. Bernard Beck, ChĂąteaux forts de Normandie, Rennes, Ouest-France, , 158 p. (ISBN 2-85882-479-7), p. 31.
    27. Dezobry et Bachelet, Dictionnaire de biographie, t.1, Ch.Delagrave, 1876, p. 264.
    28. Stéphane Bern - Le village préféré des français, La France et ses villages, page 76, (ISBN 978-2-226-25929-5).
    29. « Les Peuvret, deux frĂšres Ă©migrants originaires de BellĂȘme, paroisse Saint-Pierre », sur perche-canada.net (consultĂ© le ).
    30. « Le soutien de Francis Geng, ancien maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    31. « BellĂȘme : l'Ă©quipe sortante dĂ©chirĂ©e », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consultĂ© le ).
    32. « Vincent Segouin est le nouveau maire de la commune », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    33. RĂ©Ă©lection 2014 : « BellĂȘme (61130) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consultĂ© le ).
    34. « Olivier Voisin est le nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    35. « Municipales 2020 Ă  BellĂȘme. RĂ©my Tessier succĂšde au maire Olivier Voisin », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consultĂ© le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. Laurence de Calan, PresybtÚres du Perche, éditions des Amis du Perche, collection "Présence du Perche", juillet 2012, p. 23. [ (ISBN 978-2-900122-983)]
    41. « Ville Close », notice no PA00110744, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    42. "L'emblÚme de la ville est menacé", mis en ligne par Amine El-Hasnaouy sur www.le-perche.fr, le 8 janvier 2014, consulté le 12 janvier 2014.
    43. Stéphane Bern - Le village préféré des français, La France et ses villages, page 75, (ISBN 978-2-226-25929-5).
    44. Les grandes affaires criminelles de l'Orne, de Borée, Paris, 2008.
    45. Paul-Marie, Grinevald, Guillaume-AndrĂ© Villoteau (1759-1839) Ethnomusicographe de l'Égypte. Paris, L'Harmattan, 2014.
    46. [PDF] « Le Trésor maudit - Dossier de presse » (consulté le ).

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean-Luc Romet, Souvenirs historiques de BellĂȘme, Ă©dition GĂ©han, 1978.
    • Jean-Luc Romet et Ferdi de BoĂ«r, Visage aux deux villes StĂŒhlingen - BellĂȘme, Ă©dition des Presses des Ă©coles de StĂŒhlingen, 1985.
    • Jean-Luc Romet, Une histoire illustrĂ©e de BellĂȘme et du Perche, Ă©dition des Amis du Perche, 1994, 96 pages, 27 Ă©crivains et illustrateurs.
    • Jacques Plat, BellĂȘme et ses environs, Alan Sutton, 2005 (EO), 2010 (rĂ©Ă©d.), 128 pages, 230 illustrations.

    Articles connexes

    Liens externes

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