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Legé

Legé est une commune française de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Legé
Legé
L'hĂŽtel de ville.
Blason de Legé
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Loire-Atlantique
Arrondissement Nantes
Intercommunalité Communauté de communes Sud Retz Atlantique
Maire
Mandat
Thierry Grassineau
2020-2026
Code postal 44650
Code commune 44081
DĂ©mographie
Gentilé Legéens
Population
municipale
4 633 hab. (2020 en augmentation de 3,18 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 73 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 53â€Č 11″ nord, 1° 35â€Č 51″ ouest
Altitude Min. 18 m
Max. 94 m
Superficie 63,32 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Legé
(ville isolée)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Philbert-de-Grand-Lieu
LĂ©gislatives NeuviĂšme circonscription
Localisation
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Legé
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Legé
Liens
Site web http://www.ville-lege44.fr/

    C'est la commune la plus au sud de la Loire-Atlantique. Legé est donc une commune frontaliÚre du département de la Vendée.

    Avant la création des départements, la paroisse de Legé faisait partie des Marches Communes de Bretagne-Poitou et du diocÚse de Luçon.

    Ses habitants sont appelés les Legéens.

    GĂ©ographie

    Situation

    Situation de la commune de Legé dans le département de la Loire-Atlantique.

    LegĂ© est situĂ©e Ă  40 km au sud de Nantes.

    GĂ©ographie physique

    Topographie et hydrographie

    La riviÚre Logne prend sa source à Legé.

    Climatologie

    Le climat de la Loire-Atlantique est de type tempĂ©rĂ© ocĂ©anique. L'influence de ce climat est largement facilitĂ©e par l'estuaire de la Loire et l'absence de relief notable[1]. Les hivers sont doux (min −5 °C / max 10 °C) et pluvieux et les Ă©tĂ©s relativement beaux et doux Ă©galement (min 17 °C / max 35 °C). Les pluies sont frĂ©quentes mais peu intenses. Les prĂ©cipitations annuelles sont d'environ 820 mm[2] et peuvent fortement varier d'une annĂ©e Ă  l'autre. Les chutes de neige y sont exceptionnelles.

    GĂ©ographie humaine

    Voies de communication et transports

    La commune est traversée par les routes départementales 753 (Cholet > Saint-Jean-de-Monts) et 178 (Nantes > Les Sables-d'Olonne)

    Elle est desservie par la ligne 312 (Nantes > Saint-Philbert-de-Grand-Lieu > Touvois) du réseau de transport régional Aléop.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 2] : 838 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « RocheserviĂšre », sur la commune de RocheserviĂšre, mise en service en 1985[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 822,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « La Roche-sur-Yon », sur la commune de Roche-sur-Yon, dans le dĂ©partement de la VendĂ©e, mise en service en 1984 et Ă  28 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă  12,1 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  12,4 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    LegĂ© est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 4] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de LegĂ©, une unitĂ© urbaine monocommunale[19] de 4 514 habitants en 2017, constituant une ville isolĂ©e[20] - [21]. La commune est en outre hors attraction des villes[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (92,5 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (93,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (49,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (35,3 %), prairies (5,8 %), zones urbanisĂ©es (3,9 %), forĂȘts (3,2 %), cultures permanentes (2,2 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (0,5 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    Le nom de Legé désigne un ancien domaine Gallo-Romain fondé vers le IIe ou le IIIe siÚcle aprÚs Jésus-Christ, le domaine de Laevius. Par la suite, on voit apparaßtre dans les textes anciens le nom populaire en français sous la forme de Letge au XIIe siÚcle. Le nom de la localité est aussi attesté sous la forme Ecclesia de Legiaco en 1119[26]. Enfin, dÚs le début du XVe siÚcle, la forme actuelle, Legé, est attestée.

    LegĂ© se trouve dans le domaine linguistique du poitevin, au sud de la limite avec le gallo. En gallo, son nom est LejaĂ© selon l'Ă©criture ELG[27], ou LjaĂŻ selon l'Ă©criture MOGA. En gallo, le nom de la commune se prononce [lʒaÉȘ][28].

    La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Levieg[29].

    Histoire

    Moyen Âge

    La paroisse de Legé est mentionnée sous l'appellation de « Legiaco » en 1119 dans un document relatif à l'abbaye de Tournus, fondée sous le vocable de Saint Philibert en 875 grùce au soutien de Charles le Chauve, roi de France.

    Deux abbayes poitevines fondent à la fin du XIIe siÚcle ou au début du XIIIe siÚcle des prieurés sur le territoire de Legé. L'abbaye bénédictine de Saint-Jean-d'Orbestier (fondée en 1107 par Guillaume, comte du Poitou et duc d'Aquitaine), à Chùteau-d'Olonne, fonde le prieuré de La Péranche sous le patronage de sainte Madeleine. L'abbaye augustine de Nieul-sur-Autize, prÚs de Fontenay-le-Comte, fonde le prieuré de Saint-Laurent-de-FougÚre.

    Legé faisait autrefois partie des Marches communes au Poitou et à la Bretagne : l'histoire en fait mention en 1406, à propos d'une levée de guerriers qu'on y voulait faire malgré l'exemption qui lui en avait été accordée.

    Une partie du territoire de Legé est inféodée à la baronnie-duché de Retz par la chùtellenie de La Bénate.

    PĂ©riode moderne

    Lors des rĂ©bellions huguenotes, Louis XIII rĂ©unit son armĂ©e Ă  LegĂ© et y couche le avant de se diriger sur l'Ăźle de Riez pour y combattre Rohan-Soubise placĂ© Ă  la tĂȘte des Calvinistes.

    En 1789, ce sont deux legĂ©ens, Jacques-Alexis Francheteau de La GlaustiĂšre et Charles-Joseph Auvynet, qui sont Ă©lus pour reprĂ©senter le Tiers-État des Marches communes au Poitou et Ă  la Bretagne aux États-GĂ©nĂ©raux.

    Lors de la guerre de VendĂ©e, le GĂ©nĂ©ral Charette sĂ©journe dans la ville d'avril Ă  . Il y Ă©tablit son quartier gĂ©nĂ©ral. La commune fut le thĂ©Ăątre d'une bataille entre RĂ©publicains et Royalistes le . L'armĂ©e de Charette mit en dĂ©route les 600 hommes de l'adjudant-gĂ©nĂ©ral Boisguyon. Les exactions des colonnes infernales (tel que le massacre de LegĂ©), les morts parmi les soldats rĂ©publicains (tuĂ©s au combat ou exĂ©cutĂ©s)[30] et les exĂ©cutions sommaires de civils rĂ©publicains accomplies par les VendĂ©ens[31] rendent le bourg impossible Ă  tenir par l'un ou l'autre camp[32] - [33]. Le 10 fĂ©vrier de la mĂȘme annĂ©e, verra la victoire des armĂ©es rĂ©publicaines du gĂ©nĂ©ral Florent Joseph Duquesnoy contre Charette (Duquesnoy y sera d'ailleurs blessĂ©).

    XXe siĂšcle

    Par une loi du , la commune de LegĂ© acquiert une portion du territoire des Lucs-sur-Boulogne et une autre de Grand’Landes, modifiant les limites de la Loire-InfĂ©rieure et de la VendĂ©e[34].

    DĂšs 1893, la gare de LegĂ© va devenir le terminus de la ligne de chemin de fer Ă  voie mĂ©trique en provenance de Nantes et sera gĂ©rĂ©e par la Compagnie française de chemins de fer Ă  voie Ă©troite jusqu'Ă  la fermeture de la desserte en 1935. Durant cette mĂȘme pĂ©riode, la gare Ă©tait Ă©galement desservie par les Tramways de la VendĂ©e grĂące Ă  la mise en service de la ligne de La Roche-sur-Yon Ă  LegĂ© en 1904, liaison qui sera fermĂ©e en 1939[35].

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    Coupé : au premier, d'azur à un chùteau d'or maçonné, ouvert et ajouré de sable, mouvant du coupé ; au second, de pourpre à trois fleurs de lys d'argent posées en fasce.
    Commentaires : Blason conçu par Fabien Musseau, maire de Legé, en 1960.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs depuis la Libération de la France
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Émile Rambaud
    Bernard Dupuy
    Fabien Musseau[Note 5] Centriste Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de LegĂ© (1951 → 1964)
    Paul Guillon
    [36]
    (décÚs)
    Louis Marcetteau[Note 6] UDF-PR Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de LegĂ© (1976 → 1987)
    Suzanne Danet (née Grulier)
    Jean-Claude Grassineau[Note 7] - [Note 5]
    Jean-Claude Brisson[Note 8] DVD Administrateur de société
    Ex-adjoint au maire délégué à l'urbanisme
    En cours
    (au 08/06/2020)
    Thierry Grassineau DVD Administrateur de société à la retraite
    Ex-adjoint au maire délégué aux sports

    Tendances politiques et résultats

    AprÚs avoir démontré un fort ancrage à droite pendant longtemps, Legé a, depuis 2014, tendance à voter pour les candidats du Front national, aujourd'hui appelé Rassemblement national.

    Par exemple, en 2017, c'est Marine Le Pen qui arrive en tĂȘte au premier tour de l'Ă©lection prĂ©sidentielle, et c'est Jean-Luc Javel, le candidat du FN, qui arrive deuxiĂšme au premier tour des lĂ©gislatives alors qu'il n'est mĂȘme pas qualifiĂ© pour le second tour au niveau de la circonscription.

    Pour les Ă©lections europĂ©ennes de 2014, la liste d'extrĂȘme-droite conduite par Gilles Lebreton l'emporte avec 29,88 %, soit dix points de plus qu'au niveau de la circonscription Ouest et cinq points de plus qu'au niveau national. En ce qui concerne le scrutin de 2019, la liste du RN conduite par Jordan Bardella arrive en tĂȘte avec plus de trois points supplĂ©mentaires qu'au niveau national.

    Résultats pour la commune des scrutins français depuis 2000.
    Élections prĂ©sidentielles, rĂ©sultats des deuxiĂšmes tours.
    AnnĂ©e Élu Battu Participation
    2002 80,87 % Jacques Chirac RPR 19,13 % Jean-Marie Le Pen FN 84,47 % [37]
    2007 61,22 % Nicolas Sarkozy UMP 38,78 % SĂ©golĂšne Royal PS 88,32 % [38]
    2012 43,08 % François Hollande PS 56,92 % Nicolas Sarkozy UMP 85,70 % [39]
    2017 60,21 % Emmanuel Macron EM 39,79 % Marine Le Pen FN 79,61 % [40]
    2022 % Emmanuel Macron LREM % Marine Le Pen RN % [41]
    Élections lĂ©gislatives, rĂ©sultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
    AnnĂ©e Élu Battu Participation
    Legé est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats des .
    Avant 2010, Legé est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats des .
    2002 66,33 % Pierre HĂ©riaud UMP 33,67 % Monique Rabin PS 58,29 % [42]
    2007 61,51 % Philippe Boënnec UMP 38,49 % Monique Rabin PS 59,44 % [43]
    AprÚs 2010, Legé est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats de .
    2012 46,66 % Monique Rabin PS 53,34 % Philippe Boënnec UMP 59,50 % [44]
    2017 59,55 % Yannick Haury MoDem 40,45 % Claire Hugues LR 38,83 % [45]
    2022 % % % [46]
    Élections europĂ©ennes, rĂ©sultats des deux meilleurs scores.
    Année Liste 1re Liste 2e Participation
    2004 % % % [47]
    2009 % % % [48]
    2014 % % % [49]
    2019 % % % [50]
    Élections rĂ©gionales, rĂ©sultats des deux meilleurs scores.
    Année Liste 1re Liste 2e Participation
    2004 % % % [51]
    2010 % % % [52]
    2015 % % % [53]
    2021 % % % [54]
    Élections cantonales, rĂ©sultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
    AnnĂ©e Élu Battu Participation
    Legé est répartie sur plusieurs cantons, cf. les résultats de ceux de .
    2001 % % % [55]
    2004 % % % [56]
    2008 % % % [57]
    2011 % % % [58]
    Élections dĂ©partementales, rĂ©sultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
    AnnĂ©e Élus Battus Participation
    Legé est répartie sur plusieurs cantons, cf. les résultats de ceux de .
    2015 % % % [59]
    2021 % % % [60]
    Référendums.
    Année Oui (national) Non (national) Participation
    1992 % (51,04 %) % (48,96 %) % [61]
    2000 68,66 % (73,21 %) 31,34 % (26,79 %) 29,76 % [62]
    2005 % (45,33 %) % (54,67 %) % [63]

    Population et société

    DĂ©mographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Legé est une ville isolée qui est le centre d'une aire urbaine et d'un bassin de vie. Elle fait partie de la zone d'emploi de Nantes[64]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 90 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 10 % dans des zones « trÚs peu denses »[65].

    Évolution dĂ©mographique

    Les données concernant 1793 sont perdues.

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[66]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[67].

    En 2020, la commune comptait 4 633 habitants[Note 9], en augmentation de 3,18 % par rapport Ă  2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    2 8933 3693 1163 2133 3763 4013 6143 7033 593
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    4 4884 5314 4554 4304 4484 5424 5334 5514 431
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    4 4104 2793 7333 6483 6923 5603 6043 5393 454
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    3 5213 4333 4413 5323 5883 9684 3494 4934 633
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[68] puis Insee Ă  partir de 2006[69].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  35,2 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 25,5 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 23,8 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 2 260 hommes pour 2 270 femmes, soit un taux de 50,11 % de femmes, lĂ©gĂšrement infĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,42 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[70]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,8
    7,6
    75-89 ans
    10,3
    15,2
    60-74 ans
    15,5
    20,5
    45-59 ans
    18,3
    20,2
    30-44 ans
    19,6
    14,9
    15-29 ans
    14,2
    21,0
    0-14 ans
    20,2
    Pyramide des ùges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[71]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    5,8
    75-89 ans
    8,6
    14,7
    60-74 ans
    16
    19,6
    45-59 ans
    18,9
    20,1
    30-44 ans
    19,2
    19,2
    15-29 ans
    17,5
    20
    0-14 ans
    18

    Santé

    La maison de retraite Saint-Joseph accueille les personnes ùgées.

    Écologie et recyclage

    La commune de Legé dispose d'une déchÚterie intercommunale située au lieu-dit La Tournerie, par ailleurs des containers de tri sélectif mis à la disposition des habitants sont disséminés sur le territoire communal.

    Enseignement

    Legé est rattachée à l'Académie de Nantes.

    Écoles maternelles et primaires

    La commune possĂšde deux Ă©coles (Ă  la fois maternelle et primaire) :

    • Ă©cole publique du Chambord ;
    • Ă©cole privĂ©e Notre Dame . L'Ă©cole daterait de 1885.

    CollĂšges

    La commune possĂšde deux collĂšges :

    • collĂšge privĂ© Sainte-Anne. Le collĂšge daterait de 1890 ;
    • collĂšge public Pierre de Coubertin.

    Enseignement professionnel

    • Maison Familiale Rurale

    Justice

    La commune de Legé dépend du tribunal de grande instance de Nantes, lequel est rattaché à la cour d'appel de Rennes.

    Culture

    La commune dispose d'un centre culturel et d'une bibliothĂšque qui se trouve au couvent des Visitandines.

    Le centre culturel Saint-Michel

    Ce centre culturel, qui se trouve dans le bourg de LegĂ©, est composĂ© d’une salle de spectacle pouvant accueillir jusqu’à 268 personnes et de deux salles annexes. La salle principale fait office de salle de spectacle et de cinĂ©ma.

    Pour ce qui est du cinĂ©ma, on compte huit sĂ©ances par semaine en moyenne et la salle est Ă©quipĂ©e en son Dolby et des lunettes spĂ©ciales sont prĂȘtĂ©es pour les quelques sĂ©ances en 3D[72].

    Histoire

    C’est en 1948 que la premiĂšre pierre a Ă©tĂ© posĂ©e pour cette salle nommĂ©e « salle du Patronage ». InaugurĂ©e en 1951, c’est Joseph RouillĂ©, Ă©crivain (fils d’un horloger legĂ©en), qui a Ă©trennĂ© cette salle avec sa piĂšce « La Mieux-AimĂ©e » qui fĂ»t un immense succĂšs. C’est Ă©galement en 1951 que cette structure a Ă©tĂ© reconnue par le C.N.C. (Centre National de la CinĂ©matographie) avec une autorisation dĂ©livrĂ©e au prĂ©sident, Charles Vilain. À noter qu’à cette Ă©poque, la capacitĂ© Ă©tait de 365 places.

    L’activitĂ© thĂ©Ăątrale a connu une pĂ©riode faste de 1951 Ă  1966. Aux dires des aĂźnĂ©s legĂ©ens, « On a mĂȘme dansĂ© sur la scĂšne Ă  l’occasion des noces ».

    Cette salle « Legé-Ciné » a été marquée par quelques évÚnements :

    • en 1965, pendant trois semaines et en avant-premiĂšre, elle a bĂ©nĂ©ficiĂ© d’une copie neuve du film « Le Tonnerre de Dieu », tournĂ© en grande partie au Bois-Chevalier et avec Jean Gabin notamment.
    • C’est depuis 1984 que le cinĂ©ma offre des films « Arts et Essais » qui touchent un public plus restreint. Les films qui y sont prĂ©sentĂ©s sont souvent des films Ă  petits budgets ou indĂ©pendants, des documentaires, des films internationaux, loin des superproductions, des blockbusters ou des films dits « grand public » ;
    • de 1996 Ă  2002, un ambitieux projet de rĂ©habilitation est organisĂ© pour pallier la vĂ©tustĂ© des lieux. La rĂ©habilitation achevĂ©e, le centre culturel rouvre ses portes au dernier semestre 2002 et est inaugurĂ© le en prĂ©sence de plusieurs personnalitĂ©s du dĂ©partement[72] ;
    • dans la nuit du 2 au 3 novembre 2019, une mini-tornade causĂ©e par la TempĂȘte AmĂ©lie, qui a sĂ©vit sur tout le tiers Sud-ouest de la France, provoque des dĂ©gĂąts Ă  LegĂ©. Le centre culturel est sĂ»rement le bĂątiment legĂ©en qui en aura le plus fait les frais : sa toiture se dĂ©solidarise du bĂątiment et s'envole, sans provoquer de grands dĂ©gĂąts en retombant au sol. Le maire annonce dĂšs le lendemain que le centre sera fermĂ© jusqu'Ă  nouvel ordre et interdit d'accĂšs Ă  la population. Tous les Ă©vĂšnements prĂ©vus sont annulĂ©s et les associations qui y siĂ©geaient sont relogĂ©es[73].

    Sports

    Legé dispose d'un piscine de plein air et d'un complexe sportif comprenant notamment deux salles omnisports et des terrains de football. Trois nouvelles salles ont été construites en 2017, et la commune s'est vu attribuer le titre de "ville sportive" et possÚde trois flammes olympiques (la derniÚre lui a été décernée en 2019).

    La commune possĂšde une belle diversitĂ© de disciplines (18 associations sportives regroupant 1 255 licenciĂ©s dont plus de 58 % ont moins de 18 ans)[74].

    Cultes

    La Paroisse catholique Saint Philbert et Saint Jacques sur Logne regroupe les communautés de Corcoué-sur-Logne, La Bénate (commune de Corcoué-sur-Logne), La ChevroliÚre, La LimouziniÚre, Legé, Saint-Colomban, Saint-Lumine-de-Coutais, Saint-Philbert-de-Grand-Lieu et Touvois.

    MĂ©dias

    Aucune rédaction de presse n'est installée dans la ville, des correspondants relayant les informations locales pour le quotidien Ouest-France ou l'hebdomadaire Le Courrier du pays de Retz par exemple. La seule publication locale réguliÚre est le bulletin d'informations communales Legé-Magazine qui paraßt tous les trois mois[75].

    Économie

    Agriculture

    Legé est une commune à vocation agricole avec un secteur dédié d'une superficie de 4 226 hectares partagée entre 40 exploitations, qui sont en majorité des sociétés (GAEC, EARL ou EURL par exemple). Les productions sont diverses et variées, à savoir : viande, lait, spécialités hors sol (volailles ou porc), viticoles ou encore céréaliÚres (blé, maïs) qui, elles, sont principalement destinées à la nourriture du bétail.

    Ces différentes productions façonnent inéluctablement la mosaïque de ce territoire agricole entre les vastes prairies et les surfaces cultivées. Le secteur est depuis longtemps trÚs important pour l'économie de la commune et a vocation à le rester[76].

    Commerces et entreprises

    L'activité commerciale legéenne est principalement rassemblée autour du centre commercial des Visitandines et dans différents points de vente situés dans le centre-bourg.

    Lieux et monuments

    La chapelle Notre-Dame de Pitié
    • L'Ă©glise Notre-Dame-de-l'Assomption (XXe)
    • La chapelle Notre-Dame de PitiĂ© Ă©difiĂ©e en 1826.
    • Le couvent des Visitandines (XIXe), Ă©difiĂ© en 1900, devenu par la suite le petit sĂ©minaire diocĂ©sain de LegĂ© de 1937 Ă  1969, puis en dernier lieu, le Centre polyvalent des Visitandines, propriĂ©tĂ© de la commune de LegĂ©.
    • Le chĂąteau du Retail
    • Le chĂąteau du Bois-Chevalier dans lequel fut en partie tournĂ© en 1965, le film Le Tonnerre de Dieu de Denys de La PatelliĂšre avec Jean Gabin, Lilli Palmer, MichĂšle Mercier, Georges GĂ©ret et Robert Hossein.
    • Le chĂąteau du Gouffier (XIXe)
    • L'enclos de La Colonne (XIXe)
    • la zone de loisirs du Paradis
    • Les calvaires : De toutes tailles et de tous matĂ©riaux, ils Ă©taient autrefois trĂšs importants dans la vie communale et ils restent aujourd'hui de magnifiques Ɠuvres rencontrĂ©s au dĂ©tour des chemins, on en dĂ©nombre pas moins de 77 sur le territoire legĂ©en.
    • Un canon allemand de campagne de 77 mm, modĂšle 1896 Ă  canon court, construit en 1898 dans les usines Krupp, et huit obus de 280 mm, visibles prĂšs de la « Chapelle Charette ». C'est un trophĂ©e de guerre, de provenance inconnue, attribuĂ© Ă  la commune de LegĂ© par le sous-secrĂ©tariat d'État aux finances en 1920[77] - [78].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Une rue porte son nom.
    6. RĂ©Ă©lu en 1983.
    7. RĂ©Ă©lu en 1995.
    8. RĂ©Ă©lu en 2008 et 2014.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

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    2. nantes.fr Climat
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France RocheserviÚre - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Legé et RocheserviÚre », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    12. « Orthodromie entre Legé et La Roche-sur-Yon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de La Roche-sur-Yon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de La Roche-sur-Yon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de La Roche-sur-Yon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Unité urbaine 2020 de Legé », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
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    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    26. Dans un document relatif Ă  l'abbaye de Tournus.
    27. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
    28. « ChubEndret — Motier d non d'endret », Chubri (consultĂ© le ).
    29. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
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    32. Jean-Clément Martin et Xavier LardiÚre, Le massacre des Lucs : Vendée 1794, Geste éditions, , 158 p. (lire en ligne) :
      « L'odeur des cadavres les chassent [sic] du lieu, aprÚs qu'ils aient [sic] exécuté une centaine de Républicains prisonniers. »
      .
    33. Élie Fournier, Turreau et les colonnes infernales : L'Ă©chec de la violence, Albin Michel, , 265 p. (ISBN 9782226025241, lire en ligne) :
      « Il est impossible, écrit [Duquesnoy], « de tenir le poste de Légé, car trois ou quatre cent cadavres, dans le village et les environs, empoisonnent l'air. » »
      .
    34. « Loi du 18 juin 1861 qui modifie la limite des dĂ©partements de la VendĂ©e et de la Loire-InfĂ©rieure », Bulletin des lois de l’Empire français, no 9140,‎ (lire en ligne).
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