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Saint-LĂ©ger-sur-Sarthe

Saint-LĂ©ger-sur-Sarthe est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de l'Orne en rĂ©gion Normandie, peuplĂ©e de 314 habitants[Note 1] (les Unionais[1]).

Saint-LĂ©ger-sur-Sarthe
Saint-LĂ©ger-sur-Sarthe
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Orne
Arrondissement Alençon
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de la Haute Sarthe
Maire
Mandat
Didier Rattier
2020-2026
Code postal 61170
Code commune 61415
DĂ©mographie
Gentilé Unionais
Population
municipale
314 hab. (2020 en diminution de 17,15 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 24 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 30â€Č 15″ nord, 0° 20â€Č 27″ est
Altitude Min. 138 m
Max. 171 m
Superficie 13,25 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Alençon
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Écouves
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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    GĂ©ographie

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 727 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Ste Scolasse-sur-Sarthe », sur la commune de Sainte-Scolasse-sur-Sarthe, mise en service en 1972[10] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[11] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 778,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 6], « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, mise en service en 1946 et Ă  20 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[14] Ă  10,9 °C pour 1981-2010[15], puis Ă  11,3 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Léger-sur-Sarthe est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [17] - [18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alençon, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 89 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (96,5 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (96,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (80,7 %), terres arables (15,8 %), forĂȘts (2,9 %), zones urbanisĂ©es (0,5 %), eaux continentales[Note 9] (0,1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Au XIe siĂšcle, Saint-LĂ©ger se nommait Saint LĂ©ger de Poilley (Sancti Leodegarii de Polleio), puis Saint Leger en 1793, Saint-LĂ©ger-sur-Sarthe en 1801[24].

    La paroisse était dédiée à Léger d'Autun.

    La Sarthe borde le territoire de la commune.

    Pendant la RĂ©volution, Saint-LĂ©ger s’est appelĂ© L’Union-sur-Sarthe, la commune en a gardĂ© son gentilĂ©, Unionais et Unionaises.

    Histoire

    Au XIe siĂšcle, le seigneur du lieu se dĂ©nommait Guillaume de Poilley. Il fonda la premiĂšre chrĂ©tientĂ© et fit construire une Ă©glise dĂ©diĂ©e Ă  saint LĂ©ger. Il tenait son fief d’Olivier de BellĂȘme, seigneur du Mesle, fils de Guillaume II de BellĂȘme[25].

    La motte castrale contrĂŽle un passage de la Sarthe en aval du MĂȘle sur une voie qui mĂšne en ligne droite de BellĂȘme Ă  SĂ©es. À cette fonction routiĂšre et stratĂ©gique s’ajoute un rĂŽle dans la mise en valeur du secteur mĂ©ridional de la forĂȘt de Bourse. La motte de Saint-LĂ©ger, ainsi que celles de Boitron, d’Essay et du Mesle, a soutenu l’avancĂ©e des dĂ©frichements de la forĂȘt de Bourse qui Ă©tait proche comme l’indique le toponyme de la Haie de Poilley[25]. Le chĂąteau sur la motte a certainement Ă©tĂ© dĂ©truit pendant les guerres avec les Anglais, comme tous les autres chĂąteaux Ă  proximitĂ©.

    En 1101, Robert de Poilley, fils de Guillaume, donne Ă  l’abbaye Saint-Martin de SĂ©ez tout ce qu’il possĂ©dait dans l’église de Saint-LĂ©ger [26]

    Les principaux seigneurs de Saint-LĂ©ger Ă  partir du XVe siĂšcle sont les familles de Loisel, de ChĂąteau-Thierry, et des Acres de l’Aigle au moment de la RĂ©volution. Ils rendaient hommage au seigneur du Mesle. Le fief de PoĂ«ley dĂ©pendait de celui de Saint LĂ©ger ; les principaux seigneurs sont les Poilley, Loisel, d'Anthenaise et ChĂąteau-Thierry. Sur ce fief, s’élevait la chapelle Sainte-Anne de PoĂ«ley dont il ne reste plus rien [27]

    Pendant la RĂ©volution, Saint-LĂ©ger s’est appelĂ© L’Union-sur-Sarthe, la commune en a gardĂ© son gentilĂ©.

    Au XIXe et au début du XXe siÚcle, il y avait trois grands élevages de trotteurs anglo-normands à Saint-Léger-sur-Sarthe[28].

    • Le petit Bouveuche (M. Rathier) ;
    • Le Logis (M. Jean Louis Lindet, 1810-1861). Il est Ă  l’origine de l’élevage de Saint-LĂ©ger qui sera un des plus cĂ©lĂšbres jusqu’au dĂ©but du XXe siĂšcle.
    Ses deux fils Charles (1837-1874) et Dominique (1838-1908) poursuivent l’Ɠuvre de leur pĂšre. Ils crĂ©ent la race Lindet en achetant la jument PĂ©griotte dont la descendance rapporta plus d’un million Ă  ses propriĂ©taires. Cet Ă©levage Ă©tait connu de tous les autres Ă©leveurs français et obtint de nombreuses primes dans tous les grands concours nationaux. Le haras de Saint-LĂ©ger fut liquidĂ© (faute de successeur) le mercredi . Dominique Lindet a reçu la LĂ©gion d’honneur[28].
    • La Haie de Poeley (M. Jules Drouin et son gendre M. Ovide Moulinet).
    Ce haras Ă©tait connu pour la qualitĂ© de ses trotteurs. Le prix du PrĂ©sident de la RĂ©publique a Ă©tĂ© gagnĂ© en 1913 par Kebir de l’élevage Moulinet. Le Prix Ovide Moulinet, course hippique de trot attelĂ© se dĂ©roulant au mois de fĂ©vrier sur l'hippodrome de Vincennes rend hommage Ă  ce propriĂ©taire[28].

    Politique et administration

    La mairie.


    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    avant 1981 ? Joseph Le Pierres
    1995[29] mars 2017 Christophe de Balorre[30] RPR puis UMP puis DVD Directeur de maison familiale rurale
    Président de la Fédération départementale de chasse
    Conseiller général puis départemental de l'Orne (depuis 2001)
    Président du conseil départemental (depuis 2017)
    mars 2017[31] En cours Didier Rattier RetraitĂ©, prĂ©sident de l'office de tourisme du MĂȘle-sur-Sarthe
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[30].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[33].

    En 2020, la commune comptait 314 habitants[Note 10], en diminution de 17,15 % par rapport Ă  2014 (Orne : −3,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Saint-LĂ©ger-sur-Sarthe a comptĂ© jusqu'Ă  681 habitants en 1836.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
    625586614655681646613600625
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    595549536514483459478400380
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    381388360348357343342329289
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
    299273316328296330340370327
    2020 - - - - - - - -
    314--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Motte castrale.
      Motte castrale.
    • Église Saint-LĂ©ger.
      Église Saint-LĂ©ger.
    • Manoir seigneurial.
      Manoir seigneurial.

    Situé au bord de la Sarthe, le village de Saint-Léger possÚde une motte castrale bien conservée et une belle église d'origine romane. Au pied de celle-ci on peut remarquer le bel ensemble du logis seigneurial. Sur la commune, les autres bùtiments les plus remarquables sont le chùteau des Noës, le manoir de Poëley reconstruit sur un vieux site, le Petit et le Grand Bouveuche, le Moulin de Bouveuche et la Haie de Poëley.

    L'église Saint-Léger abrite une Vierge à l'Enfant du XVIe siÚcle classée à titre d'objet aux Monuments historiques[35].

    Personnalités liées à la commune

    • Guillaume de Poilley est citĂ© parmi les compagnons de Guillaume le ConquĂ©rant qui ont participĂ© Ă  la conquĂȘte de l'Angleterre en 1066.
    • Marie Françoise Gabrielle de ChĂąteau-Thierry (1694-1785) dame de Saint-LĂ©ger, Ă©pouse en premiĂšres noces en 1729 RenĂ© Augustin d’Érard baron de Ray, colonel du rĂ©giment du Maine, brigadier des armĂ©es du roi, puis en 1732, Jacques Louis des Acres, marquis de L’Aigle 1671-1767, MarĂ©chal de camp, Lieutenant gĂ©nĂ©ral des armĂ©es du roi, d’oĂč postĂ©ritĂ© qui gardera le logis de Saint-LĂ©ger jusqu’en 1932.
    • Le gĂ©nĂ©ral de Bonvoust : officier au moment de la RĂ©volution, il n’émigre pas, se distingue dans l’armĂ©e des Bleus pendant la guerre de VendĂ©e, est nommĂ© gĂ©nĂ©ral par la Convention ; il est destituĂ© peu aprĂšs comme noble.
    • L’abbĂ© Tabourier, dernier curĂ© de Saint-LĂ©ger, auteur de « La Causerie pastorale Ă  Saint LĂ©ger », historien local[25].

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[6].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Ouest-france.fr - Mairie de Saint-Léger-sur-Sarthe » (consulté le ).
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Ste Scolasse-sur-Sarthe - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Saint-Léger-sur-Sarthe et Sainte-Scolasse-sur-Sarthe », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Ste Scolasse-sur-Sarthe - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Saint-Léger-sur-Sarthe et Alençon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Alençon », sur insee.fr (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    25. GĂ©rard Louise La seigneurie de BellĂȘme au Xe – XIIe siĂšcle, 1990 sociĂ©tĂ© d’Art et d’’Histoire du Pays-Bas Normand.
    26. Vicomte du Motey, Origines de la Normandie. Robert II de BellĂȘme.
    27. Abbé Tabourier, La causerie pastorale de Saint Léger 1923-1928.
    28. Dominique Foussard, Le cheval anglo-normand au 19Ăšme siĂšcle.
    29. « Allocution prononcĂ©e par Alain Lambert le 5 janvier 2008 lors de la remise de la mĂ©daille de Chevalier dans l’Ordre National du MĂ©rite Ă  Christophe de Balorre » [PDF], sur le blog d'Alain Lambert (consultĂ© le ).
    30. Réélection 2014 : « Saint-Léger-sur-Sarthe (61170) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    31. « Didier Rattier, nouveau maire pour la commune », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. « Statue : Vierge à l'Enfant adorée par un donateur », notice no PM61000619, base Palissy, ministÚre français de la Culture.

    Liens externes

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