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Montaigut-sur-Save

Montaigut-sur-Save (Montagut de Sava en occitan) est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.

Montaigut-sur-Save
Montaigut-sur-Save
La chapelle Notre-Dame-d'Alet.
Blason de Montaigut-sur-Save
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Communauté de communes des Hauts Tolosans
Maire
Mandat
François Codine
2020-2026
Code postal 31530
Code commune 31356
DĂ©mographie
Gentilé Montaigutois, Montaigutoises
Population
municipale
1 897 hab. (2020 en augmentation de 18,34 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 150 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 41′ 32″ nord, 1° 13′ 53″ est
Altitude Min. 116 m
Max. 194 m
Superficie 12,65 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de LĂ©guevin
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Montaigut-sur-Save
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Liens
Site web Site officiel

    Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Rivière-Verdun, un petit pays d'élection de l'est de la Gascogne, à l'écart des grandes voies de communication, et s'étageant sur les terrasses de la rive gauche de la Garonne, entre la vallée de la Save et la Lomagne, et se prolongeant en Gascogne toulousaine. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Save, un bras de la Save, l'Arsène, le ruisseau de Cérès, le ruisseau de Ribarot et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique. Une partie de la forêt de Bouconne est située sur le territoire de la commune.

    Montaigut-sur-Save est une commune rurale qui compte 1 897 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelĂ©s les Montaigutois ou Montaigutoises.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : la chapelle Notre-Dame-d'Alet, classée en 1988.

    GĂ©ographie

    Localisation

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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    La commune de Montaigut-sur-Save se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe Ă  20 km Ă  vol d'oiseau de Toulouse[1], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  10 km de LĂ©guevin[2], bureau centralisateur du canton de LĂ©guevin dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Saint-Paul-sur-Save (0,9 km), Bretx (3,0 km), Daux (3,1 km), Menville (3,3 km), LĂ©vignac (4,1 km), Mondonville (5,1 km), Larra (5,3 km), Thil (6,1 km).

    Sur le plan historique et culturel, Montaigut-sur-Save fait partie du pays de Rivière-Verdun, un petit pays d'élection de l'est de la Gascogne sis à l'écart des grandes voies de communication. Ce territoire s'étage sur les terrasses de la rive gauche de la Garonne, entre la vallée de la Save et la Lomagne, et se prolonge plein est en Gascogne toulousaine[4].

    Montaigut-sur-Save est limitrophe de sept autres communes. Les communes limitrophes sont Merville, Daux, LĂ©vignac, Saint-Paul-sur-Save, Larra et Pibrac.

    Communes limitrophes de Montaigut-sur-Save[5]
    Larra Merville
    Saint-Paul-sur-Save Montaigut-sur-Save Daux
    LĂ©vignac Pibrac, Mondonville
    (par un quinquepoint)

    GĂ©ologie

    La superficie de la commune est de 1 265 hectares ; son altitude varie de 116 Ă  194 mètres[6].

    Au point de vue géologique, la commune est située dans la vallée de la Save qui a formé une vaste plaine constituée par des dépôts alluviaux anciens de la moyenne terrasse de la Garonne. Ces formations ont été fortement entaillées lors de la mise en place de la rivière Save, couvrant l'espace entre le plateau alluvial de la Garonne et la vallée de la Save de formations colluvio-alluviales. L'érosion a été forte et par endroits le substratum molassique peut apparaitre, notamment dans le centre bourg.

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Montaigut-sur-Save.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainĂ©e par la Save, l'Arsène, le ruisseau de CĂ©rès, le ruisseau de Ribarot, un bras de la Save, le ruisseau de la Croix, le ruisseau de Pascal et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 19 km de longueur totale[8] - [Carte 1].

    La Save, d'une longueur totale de 143 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan (65) et s'Ă©coule du sud-ouest vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne Ă  Grenade, après avoir traversĂ© 46 communes[9].

    Climat

    Au point de vue climatique, la commune de Montaigut-sur-Save est, comme la région toulousaine, soumise à l'influence du climat océanique qui est dégradé par la continentalité. Les flux d'ouest dominent, donnant des hivers plutôt doux et humides mais des étés chauds et secs caractérisés par des orages violents. Les précipitations sont régulières tout au long de l'année, avec un maximum enregistré au printemps (d'avril à juin). Le vent d'autan se manifeste notablement sur le haut de la commune d'octobre à janvier.

    • Moyenne tempĂ©rature annuelle : 12,9 °C (hiver : 7,5 °C / Ă©tĂ© : 18 °C)
    • Moyenne annuelle de jours de gel : 37 (?)
    • Moyenne prĂ©cipitations : 655 mm/an
    • DurĂ©e moyenne d'ensoleillement : 2 047 h/an[10]

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂŞt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensĂ©es sur la commune[11] : la « forĂŞt de Bouconne » (2 868 ha), couvrant 10 communes dont neuf dans la Haute-Garonne et une dans le Gers[12] et la « rivière de la Save en aval de Montaigut-sur-Save » (94 ha), couvrant 6 communes dont cinq dans la Haute-Garonne et une dans le Tarn-et-Garonne[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Montaigut-sur-Save est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [14] - [I 2] - [15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 3] - [I 4].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (33,6 %), forêts (32,9 %), zones agricoles hétérogènes (22,2 %), zones urbanisées (11,4 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Voies de communication et transports

    Accès par la route nationale 224 en venant de Toulouse.

    Par l'avion : aéroport de Toulouse-Blagnac.

    La ligne 369 du réseau Arc-en-Ciel relie le centre de la commune à la gare routière de Toulouse depuis Lasserre-Pradère, et la ligne 373 relie le centre de la commune à la gare routière de Toulouse également depuis Cadours.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Montaigut-sur-Save est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible)[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Arsène. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1999, 2000, 2009 et 2022[19] - [17].

    Un plan dĂ©partemental de protection des forĂŞts contre les incendies a Ă©tĂ© approuvĂ© par arrĂŞtĂ© prĂ©fectoral du 25 septembre 2006. Montaigut-sur-Save est exposĂ©e au risque de feu de forĂŞt du fait de la prĂ©sence sur son territoire du massif de Bouconne. Il est ainsi dĂ©fendu aux propriĂ©taires de la commune et Ă  leurs ayants droit de porter ou d’allumer du feu dans l'intĂ©rieur et Ă  une distance de 200 mètres des bois, forĂŞts, plantations, reboisements ainsi que des landes. L’écobuage est Ă©galement interdit, ainsi que les feux de type mĂ©chouis et barbecues, Ă  l’exception de ceux prĂ©vus dans des installations fixes (non situĂ©es sous couvert d'arbres) constituant une dĂ©pendance d'habitation[20] - [21]

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montaigut-sur-Save.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (88,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 621 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 621 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 98 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1998, 1999, 2002, 2006, 2011, 2015 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

    Toponymie

    Montaigut de Mons acutus mont aigu, le nom de la colline du village.

    Histoire

    La très ancienne prĂ©sence humaine se signale tout d'abord par des vestiges prĂ©historiques dĂ©couverts lors de travaux rĂ©alisĂ©s près de la forĂŞt de Bouconne. Le principal site, le site Bichou Ă  Montaigut a livrĂ© plus de 2500 objets et indices d'occupations prĂ©historiques correspondant Ă  deux Ă©poques successives, l'AcheulĂ©en (âge estimĂ© d'environ 400 000 ans) et le PalĂ©olithique moyen[24].

    Récemment, on a également pu retrouver le site d'un village gaulois (vers Mondonville) et des traces de camps fortifiés romains (lieu-dit des Fourtous).

    Au XIe siècle, l'histoire du laboureur Raymond, qui voit apparaître la Vierge dans son champ, est à l'origine de la construction de la chapelle Notre-Dame-d'Alet. Maintes fois détruite, elle a été à chaque fois rebâtie par les habitants de Montaigut qui lui ont toujours voué un culte indéfectible. Elle fut pendant des siècles un haut lieu de pèlerinage[25].

    Entre le village et la chapelle, un antique manoir se dressait à mi-coteau. Il fut remplacé après la guerre de Cent Ans par le château de Montaigut, flanqué de quatre grosses tours dominant toute la plaine de la Save. De puissants seigneurs habitèrent pendant des siècles cette demeure princière (familles de Faudoas, Le Masuyer, de Tournier), fournissant au Parlement de Toulouse quelques membres illustres. Le château, complètement démoli à la Révolution française, a pu cependant être localisé par hasard grâce à des travaux de terrassement qui ont découvert ses fondations. Un dessin du château est conservé aux archives départementales[26].

    En 1940 ou 1941, un site allemand d'entrainement de la Luftwaffe (aviation allemande) est construit à Montaigut. De nombreux tirs sont entendus par la population, signe des entraînements intensifs. Par trois reprises, des avions se sont même crashés, causant une seule fois la mort du pilote allemand[27].

    HĂ©raldique

    Montaigut-sur-Save

    Son blasonnement est : sable Ă  la billette d'argent.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2017 Ă©tant compris entre 1 500 habitants et 2 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'Ă©lection de 2020 est de dix-neuf[28] - [29].

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Commune faisant partie de la cinquième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes des Hauts Tolosans et du canton de Léguevin (avant le redécoupage départemental de 2014, Montaigut-sur-Save faisait partie de l'ex-canton de Grenade) et avant le de la communauté de communes de Save et Garonne.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1971 Armand Lascoumères
    1971 1989 Julien Chanaut
    1989 2001 Jean Maurely
    2001 2020 Pierre Sanchez Retraité
    2020 En cours Francois Codine Technicien aéronautique

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

    En 2020, la commune comptait 1 897 habitants[Note 5], en augmentation de 18,34 % par rapport Ă  2014 (Haute-Garonne : +7,44 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    336380394421459454476484484
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    489500512444471461447467460
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    429406439374309324313338310
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    3064195897249721 2011 3311 5131 559
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 6031 8391 897------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee Ă  partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[34] 1975[34] 1982[34] 1990[34] 1999[34] 2006[35] 2009[36] 2013[37]
    Rang de la commune dans le département 154 161 160 125 120 117 120 123
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Montaigut profite du dynamisme de la banlieue ouest de la métropole régionale et connait un fort développement depuis une vingtaine d'années.

    En 30 ans (1968-1999), la population a été multipliée par trois. La commune s'inscrit donc dans la dynamique démographique des communes périurbaines de la métropole toulousaine. Le taux de croissance démographique annuel est important (de l'ordre de 2,38 % sur la période 1990-1999).

    Enseignement

    Montaigut-sur-Save fait partie de l'académie de Toulouse.

    La commune dispose d'une école maternelle et d'une école primaire publique[38], ainsi qu'une bibliothèque.

    Sports

    PĂ©tanque, football, cyclotourisme ou rugby Ă  XV[39].

    Le club de rugby XV de la Save est champion de France 3eme serie en 2018 face au RC Routier(12). Rencontre se déroulant sur le terrain de Graulhet (81)

    Santé

    Centre communal d’action sociale[40],

    Culture, fĂŞte

    La fête locale a lieu traditionnellement tous les premiers week-ends de septembre, bibliothèque municipale, salle des fêtes, base de loisirs,

    En 2007, Lors de l'enquête "Où vit-on le mieux dans le grand Toulouse, réalisée tous les deux ans par le quotidien régional "La Dépêche du Midi", la commune de Montaigut-sur-Save a été distinguée en remportant le trophée dans le domaine "Animation, culture et loisirs".

    Écologie et recyclage

    En 2009, la commune de Montaigut-sur-Save s'est à nouveau distinguée en remportant cette fois le trophée « environnement ».

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes de Save et Garonne[41].

    Économie

    Revenus

    En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 682 mĂ©nages fiscaux[Note 6], regroupant 1 936 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 27 170 â‚¬[I 5] (23 140 â‚¬ dans le dĂ©partement[I 6]).

    Emploi

    Taux de chĂ´mage
    200820132018
    Commune[I 7]4,2 %5,8 %6,4 %
    DĂ©partement[I 8]7,7 %9,6 %9,3 %
    France entière[I 9]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lève Ă  1 107 personnes, parmi lesquelles on compte 82,3 % d'actifs (75,9 % ayant un emploi et 6,4 % de chĂ´meurs) et 17,7 % d'inactifs[Note 7] - [I 7]. Depuis 2008, le taux de chĂ´mage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂ´le[Carte 4] - [I 10]. Elle compte 214 emplois en 2018, contre 226 en 2013 et 203 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 851, soit un indicateur de concentration d'emploi de 25,1 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 68,6 %[I 11].

    Sur ces 851 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 88 travaillent dans la commune, soit 10 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 91,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,7 % les transports en commun, 3,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

    Secteurs d'activités

    151 établissements[Note 8] sont implantés à Montaigut-sur-Save au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9] - [I 14].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble151100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    138,6 %(5,7 %)
    Construction1811,9 %(12 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    3523,2 %(25,9 %)
    Information et communication53,3 %(4,1 %)
    Activités financières et d'assurance21,3 %(3,8 %)
    Activités immobilières1711,3 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    2214,6 %(19,8 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    2415,9 %(16,6 %)
    Autres activités de services159,9 %(7,9 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 23,2 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (35 sur les 151 entreprises implantĂ©es Ă  Montaigut-sur-Save), contre 25,9 % au niveau dĂ©partemental[I 15].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[42] :

    • Green Log, location de terrains et d'autres biens immobiliers (3 248 k€)
    • Les Boulots, location de terrains et d'autres biens immobiliers (3 117 k€)
    • Les Cedres, location de terrains et d'autres biens immobiliers (1 583 k€)
    • Kaneq, production d'Ă©lectricitĂ© (1 568 k€)
    • 3R, activitĂ©s des sociĂ©tĂ©s holding (1 515 k€)

    L'agriculture basée sur la culture de céréales (maïs, blé...) tient encore une place importante mais tend à diminuer en faveur de zones résidentielles liées à la proximité de l'agglomération toulousaine puisque étant dans son aire urbaine.

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations168109
    SAU[Note 10] (ha)403240183183

    La commune est dans les « Coteaux du Gers », une petite région agricole occupant une partie nord-ouest du département de la Haute-Garonne, caractérisée par une succession de coteaux peu accidentés, les surfaces cultivées étant entièrement dévolues aux grandes cultures[43]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la culture de fleurs et/ou horticulture diverse[Carte 5]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 12] (16 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 183 ha[45] - [Carte 6] - [Carte 7].

    Culture locale et patrimoine

    Chapelle Notre-Dame-d'Alet

    La chapelle Notre-Dame-d'Alet est classée Monument historique depuis 1988[46].

    La dévotion à Notre-Dame d’Alet se développa au XIIe siècle à la suite d'une apparition de la Vierge à un laboureur nommé Raymond. La première chapelle vit le passage de saint Dominique en 1213. Elle fut détruite au cours des guerres de religion puis reconstruite en 1673. De toute la région, les pèlerins arrivaient en nombre, on dut alors agrandir le sanctuaire avec une chapellenie et un cloître. De cette époque datent les remarquables retables baroques du maître-autel et des chapelles secondaires. À la Révolution, le comité révolutionnaire décida de détruire la chapelle mais les habitants du village s’y opposèrent. Elle fut restaurée au XIXe siècle avec l’ajout du porche d’entrée. La nef fut alors ornée d’un plafond à caissons, d’une chaire et d’un ensemble de vitraux de l’atelier Gesta. En outre, la chapelle possède deux Vierges de Pitié de qualité, l’une de pierre du XVIe siècle de style bourguignon et l’autre de terre cuite réalisée au XVIIe siècle par Étienne Dugast. Cette dernière était placée à l’origine sur le toit de la chapelle, une copie l’y a remplacée depuis 1996[47].

    Église Saint-Pierre

    Le chœur et une grande partie de la nef sont les parties les plus anciennes de l’église Saint-Pierre, ils datent probablement des XIVe et XVe siècles. La nef unique est encadrée de trois chapelles ajoutées aux XVIIe et XVIIIe siècles. Le XIXe siècle fut une période de travaux importants. Le couvrement fut alors refait en utilisant les chevrons de la charpente d’origine. En 1835 on construisit le clocher mur qui est épaulé de quatre puissants contreforts. Sur les deux grosses cloches avec joug de bois est inscrite la date 1835. Puis l’horloge fut installée en 1888, son cadre fut changé en 1956. À la fin du XIXe siècle on réalisa le décor peint de l’église, un décor de style néogothique alors à la mode. À la même époque furent ajoutées les marches et la porte d’entrée du côté Sud. Le couvrement et le clocher ont fait l’objet d’une importante restauration achevée en 2013.

    • Façade
      Façade
    • Depuis la route de Saint-Paul-sur-Save
      Depuis la route de Saint-Paul-sur-Save
    • Avec la mairie
      Avec la mairie

    Château de Montaigut

    Le château de Montaigut, aujourd'hui disparu, fut construit après la Guerre de Cent Ans sur les pentes abruptes située au-dessus du village. Après être passé de main en main dans de grandes familles, son histoire se termine avec sa destruction en 1795, au cours de la Révolution.

    ForĂŞt de Bouconne

    La forĂŞt de Bouconne, seul grand massif forestier proche de Toulouse, couvre avec 2 378 ha dont 373 ha sur Montaigut, soit un tiers du territoire communal. Une base de loisirs y est implantĂ©e avec une piscine, des courts de tennis, un minigolf, etc. La forĂŞt est amĂ©nagĂ©e pour recevoir les randonneurs, sportifs, pĂŞcheurs, chasseurs et amoureux de nature. La base de loisirs est le dĂ©part de sentiers balisĂ©s de randonnĂ©es pĂ©destres, dont le Chemin de Compostelle GR 653, VTT et Ă©questres.

    Personnalités liées à la commune

    • HonorĂ© Serres dĂ©cĂ©dĂ© sur la commune le .
    • Julien Salamon est nĂ© le Ă  Caragoude. Après des Ă©tudes de mĂ©decine Ă  Paris (pendant lesquelles il rĂ©alise de remarquables reproductions de tableaux du Louvre), il devient un des premiers spĂ©cialistes accoucheurs de Toulouse (il n'y avait alors que des sages-femmes), ce qui lui permet de gagner rapidement une forte notoriĂ©tĂ©. Ayant fait construire en 1875 Ă  Montaigut-sur-Save un relais de chasse : la villa d'Alet, il devient maire de la commune entre 1877 et 1883 et fait voter la crĂ©ation de l'Ă©cole. Julien Salamon venait plusieurs fois par an en calèche Ă  Montaigut pour assurer ses fonctions de maire. Il fut attaquĂ© par des brigands dans le virage du chemin de Mondonville. Grâce aux deux pistolets qu'il portait sur lui, il put continuer son chemin et arriver vivant mais blessĂ© Ă  Montaigut. Sa petite-fille Marie-Louise Betbèze, Ă©pousa GĂ©rard Rouvière qui fut Ă  son tour maire de Montaigut entre 1929 et 1935.
    • LĂ©on Achiary : nĂ© le au pays basque, Ă  Esquiule (Basses-PyrĂ©nĂ©es), fils de cheminot, LĂ©on Achiary fait ses Ă©tudes Ă  Rodez, puis Ă  l'Ă©cole indigène de la BouzanĂ©a, et devient instituteur. Il entre avec sa femme Henriette en rĂ©sistance dans le rĂ©seau Brutus Ă  Toulouse, organisĂ© autour de Raymond Naves (sous le pseudonyme de Louis Arnal). Naves crĂ©e le Journal clandestin « Le Populaire du Sud Ouest », imprimĂ© chez les Frères Lion. LĂ©on Achiary, alors responsable de la MutualitĂ© rue de Metz, (dĂ©nommĂ©e « la Centrale ») met Ă  disposition ses locaux pour se rĂ©unir et entreposer les journaux clandestins.En , repĂ©rĂ© et traquĂ© par la Gestapo, le couple Achiary se rĂ©fugie Ă  Lyon, puis Ă  Paris. Mais, en , la Gestapo les retrouve. LĂ©on Achiary a le temps de s'enfuir, mais pas Henriette, qui est arrĂŞtĂ©e. Elle meurt en dĂ©portation le Ă  RavensbrĂĽck (Allemagne). LĂ©on Achiary termine sa carrière comme directeur de l'Ă©cole de teinturerie d'Alger. Il prend sa retraite dans la rĂ©gion toulousaine Ă  Montaigut-sur-Save, au lieu-dit du Courbet. Il laisse le souvenir Ă  ses voisins d'un homme discret et affable. Il meurt le , ses cendres reposent au columbarium de Cornebarrieu[48].
    • SĹ“ur Emmanuelle, vient en 1995 Ă  Montaigut faire un sĂ©jour Ă  Notre-Dame-d’Alet, hĂ©bergĂ©e par la gardienne des lieux, sĹ“ur Jacqueline Mercier des Rochettes, de la mĂŞme congrĂ©gation des sĹ“urs de Sion. Elle laissera un souvenir Ă©mu aux enfants du village qui la rencontrent et suivent partout ses baskets fluos.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    9. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[44].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Montaigut-sur-Save » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Montaigut-sur-Save » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Montaigut-sur-Save » (consulté le ).
    6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Montaigut-sur-Save » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Montaigut-sur-Save » (consulté le ).
    12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Montaigut-sur-Save » (consulté le ).
    15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Montaigut-sur-Save et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Montaigut-sur-Save et Léguevin », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches de Montaigut-sur-Save », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 364-365.
    5. Carte IGN sous GĂ©oportail
    6. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    8. « Fiche communale de Montaigut-sur-Save », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    9. Sandre, « la Save »
    10. Météo France
    11. « Liste des ZNIEFF de la commune de Montaigut-sur-Save », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « ZNIEFF la « forêt de Bouconne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « ZNIEFF la « rivière de la Save en aval de Montaigut-sur-Save » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    17. « Les risques près de chez moi - commune de Montaigut-sur-Save », sur Géorisques (consulté le )
    18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
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    20. « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur www.haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque feux de forêts.
    21. « Prévention des incendies de forêt en Haute-Garonne », sur www.haute-garonne.gouv.fr (consulté le )
    22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Montaigut-sur-Save », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    24. http://www.montaigut-sur-save.com/wp-content/uploads/2013/10/Les-premiers-habitants-de-Montaigut-de-lointains-cousins....pdf
    25. http://www.montaigut-sur-save.com/wp-content/uploads/2013/11/historique-ND-dAlet.pdf
    26. http://www.montaigut-sur-save.com/wp-content/uploads/2013/10/Le-ch%C3%A2teau-de-Montaigut.pdf
    27. « Petites histoires d'avions ».
    28. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    29. « Résultats des élections sénatoriales 2020 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Senatoriales/elecresult__senatoriales-2020 (consulté le ).
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    34. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
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    45. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Montaigut-sur-Save - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    46. « Chapelle Notre-Dame d'Alet », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
    47. La dévotion à Notre Dame d’Alet, Toulouse, 1863, Editions E.Connac, Delpon et Cie.
    48. http://www.memoresist.org/spip.php?page=oublionspas_detail&id.Site web de Force Ouvrière (FO-Raymond Naves)Récit publié « Eglantine et Vert-de-Gris 1940-1944" d' Henri Docquiert
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