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Pibrac

Pibrac est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne (31), en région Occitanie.

Pibrac
Pibrac
Vue aérienne de Pibrac (2010)
Blason de Pibrac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Toulouse Métropole
Maire
Mandat
Camille Pouponneau
2020-2026
Code postal 31820
Code commune 31417
DĂ©mographie
Gentilé Pibracaises, Pibracais
Population
municipale
8 523 hab. (2020 en augmentation de 3,61 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 330 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 37â€Č 03″ nord, 1° 17â€Č 08″ est
Altitude Min. 145 m
Max. 237 m
Superficie 25,86 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Toulouse
(banlieue)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Toulouse-7
LĂ©gislatives SixiĂšme circonscription
Localisation
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Pibrac
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Pibrac
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Pibrac
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Pibrac
Liens
Site web Site officiel

    Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays toulousain, qui s’étend autour de Toulouse le long de la vallĂ©e de la Garonne, bordĂ© Ă  l’ouest par les coteaux du SavĂšs, Ă  l’est par ceux du Lauragais et au sud par ceux de la vallĂ©e de l’ AriĂšge et du Volvestre. ExposĂ©e Ă  un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par l'Aussonnelle, le Courbet, le ruisseau du Panariol, le ruisseau du Rouchet et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© de trois zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique. Une partie de la forĂȘt de Bouconne est situĂ©e sur le territoire de la commune.

    Pibrac est une commune urbaine qui compte 8 523 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomĂ©ration toulousaine et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelĂ©s les Pibracais et Pibracaises.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend deux bùtiments protégés au titre des monuments historiques : le chùteau, inscrit en 1932 puis classé en 1947, et l'église Sainte-Marie-Madeleine, inscrite en 1946.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    La commune de Pibrac se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe Ă  13 km Ă  vol d'oiseau de Toulouse[1], prĂ©fecture du dĂ©partement La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[2] : Brax (3,7 km), Colomiers (4,1 km), LĂ©guevin (4,6 km), La Salvetat-Saint-Gilles (4,7 km), Cornebarrieu (4,9 km), Plaisance-du-Touch (5,8 km), Tournefeuille (6,0 km), Mondonville (6,0 km).

    Sur le plan historique et culturel, Pibrac fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[3].

    Communes limitrophes

    Pibrac est limitrophe de dix autres communes dont plusieurs communes par un quinquepoint. Les communes limitrophes sont Montaigut-sur-Save, Brax, Colomiers, Cornebarrieu, Lasserre-PradĂšre, LĂ©guevin, LĂ©vignac, Mondonville et Plaisance-du-Touch.

    GĂ©ologie et relief

    La superficie de la commune est de 2 586 hectares ; son altitude varie de 145 Ă  237 mĂštres[5].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Pibrac.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainĂ©e par l'Aussonnelle, le Courbet, le ruisseau du Panariol, le ruisseau du Rouchet, le ruisseau de la Chauge et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 25 km de longueur totale[7] - [Carte 1].

    L'Aussonnelle, d'une longueur totale de 42,4 km, prend sa source dans la commune de Saint-Thomas et s'Ă©coule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne Ă  Seilh, aprĂšs avoir traversĂ© 12 communes[8].

    Le Courbet, d'une longueur totale de 10,1 km, prend sa source dans la commune de LĂ©guevin et s'Ă©coule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans L'Aussonnelle Ă  Colomiers, aprĂšs avoir traversĂ© 4 communes[9].

    Le ruisseau du Panariol, d'une longueur totale de 14,24 km, prend sa source dans la commune de Lasserre-PradĂšre et s'Ă©coule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans l'Aussonnelle Ă  Aussonne, aprĂšs avoir traversĂ© 4 communes[10].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 9,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 702 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 9,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 5,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[14] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[15] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947[16] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[17] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[18], Ă  13,8 °C pour 1981-2010[19], puis Ă  14,3 °C pour 1991-2020[20].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensĂ©es sur la commune[21] : le « cours de l'Aussonnelle et rives » (76 ha), couvrant 12 communes du dĂ©partement[22] et la « forĂȘt de Bouconne » (2 868 ha), couvrant 10 communes dont neuf dans la Haute-Garonne et une dans le Gers[23] et une ZNIEFF de type 2[Note 6] - [21] : les « terrasses de Bouconne et du Courbet » (2 088 ha), couvrant 5 communes du dĂ©partement[24].

    L’association Jardin Nature Pibrac (31820) a crĂ©Ă© un Chemin de dĂ©couverte de la BiodiversitĂ© long de 4km et ponctuĂ© de 17 bornes permettant d’accĂ©der, via l'application smartphone "Nature Pibrac", Ă  des informations en 5 langues, Ă©crites et lues, Ă  propos de la biodiversitĂ© vĂ©gĂ©tale et animale dans la zone verte et bleue Ă  proximitĂ© de la ville et en bordure de zones agricoles et forestiĂšres. Plus informations sont disponibles sur le site https://jardinnaturepibrac.org.

    Urbanisme

    Typologie

    Pibrac est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 7] - [25] - [I 2] - [26]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Toulouse, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 81 communes[I 3] et 1 047 829 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomĂ©ration de Toulouse est la cinquiĂšme plus importante de la France en termes de population, derriĂšre celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[I 4] - [I 5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6] - [I 7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (52,5 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (57,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (42,7 %), forĂȘts (28,9 %), zones urbanisĂ©es (18,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (7,5 %), prairies (2,3 %), mines, dĂ©charges et chantiers (0,2 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Voies de communication

    AccĂšs par la route nationale 124.

    Transports

    La commune compte une gare du réseau SNCF sur son territoire, la gare de Pibrac, desservie quotidiennement par des TER Occitanie effectuant des missions entre les gares de Toulouse-Matabiau, L'Isle-Jourdain et Auch.

    Pibrac est desservie par la ligne 32 du réseau Tisséo, permettant de rejoindre la gare de Colomiers et la gare des Ramassiers, pour ensuite atteindre Toulouse par la ligne C. La commune est également desservie par la ligne 935 du réseau liO, reliant Toulouse à Auch.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Pibrac est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[28]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[29].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Courbet et le ruisseau du Panariol. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1989, 1993, 2000, 2009, 2014 et 2017[30] - [28].

    Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies a Ă©tĂ© approuvĂ© par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 25 septembre 2006. Pibrac est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt du fait de la prĂ©sence sur son territoire du massif de Bouconne. Il est ainsi dĂ©fendu aux propriĂ©taires de la commune et Ă  leurs ayants droit de porter ou d’allumer du feu dans l'intĂ©rieur et Ă  une distance de 200 mĂštres des bois, forĂȘts, plantations, reboisements ainsi que des landes. L’écobuage est Ă©galement interdit, ainsi que les feux de type mĂ©chouis et barbecues, Ă  l’exception de ceux prĂ©vus dans des installations fixes (non situĂ©es sous couvert d'arbres) constituant une dĂ©pendance d'habitation[31] - [32]

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Pibrac.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (88,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 955 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 2 955 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 98 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[34].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1993, 1998, 1999, 2006, 2008, 2011, 2012, 2016 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[28].

    Toponymie

    Ce nom vient probablement de *Piperacum, du latin piper, "poivre", pebre en occitan, employĂ© pour dĂ©signer un lieu oĂč habitait un homme au caractĂšre caustique et pour cette raison surnommĂ© Piper[35].

    Histoire

    On sait qu'au début du XIIe siÚcle, il existe un castrum entre les cours d'eau du Courbet et de l'Aussonnelle, sur un promontoire. La motte fortifiée et ses alentours composés de lieux d'habitations dont celle du seigneur constitue le village de Pibrac. Le premier seigneur connu se nomme Pierre de Pibrac. Le territoire est sous l'influence des seigneurs de L'Isle-Jourdain et des chevaliers de l'ordre des Hospitaliers.

    Pibrac est notamment la ville d'origine de Guy Du Faur de Pibrac au XVIe siĂšcle, et de Germaine Cousin, une bergĂšre, devenue, aprĂšs sa canonisation, sainte Germaine. Son corps a Ă©tĂ© retrouvĂ© en 1664, presque intact. Au dĂ©part, c'est un culte populaire qui se dĂ©veloppe mais en 1854, elle est bĂ©atifiĂ©e par l'Église. Elle y est enterrĂ©e et une basilique, de style romano-byzantin, qui lui est dĂ©diĂ©e, a Ă©tĂ© Ă©difiĂ©e dans les annĂ©es 1900.

    HĂ©raldique

    Pibrac

    Son blasonnement est : Palé de sable et d'or de quatre piÚces.

    Politique et administration

    • La Mairie
      La Mairie
    • Monument aux morts
      Monument aux morts

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune fait partie de la sixiÚme circonscription de la Haute-Garonne de Toulouse Métropole et du Canton de Toulouse-7 (avant le redécoupage départemental de 2014, Pibrac faisait partie de l'ex-canton de Léguevin).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1953 1971 Jean BĂ©ziat MRG
    1971 1995 Henri Courtines RPR Chef des services régionaux de l'Office National Interprofessionnel des Céréales[36]
    1995 2014 Robert Bon PS Retraité d'Airbus[37]
    2014 2015 David Saint-Mellion PS Professeur agrégé d'informatique
    Adjoint au maire de Pibrac (1995-2014)[38]
    2015 2020 Bruno Costes LR Docteur en chimie
    Président de la Commission Voirie de Toulouse Métropole
    Directeur chargĂ© de l’Environnement et des Affaires publiques d'Airbus
    PrĂ©sident du ComitĂ© d’Orientation StratĂ©gique Environnement et ResponsabilitĂ© SociĂ©tale du groupe AFNOR[39]
    2020 En cours Camille Pouponneau PS ConseillÚre départementale de Haute-Garonne (Toulouse-7) jusqu'en 2021
    Présidente de l'association pour le logement des jeunes en Occitanie[40]
    Présidente de la Commission Economie, innovation et emploi de Toulouse Métropole
    Les données manquantes sont à compléter.

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2017 Ă©tant compris entre 5 000 habitants et 9 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'Ă©lection de 2020 est de vingt-neuf[41] - [42].

    Le maire est entouré de 8 adjoints et de 20 conseillers municipaux.

    Depuis les Ă©lections municipales de 2020, sa composition est la suivante :

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[44]. En 2020, la commune comptait 8 523 habitants[Note 9], en augmentation de 3,61 % par rapport Ă  2014 (Haute-Garonne : +7,44 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    567613715668747790757893834
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    880914974931914926998998947
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    886769750726784688771829959
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 0361 5182 2914 2455 8797 4407 7137 7558 272
    2017 2020 - - - - - - -
    8 4598 523-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee Ă  partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[47] 1975[47] 1982[47] 1990[47] 1999[47] 2006[48] 2009[49] 2013[50]
    Rang de la commune dans le département 44 36 23 19 19 22 23 25
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Économie

    Revenus

    En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 3 470 mĂ©nages fiscaux[Note 10], regroupant 9 014 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 29 610 â‚Ź[I 8] (23 140 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 9]). 71 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 11] (55,3 % dans le dĂ©partement).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 10]4,4 %5,3 %6,2 %
    DĂ©partement[I 11]7,7 %9,6 %9,3 %
    France entiĂšre[I 12]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  5 326 personnes, parmi lesquelles on compte 75,9 % d'actifs (69,6 % ayant un emploi et 6,2 % de chĂŽmeurs) et 24,1 % d'inactifs[Note 12] - [I 10]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 4] - [I 13]. Elle compte 1 538 emplois en 2018, contre 1 397 en 2013 et 1 300 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 3 768, soit un indicateur de concentration d'emploi de 40,8 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 59,7 %[I 14].

    Sur ces 3 768 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 646 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 85,3 % des habitants utilisent un vĂ©hicule personnel ou de fonction Ă  quatre roues, 4,7 % les transports en commun, 7,1 % s'y rendent en deux-roues, Ă  vĂ©lo ou Ă  pied et 3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

    Secteurs d'activités

    566 établissements[Note 13] sont implantés à Pibrac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14] - [I 17].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble566100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    305,3 %(5,7 %)
    Construction5910,4 %(12 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    9116,1 %(25,9 %)
    Information et communication213,7 %(4,1 %)
    Activités financiÚres et d'assurance162,8 %(3,8 %)
    Activités immobiliÚres274,8 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    12121,4 %(19,8 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    13924,6 %(16,6 %)
    Autres activités de services6211 %(7,9 %)

    Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santĂ© humaine et l'action sociale est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 24,6 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (139 sur les 566 entreprises implantĂ©es Ă  Pibrac), contre 16,6 % au niveau dĂ©partemental[I 18].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[51] :

    • La Bouconne SARL, hĂ©bergement mĂ©dicalisĂ© pour personnes ĂągĂ©es (3 190 k€)
    • Sud Marche Groupe - SMG, commerce de gros (commerce interentreprises) de fruits et lĂ©gumes (2 285 k€)
    • Garage Ponsin, commerce de voitures et de vĂ©hicules automobiles lĂ©gers (1 128 k€)
    • H&B Habitat Construire Autrement, construction de maisons individuelles (1 102 k€)
    • Chic Planet'voyages, activitĂ©s des agences de voyages (726 k€)

    Agriculture

    La commune est dans les « Coteaux du Gers », une petite région agricole occupant une partie nord-ouest du département de la Haute-Garonne, caractérisée par une succession de coteaux peu accidentés, les surfaces cultivées étant entiÚrement dévolues aux grandes cultures[52]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5].

    1988200020102020
    Exploitations33221818
    SAU[Note 16] (ha)9139091 3521 606

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 33 lors du recensement agricole de 1988[Note 17] Ă  22 en 2000 puis Ă  18 en 2010[54] et enfin Ă  18 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 45 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 57 % de ses exploitations[55] - [Carte 7]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a quant Ă  elle augmentĂ©, passant de 913 ha en 1988 Ă  1 606 ha en 2020[Carte 8]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 28 Ă  89 ha[54].

    Vie pratique

    Enseignement

    Groupe Scolaire Maurice Fonvieille

    À Pibrac, se trouvent deux Ă©coles maternelles, deux Ă©coles Ă©lĂ©mentaires, un collĂšge ainsi qu'un lycĂ©e d'enseignement gĂ©nĂ©ral et technologique. Il existe Ă©galement un groupe scolaire et un collĂšge privĂ©s sous contrat.

    Santé

    La ville comprend en 2014, 12 médecins généralistes, 3 pharmacies et 1 cabinet d'infirmerie libérale.

    Culture

    Théùtre musical de Pibrac

    Sports

    Patinodrome ou se déroule la premiÚre étape du Trophée des 3 Pistes, systématiquement le samedi de Pùques (compétition internationale de patinage à roulettes de vitesse). TrentiÚme édition en 2016[56].

    Pibrac accueille différentes associations sportives, telles que la MJC, des clubs d'arts martiaux (judo, karaté et aïkido), hippique (Club hippique de Pibrac (FFE), initialement appelé club hippique de Toulouse), cycliste[57]... La ville compte également son club de football, l'Union Sportive Pibracaise (U.S Pibrac), fondé le . Au cours d'une saison sportive, l'US PIBRAC organise plusieurs tournois. Il s'agit notamment du tournoi de Pùques, du tournoi féminin en septembre, et du tournoi Interpro au mois de juin. Des équipes venant de diverses régions françaises ou de villes européennes sont généralement présentes durant ces tournois.

    ÉvĂ©nements

    • Autour du 21 Mars : BiodiverStival : une semaine de cinĂ©-dĂ©bats et d'animation Ă  propos de la BiodiversitĂ© : programme disponible sur https://jardinnaturepibrac.org
    • Juin : pĂšlerinage de sainte Germaine.
    • Tournoi international de football GĂ©rard Sedjal.
    • Fin septembre : repas de quartier rue du Cramail organisĂ© par Pibrac + (association de quartier).
    • 2Ăšme week-end d'octobre: La Mekanik du rire, un festival de rue autour du Rire et du Partage[58].
    • Second dimanche de Novembre : Festi Jardin Nature et Plantes : programme et liste des exposants disponibles sur https://jardinnaturepibrac.org
    • Novembre: PyrĂ©nicimes, festival sur la montagne.
    • DĂ©cembre : marchĂ© de NoĂ«l organisĂ© par la communautĂ© allemande.

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la métropole de Toulouse Métropole[59].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Classée au titre des monuments historiques[60], les restes de Sainte-Germaine y sont conservés dans une chùsse.
    Le retable, les 6 statues, et les bas-reliefs (lambris) en bois : peint, et doré, du XVIIIe siÚcle, sont classés depuis 1968[61]
    L'autel, le tabernacle, le crucifix, et les deux statues en marbre sont classés depuis 1968[62]
    L'orgue de tribune est doublement classé au titre des monuments historiques[63]
    • Sainte-Marie-Madeleine de Pibrac
      Sainte-Marie-Madeleine de Pibrac
    • Sainte-Marie-Madeleine de Pibrac le Clocher-mur
      Sainte-Marie-Madeleine de Pibrac le Clocher-mur
    • Orgue de tribune
      Orgue de tribune
    • Sainte-Marie-Madeleine de Pibrac - IntĂ©rieur
      Sainte-Marie-Madeleine de Pibrac - Intérieur
    • Retable, statues et bas relief, classĂ©s
      Retable, statues et bas relief, classés
    • Autel, tabernacle, croix et deux statues classĂ©s
      Autel, tabernacle, croix et deux statues classés
    • La chaire
      La chaire
    • La chĂąsse de Sainte-Germaine
      La chĂąsse de Sainte-Germaine
    • "La Mort de Sainte-Germaine" Raoul de Pibrac
      "La Mort de Sainte-Germaine" Raoul de Pibrac

    Personnalités liées à la commune

    • Lieu de naissance de Guy Du Faur de Pibrac, comte de Pibrac, homme d’État et Ă©crivain (nĂ© Ă  Pibrac en 1529 et mort Ă  Paris en 1584). Auteur des "Quatrains" et de "Les plaisirs de la vie rustique". Accompagne le duc d'Anjou en Pologne. Il est le 1er ministre du roi de Pologne. Organise le retour du duc d’Anjou qui va devenir le roi Henri III, Ă  la mort de Charles IX. Retourne en France et conseille au roi Henri III de terminer les guerres de religion Henri III le nomme prĂ©sident du Parlement de Paris. À la suite de la demande du roi de BĂ©arn et de Navarre (futur Henri IV) Ă  Henri III, il est nommĂ© chancelier de Marguerite de Navarre. Puis, peu de temps avant sa mort est nommĂ© chancelier d’Henri III.
    • Sainte Germaine, paysanne canonisĂ©e. Le pĂšlerinage Ă  Pibrac est un rendez-vous trĂšs frĂ©quentĂ© encore de nos jours.
    • Daniel Prix Germain Du Faur de Pibrac, nĂ© Ă  Auxerre le , mousquetaire noir (il ne l'est plus en 1781) capitaine d'infanterie. Il est instituĂ© lĂ©gataire gĂ©nĂ©ral et universel d'Anne du Faur (dĂ©cĂ©dĂ©e le ), derniĂšre reprĂ©sentante de la branche des Du Faur de Pibrac, Ă  charge pour lui de relever le nom de Pibrac. DĂ©putĂ© de la noblesse aux États gĂ©nĂ©raux de Versailles en 1789, chevalier de Saint-Louis et dernier possesseur du fief de Cormont dans la commune de Boismorand (Loiret), commune dont il possĂ©dait la quasi-totalitĂ© des terres avant et aprĂšs la RĂ©volution. MariĂ© en 1784, Ă  AngĂ©lique Anne d'Hallot, il meurt Ă  OrlĂ©ans, oĂč il Ă©tait adjoint au maire, le [64]
    • Jean Garaud, seigneur de Pibrac
    • Ville de rĂ©sidence de Guy NovĂšs, ancien sĂ©lectionneur du XV de France. Il fut professeur de sport pendant plus de vingt ans au collĂšge du Bois de Labarthe Ă  Pibrac, remportant six titres de champion de France scolaires avec l'Ă©quipe de l'Ă©tablissement. Il a d'ailleurs eu comme Ă©lĂšves David Skrela et GrĂ©gory Morales, qui ont jouĂ© sous ses ordres au Stade toulousain. Il quitte son poste d'enseignant en 2001 pour se consacrer entiĂšrement au Stade toulousain.
    • LĂ©on Taverdet
    • Tibo InShape, de son vrain nom Thibaud Delapart, est un vidĂ©aste youtubeur spĂ©cialisĂ© dans le domaine de la musculation ayant presque 8 millions d'abonnĂ©s. Il a passĂ© toute son enfance Ă  Pibrac, de 3 Ă  23 ans. Il a sorti une vidĂ©o le spĂ©cialement pour parler de la ville et des lieux qu'il y a frĂ©quentĂ©.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[13].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    10. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    11. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    13. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    14. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    15. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    16. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    17. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[53].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Pibrac » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Pibrac » (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
    3. « Unité urbaine 2020 de Toulouse » (consulté le ).
    4. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », (consultĂ© le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Pibrac » (consulté le ).
    9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Pibrac » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    14. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Pibrac » (consulté le ).
    15. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    16. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Pibrac » (consulté le ).
    18. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

    Autres sources

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    2. « Communes les plus proches de Pibrac », sur www.villorama.com (consulté le ).
    3. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
    4. Carte IGN sous GĂ©oportail
    5. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestiÚre, [lire en ligne].
    6. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    7. « Fiche communale de Pibrac », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    8. Sandre, « l'Aussonnelle »
    9. Sandre, « le Courbet »
    10. Sandre, « le ruisseau du Panariol »
    11. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    12. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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    14. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    15. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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    35. D'aprùs Jacques Astor : Dictionnaire des noms de familles et noms de lieux du Midi de la France, Éd. du Beffroi, 2002, p. 939.
    36. « Pibrac. Le dĂ©cĂšs de l'ancien maire Henri Courtines », La DĂ©pĂȘche du Midi,‎ (lire en ligne).
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    38. J.-F Lardy-Gaillot, « Pibrac. Robert Bon veut passer la main Ă  David Saint-Mellion », La DĂ©pĂȘche du Midi,‎ (lire en ligne).
    39. « Pour Pibrac 2020, Bruno Costes ».
    40. « Demain Pibrac 2020, portrait de Camille Pouponneau ».
    41. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    42. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur http://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__municipales-2020 (consulté le ).
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    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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    51. « Entreprises à Pibrac », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    52. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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    55. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans le département de la Haute-Garonne » (consulté le ).
    56. « Trophée des 3 Pistes....20, 21, 22 avril 2019 - Site officiel de la plus célÚbre compétition de roller vitesse sur piste. », sur Trophée des 3 Pistes....20, 21, 22 avril 2019 (consulté le ).
    57. (en) « Pibrac.com is for sale / HugeDomains », sur HugeDomains (consulté le ).
    58. « Bienvenue ! », sur La Mekanik du Rire I Festival de rue de l'ouest toulousain (consulté le ).
    59. « Déchets / Propreté - Toulouse Métropole », sur toulouse-metropole.fr (consulté le ).
    60. Mérimée PA00094419
    61. Palissy PM31000476
    62. Palissy PM31000477
    63. Palissy PM31001472 et Palissy PM31001478
    64. Grand dictionnaire historique de MorĂ©ri - Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables
 de Chaix d'Est-Ange - Armorial gĂ©nĂ©ral et nobiliaire français, de Hubert Lamant - Paul Gache, historien du GĂątinais et du Giennois - Cercle historique de Boismorand (Loiret)
    65. [lire en ligne].
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