Le MĂȘle-sur-Sarthe
Le MĂȘle-sur-Sarthe est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de l'Orne en rĂ©gion Normandie, peuplĂ©e de 659 habitants[Note 1].
Le MĂȘle-sur-Sarthe | |
Vue générale de la ville prise de l'étang de Bois-Roger. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Normandie |
DĂ©partement | Orne |
Arrondissement | Alençon |
Intercommunalité | Communauté de communes de la Vallée de la Haute Sarthe (siÚge) |
Maire Mandat |
Jean-Dimitri Photopoulos 2020-2026 |
Code postal | 61170 |
Code commune | 61258 |
DĂ©mographie | |
Population municipale |
659 hab. (2020 ) |
Densité | 1 063 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 48° 30âČ 40âł nord, 0° 21âČ 17âł est |
Altitude | Min. 143 m Max. 157 m |
Superficie | 0,62 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Alençon (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton d'Ăcouves |
LĂ©gislatives | PremiĂšre circonscription |
Localisation | |
GĂ©ographie
Le MĂȘle-sur-Sarthe est l'ancien chef-lieu d'un canton qui comprenait quinze communes et le siĂšge de la communautĂ© de communes de la VallĂ©e de la Haute Sarthe (composĂ©e de trente-et-une communes). Couvrant soixante-deux hectares, elle est la commune la moins Ă©tendue du dĂ©partement de l'Orne[1] et son agglomĂ©ration est partagĂ©e avec cinq autres communes :
- à l'est : Saint-Julien-sur-Sarthe, de l'autre cÎté du pont sur la Sarthe avec le Carré Saint-Julien ;
- Ă l'ouest : Saint-LĂ©ger-sur-Sarthe avec le faubourg Loyer et Saint-Aubin-d'Appenai ;
- au nord : Coulonges-sur-Sarthe avec le quartier de la gare et Laleu.
Le MĂȘle-sur-Sarthe est traversĂ©e par la Sarthe, et par la RN 12, axe majeur de l'Orne, qui traverse le dĂ©partement d'est en ouest. Depuis 2010, Le MĂȘle-sur-Sarthe est un point de passage, une Ă©tape, sur la voie verte CondĂ©-sur-Huisne - Alençon, qui emprunte l'ancienne voie de chemin de fer Alençon - Le-MĂȘle-sur-Sarthe - Mortagne-au-Perche - CondĂ©-sur-Huisne.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Ste Scolasse-sur-Sarthe », sur la commune de Sainte-Scolasse-sur-Sarthe, mise en service en 1972[8] et qui se trouve Ă 8 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 778,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 6], « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, mise en service en 1946 et Ă 21 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă 10,9 °C pour 1981-2010[13], puis Ă 11,3 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Le MĂȘle-sur-Sarthe est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 7] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alençon, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 89 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (60,8 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (60,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (60,8 %), prairies (39,2 %)[20].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[21].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Merula en 854, de Merula en 1149[22].
Du latin merula, « merle »[22].
La Sarthe borde la commune.
Histoire
Merula super Sartham et son Ă©glise, dĂ©diĂ©e Ă saint Julien, sont citĂ©s en 854 lors dâune mission de missi dominici[23]. Le nom de CarrĂ© « Saint-Julien » vient sans doute de cette Ă©glise situĂ©e en bordure de la Sarthe.
Le MĂȘle Ă©tait entourĂ© de forĂȘts. Ă lâest, l'immense forĂȘt du Perche, Ă lâouest, au nord de la Sarthe, la forĂȘt de Bourse, au sud de la Sarthe, la forĂȘt de Blavou aujourdâhui disparue[24].
Le roi Charles le Chauve, mort en 877, donne lâĂ©glise aux moines de Saint-Maur de Glanfeuil en Anjou. Pendant lâinvasion des Vikings en 862, les religieux de cette abbaye dĂ©posent les reliques de saint Maur dans lâĂ©glise du MĂȘle ; elles y restĂšrent un an[25].
Guillaume Ier, duc de Normandie (910-942, dit Guillaume Longue-ĂpĂ©e) fait Ă©lever au MĂȘle un chĂąteau destinĂ© Ă dĂ©fendre le pont de bois sur la Sarthe[26]. DĂšs le Xe siĂšcle, le MĂȘle appartient Ă la puissante famille des BellĂȘme.
Guillaume Ier de BellĂȘme (mort vers 1030) contrĂŽle la forĂȘt de Bourse vers 1025.
Sigefroy, fils bĂątard de Guillaume Ier, est citĂ© comme premier seigneur du MĂȘle. Ă cette Ă©poque, le MĂȘle est un bourg, centre Ă©conomique, de production et dâĂ©changes avec des marchands et des artisans.
La Sarthe Ă©tait une zone marĂ©cageuse avec peu de points de passage ; des guĂ©s Ă Alençon, Ă Saint-LĂ©ger et Ă Saint-Paul, des ponts en bois au MĂȘle et Ă Alençon.
Le dĂ©frichement de la forĂȘt de Bourse Ă©tait en plein essor en 1060. Olivier du MĂȘle (de Merula), neveu de Sigefroy, fils bĂątard de Guillaume II de BellĂȘme (mort avant 1109) est le second seigneur connu, vers 1050.
Ensuite on trouve Roger de Montgommery, Ă©poux de Mabile de BellĂȘme, vers 1080.
Le chĂąteau du MĂȘle a Ă©tĂ© remis en Ă©tat entre 1087 et 1113[26].
Ă la suite de la dĂ©faite des BellĂȘme, Henri Ier Beauclerc, roi dâAngleterre et duc de Normandie, sâempare du MĂȘle en 1113. Il la donne Ă son neveu Thibault IV, comte de Champagne, qui fait renforcer les dĂ©fenses du MĂȘle et impose de lourdes corvĂ©es et de lourdes taxes aux habitants[23].
Guillaume III de Montgommery BellĂȘme (mort en 1172), rentre en possession en 1128 du MĂȘle. Il fait Ă©lever un nouveau chĂąteau en matĂ©riaux plus solides que le chĂąteau primitif en bois, non plus prĂšs du pont mais un peu plus haut vers lâouest[26], Ă lâemplacement de lâĂ©cole Saint-Joseph.
Henri II PlantagenĂȘt, roi dâAngleterre et duc de Normandie, fait Ă©riger, entre 1158 et 1168, « les fossĂ©s le Roi », ligne de dĂ©fense dâune centaine de kilomĂštres du MĂȘle jusquâĂ Verneuil-sur-Avre, vis-Ă -vis du royaume de France.
Le moulin du MĂȘle est citĂ© en 1159, la dĂźme Ă©tait Ă lâabbaye Saint-Martin de SĂ©ez[23].
Lors de la conquĂȘte de la Normandie en 1204 par Philippe Auguste, roi de France, le comtĂ© dâAlençon est rĂ©uni Ă la couronne.
Le chĂąteau du MĂȘle, dĂ©truit pendant la guerre de Cent Ans, est reconstruit par les Montgommery.
Comme personnage tristement connu de cette famille : Gabriel Ier de Montgommery, capitaine de la garde Ă©cossaise du roi, seigneur du MĂȘle qui blessa mortellement le roi de France Henri II lors dâun tournoi en 1559. Ses deux enfants aĂźnĂ©s se rĂ©fugient au chĂąteau du MĂȘle.
En 1760, la baronnie du MĂȘle est vendue Ă ClĂ©ment de Barville qui lâĂ©change avec le roi en 1773[25].
En 1774, Louis XVI fit don Ă son frĂšre Louis Stanislas (Louis XVIII) de la baronnie du MĂȘle. En 1784, la baronnie est cĂ©dĂ©e Ă Maximilien Antoine Armand de BĂ©thune, duc de Sully.
Sur un plan de 1670, on voit des halles, environ 1 000 m2, situées sur la grande place. Le marché, hebdomadaire, était le plus important de la région. Elles sont démolies vers 1863.
Au dĂ©but du XVIIIe siĂšcle, lors de lâamĂ©nagement de la grande route vers Paris par Mortagne et Verneuil, une poste aux lettres et aux chevaux est installĂ©e prĂšs du « BĆuf Noir ».
Il y avait deux diligences pour Paris par semaine ; le voyage durait trois jours et demi. Une douzaine dâagents Ă©taient affectĂ©s Ă cette poste.
La Sarthe a été aménagée à la fin du XVIIIe siÚcle et un nouveau pont a été construit.
Au XVIIIe siĂšcle, le chĂąteau Ă©tait composĂ© de trois corps de bĂątiments perpendiculaires Ă la route (grande rue) et encadrant la cour dâhonneur. Les jardins ont fait place Ă lâĂ©glise, Ă la poste, au chĂąteau dâeau. Le manoir seigneurial avec sa chapelle, occupait la partie sud de la cour (actuellement Ă©cole Saint-Joseph)[25].
Inhabité pendant longtemps aprÚs la mort de la comtesse Nicolas François de Montgommery (en 1732), ses murs et ses toits se dégradant faute de réparations, le dernier seigneur du lieu, Maximilien de Béthune, le vendit deux ans avant la Révolution.
Mademoiselle Victorine Chevallier (morte en 1928), derniĂšre propriĂ©taire du chĂąteau, bienfaitrice de plusieurs Ă©glises de la rĂ©gion, dĂ©signe lâabbĂ© Victor Dubois, secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de lâĂ©vĂȘchĂ©, comme lĂ©gataire universel. LâĂ©cole Saint-Joseph est ouverte en 1935.
Lâancienne Ă©glise, dĂ©diĂ©e Ă saint Julien, Ă©tant en trĂšs mauvais Ă©tat, a Ă©tĂ© dĂ©molie au cours des annĂ©es 1850. Le maĂźtre autel est aujourdâhui dans la nouvelle Ă©glise Ă lâautel de Notre-Dame-de-PitiĂ©. Câest le seul vestige de lâancienne Ă©glise.
DĂšs 1836, le conseil de fabrique sâentendit avec la municipalitĂ© pour faire construire une nouvelle Ă©glise. Le conseil municipal acquiert une partie des anciens jardins du chĂąteau. Les travaux commencent en 1843 ; la nouvelle Ă©glise est bĂ©nite le .
En 1840, une école de dressage du cheval fut fondée[27]. Une notable amélioration se fit sentir dans la race normande : les carrossiers et les trotteurs, préalablement assouplis et dressés, furent mieux appréciés du commerce et conquirent dÚs lors une grande renommée.
Autour du MĂȘle, il y avait de nombreux Ă©levages : Mesnil-Broust, Marchemaisons, Essay, Bursard, Boitron, Aulnay, Saint-Aubin, Laleu, Saint-LĂ©ger.
Le MĂȘle-sur-Sarthe est libĂ©rĂ©e par la 5e DB amĂ©ricaine le [28]. Un odonyme (place du 11-AoĂ»t-1944) rappelle cet Ă©vĂšnement de la Seconde Guerre mondiale.
HĂ©raldique
Blason | D'argent au merle de sable posé sur une riviÚre d'azur agitée du champ et posée sur une plaine ondée de sinople; au chef de gueules chargé de deux léopards d'or[29]. |
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Détails | Les léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie |
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[32].
En 2020, la commune comptait 659 habitants[Note 9], en diminution de 12,83 % par rapport Ă 2014 (Orne : â3,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
En 1702, il y avait 52 feux, soit environ 260 personnes[25], en 1790, 106 feux, environ 530 personnes.
Ăconomie
La commune a obtenu le label Village Ă©tape en 2017.
Lieux et monuments
- L'église Notre-Dame-de-l'Assomption de style néoclassique (XIXe siÚcle), est inscrite au répertoire supplémentaire des monuments historiques.
- Le lac du pays MĂȘlois est un lac crĂ©Ă© et amĂ©nagĂ© entre 1969 et 1975, mis en eau au printemps 1975. Avec une plage surveillĂ©e et des loisirs tels que la voile, pĂ©dalos, pĂȘche, mini-golf, tennis, jeux pour enfants, camping, etc.
Personnalités
- Jacques Boisgallais (1927-2021), compositeur y est né.
- Daniel Goulet (1928-2007), professeur puis directeur d'une Ă©cole privĂ©e du MĂȘle-sur-Sarthe. Il fut maire de cette commune pendant prĂšs d'un quart de siĂšcle, entre 1971 et 1995, dĂ©putĂ© de la 1re circonscription de l'Orne puis sĂ©nateur de l'Orne.
Le MĂȘle-sur-Sarthe dans la fiction
- L'action du film Normandie nue sorti en 2018 se déroule dans le village.
Jumelages et partenariats
- Königstein (Allemagne) depuis 1967 (par sa commune associée Falkenstein).
- Faringdon (Royaume-Uni) depuis 1990.
- LibÄany (TchĂ©quie) depuis 1995.
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
- Répertoire géographique des communes.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Ste Scolasse-sur-Sarthe - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Le MĂȘle-sur-Sarthe et Sainte-Scolasse-sur-Sarthe », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
- « Station Météo-France Ste Scolasse-sur-Sarthe - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction duAlençon », sur insee.fr (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Ernest NÚgre - 1990 - Toponymie générale de la France - Page 344 - (ISBN 2600028838).
- Vicomte du Motey, Robert II de BellĂȘme; Origines de la Normandie et du duchĂ© dâAlençon.
- Philippe Siguret, Histoire du Perche.
- Henri Hiboust, Histoire du MĂȘle.
- GĂ©rard Louise, La seigneurie de BellĂȘme : XeâââXIIe siĂšcle. ThĂšse de doctorat dâĂ©tat..
- Georges GuĂ©naux, L'Ălevage du cheval et du gros bĂ©tail en Normandie 1902..
- secondwar.forumactif.com Second War,Guerre Moderne et Moyen-Orient.
- « 61 258 - Le MĂȘle-sur-Sarthe », sur L'Armorial des villes et des villages de France (consultĂ© le ).
- RĂ©Ă©lection 2014 : « Le MĂȘle-sur-Sarthe (61170) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consultĂ© le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- Morand (Fabrice), "L'ancienne Ă©glise du MĂȘle-sur-Sarthe", dans les Cahiers percherons, bulletin trimestriel des Amis du Perche, n° 186, 2011-2, pp. 29â35.