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Merville (Haute-Garonne)

Merville (Mervila en occitan) est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.

Merville
Merville (Haute-Garonne)
La façade du chùteau de Merville
Blason de Merville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Communauté de communes des Hauts Tolosans
Maire
Mandat
Chantal Aygat
2020-2026
Code postal 31330
Code commune 31341
DĂ©mographie
Gentilé Mervillois
Population
municipale
6 241 hab. (2020 en augmentation de 22,09 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 203 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 43â€Č 21″ nord, 1° 17â€Č 54″ est
Altitude Min. 105 m
Max. 179 m
Superficie 30,68 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Merville
(ville isolée)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de LĂ©guevin
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Merville
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Merville
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Merville
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Merville
Liens
Site web Site officiel de la commune

    Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays toulousain, qui s’étend autour de Toulouse le long de la vallĂ©e de la Garonne, bordĂ© Ă  l’ouest par les coteaux du SavĂšs, Ă  l’est par ceux du Lauragais et au sud par ceux de la vallĂ©e de l’ AriĂšge et du Volvestre. ExposĂ©e Ă  un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par la Garonne, la Save, le ruisseau de la Capelette, le ruisseau de Ribarot et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« Garonne, AriĂšge, Hers, Salat, Pique et Neste »), deux espaces protĂ©gĂ©s (le « cours infĂ©rieur de la Garonne » et le « Ramier de Bigorre ») et trois zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Merville est une commune rurale qui compte 6 241 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Merville et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelĂ©s les Mervillois ou Mervilloises.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : le chùteau, classé en 1987, et le chùteau de Beillard, inscrit en 1992.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    La commune de Merville se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe Ă  18 km Ă  vol d'oiseau de Toulouse[1], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  15 km de LĂ©guevin[2], bureau centralisateur du canton de LĂ©guevin dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Daux (3,8 km), Aussonne (4,5 km), Seilh (5,4 km), Grenade (5,6 km), Mondonville (5,7 km), Larra (5,7 km), Saint-Jory (6,2 km), Saint-Paul-sur-Save (6,3 km).

    Sur le plan historique et culturel, Merville fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[4].

    Merville est limitrophe de sept autres communes. Les communes limitrophes sont Grenade, Larra, Montaigut-sur-Save, Daux, Aussonne, Seilh, Gagnac-sur-Garonne et Saint-Jory.

    Communes limitrophes de Merville[5]
    Larra Grenade
    Montaigut-sur-Save Merville La Garonne Saint-Jory
    Daux Aussonne Gagnac-sur-Garonne,
    Seilh

    La Garonne sépare la commune de celles de Gagnac-sur-Garonne et Saint-Jory, en rive droite.

    GĂ©ologie et relief

    La superficie de la commune est de 3 068 hectares ; son altitude varie de 105 Ă  179 mĂštres[6].

    Elle se trouve sur un plateau entre la Save et la Garonne.

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Merville.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainĂ©e par la Garonne, la Save, le ruisseau de la Capelette, le ruisseau de Ribarot, un bras de la Save, un bras de la Save, le ruisseau de Beillard, le ruisseau de Billas, le ruisseau de Cazevieille, le ruisseau de Marianne, le ruisseau de Montagne, le ruisseau de rigoulet, le ruisseau de Rigoulet, le ruisseau des Fourclins, et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 35 km de longueur totale[8] - [Carte 1].

    La Garonne est un fleuve principalement français prenant sa source en Espagne et qui coule sur 529 km avant de se jeter dans l’ocĂ©an Atlantique[9].

    La Save, d'une longueur totale de 143 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan (65) et s'Ă©coule du sud-ouest vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne Ă  Grenade, aprĂšs avoir traversĂ© 46 communes[10].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 9,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 699 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 5,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[14] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[15] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947[16] et qui se trouve Ă  12 km Ă  vol d'oiseau[17] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[18], Ă  13,8 °C pour 1981-2010[19], puis Ă  14,3 °C pour 1991-2020[20].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[21] - [22].

    Deux espaces protégés sont présents sur la commune :

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats : « Garonne, AriĂšge, Hers, Salat, Pique et Neste »[26], d'une superficie de 9 581 ha, un rĂ©seau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayĂšres actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages rĂ©guliers et dont des adultes atteignent dĂ©jĂ  Foix sur l'AriĂšge[27].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensĂ©es sur la commune[28] : « la Garonne de MontrĂ©jeau jusqu'Ă  LamagistĂšre » (5 075 ha), couvrant 92 communes dont 63 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[29] et la « riviĂšre de la Save en aval de Montaigut-sur-Save » (94 ha), couvrant 6 communes dont cinq dans la Haute-Garonne et une dans le Tarn-et-Garonne[30] et une ZNIEFF de type 2[Note 7] - [28] : « la Garonne et milieux riverains, en aval de MontrĂ©jeau » (6 874 ha), couvrant 93 communes dont 64 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[31].

    Urbanisme

    Typologie

    Merville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 8] - [32] - [I 2] - [33]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Merville, une unitĂ© urbaine monocommunale[I 3] de 6 241 habitants en 2020, constituant une ville isolĂ©e[I 4] - [I 5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6] - [I 7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (82,3 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (89,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (56,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (25,4 %), zones urbanisĂ©es (8,2 %), forĂȘts (6,3 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (1,3 %), eaux continentales[Note 10] (1,1 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (0,9 %)[34].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Voies de communication et transports

    La ligne 362 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la gare routiÚre de Toulouse depuis Larra, et la ligne 388 relie la commune à Blagnac, la station Basso Cambo du métro de Toulouse ou à la gare routiÚre de Toulouse depuis Grenade.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Merville est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage[35]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[36].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Save. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999, 2000, 2009, 2018 et 2022[37] - [35].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Merville.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (88,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 808 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1 808 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 98 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[38] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[39].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1990, 2000, 2003, 2012, 2016 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[35].

    Risques technologiques

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Cap de Long sur la Neste de Couplan (dĂ©partement des Hautes-PyrĂ©nĂ©es). À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[40].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Homerville en 1397[41], Omerville, puis Merville (par aphérÚse).

    Il s'agit d'une formation toponymique mérovingienne ou carolingiennne en -ville au sens ancien de « domaine rural » et précédé comme dans la plupart des cas d'un nom de personne germanique. Ernest NÚgre cite Otmerius[41] (comprendre Otmar[42]).

    Homonymie fortuite avec les autres Merville, qui sont composés d'un autre nom de personne germanique.

    Histoire

    Les origines de Merville et le Haut Moyen Âge

    D'origine vraisemblablement gallo-romaine[43], le village de Merville était à l'origine divisé en trois communautés :

    • la vaste communautĂ© de Mayras, situĂ©e sur le plateau, dont le Fort dominait toute la vallĂ©e de la Save. De nombreuses poteries d'origines gallo-romaines refont surface dĂšs que l'on laboure ces champs. Un sarcophage wisigoth et d'autres vestiges de haut Moyen Âge ont mĂȘme Ă©tĂ© retrouvĂ©s dans cette zone. Une Ă©glise, dont nous ne savons rien, se trouvait autrefois Ă  cet endroit ;
    • la communautĂ© d'Homerville, qui se situe un peu plus au sud que le centre actuel du village, oĂč devait se trouver la villa d'Otmerius (maison, bĂątiments, terres, biens du propriĂ©taire). C'est lĂ  que se trouvait la premiĂšre Ă©glise du village, dĂ©diĂ©e Ă  saint Saturnin ;
    • la communautĂ© de Fourclens, dans la direction d'Aussonne, oĂč se trouvait autrefois une Ă©glise, dĂ©diĂ©e Ă  san Salvadour. De ce point du plateau, on domine toute la vallĂ©e de la Garonne.

    Pendant le Moyen Âge, ces trois communautĂ©s se seraient rapprochĂ©es pour former une communautĂ© unique, celle de Merville.

    L'abbaye de Notre-Dame-de-la-Capelle

    La présence de nombreuses églises à Merville, ainsi que la présence de l'abbaye de Notre-Dame-de-la-Capelle, témoignent de l'importance des institutions religieuses à Merville.

    En 1143, Bertrand Jourdain de l'Isle fit don de ses terrains, situĂ©s au bord de la Garonne Ă  Merville, Ă  l'ordre des chanoines rĂ©guliers de PrĂ©montrĂ©s pour qu'ils y fondent un monastĂšre. La communautĂ© religieuse Ă©tait riche et prospĂšre : elle vivait d'agriculture, de viticulture, de location de terres dans un endroit calme et apaisant, oĂč saint Dominique se rendit souvent. La communautĂ© dut affronter le catharisme.

    En 1570, le monastĂšre fut complĂštement dĂ©truit et brulĂ© par le sire de Montgomery et les moines furent tuĂ©s. Certains moines, qui Ă©chappĂšrent Ă  l'assaut, redonnĂšrent un nouvel essor Ă  l'abbaye au dĂ©but du XVIIe siĂšcle. En 1791, aprĂšs la RĂ©volution, la loi interdit les vƓux monastiques et c'est la fin de l'abbaye de la Capelle. Ses biens furent revendus. Aujourd'hui, le puits du Moyen Âge et la chapelle saint Dominique rappellent l'histoire de l'abbaye.

    Le Moyen Âge à Merville

    Le toponyme de Merville apparait pour la premiÚre fois dans le Saisimentum comitatus tholosani, texte qui sanctionne le passage du comté de Toulouse, sous l'autorité du roi de France, en 1271.

    La documentation concernant le premier village médiéval est trÚs rare. Il se situait plus au sud de l'actuel village, autour d'une église, dédiée à saint Saturnin, et de son cimetiÚre, qui se trouvait dans l'actuel bois de Bayler. La population s'était installée tout autour de ce centre religieux.

    En 1359, pendant la guerre de Cent Ans, le village fut détruit par les Anglais, qui tentaient d'envahir Toulouse. Devant les ruines du village encore fumantes, on prit la décision de le reconstruire entiÚrement plus au nord.

    Pour dominer la vallée de la Garonne, le nouveau village, entouré d'un profond fossé et d'une large muraille, fut construit au sommet du plateau, à l'emplacement actuel du chùteau. On construisit une nouvelle église en 1370 dans le Fort, dédiée comme la précédente à saint Saturnin. L'ancienne église, qui avait résisté aux assauts anglais, fut démolie.

    Il y avait à l'intérieur du Fort, une cinquantaine de maisons de propriétaires différents, quatre rues (La grande rue, la rue de l'église, la rue du Four et la rue traversiÚre), le four, la forge, une place avec un puits au milieu et deux chùteaux seigneuriaux (maisons fortifiées). La population s'installa tout autour de ce Fort.

    Plusieurs familles seigneuriales se succéderont à Merville : celle de Jourdain de l'Isle, celle de Pérusse des Cars, de Chalvet-Rochemonteix, de La Fßte-Pelleport et de VillÚle[44] - [45].

    Les grandes reconstructions du XVIIIe siĂšcle

    Le marquis Henri-Auguste de Chalvet-Rochemonteix acquiert en 1734 la seigneurie de Merville. Un peu Ă  l'Ă©troit dans le chĂąteau de ses ancĂȘtres, et enclin Ă  une ambition dĂ©mesurĂ©e, il rĂ©cupĂšre des terrains du Fort, fait des Ă©changes, achĂšte des maisons. Il rĂ©ussit Ă  acquĂ©rir la totalitĂ© de l'enceinte fortifiĂ©e, qu'il rasera pour construire un chĂąteau.

    Il bouleverse complÚtement l'aspect du village, détruisant entiÚrement toute trace de l'ancien village. Il ne conservera que l'église du fort, qui brulera accidentellement en 1807. Les constructions du chùteau ont lieu de 1743 à 1759. Plus tard, un parc de buis est construit pour agrémenter le bùtiment avec un labyrinthe. Il est aujourd'hui encore debout, classé Monument historique du pur XVIIIe.

    La construction de l'église actuelle, dédiée à saint Saturnin, fut commencée en 1825. Cinq ans plus tard, on inaugurait la nouvelle église[46] - [47] - [48].

    HĂ©raldique

    Merville

    Son blasonnement est : D'azur à la mer d'argent, sur laquelle est bùtie une ville de gueules, maçonnée de sable.

    Politique et administration

    • L'hĂŽtel de ville.
      L'hĂŽtel de ville.

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2017 Ă©tant compris entre 5 000 habitants et 9 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'Ă©lection de 2020 est de vingt-neuf[49] - [50].

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Commune faisant partie de la cinquiÚme circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes des Hauts Tolosans et du canton de Léguevin (avant le redécoupage départemental de 2014, Merville faisait partie de l'ex-canton de Grenade) et avant le de la communauté de communes de Save et Garonne.

    Tendances politiques et résultats

    Les Mervillois sont assez fidÚles à leur administration communale : en 224 ans, seulement 18 maires se sont succédé, soit une moyenne de 12,4 ans par mandat.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1945 1967
    (décÚs)
    Georges Brunet Rad. Agriculteur
    Conseiller gĂ©nĂ©ral de Grenade (1951 → 1967)
    1967 Jean Baly
    Émile Pondicq
    Robert de Beaumont
    [51] Fernand Bentanax PS Cadre France Télécom retraité
    Décédé en fonction
    Bernard TagnĂšres PS Cadre Airbus
    [52] En cours Chantal Aygat DVG Retraitée de la fonction publique hospitaliÚre
    2e vice-présidente de la CC des Hauts Tolosans
    RĂ©Ă©lue pour le mandat 2020-2026[53]

    Jumelages

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[56]. En 2020, la commune comptait 6 241 habitants[Note 11], en augmentation de 22,09 % par rapport Ă  2014 (Haute-Garonne : +7,44 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1257769911 1061 1171 2151 1981 2871 237
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2821 2851 2411 1901 1811 2131 1341 1361 081
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0701 047995865873867873872949
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    9141 0531 3651 9292 2892 7963 7074 8645 367
    2020 - - - - - - - -
    6 241--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[57] puis Insee Ă  partir de 2006[58].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[59] 1975[59] 1982[59] 1990[59] 1999[59] 2006[60] 2009[61] 2013[62]
    Rang de la commune dans le département 63 66 58 58 57 49 44 46
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Économie

    Revenus

    En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 2 361 mĂ©nages fiscaux[Note 12], regroupant 6 138 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 23 540 â‚Ź[I 8] (23 140 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 9]). 59 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 13] (55,3 % dans le dĂ©partement).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 10]5,1 %6,6 %8,6 %
    DĂ©partement[I 11]7,7 %9,6 %9,3 %
    France entiĂšre[I 12]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  3 800 personnes, parmi lesquelles on compte 80,9 % d'actifs (72,3 % ayant un emploi et 8,6 % de chĂŽmeurs) et 19,1 % d'inactifs[Note 14] - [I 10]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 4] - [I 13]. Elle compte 1 174 emplois en 2018, contre 972 en 2013 et 948 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 2 776, soit un indicateur de concentration d'emploi de 42,3 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 69,2 %[I 14].

    Sur ces 2 776 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 479 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 91,5 % des habitants utilisent un vĂ©hicule personnel ou de fonction Ă  quatre roues, 2,1 % les transports en commun, 3,6 % s'y rendent en deux-roues, Ă  vĂ©lo ou Ă  pied et 2,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

    Secteurs d'activités

    419 établissements[Note 15] sont implantés à Merville au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 16] - [I 17].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble419100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    266,2 %(5,7 %)
    Construction7317,4 %(12 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    9823,4 %(25,9 %)
    Information et communication92,1 %(4,1 %)
    Activités financiÚres et d'assurance102,4 %(3,8 %)
    Activités immobiliÚres153,6 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    7918,9 %(19,8 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    6916,5 %(16,6 %)
    Autres activités de services409,5 %(7,9 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 23,4 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (98 sur les 419 entreprises implantĂ©es Ă  Merville), contre 25,9 % au niveau dĂ©partemental[I 18].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[63] :

    • Sud Aero, mĂ©canique industrielle (9 149 k€)
    • Techni Moules, fabrication de moules et modĂšles (5 573 k€)
    • Societe Industrielle D'exploitation Beton Arme - Sieba, fabrication d'Ă©lĂ©ments en bĂ©ton pour la construction (5 240 k€)
    • Navocap, ingĂ©nierie, Ă©tudes techniques (4 926 k€)
    • Depannages 31, rĂ©paration de machines et Ă©quipements mĂ©caniques (3 019 k€)
    • BĂ©guĂ© Charpente, entreprise de charpente. Philippe BĂ©guĂ©, Compagnon du Devoir.

    L'agriculture basĂ©e sur la culture de cĂ©rĂ©ales (maĂŻs, blé ) a encore une place importante mais tend Ă  disparaĂźtre en faveur de zones rĂ©sidentielles liĂ©es Ă  la proximitĂ© de l'agglomĂ©ration toulousaine.

    Agriculture

    La commune est dans « les VallĂ©es », une petite rĂ©gion agricole consacrĂ©e Ă  la polyculture sur les plaines et terrasses alluviales qui s’étendent de part et d’autre des sillons marquĂ©s par la Garonne et l’AriĂšge[64]. En 2020, l'orientation technico-Ă©conomique de l'agriculture[Note 17] sur la commune est la polyculture et/ou le polyĂ©levage[Carte 5].

    1988200020102020
    Exploitations73494637
    SAU[Note 18] (ha)1 9431 6741 5501 479

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 73 lors du recensement agricole de 1988[Note 19] Ă  49 en 2000 puis Ă  46 en 2010[66] et enfin Ă  37 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 49 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 57 % de ses exploitations[67] - [Carte 7]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 1 943 ha en 1988 Ă  1 479 ha en 2020[Carte 8]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 27 Ă  40 ha[66].

    Culture locale et patrimoine

    ChĂąteau de Merville

    Chùteau du XVIIIe siÚcle, classé au titre des monuments historiques. Labyrinthe XVIIIe siÚcle classé Parcs et Jardins Remarquables.

    Église Saint-Saturnin

    La premiĂšre pierre de l’église de Merville fut posĂ©e en 1825 et l’église fut inaugurĂ©e en 1830. Elle a remplacĂ© l’ancienne Ă©glise situĂ©e dans la cour du chĂąteau et dĂ©truite par un incendie en 1807. Elle est placĂ©e sous la protection de Saint Saturnin ou Sernin, Ă©vĂȘque de Toulouse martyrisĂ© en 250. L’église, de style nĂ©o-classique, prĂ©sente une façade de brique foraine ornĂ©e d’un fronton triangulaire et coiffĂ©e d’un clocher-mur percĂ© de trois baies. Le blason aux armes des Montlezun-Saint-Lary, datĂ© 1705-1741, provient de l’Abbaye Notre-Dame de la Capelle, situĂ©e en bord de Garonne, qui disparut Ă  la RĂ©volution. La nef unique de l’église est encadrĂ©e par quatre chapelles et elle prĂ©sente un chevet plat. Son dĂ©cor peint fut rĂ©alisĂ© en 1840 par François et Jean-Antoine Pedoya, une fratrie d’artistes d’origine italienne. Il est composĂ© de trompe-l’Ɠil et de grisailles, notamment la rosace placĂ©e au-dessus de l’autel. Au sommet des murs sont reprĂ©sentĂ©s douze mĂ©daillons avec saint Pierre et saint Paul, six apĂŽtres et les quatre Ă©vangĂ©listes. Le chƓur est encadrĂ© de stalles de bois sculptĂ©es et il est fermĂ© par une grille de communion. Le maĂźtre-autel, fait de marbres prĂ©cieux, est surmontĂ© d’une descente de croix.

    Pigeonniers

    De nombreux pigeonniers furent construits Ă  Merville, ils prĂ©sentent une grande variĂ©tĂ© architecturale. Disparu aujourd'hui, l’élevage des pigeons Ă©tait autrefois une source de revenus, grĂące Ă  la chair trĂšs fine du pigeon et grĂące Ă  la colombine, fiente du pigeon, utilisĂ©e comme engrais. Le type de pigeonnier le plus rĂ©pandu a une toiture d’une seule pente, interrompue par un ressaut, oĂč se trouvent les trous d’envol percĂ©s dans une planche de bois. Son profil caractĂ©ristique lui a valu le surnom de pied-de- mulet. À l’intĂ©rieur, les murs Ă©taient tapissĂ©s de nids, appelĂ©s boulins, fabriquĂ©s en osier ou en briquettes. Un pigeonnier de dimension moyenne contenait 80 Ă  100 boulins. Beaucoup de soin Ă©tait donnĂ© Ă  ces constructions car elles affichaient aussi l’aisance financiĂšre de leur propriĂ©taire. C’est le cas de l’ancien pigeonnier du ChĂąteau de Merville visible depuis la rue du [68].

    Le Ramier de Bigorre

    SituĂ© dans un mĂ©andre de la Garonne, la Ramier de Bigorre est un espace naturel protĂ©gĂ© d’environ 70 hectares, abritant une faune et une flore riche et variĂ©e. Ce milieu prĂ©servĂ© oĂč la forĂȘt est l’élĂ©ment essentiel du site, regorge d’une vĂ©gĂ©tation luxuriante. Il n’est pas rare d’apercevoir des hĂ©rons, des Ă©cureuils ou encore des milans noirs s’accommodant Ă  cet endroit paisible avec une grande facilitĂ©. Le site est gĂ©rĂ© par l’association Nature Midi-PyrĂ©nĂ©es qui a amĂ©nagĂ© le site avec un chemin balisĂ© et des panneaux d’information.

    • Chateau de Merville
      Chateau de Merville
    • Le monument aux morts
      Le monument aux morts
    • L'Ă©glise Saint-Saturnin
      L'Ă©glise Saint-Saturnin
    • Clocher-mur
    • La nef
      La nef
    • La chaire
      La chaire
    • L'autel
      L'autel
    • Chapelle de la Vierge de PitiĂ©
      Chapelle de la Vierge de Pitié

    Personnalités liées à la commune

    Vie pratique

    Enseignement

    Merville fait partie de l'académie de Toulouse.

    Groupe scolaire Georges Brassens école maternelle et l'école élémentaire. Depuis le 7 novembre 2022, 2Úme groupe scolaire : l'école des Tournesols (élémentaires et maternelles

    Culture

    Amalgam (Association danse respect et citoyenneté), foyer rural.

    Activités sportives

    Merville est un village dynamique ayant de multiples clubs et associations sportives, en voici une liste non exhaustive:

    FC Merville club de football, Merville tennis club, Merville handball club, Top Forme Club Gymnastique, la pétanque merviloise, Equi Libre, randonnée pédestre (Randonnées, Culture & Loisirs de Merville (ARCLM)),

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes de Save et Garonne[70].

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • CĂ©lestin Douais, La coutume de Merville (1307, 1317, 1320, 1336, 1352, 1355, 1359), Toulouse, E. Privat, Paris, L. Larose et Forcel, 1891, extrait de Nouvelle revue historique de droit français et Ă©tranger", septembre-
    • CĂ©lestin Douais, Les manuscrits du chĂąteau de Merville : notices, extraits et fac-similĂ©s, Paris, A. Picard, Toulouse, E. Privat, 1890 — PubliĂ© aussi dans les Annales du Midi : revue archĂ©ologique, historique et philologique de la France mĂ©ridionale, 1890, vol.2, n°2-5, pp. 36-64
    • AbbĂ© Henri-Dominique Larrondo, Une commune rurale avant la RĂ©volution ou Histoire de la baronnie de Merville, pays de Guyenne, sĂ©nĂ©chaussĂ©e et diocĂšse de Toulouse, Toulouse : É. Privat, 1891, XI-552 p., fig. et errata. → Ă  lire dans Gallica
    • AbbĂ© Henri-Dominique Larrondo, Monographie de la commune de Merville (Haute-Garonne), dans Monographies de communes, concours ouvert en 1897 par la SociĂ©tĂ© des agriculteurs de France, Paris & Lille : J. Lefort - A. Taffin-Lefort, successeur, 1898, pp.51-174
    • AbbĂ© Jean Dancausse, Nouvelle histoire de Merville

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[13].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[25].
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    12. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    13. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    14. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    15. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    16. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    17. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    18. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    19. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[65].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Merville » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Merville » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Unité urbaine 2020 de Merville » (consulté le ).
    4. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », (consultĂ© le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Merville » (consulté le ).
    9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Merville » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    14. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Merville » (consulté le ).
    15. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    16. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Merville » (consulté le ).
    18. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Merville et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Merville et Léguevin », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches de Merville », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
    5. Carte IGN sous GĂ©oportail
    6. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestiÚre, [lire en ligne].
    7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
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    10. Sandre, « la Save »
    11. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
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    14. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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    24. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    44. AbbĂ© Larrondo, Histoire de la Baronnie de Merville, Le livre d’histoire-Lorisse, 2003, 557 p. (ISBN 2-84373-273-5).
    45. AbbĂ© Jean Dancausse, Nouvelle histoire de Merville, d’aprĂšs l’Histoire de la Baronnie de Merville de l’AbbĂ© Larrondo.
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