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Daux

Daux (prononcer [doks], Daus en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays toulousain, qui s’étend autour de Toulouse le long de la vallée de la Garonne, bordé à l’ouest par les coteaux du Savès, à l’est par ceux du Lauragais et au sud par ceux de la vallée de l’ Ariège et du Volvestre.

Daux
Daux
Le château de Peyrolade.
Blason de Daux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Communauté de communes des Hauts Tolosans
Maire
Mandat
Patrice Lagorce
2020-2026
Code postal 31700
Code commune 31160
DĂ©mographie
Gentilé Dauxéens, Dauxéennes
Population
municipale
2 440 hab. (2020 en augmentation de 8,69 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 145 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 41′ 41″ nord, 1° 16′ 12″ est
Altitude Min. 119 m
Max. 193 m
Superficie 16,88 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Toulouse
(banlieue)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de LĂ©guevin
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Daux
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Daux
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Daux
Liens
Site web Site officiel

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau de Ribarot et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Daux est une commune urbaine qui compte 2 440 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Toulouse et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelĂ©s les DauxĂ©ens ou DauxĂ©ennes.

    On note une prononciation récente [doks], en raison du "x" orthographique final correspondant à un "s" sonore en occitan.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protĂ©gĂ© au titre des monuments historiques : l'Ă©glise Saint-BarthĂ©lemy, inscrite en 1926.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    La commune de Daux se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe Ă  17 km Ă  vol d'oiseau de Toulouse[1], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  11 km de LĂ©guevin[2], bureau centralisateur du canton de LĂ©guevin dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Mondonville (2,9 km), Montaigut-sur-Save (3,1 km), Saint-Paul-sur-Save (3,5 km), Merville (3,8 km), Aussonne (4,2 km), Bretx (5,8 km), Larra (5,9 km), Menville (6,3 km).

    Sur le plan historique et culturel, Daux fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[4].

    Daux est limitrophe de six autres communes dont plusieurs communes par un quinquepoint. Les communes limitrophes sont Merville, Aussonne, Mondonville et Montaigut-sur-Save.

    GĂ©ologie et relief

    La superficie de la commune est de 1 688 hectares ; son altitude varie de 119 Ă  193 mètres[6].

    Géologiquement, la commune est située sur la haute et sur la moyenne terrasse de la Garonne. Les paysages de Daux sont variés, de la forêt de Bouconne à la plaine agricole et aux vallons boisés qui dévalent vers la vallée de la Save.

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Daux.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainĂ©e par le ruisseau de Ribarot, le ruisseau de la CĂ´te-Dor, le ruisseau de la Croix, le ruisseau de MatchazĂ© et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 18 km de longueur totale[8] - [Carte 1].

    Climat

    Daux connaît un climat tempéré océanique, à influences méditerranéenne et continentale, caractérisé par un été sec et chaud, un hiver doux et un printemps marqué par de fortes pluies et des orages violents. Les vents dominants sont, par ordre d’importance, le vent d’ouest (amenant généralement l’humidité de l’océan Atlantique), le vent de sud-est (aussi appelé vent d'autan, plutôt chaud et sec) et le vent du nord, nettement moins fréquent et généralement froid et sec (amenant l’air de masses anticycloniques froides placées sur le nord de l’Europe)[9].

    Tableau comparatif des données climatiques
    VilleEnsoleillementPluieNeigeOrageBrouillard
    Nice2 694 h/an767 mm/an1 j/an31 j/an1 j/an
    Toulouse2 047 h/an655 mm/an7 j/an26 j/an44 j/an
    Paris1 797 h/an642 mm/an15 j/an19 j/an13 j/an
    Strasbourg1 637 h/an610 mm/an30 j/an29 j/an65 j/an
    Moyenne nationale1 973 h/an770 mm/an14 j/an22 j/an40 j/an

    Daux connaît en moyenne 24 jours de fortes chaleurs et 33 jours de gel par an. Les mois les plus pluvieux sont les mois d’avril, mai et juin. Les températures normales minimales interviennent en janvier avec en moyenne 5 °C, et les températures normales maximales en août avec 23 °C.

    Températures relevées à Toulouse
    Mois J F M A M J J A S O N D Année
    Températures (sous abri, normales 1961-1990) °C 5,4 6,8 8,7 11,3 14,8 18,4 21,3 20,8 18,5 14,4 8,9 5,9 12,9
    Précipitations (hauteur moyenne en mm, période 1961-1990) 55,1 55,2 57,5 64,4 73,1 57,8 41 47,4 47,7 51,5 48,8 55,9 655,7
    Source : Météo France

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂŞt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensĂ©e sur la commune[10] : la « forĂŞt de Bouconne » (2 868 ha), couvrant 10 communes dont neuf dans la Haute-Garonne et une dans le Gers[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Daux est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 3] - [12] - [I 2] - [13]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Toulouse, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 81 communes[I 3] et 1 047 829 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomĂ©ration de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[I 4] - [I 5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6] - [I 7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64 %), forêts (18,5 %), zones agricoles hétérogènes (10,4 %), zones urbanisées (7,1 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Lieux-dits ou hameaux

    Bourdou, les Fourtous, Azas,

    Voies de communication et transports

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Daux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible)[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1994, 1999, 2009 et 2022[17] - [15].

    Un plan dĂ©partemental de protection des forĂŞts contre les incendies a Ă©tĂ© approuvĂ© par arrĂŞtĂ© prĂ©fectoral du 25 septembre 2006. Daux est exposĂ©e au risque de feu de forĂŞt du fait de la prĂ©sence sur son territoire du massif de Bouconne. Il est ainsi dĂ©fendu aux propriĂ©taires de la commune et Ă  leurs ayants droit de porter ou d’allumer du feu dans l'intĂ©rieur et Ă  une distance de 200 mètres des bois, forĂŞts, plantations, reboisements ainsi que des landes. L’écobuage est Ă©galement interdit, ainsi que les feux de type mĂ©chouis et barbecues, Ă  l’exception de ceux prĂ©vus dans des installations fixes (non situĂ©es sous couvert d'arbres) constituant une dĂ©pendance d'habitation[18] - [19]

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Daux.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (88,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 857 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 857 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 98 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2011, 2015, 2017 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

    Histoire

    Préhistoire

    Les traces de la présence des hommes à Daux sont nombreuses depuis le Paléolithique inférieur. De nombreux outils ont été abandonnés sur les terrasses de Garonne par les chasseurs-cueilleurs qui peuplaient le territoire.

    Antiquité

    À l'époque romaine, Daux est une villa de bonne dimension ; de nombreux sites rappellent également l'occupation des Gallo-romains, notamment Mayras et Fourclens (Merville) mais les découvertes fortuites témoignent d'un réseau de villas relativement dense sur la commune. La voie romaine de Toulouse à Lectoure traversait le territoire. La forêt très étendue a progressivement régressé sous la hache des défricheurs[22].

    Moyen Ă‚ge

    Au Moyen Âge, la première trace écrite de la présence d'une communauté humaine qui faisait partie de la seigneurie de Terride, date de 1046. En 1187, Gautier de Terride fait don à l'abbé Guilhem de terres à Daux, ainsi que d'une famille de travailleurs, ce qui donne à penser que la population était au moins en partie, en état de servage. La présence des cisterciens de Grandselve et des Prémontrés de La Capelle est importante au XIIe siècle mais progressivement les Comtes de L'Isle Jourdain vont devenir les seuls seigneurs de Daux. Afin d'attirer de nouvelles populations le seigneur de Daux, Jourdain de l'Isle octroie en 1253 des franchises aux habitants qui voudront s'installer dans le castrum de Daux (droits divers, terrain pour bâtir leur maison, droit de vivier, jardin, etc.).

    Daux est en Gascogne dont la limite est à la Croix d'Alliez (Mondonville) bien qu'étant du diocèse de Toulouse. En 1405, le comté de l'Isle passa aux mains du comte de Clermont, puis en 1420 à Jean IV d'Armagnac; celui-ci fut dépossédé par Louis XI en 1475, pour rébellion, et les rois de France recueillirent la suzeraineté de Daux.

    Époque moderne

    En 1554, Henri II confirma les coutumes et privilèges de Saint Salvy de Daux et octroya des armes parlantes à la cité : « D'azur aux trois tours crénelées posées 2 et 1, au chef également d'azur aux 3 fleurs de lys d'or ».

    En 1579, la seigneurie de Daux fut échangée par le roi au profit de Guy Dufaur de Pibrac, compagnon d'Henri III et d'Henri IV et auteur des « Quatrains ». Nouveau changement au XVIIe siècle : la seigneurie reste partagée entre les Bénédictins de la Daurade, qui possédaient le château plus tard appelé de Lalo et les de Turle, résidant au château de Peyrolade. Le dernier seigneur de Daux fut le chevalier Jean Guy Marie de Lalo, né en 1743 et conseiller au Parlement de Toulouse. De santé fragile, il survécut à la Révolution et mourut à Daux en 1817. Daux était une ville murée, protégée par une ceinture de fossés profonds que bordaient des murailles construites en pisé. Trois portes, flanquées de tours, complétaient cet ensemble qu'on appelait « le Fort de la Ville ». Tous ces ouvrages disparurent au XIXe siècle; de même les couverts qui prolongeaient certaines maisons ont disparu.

    L'église ancienne de Daux a été reconstruite par les habitants à partir de 1853 sous l'impulsion de l'abbé Dastarac. Seul le clocher aux soubassements sans doute romans et probablement élevé au XVIe siècle dans le plus pur style toulousain a été conservé[23].

    Révolution française

    L'administration de la ville était confiée avant la Révolution à 4 consuls, choisis par le seigneur sur une liste de 8 candidats. Huit conseillers, s'ajoutant aux consuls, formaient le « conseil général de la communauté » dont les séances étaient publiques. En 1693 fut institué, par édit royal, un maire perpétuel, charge payante, qui progressivement met fin au rôle des consuls. Le premier maire fut Nicolas de Rabaudy, écuyer, qui prit possession de sa charge le . Pendant la Révolution, Daux fut incorporé au canton de Lévignac, supprimé sous le Directoire. Daux est alors rattachée au canton de Grenade-sur-Garonne. Le Conseil général de la commune, instauré en 1790, est l'ancêtre du conseil municipal actuel. La Révolution française est une époque de forte transformation de la société. L'église de Daux eut un premier patron, saint Salvy évêque d'Albi, puis saint Barthélémy, s'orne d'un clocher monumental du XVIe siècle de style gothique toulousain, heureusement restauré en 1936 sous l'action de Lucien Babonneau. Les châteaux de Peyrolade, de Fabari, de Lalo et d'Ambruscq témoignent de la richesse de leurs propriétaires. La chapelle Saint-Roch a été démolie sous la Révolution.

    Époque contemporaine

    Daux croît régulièrement dans un développement maîtrisé et sa démographie dépasse les 2300 habitants depuis 2017. Les projections à 20 ans dans le cadre du SCOT prévoient une croissance démographique et économique significative. Son environnement privilégié entre bois, paysage agricole, cours d'eau et patrimoine architectural lui confère un caractère rural qui attire un grand nombre de citadins à la recherche d'une meilleure qualité de vie[24].

    Politique et administration

    • Mairie
      Mairie

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2017 Ă©tant compris entre 1 500 habitants et 2 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'Ă©lection de 2020 est de dix-neuf[25] - [26].

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Commune faisant partie de la cinquième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes des Hauts Tolosans et du canton de Léguevin (avant le redécoupage départemental de 2014, Daux faisait partie de l'ex-canton de Grenade) et de l'ex-communauté de communes de Save et Garonne.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1896 F. Amouroux
    1901 A. Gantier
    1902 J. Davezac
    1903 L. Castan
    1912 T. Gazagne
    1928 Jean Sarlaboux
    1935 P. Gazagne
    1944 A. Amouroux
    1953 A. Bouissou
    1974 J. Sarlaboux
    1983 juin 1995 Jean Badoch (1939-2023)
    juin 1995 mars 2008 André Servant DVG
    mars 2008 En cours Patrice Lagorce DVG Retraité

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

    En 2020, la commune comptait 2 440 habitants[Note 5], en augmentation de 8,69 % par rapport Ă  2014 (Haute-Garonne : +7,44 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    561570642535680660682710697
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    711682645599601599576545566
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    510506450373476489446466509
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    4795777851 0591 1441 2531 6551 7122 141
    2017 2020 - - - - - - -
    2 3612 440-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee Ă  partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[31] 1975[31] 1982[31] 1990[31] 1999[31] 2006[32] 2009[33] 2013[34]
    Rang de la commune dans le département 112 103 108 112 119 110 107 95
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Enseignement

    Daux fait partie de l'académie de Toulouse.

    L'éducation est assurée sur la commune par une école maternelle et une école élémentaire soit 10 classes au total.

    Culture

    Médiathèque municipale, foyer rural, association à ta sauce, comité des fêtes.

    Activités sportives

    Tennis, football, chasse, pétanque, équitation, foyer rural (peinture, théâtre, gymnastique, judo, danses,...).

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes des hauts Tolosans[35]

    Économie

    Revenus

    En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 960 mĂ©nages fiscaux[Note 6], regroupant 2 457 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 26 390 â‚¬[I 8] (23 140 â‚¬ dans le dĂ©partement[I 9]). 67 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 7] (55,3 % dans le dĂ©partement).

    Emploi

    Taux de chĂ´mage
    200820132018
    Commune[I 10]4,3 %5,2 %5,5 %
    DĂ©partement[I 11]7,7 %9,6 %9,3 %
    France entière[I 12]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lève Ă  1 571 personnes, parmi lesquelles on compte 82,1 % d'actifs (76,6 % ayant un emploi et 5,5 % de chĂ´meurs) et 17,9 % d'inactifs[Note 8] - [I 10]. Depuis 2008, le taux de chĂ´mage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂ´le[Carte 4] - [I 13]. Elle compte 215 emplois en 2018, contre 186 en 2013 et 167 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 1 210, soit un indicateur de concentration d'emploi de 17,8 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 69,6 %[I 14].

    Sur ces 1 210 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 125 travaillent dans la commune, soit 10 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 92 % des habitants utilisent un vĂ©hicule personnel ou de fonction Ă  quatre roues, 1,1 % les transports en commun, 3,5 % s'y rendent en deux-roues, Ă  vĂ©lo ou Ă  pied et 3,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

    Secteurs d'activités

    121 établissements[Note 9] sont implantés à Daux au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10] - [I 17].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble121100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    54,1 %(5,7 %)
    Construction2520,7 %(12 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    3327,3 %(25,9 %)
    Information et communication65 %(4,1 %)
    Activités financières et d'assurance43,3 %(3,8 %)
    Activités immobilières43,3 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    2419,8 %(19,8 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    129,9 %(16,6 %)
    Autres activités de services86,6 %(7,9 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 27,3 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (33 sur les 121 entreprises implantĂ©es Ă  Daux), contre 25,9 % au niveau dĂ©partemental[I 18].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[36] :

    • Caussat Espaces Verts, services d'amĂ©nagement paysager ;
    • Pepinieres Du Padouenc, reproduction de plantes ;
    • Fikri Constructions, travaux de maçonnerie gĂ©nĂ©rale et gros Ĺ“uvre de bâtiment ;
    • Alric, travaux d'installation Ă©lectrique dans tous locaux ;
    • Financiere Caussat, activitĂ©s des sièges sociaux.

    Agriculture

    La commune est dans les « Coteaux du Gers », une petite région agricole occupant une partie nord-ouest du département de la Haute-Garonne, caractérisée par une succession de coteaux peu accidentés, les surfaces cultivées étant entièrement dévolues aux grandes cultures[37]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la culture de fleurs et/ou horticulture diverse[Carte 5].

    1988200020102020
    Exploitations32272223
    SAU[Note 12] (ha)1 1271 009859977

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siège dans la commune est passĂ© de 32 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] Ă  27 en 2000 puis Ă  22 en 2010[39] et enfin Ă  23 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 28 % en 32 ans. Le mĂŞme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 57 % de ses exploitations[40] - [Carte 7]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 1 127 ha en 1988 Ă  977 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 35 Ă  42 ha[39].

    L'agriculture basée sur la culture de céréales (maïs, blé) mais aussi la présence de pépinières garde une place importante. Le développement ces dernières années de cultures bio (maraichage, céréales) est significatif.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L’Église est composĂ©e de deux parties distinctes : le clocher, classĂ© monument historique du XIVe siècle[41], et la nef du XIXe siècle. Le clocher octogonal de type toulousain, prĂ©sente trois Ă©tages avec des baies gĂ©minĂ©es en mitre. Il est surmontĂ© d’une flèche de brique. Il s’agit d’un clocher dĂ©fensif qui fut dotĂ© en 1682 de trois petits canons pour assurer la dĂ©fense du village[42]. Les canons Ă©taient installĂ©s sur la galerie qui forme la base de l’édifice. Le clocher a fait l’objet d’une restauration en 1936 soutenue  par Lucien Babonneau, personnage illustre de Daux. La nef fut bâtie en 1853 sur les plans de l’architecte diocĂ©sain Delort Ă  l’emplacement d’un ancien Ă©difice. Le chantier fut conduit Ă  l’initiative de l’abbĂ© Dastarac et financĂ© en grande partie par les DauxĂ©ens. De style nĂ©o-gothique, l’église est construite avec les matĂ©riaux locaux traditionnels : brique foraine et galet.  La nef unique est coiffĂ©e d’une voĂ»te sur croisĂ©e d’ogives. Le dĂ©cor intĂ©rieur date du XIXe siècle. L’église possède un ensemble de vitraux de grandes dimensions.

    • Le château d'eau est un des plus hauts d'Europe (76 m).
    • Châteaux de Peyrolade, de Lalo, d'Ambruscq, de Fabari.
    • L'Ă©glise Saint-BarthĂ©lĂ©my - la façade
      L'église Saint-Barthélémy - la façade
    • Abside et clocher de l'Ă©glise Saint-BarthĂ©lĂ©my
      Abside et clocher de l'église Saint-Barthélémy
    • Le clocher du XIVe
      Le clocher du XIVe
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.

    Personnalités liées à la commune

    • Guillaume de Lalo (1743-1817) Parlementaire de Toulouse, membre de l’AcadĂ©mie des Jeux floraux, propriĂ©taire du château de Peyrolade qu’il fit restaurer en 1788. Il est enterrĂ© dans le cimetière de Daux.
    • AbbĂ© Pierre-Jean Dastarac (1812-1888) curĂ© de Daux de 1843 Ă  1888, il fit reconstruire l’église Saint-BarthĂ©lemy de Daux. Il est enterrĂ© dans le cimetière de Daux. 
    • Lucien Babonneau, ingĂ©nieur et Ă©crivain (1905-1970) nĂ© Ă  Carmaux en 1905, il venait en vacances rĂ©gulièrement dans la maison de famille de Daux. IngĂ©nieur dans le domaine de l’hydroĂ©lectricitĂ©, il Ă©crivit des ouvrages techniques relatifs Ă  sa profession. Il Ă©crivit et illustra un ouvrage Daux mon pays[43]. Il y dĂ©crit le village de Daux, son Ă©conomie, ses habitants et ses traditions. Lucien Babonneau contribua Ă  la restauration du clocher de l’église de Daux en 1936. Il est enterrĂ© dans le cimetière de Daux. 
    • Saint Salvy de Daux.

    HĂ©raldique

    Daux

    Son blasonnement est : D'azur aux trois tours d'argent, surmontées de trois fleurs de lys d'or rangées en chef.

    On peut toutefois se demander si les trois fleurs de lys ne formaient pas à l'origine un chef qui aurait été confondu avec le champ avec le temps.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    7. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    10. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[38].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Daux » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Daux » (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
    3. « Unité urbaine 2020 de Toulouse » (consulté le ).
    4. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Daux » (consulté le ).
    9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Daux » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
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    15. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    16. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Daux » (consulté le ).
    18. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

    Autres sources

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    2. Stephan Georg, « Distance entre Daux et Léguevin », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches de Daux », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
    5. Carte IGN sous GĂ©oportail
    6. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
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    9. « CAPITOUL, Météorologie de Toulouse », Météo France (consulté le ).
    10. « Liste des ZNIEFF de la commune de Daux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Daux », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    22. Mme Henry histoire de la forĂŞt de Bouconne
    23. Mousnier Mireille : la Gascogne toulousaine, Grandselve
    24. Frapech (JL) et Lagorce (P) le pays de Save-et-Garonne
    25. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
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    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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    33. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
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    35. http://www.cc-saveetgaronne.fr/collecte/daux
    36. « Entreprises à Daux », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
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    38. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
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    40. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de la Haute-Garonne » (consulté le ).
    41. Mérimée PA00094324
    42. Jean-Louis Frapech, Patrice Lagorce, Le Pays de Save et Garonne, collection MĂ©moire en Images, Editions Alan Sutton, 2007, 128 p. (ISBN 978-2-84910-722-5).
    43. Lucien Babonneau, Daux mon pays, histoire d’un village d’Aquitaine, Toulouse, Imprimerie Edouard Privat, 1942, 144 p. (réimp. 1986)
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