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Thil (Haute-Garonne)

Thil (Tilh en occitan) est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne en région Occitanie.

Thil
Thil (Haute-Garonne)
La mairie sur la butte du château depuis la halle
Blason de Thil
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Communauté de communes des Hauts Tolosans
Maire
Mandat
Céline Frayard
2020-2026
Code postal 31530
Code commune 31553
Démographie
Gentilé Thilois, Thiloises
Population
municipale
1 141 hab. (2020 en diminution de 2,89 % par rapport à 2014)
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 42′ 47″ nord, 1° 09′ 41″ est
Altitude Min. 149 m
Max. 275 m
Superficie 23,68 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Léguevin
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Thil
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Thil
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Thil
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Thil
Liens
Site web http://www.mairie-thil31.fr/

    Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Rivière-Verdun, un petit pays d'élection de l'est de la Gascogne, à l'écart des grandes voies de communication, et s'étageant sur les terrasses de la rive gauche de la Garonne, entre la vallée de la Save et la Lomagne, et se prolongeant en Gascogne toulousaine. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Arsène, le ruisseau de Saint-Pierre, la Saoume et par divers autres petits cours d'eau.

    Thil est une commune rurale qui compte 1 141 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Thilois ou Thiloises.

    Géographie

    Localisation

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    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    La commune de Thil se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 26 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 14 km de Léguevin[2], bureau centralisateur du canton de Léguevin dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Bretx (3,2 km), Launac (3,8 km), Pelleport (4,6 km), Menville (4,7 km), Le Castéra (4,8 km), Le Grès (5,1 km), Saint-Paul-sur-Save (5,5 km), Lévignac (5,8 km).

    Sur le plan historique et culturel, Thil fait partie du pays de Rivière-Verdun, un petit pays d'élection de l'est de la Gascogne sis à l'écart des grandes voies de communication. Ce territoire s'étage sur les terrasses de la rive gauche de la Garonne, entre la vallée de la Save et la Lomagne, et se prolonge plein est en Gascogne toulousaine[4].

    Thil est limitrophe de neuf autres communes. Les communes limitrophes sont Launac, Bellegarde-Sainte-Marie, Bretx, Le Castéra, Garac, Le Grès, Menville, Pelleport et Larra.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 2 368 hectares ; son altitude varie de 149 à 275 mètres[6].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Thil.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par l'Arsène, le ruisseau de Saint-Pierre, la Saoume, le Riouet, le ruisseau de carayon, le ruisseau de Gaillas, le ruisseau de la Gaillarde, le ruisseau de la Reyre, le ruisseau de la Trappe, le ruisseau de Paris, le ruisseau des Poujoulets et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 29 km de longueur totale[8] - [Carte 1].

    L'Arsène, d'une longueur totale de 14,1 km, prend sa source dans la commune d'Encausse (32) et s'écoule d'ouest en est. Il traverse la commune et se jette dans La Save à Montaigut-sur-Save, après avoir traversé 10 communes[9].

    Le ruisseau de Saint-Pierre, d'une longueur totale de 20,8 km, prend sa source dans la commune de Pelleport et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans le ruisseau de Marguestaud à Aucamville (82), après avoir traversé 8 communes[10].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 734 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Isle-Jourdain », sur la commune de l'Isle-Jourdain, mise en service en 1967[16] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[17] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 705,4 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947 et à 20 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[20], à 13,8 °C pour 1981-2010[21], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[22].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[23] - [24] - [25].

    Urbanisme

    Typologie

    Thil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [26] - [I 2] - [27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 3] - [I 4].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,8 %), zones agricoles hétérogènes (20,3 %), forêts (13,1 %), zones urbanisées (1,2 %), eaux continentales[Note 7] (1,1 %), prairies (0,5 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Lieux-dits ou hameaux

    Sabathérat, La Burthe, Crastos, Bordeneuve, Barruès, L'Antique.

    Voies de communication

    La départementale 1 (D1) passe au nord du village. Elle permet de rejoindre Le Grès et Bretx. La D58 permet de rejoindre Bellegarde-Sainte-Marie ou Garac si l'on tourne à droite pour prendre la D24, ou encore Launac si on l'emprunte en direction du nord. La D93 permet de relier le Castéra (par le sud) et Pelleport (par le nord), tandis que la D89 Menville et Lévignac (par le sud) et Caubiac (par l'ouest).

    Transports

    La ligne 373 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la gare routière de Toulouse depuis Cadours.

    La gare la plus proche de Thil est celle de Mérenvielle sur la ligne Toulouse - Auch. L'aéroport de Toulouse-Blagnac est situé à une trentaine de kilomètres de Thil.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Thil est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[29]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[30].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de Saint-Pierre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1999, 2009 et 2014[31] - [29].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Thil.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 440 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 440 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[32] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[33].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1998, 2000, 2003, 2006, 2011 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1999[29].

    Toponymie

    Le mot occitan Tilh (orthographié en français Thil) vient de l'arbre tilho, Tilleul en roman[34].

    Histoire

    Le tumulus de Thil est une butte de terre artificielle élevée au-dessus d’une sépulture, manifestement construite par un peuple proto-basque entre le Ve et le IIIe siècle avant Jésus-Christ[34]. Thil étant en Aquitaine, ce tumulus n'est pas à proprement parler « gaulois » puisqu'il est situé en dehors de la zone de présence celtique en pays toulousain (Volques Tectosages, arrivés au IIIe siècle avant Jésus-Christ).

    Vers le XIe siècle ce tumulus servit de base pour édifier le château de Thil. Le château était entouré de fossés sur trois côtés. On pouvait probablement y accéder grâce à un pont-levis qui se trouvait à l’emplacement actuel de la halle. Les restes des anciens fossés du château étaient encore visibles dans les années 1960. Le village s’établit alors autour de l’église tout contre le château. Au Moyen Âge le village était un fief des Jourdain de l’Isle, dont les descendants, de Tilho, ont laissé leur nom au village.

    La bataille de Launac se déroule probablement sur le territoire de la commune le . Elle voit Gaston III de Foix-Béarn, dit Fébus, vaincre les troupes de Jean Ier d'Armagnac.

    Le village fortifié de Thil fut construit au Moyen Âge contre la butte du château, à laquelle il était relié par un pont-levis. La protection de ce bourg était assurée à l’est par un mur très épais, sur lequel s’appuyaient des maisons à l’intérieur de l’enceinte. Parmi les derniers vestiges de cette époque, il reste deux maisons situées entre la rue longue et la rue du Riouet. La maison située dans la rue du Riouet présente un mur très épais fait de paillebart : un mélange de terre crue, de gravier et de paille hachée, reste de l’enceinte primitive. La maison dite du notaire possède une façade à pans de bois bien conservée visible dans la rue Longue.

    Le ravin du Riouet profond de 14 mètres et situé au sud du village complétait le mur de défense. La pente de ce ravin était renforcée en partie d’un mur de brique et parcourue à mi-hauteur par un sentier. Ce sentier donnait accès à un souterrain qui devait conduire au château et à l’église. L’entrée du souterrain est aujourd’hui effondrée.

    Le château ayant disparu, la mairie est construite au XIXe siècle sur la butte. À cette occasion, on trouva des squelettes d’époque celtique. Le tumulus est donc le témoin d’un peuplement sédentaire vieux de plus de 2 000 ans. La mairie fut construite entre 1840 et 1850 pour abriter la mairie, l'école et le logement de l’instituteur. L'école y est restée jusqu'en 1957[35] - [36] - [37] - [38].

    En 1785, un trésor d'argenterie romaine est découvert sur le territoire de la commune, près du château de Mouillat. Connu sous le nom de Trésor de Caubiac à cause d'une erreur ancienne due au fait que le propriétaire du terrain était habitant de Caubiac, les objets ont été achetés en 1824 par le British Museum où ils sont exposés[39].

    C'est de ce village que venait Arnaud du Thil jugé dans le célèbre procès pour usurpation d'identité conduit par Maître Jean de Coras au milieu du XVIe siècle. Ce procès a fait l'objet du film de Daniel Vigne Le Retour de Martin Guerre avec Gérard Depardieu et Nathalie Baye.

    Héraldique

    Blason de Thil Blason
    D’or au tilleul terrassé de sinople surmonté d’un nuage d’argent chargé d’une étoile de gueules accostée de deux aquilons affrontés aussi d’or[40].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 500 habitants et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de quinze[41] - [42].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la cinquième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes des Hauts Tolosans et du canton de Léguevin (avant le redécoupage départemental de 2014, Thil faisait partie de l'ex-canton de Grenade) et avant le de la communauté de communes de Save et Garonne.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 2008 Henri Lézat
    mars 2008 2009
    (démission[43].)
    Claude Gohon
    mars 2009 octobre 2015
    (démission)
    Jean Léonard DVG
    2015 En cours Céline Frayard[44] DVG Professeur d'éducation physique et sportive
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[46].

    En 2020, la commune comptait 1 141 habitants[Note 8], en diminution de 2,89 % par rapport à 2014 (Haute-Garonne : +7,44 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    900685704797796903808888973
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    914953940929883815782778773
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    750724671557639602592523535
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    4914414255637358319029721 132
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 1751 1461 141------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[49] 1975[49] 1982[49] 1990[49] 1999[49] 2006[50] 2009[51] 2013[52]
    Rang de la commune dans le département 150 161 164 153 147 156 145 149
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Enseignement

    Thil fait partie de l'académie de Toulouse. Le village comporte une école maternelle, une école élémentaire. Quant aux collégiens, ils sont dans le secteur du collège Joseph Rey de Cadours. Les lycéens, eux, sont acceptés au lycée Nelson Mandela de Pibrac.

    Culture

    Foyer rural, comité des fêtes, vide grenier, fête locale fin mai, poterie,

    Activités sportives

    Terrain de tennis, de football et de basket-ball, chasse, randonnée pédestre, pétanque, judo, gymnastique,

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes de Save et Garonne[53].

    Une déchetterie gérée par la communauté de communes est présente sur la commune de Saint-Cézert[54].

    Médias

    Les habitants du village reçoivent environ tous les quatre mois un journal nommé Informathil. Radio locale Radio Accordéon.

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 434 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 1 117 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 24 420 â‚¬[I 5] (23 140 â‚¬ dans le département[I 6]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 7]4,4 %8,4 %6,4 %
    Département[I 8]7,7 %9,6 %9,3 %
    France entière[I 9]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 771 personnes, parmi lesquelles on compte 79,4 % d'actifs (72,9 % ayant un emploi et 6,4 % de chômeurs) et 20,6 % d'inactifs[Note 10] - [I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4] - [I 10]. Elle compte 85 emplois en 2018, contre 97 en 2013 et 115 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 570, soit un indicateur de concentration d'emploi de 14,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 66,6 %[I 11].

    Sur ces 570 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 56 travaillent dans la commune, soit 10 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 88,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,5 % les transports en commun, 4,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

    Secteurs d'activités

    57 établissements[Note 11] sont implantés à Thil au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12] - [I 14].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble57
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    23,5 %(5,7 %)
    Construction814 %(12 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    1424,6 %(25,9 %)
    Information et communication47 %(4,1 %)
    Activités financières et d'assurance23,5 %(3,8 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    1526,3 %(19,8 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    814 %(16,6 %)
    Autres activités de services47 %(7,9 %)

    Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,3 % du nombre total d'établissements de la commune (15 sur les 57 entreprises implantées à Thil), contre 19,8 % au niveau départemental[I 15].

    Entreprises et commerces

    Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[55] :

    • Villagedis, activités des sociétés holding (409 k€)
    • SARL JF& BV, autres travaux d'installation n.c.a. (179 k€)
    • Cogersumdis, activités des sociétés holding (k€)

    L'économie de la commune est essentiellement basée sur l'agriculture (céréales : maïs, blé…). Durant la fin XIXe siècle et le début du XXe siècle, une source d'eau fut découverte et exploitée. Cette eau avait de multiples vertus. Thil fait également partie de la zone d'appellation de l'Ail violet de Cadours.

    Agriculture

    La commune est dans les « Coteaux du Gers », une petite région agricole occupant une partie nord-ouest du département de la Haute-Garonne, caractérisée par une succession de coteaux peu accidentés, les surfaces cultivées étant entièrement dévolues aux grandes cultures[56]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'exploitation de grandes cultures (hors céréales et oléoprotéagineuses)[Carte 5].

    1988200020102020
    Exploitations42303028
    SAU[Note 14] (ha)1 7401 5571 4371 559

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 42 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 30 en 2000 puis à 30 en 2010[58] et enfin à 28 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 33 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[59] - [Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 740 ha en 1988 à 1 559 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 41 à 56 ha[58].

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Laurent

    L’église Saint-Laurent de Thil date du XIVe ou XVe siècle. Elle fut construite à l’emplacement d’une précédente église attestée en 1256 et dédiée à Saint Martin. Elle était située au milieu du village médiéval, lui-même construit contre la butte du château. L’église fut pillée vers 1580 pendant les guerres de religion. En 1687 le clocher s’effondra sur deux chapelles. Il fut ensuite reconstruit en raccourcissant la nef d’une travée. L’ensemble de cloches fut fondu à la Révolution puis reconstitué au XIXe siècle. La cloche la plus récente date de 1969. L’église possède un mobilier classé remarquable : la chaire de bois peint et doré, offerte en 1743 par Claudine Le Masuyer et la grille de communion en fer forgé du XVIIIe siècle. Un retable baroque des XVIIe et XVIIIe siècles occupe le chœur de l’église. Il est orné d’un bas-relief qui représente le martyre de saint Laurent. La voûte complète fut refaite en 2011 à l’occasion d’importants travaux de sauvegarde et de restauration de l’édifice. Ces travaux ont aussi marqué le début de la restauration des vitraux détruits lors d’une tempête de 1999.

    • Église Saint-Laurent depuis la place
      Église Saint-Laurent depuis la place
    • Clocher-mur de l'église Saint-Laurent
      Clocher-mur de l'église Saint-Laurent
    • Clocher-mur depuis la butte du château
      Clocher-mur depuis la butte du château

    Château Lagaillarde

    En 1859, M. Lagaillarde fit construire un château sur les terres de son beau-père, M. Estellé qui était propriétaire terrien et agriculteur à Thil. Il en fit un rendez-vous de chasse. C’est un château de brique orné de décors de terre cuite moulée selon la mode de la seconde moitié du XIXe siècle dans la région toulousaine. L’édifice carré est encadré de quatre tours en poivrière autrefois couronnées de toitures pointues.

    Maisons du notaire et du rempart

    La maison du notaire et la maison du rempart sont des vestiges des fortifications médiévales du village.

    Chapelle Saint-Orens de Marnac

    La chapelle Saint-Orens de Marnac (ou Saint-Aurens, lieu-dit Houere), date de création inconnue, sa trace remonte au XVIe siècle. À la suite des guerres de religion le capitoul Dufaur de Marnac mourut dans les prisons toulousaines. Au début du XVIIIe siècle le château fut restitué par la famille Dufaur, convertie au catholicisme, qui fit rebâtir la chapelle, très endommagée. Une dernière restauration eut lieu en 1839, où l'on édifia l'actuel clocher, de type "queue de morue". De nos jours (2016), l'état du bâtiment est bien dégradé.

    • Chapelle Saint-Orens de Marnac
      Chapelle Saint-Orens de Marnac

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    14. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[57].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Thil » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

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    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
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    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Thil » (consulté le ).
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    13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Thil » (consulté le ).
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    Autres sources

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    2. Stephan Georg, « Distance entre Thil et Léguevin », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches de Thil », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 364-365.
    5. Carte IGN sous Géoportail
    6. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    8. « Fiche communale de Thil », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    9. Sandre, « l'Arsène »
    10. Sandre, « le ruisseau de Saint-Pierre »
    11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    12. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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    14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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