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Frères des écoles chrétiennes

Ordre religieux catholique

Frères des écoles chrétiennes
Image illustrative de l’article Frères des écoles chrétiennes
Signum fidei
Ordre de droit pontifical
Approbation pontificale
par Benoît XIII
Institut congrégation laïque masculine
Type apostolique
Spiritualité lasallienne selon l'École française de spiritualité
But enseignement
Structure et histoire
Fondation 1680
Reims
Fondateur Jean-Baptiste de La Salle
Abréviation F.S.C. ou F.E.C.
Autres noms Lasalliens
Patron Jean-Baptiste de La Salle
Site web site officiel
Liste des ordres religieux

Les Frères[a] des écoles chrétiennes ou Lasalliens[a] (en latin Fratres Scholarum Christianarum) forment une congrégation laïque masculine de droit pontifical.

Sommaire

Généralités

Plaque 12 rue Princesse (Paris), devant le bâtiment où est installée le premier établissement parisien en 1688.

Fondé à Reims en 1680 par saint Jean-Baptiste de La Salle, et voué à l'enseignement et à la formation des jeunes, en particulier des plus défavorisés, l'institut des Frères des écoles chrétiennes, expressément désigné ainsi par le fondateur lui-même, est une congrégation laïque masculine de droit pontifical à vœux simples. Les frères ne sont pas prêtres. Aux vœux traditionnels de pauvreté, chasteté, obéissance, les frères ajoutent une consécration totale de leur personne à la Sainte Trinité qui conduit à un engagement de stabilité dans la société pour tenir ensemble et par association les écoles gratuites ou faire dans ladite société ce à quoi ils seront employés soit par leurs supérieurs, soit par le corps de la société.

Les frères portaient une soutane noire non boutonnée avec un large rabat blanc, ils étaient familièrement surnommés les « Frères Quatre Bras » à cause de leur grand manteau à manches flottantes. Ils sont parfois désignés sous le terme de « FEC », à ne pas confondre avec les « FIC », expression réservée aux Frères de l'instruction chrétienne.

Afin de mieux attacher ses disciples à leur vocation d'instituteurs, Jean-Baptiste de La Salle avait écarté résolument les Frères du sacerdoce en leur interdisant l'étude du latin, et cette règle fut strictement observée jusqu'en 1923. À cette époque, par une lettre adressée au 34e chapitre général, le pape Pie XI, leur demanda formellement d'ouvrir leurs programmes aux études classiques. Les Frères s'inclinèrent devant la volonté pontificale et modifièrent leur règle, afin de pouvoir aborder l'étude du latin et l'enseignement classique.

L'emblème de l'Institut est une étoile d'argent rayonnante placée sur un bouclier bleu dans lequel figure la devise « Signum Fidei » ou « Signe de la Foi. » L'étoile fait allusion à la foi et à la charité avec la devise, « Indivisa manent » (« que rien ne nous sépare jamais ! - restons toujours unis ! »).

Histoire de l'institut des Frères

XVIIIe siècle

En 1719, à la mort du fondateur, 274 frères enseignaient à 9 885 élèves dans vingt-trois écoles.

En 1724, la Congrégation obtint de Louis XV des lettres patentes qui lui conféraient la personnalité civile ; l'année suivante, le pape Benoît XIII, par la bulle In Apostolicae dignitatis solio, lui octroya le rang de congrégation religieuse.

Au cours du XVIIIe siècle, l'Institut se développa rapidement. Les programmes d'études étaient particulièrement innovants pour l'époque. Ainsi, au pensionnat d'Angers, comme à Saint-Yon de Rouen, et à Maréville de Nancy, outre le programme des écoles primaires, on enseignait : l'histoire, la géographie, l'histoire naturelle, l'hydrographie, la mécanique, la cosmographie et les langues. On y donnait des cours de sciences et de dessin industriel, des cours de mathématiques et d'architecture. On y pratiquait certains métiers : tissage, travail du fer et du bois.

À la veille de la Révolution, il y avait, en France, 930 frères, répartis en cent vingt-huit établissements et donnant l'instruction à 35 700 élèves. En Italie, l'Institut comptait également deux écoles qui servirent de refuge à un certain nombre de frères pendant la période révolutionnaire.

Comme toutes les autres congrégations enseignantes, l'institut des Frères fut supprimé le par un décret de l'Assemblée législative « considérant qu'un État vraiment libre ne doit souffrir aucune corporation, pas même celles qui, vouées à l'enseignement public, ont bien mérité de la patrie[1]. »

Le secrétaire général de l'Institut, Nicolas Leclercq (frère Salomon), béatifié par la suite, fut assassiné dans la prison des Carmes à Paris le . Toutes les écoles furent évacuées le . Les frères réfractaires n'eurent droit à aucune indemnité. Tous les biens de l'Institut furent saisis.

XIXe siècle

Croix d'honneur Al Merito ou mérite scolaire, insigne de récompense d'élève d'un collège lasallien, fin du XIXe siècle, Espagne, Portugal ou Amérique Latine.

Les Frères furent à nouveau autorisés sous l'Empire (en 1803 )grâce à l'influence de l'inspecteur général Ambroise Rendu, qui exigea cependant d'eux (et des autres congrégations) un brevet d'enseignement.

Le , le décret impérial qui organise l'Université stipule dans son article 109 : « Les Frères des écoles chrétiennes seront brevetés et encouragés par le grand-maître, qui visera leurs statuts intérieurs, les admettra au serment, leur prescrira un habit particulier et fera surveiller leurs écoles. Les supérieurs de ces congrégations pourront être membres de l'Université » . Ils reprirent donc officiellement leurs fonctions en 1810. Encouragés à se développer pour contrer l'influence des jésuites, autorisés en 1816 à revenir en France, ils se développèrent rapidement dans toute la France.

Ce rapide essor inquiéta les milieux libéraux et anticléricaux. Afin d'y apporter une alternative, une nouvelle méthode d'enseignement, l'enseignement mutuel, dont le modèle était importé d'Angleterre, fut promue[2]. L'enseignement mutuel fut interdit par le pape Léon XII en 1824[3]. Dans les années qui suivirent la révolution de 1830, plus de 2 000 écoles mutuelles existaient, principalement dans les villes, en concurrence avec les écoles confessionnelles.La congrégation se développa tout particulièrement sous le genéralat du frère Philippe qui débuta en 1838.(100 ans plus tard les frères étaient plus de 14000 et avaient des écoles dans 64 pays différents.).En 1833, François Guizot, ministre de Louis-Philippe Ier, promulga une nouvelle loi visant à organiser l'éducation primaire, trancha aussi, sur les méthodes pédagogiques, pour l'enseignement simultané des écoles lasalliennes, au détriment de l'enseignement mutuel qui, dès lors, entama un recul qui le mena en quelques années à la marginalisation. En 1828, les Frères publient une édition revue et corrigée du livre de leur fondateur Conduite des écoles chrétiennes.

XXe siècle

L'année 1900 marqua pour l'Institut l'apogée de sa prospérité en France. Le jury de l'Exposition universelle de Paris lui décerna plus de 60 récompenses, dont 4 grands prix, 14 médailles d'or et 21 médailles d'argent. En cette même année 1900, le 24 mai, le pape Léon XIII, devant 34 cardinaux et 250 évêques, procéda à la canonisation du fondateur, saint Jean-Baptiste de La Salle.

Cependant, l'exode des Frères hors de France amorcé dès 1881, avec les lois laïques de Jules Ferry, est général après la suppression légale de l'ordre en France le 7 juillet 1904[4]. L'Institut compte 15 457 frères dont 10 651 en France[5].

À la déclaration de guerre, en 1914, la plupart reviennent en France, et mille huit cent quatre-vingt-dix d'entre eux sont mobilisés.

Entre les deux guerres, beaucoup de frères se sécularisent, gardant ainsi une place dans le domaine scolaire.

En 1955, on dénombrait quatre mille frères des écoles chrétiennes œuvrant dans trois cent quarante-quatre écoles primaires ou complémentaires, trente-deux écoles secondaires et quarante-trois écoles techniques.

Fusion

Maisons généralices

Innovations pédagogiques

Principales innovations

Jean-Baptiste de La Salle par Pierre Léger.

Au XVIIIe siècle, Jean-Baptiste de La Salle et ses premiers disciples n'ont pas ouvert un seul type d'école. Ils ont su répondre, d'une manière adaptée, aux diverses demandes. Ils ont créé :

Idées d'avant garde

Certes, depuis trois siècles, la connaissance de l'enfant et sa pédagogie se sont beaucoup enrichies. Quelques attitudes demandent aujourd'hui à être révisées, comme le caractère trop logique des méthodes, l'insistance sur le silence et sur la gravité, au détriment de la liberté d'expression. Mais les principes pédagogiques mis en œuvre chez les Frères restent toujours valables : le caractère global de l'éducation (à la fois chrétienne, intellectuelle, pratique et morale), l'importance des bases que sont la lecture, l'écriture, le calcul, l'usage de la répétition, du contrôle régulier.

Bienheureux et saints du monde lasallien

Frère Mutien-Marie (1841-1917).

Figures lasalliennes

Frère Agathon (1731-1798), supérieur général des Frères des écoles chrétiennes (1777).
Frère Marie-Victorin (1885-1944).

Frères supérieurs généraux de l'institut

L'institut des Frères en France

Le district de France et d'Europe francophone compte environ trois cents cinquante frères.

En France, les FEC poursuivent leur mission avec de nombreux laïcs par l'intermédiaire de la Fondation de La Salle. On les appelle également les « Lasalliens », du nom du fondateur, Jean-Baptiste de La Salle.

Le réseau lasallien français représente 20 % de l'enseignement congréganiste. Cent cinquante œuvres d'éducation lasallienne, implantées dans cent vingt et une communes, accueillent 150 000 élèves avec 14 000 enseignants et cadres d'éducation et trois mille personnes chargées de tâches administratives et de service.

Archives lasalliennes

Enseignement primaire et secondaire

Enseignement supérieur

Internats et campus

Autres établissements

Localisation des établissements lasalliens en France

en italique : anciens établissements

Auvergne-Rhône-Alpes

Bourgogne-Franche-Comté

Bretagne

Centre-Val de Loire

Corse

Grand-Est

Hauts-de-France

Île-de-France

Les établissements d'Igny, Rueil-Malmaison et Issy-les-Moulineaux[48], sont issus de l'Œuvre de Saint-Nicolas, fondée en 1827 par l'abbé Martin de Bervanger et confiée en 1859 aux Frères par le cardinal Morlot, archevêque de Paris.

Normandie

Pensionnat Jean-Baptiste-de-La-Salle de Rouen, le collège.

Nouvelle-Aquitaine

Occitanie

Pays-de-la-Loire

Provence-Alpes-Côte d'Azur

Outre-mer

Guyane
La Réunion
Saint-Denis : Collège Saint-Michel

L'institut des Frères dans le monde

L'institut des Frères des écoles chrétiennes est présent, avec 4 000 frères, dans 80 pays du monde. Répartis sur 868 communautés, ils exercent leur mission en association avec 90 000 laïcs[54].

Une chronologie des implantations s'impose :

De 1680 à 1750, les Frères des écoles chrétiennes n'existaient guère qu'en France. Voulant marquer son attachement à la papauté, Jean-Baptiste de La Salle envoya deux frères à Rome dès l'année 1700[55].

En 1793, ils étaient déjà en Italie, en Suisse, en Belgique, à la Martinique.

Après l'éclipse révolutionnaire, mais avant 1850, La Réunion, la Guyane, le Canada, la Turquie, les États-Unis et l'Allemagne firent appel à leurs services.

Le demi-siècle qui suivit les vit créer des œuvres diverses en Europe (Grande-Bretagne, Malte, Autriche, Grèce, Roumanie, Monaco, Espagne, Luxembourg, Irlande, Bulgarie, Bohême, Hongrie, Pologne, Pays-Bas), en Afrique (Algérie, Égypte, Tunisie, Le Cap, Madagascar), en Amérique (Équateur, Chili, Argentine, Colombie, Nicaragua, Panama, Cuba, Mexique, Porto Rico, Brésil) et en Asie (Indochine, Malaisie, Birmanie, Hindoustan, Ceylan, Chine, Syrie, Palestine devenue Israël et Jordanie, Liban et Cambodge). En 1905, les Frères débarquaient pour la première fois en Australie.

À la veille de la guerre de 1914, et jusqu'en 1966, l'expansion géographique fut encore considérable : Portugal et Yougoslavie, pour l'Europe ; Congo belge, Libye, Maroc, Érythrée, Éthiopie, Guinée, Union sud-africaine, Mali, Nigéria, Kenya, Tanzanie, Rwanda, Haute-Volta, Cameroun, Somalie, Djibouti, pour l'Afrique ; Venezuela, Bolivie, Pérou, Saint-Domingue, Costa Rica, Honduras, Guatemala, pour l'Amérique ; Japon, Bornéo, Thaïlande, Inde, Pakistan, Philippines, pour l'Asie, Papouasie-Nouvelle-Guinée et Nouvelle-Zélande, pour l'Océanie.

Périodiquement, les fluctuations politiques, les luttes idéologiques, modifièrent de façon considérable la carte de répartition et des communautés.

Récemment des communautés ont été ouvertes au Soudan et au Cambodge. Dans certains pays où le christianisme n'est pas majoritaire, il arrive que des enseignants ou des responsables de direction pratiquent d'autres religions — qu'ils soient hindous, musulmans…

L'Institut rejoint 1 300 000 élèves et étudiants de tous âges, dans plus d'un millier de centres éducatifs lasalliens : jardins d'enfants, centres universitaires, centres professionnels, radio éducative au Pérou, téléphone d'urgence pour les jeunes en danger en Australie, école technique en milieu musulman en Jordanie ou shintoïste au Japon...

Le charisme lasallien a également donné naissance à deux instituts de religieuses : Sœurs guadeloupéennes de La Salle[56] et les Sœurs lasalliennes[57], présentes dans une douzaine de pays), un institut séculier[58] et une grande variété de formes d'association à l'institut des Frères.

Le frère Robert Schieler (originaire des États-Unis) est le supérieur général de la congrégation. Il est secondé par un vicaire général. L'administration centrale des Frères des écoles chrétiennes fonctionne à la Maison généralice à Rome, sous la direction du supérieur général assisté d'un conseil général de huit frères représentant les différentes régions du monde.

Statistiques

au 31 décembre 2008 :

Région Afrique-Madagascar

368 frères, 2 237 laïcs, 70 écoles dans 21 pays.

Région Europe-Méditerranée

2 276 frères, 21 839 laïcs, 412 écoles dans 24 pays.

Région Amérique du Nord, centrale et latine

1 694 frères, 40 211 laïcs, 359 écoles dans 21 pays.

Région Asie-Pacifique

483 frères, 11 548 laïcs, 77 écoles dans 13 pays.

Afrique du Sud (1904 au Cap)

Allemagne (1850)

Argentine (1889)

Australie (1905)

Malvern : De La Salle College

Autriche (1857)

Belgique (1791)

Bénin

Bolivie (1920)

Brésil (1907)

Porto Alegre : Colégio La Salle Dores

Burkina Faso (1948)

Cameroun (1948)

Canada (1837)

Les FEC se sont implantés au Canada[59] en 1837 et ils ont enseigné à des générations de jeunes garçons jusqu'à la Révolution tranquille des années 1960 où l'enseignement s'est laïcisé. La communauté des Frères, associée à de nombreux laïcs, continue à demeurer active dans le service éducatif de la jeunesse.

Chili (1877)

Santiago : Instituto La Salle

Colombie (1890)

Congo (République démocratique du Congo)

Costa Rica (1935)

Côte d'Ivoire

Cuba (1905)

Djibouti (1951)

Égypte (1847)

Maurice Barrès constatait, en 1923, dans la Revue des deux Mondes :

« C'est une affaire formidable que les Frères des écoles chrétiennes à Alexandrie. »

Équateur (1863)

Érythrée (1938)

Espagne (1878)

La Salle Campus Barcelona

États-Unis (1845)

Entrée principale du Manhattan College à New York.

Éthiopie (1938)

Grande-Bretagne (1855)

Jersey : De La Salle College

Grèce (1858)

Guatémala

Guinée

Guinée équatoriale

Haïti

Honduras

Hong Kong (1875)

Hong Kong : La Salle College

Hongrie (1861)

Inde

Indonésie

Irlande (1880)

Italie (1701)

Israël (1882)

Jérusalem-Est (Territoires occupés)

Japon (1932)

Jordanie

Kenya

Liban (1886)

Madagascar (1866)

Malaisie (1852)

Kuala Lumpur : De La Salle Institute

Malte (1903)

Mexique (1905)

Mozambique

Myanmar (1860)

Nicaragua (1903)

Niger

Nigéria

Nouvelle-Zélande

Palestine[61]

Université de Bethléem.

Panama

Pakistan

Papouasie-Nouvelle-Guinée (1946)

Paraguay

Pays-Bas (1908)

Pérou (1921)

Philippines (1911)

Pologne (1903)

Porto Rico (1905)

Portugal (1932)

Colégio La Salle - Barcelos

République dominicaine

Roumanie (1861)

Rwanda

Singapour (1852)

Slovaquie (1888)

Sri Lanka (1867)

Suisse (1750)

Tchad

Thaïlande (1951)

Togo

Turquie[62]

Venezuela (1913)

Viêt Nam (1866)

Le premier établissement des Frères est ouvert à Saïgon.

Notes et références

Notes

  1. « Frères » ou « Lasalliens » prend une majuscule initiale pour désigner l’ensemble de l'ordre dans les locutions « les Frères des écoles… » ; « les Lasalliens ». Pour désigner un frère individuellement ou un groupe restreint de frères, on écrit « un frère », « un lasallien », « un frère des écoles… », « des frères des écoles chrétiennes », etc. Source : Conventions typographiques.

Références

  1. Religieux et religieuses dans la société française, article de Pierre Vallin dans Esprit et Vie
  2. L'École mutuelle, une pédagogie trop efficace ?, Anne Querrien, Les Empêcheurs de penser en rond, 2005
  3. « Enseignement mutuel » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne..
  4. Robert Raymond Tronchot, Les Temps de la Sécularisation, 1904-1914. La Liquidation des biens de la congrégation des Frères des écoles chrétiennes, Frère des écoles chrétiennes, Rome, 1992.
  5. Statistiques au 31 décembre 1903, Guy Lapperière, Les Congrégations religieuses : de la France au Québec, 1880-1914, Les Presses de l'Université Laval, .
  6. Archives lasalliennes de France : Benoît Gillet, 50 E 1, Fonds de l'établissement de Montebourg (1844-2010), répertoire numérique détaillé, mars 2015, p. 3.
  7. soit plus d'un siècle avant l'établissement similaire d'Yverdon, en Suisse (1805), par Pestalozzi
  8. Canonisé par le pape François, à Rome, le 16 octobre 2016
  9. G. Rigault, Le Frère Philippe, un grand éducateur apostolique, Procure générale des Frères, Paris, 1932.
  10. Collectif : Notice biographique sur le frère Secondien des écoles chrétiennes 1793-1885, Lembecq-Lez-Hal, Maison Saint-Joseph, 1908.
  11. La France illustrée no 460 Frère Libanos, directeur du pensionnat des Frères des écoles chrétiennes à Passy, Né à Milan (Aveyron), le 15 janvier 1812, Décédé à Passy le 5 septembre 1883
  12. Frère Exuperien, assistant du supérieur général des Frères des écoles chrétiennes (1829-1905), Paris Procure Générale, 1916.
  13. G. Cholvy, Un Maître d Énergie Spirituelle, frère Exuperien (Adrien Mas), Éditions Salvator, 2008.
  14. « F. G.-M. (Frère Gabriel-Marie) », sur editeur.com (consulté le ).
  15. A.J. Olgiwolski, Les Splendeurs d'une vie cachée : frère Julius de Jésus, de l'institut des Frères des écoles chrétiennes 1837-1927, Paris, 1939.
  16. Collectif : Un Religieux éducateur: frère Auguste-Hubert de L'Institut des Frères des écoles chrétiennes. Directeur du Pensionnat de Passy-Froyennes (Belgique). Maison Saint Joseph, Lembecq-Lez-Hal, 1923.
  17. Vie du frère Alpert de l'institut des Frères des écoles chrétiennes (1849-1898), Procure générale des Frères, Paris, 1927.
  18. http://www.lasalle.org/fr/qui-sommes-nous/saintete-lasallienne/ven-gregorio-buhl/.
  19. http://www.lasalle.org/fr/qui-sommes-nous/famille-lasallienne/union-des-catechistes/.
  20. Robert Rumilly, Le Frère Marie-Victorin et son temps, Frères des écoles chrétiennes, Montréal, 1949.
  21. http://www.martyretsaint.com/adolfo-lanzuela/.
  22. Alphonse M.Hermans, Frère Alcime-Marie de l'institut des Frères des écoles chrétiennes, Maison Généralice, 1976.
  23. Guillermo Felix, El Hermano Andrés Hibernon de las Escuelas Cristianas, s.n. Burgos, 1970.
  24. « Vénérable Juan Bernard Philippe Fromental Cayroche », sur cef.fr (consulté le ).
  25. http://les.journees.coste.free.fr/161.pdf.
  26. http://herbier.unistra.fr/herbier-de-strasbourg/herbier-general/herbier-roland-bonaparte/.
  27. http://www.archives-lasalliennes.org/freres-spe.php
  28. Catalogue d'exposition Les arts et leur enseignement chez les Frères des écoles chrétiennes" 2009, Magali DEVIF, directrice, Archives lasalliennes, Lyon, pages 30-31.
  29. http://www.yadvashem-france.org/les-justes-parmi-les-nations/les-justes-de-france/dossier-9556/.
  30. http://www.yadvashem-france.org/les-justes-parmi-les-nations/les-justes-de-france/dossier-12443/.
  31. Auteur de : Catéchèse et laïcat : Participation des laïcs au ministère de la Parole et mission du frère-enseignant dans l'Église, Ligel, 1962.
  32. « HIÉRON (Jean-Baptiste Giraudas, en religion Très Cher Frère) - Maitron », sur maitron-en-ligne.univ-paris1.fr =17 juillet 2019.
  33. « Syndicat des employés du commerce et de l'industrie (France) : Fédération française des syndicats d'employés catholiques », sur idref.fr (consulté le ).
  34. « Un religieux, écrivait le frère Théophanius-Léo, n'est vraiment religieux que lorsqu'il souffre ; tel le forgeron qui n'est jamais plus forgeron qu'en forgeant ».
  35. auteur en 1930 de L'Âme belge, poèmes pour le centenaire, 1830-1930. Revue belge de pédagogie.
  36. Envoyé en mission au Guatemala, en janvier 1981. Il enseigne à l’école secondaire de Huehuetenango ainsi qu’au Centre indigène, il y est assassiné le 13 février 1982.
  37. http://www.spiritains.qc.ca/193/Suspension_provisoire_de_l_ordre_d_expulsion_d_un_missionnaire_britannique.htm?id_article=1125.
  38. Jean-Baptiste Blain, Abrégé de la vie du frère Barthélemi, premier supérieur général de la société des Frères des écoles chrétiennes, Impr. de V. Goupy, Paris, 1876.
  39. Frère Fredebert-Marie, Le Très Honoré Frère Agathon supérieur général des Frères des écoles chrétiennes, Ateliers D'imprimerie d'Art, 1958.
  40. Paul Escard, Le Frère Philippe, supérieur général des Frères des écoles chrétiennes, Les grands hommes de l'Église au XIXe siècle, Paris, Librairie des Saints-Pères, 1913.
  41. Notice biographique et nécrologique sur le T.-H. frère Jean-Olympe, supérieur général de l'institut des Frères des écoles chrétiennes, décédé à Paris, le 17 avril 1875, Impr. de Goupy, Paris, 1875.
  42. Notice Biographique sur le très honoré Frère Irlide, supérieur général de l'institut des Frères des écoles chrétiennes, Versailles, L. Ronce, Imprimerie de l'Évêché, 1884
  43. Jean Laur, Le Tres Honore Frere Joseph supérieur général de l'institut des Frères des écoles chrétiennes(1823-1897), C. Paillart, imprimeur-éditeur, 1898.
  44. Notice sur le T.H. Frère Allais-Charles. [Jean Petiot, 1858-1928]. Paris, institut des Frères des écoles chrétiennes, 1930
  45. Vie du très honoré frère Junien Victor (natif de Bayonne, ville épiscopale de France, décédé à Mauléon le 15 octobre 1940), Procure générale des Frères des écoles chrétiennes, Paris, 1940.
  46. En 2000, il a été élu pour un mandat de sept ans en tant que supérieur général de l'Institut et a été réélu en 2007 pour sept autres années.
  47. Sous tutelle des Sœurs de la Divine Providence de Saint-Jean de Bassel jusqu'en juin 2016.
  48. Ainsi que celui de la rue de Vaugirard à Paris (aujourd'hui sous tutelle diocésaine).
  49. sous tutelle diocésaine.
  50. Sa chapelle néo-romane construite lors la béatification de Jean-Baptiste de La Salle, abrita les reliques du fondateur entre 1888 et 1904.
  51. jusqu'en 1905.
  52. Sous tutelle de la congrégation des Filles de la Charité du Sacré-Cœur de Jésus jusqu'en 2016.
  53. Sous tutelle des Sœurs de Jésus Serviteur jusqu'en 2016.
  54. statistiques du 31 décembre 2008
  55. Ce sont les maisons d'Italie qui sauvèrent l'institut lors de la Révolution en accueillant les frères condamnés à l'exil.
  56. Hermanas Guadalupanas La Salle, dont le siège est à Mexico (Mexique).
  57. La Salle Sisters dont le siège est à Bangkok (Thaïlande).
  58. L’Union des Catéchistes du Très saint Crucifié et de Marie très sainte Immaculée a été fondée à Turin par le vénérable frère Téodoreto des écoles chrétiennes en 1914.
  59. Les Frères des écoles chrétiennes au Canada 1837-1900, Maison des Frères des écoles chrétiennes, Montréal, 1921
  60. Historique Du Collège Du sacré Cœur De Beyrouth, 1994.
  61. Frère Évagre Les Frères des écoles chrétiennes en Palestine, impr. de Féron-Vrau, Paris, 1906.
  62. Ange Michel, Les Frères des écoles chrétiennes en Turquie, 1841-2003, Éditions Isis, 2003

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes