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Saint-CĂ©zert

Saint-Cézert (Sent CesÚrt en occitan) est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.

Saint-CĂ©zert
Saint-CĂ©zert
La place du village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Communauté de communes des Hauts Tolosans
Maire
Mandat
Henri Oliveira-Soares
2020-2026
Code postal 31330
Code commune 31473
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Cézeriens
Population
municipale
436 hab. (2020 en augmentation de 2,35 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 49 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 46â€Č 57″ nord, 1° 11â€Č 43″ est
Altitude Min. 125 m
Max. 173 m
Superficie 8,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de LĂ©guevin
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Saint-CĂ©zert
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Saint-CĂ©zert
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Saint-CĂ©zert
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Saint-CĂ©zert

    Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de RiviÚre-Verdun, un petit pays d'élection de l'est de la Gascogne, à l'écart des grandes voies de communication, et s'étageant sur les terrasses de la rive gauche de la Garonne, entre la vallée de la Save et la Lomagne, et se prolongeant en Gascogne toulousaine. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau de Marguestaud, le ruisseau de Saint-Pierre, le ruisseau de la Goutoule, le ruisseau Secourieu et par deux autres cours d'eau.

    Saint-CĂ©zert est une commune rurale qui compte 436 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse..

    GĂ©ographie

    Localisation

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    La commune de Saint-Cézert se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe Ă  28 km Ă  vol d'oiseau de Toulouse[1], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  21 km de LĂ©guevin[2], bureau centralisateur du canton de LĂ©guevin dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Grenade[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Aucamville (2,9 km), Le Burgaud (2,9 km), Launac (4,5 km), SavenĂšs (5,4 km), Larra (5,6 km), Bellesserre (6,9 km), Beaupuy (7,6 km), Pelleport (7,9 km).

    Sur le plan historique et culturel, Saint-Cézert fait partie du pays de RiviÚre-Verdun, un petit pays d'élection de l'est de la Gascogne sis à l'écart des grandes voies de communication. Ce territoire s'étage sur les terrasses de la rive gauche de la Garonne, entre la vallée de la Save et la Lomagne, et se prolonge plein est en Gascogne toulousaine[4].

    Saint-Cézert est limitrophe de quatre autres communes dont une dans le département de Tarn-et-Garonne. Les communes limitrophes sont Aucamville, Le Burgaud, Grenade et Launac.

    Communes limitrophes de Saint-CĂ©zert[5]
    Aucamville
    (Tarn-et-Garonne)
    Le Burgaud Saint-CĂ©zert
    Launac Grenade

    GĂ©ologie et relief

    La superficie de la commune est de 894 hectares ; son altitude varie de 125 Ă  173 mĂštres[6].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Saint-CĂ©zert.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le ruisseau de Marguestaud, le ruisseau de Saint-Pierre, le ruisseau de la Goutoule, le ruisseau Secourieu, le ruisseau de Larrivet et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[8] - [Carte 1].

    Le ruisseau de Marguestaud, d'une longueur totale de 23,2 km, prend sa source dans la commune de Caubiac et s'Ă©coule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne Ă  Verdun-sur-Garonne (82), aprĂšs avoir traversĂ© 10 communes[9].

    Le ruisseau de Saint-Pierre, d'une longueur totale de 20,8 km, prend sa source dans la commune de Pelleport et s'Ă©coule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans le ruisseau de Marguestaud Ă  Aucamville (82), aprĂšs avoir traversĂ© 8 communes[10].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 718 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 5,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[14] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[15] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « SavenĂšs_man », sur la commune de SavenĂšs, mise en service en 1986[16] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[17] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 684,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[18]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947 et Ă  23 km[19], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[20], Ă  13,8 °C pour 1981-2010[21], puis Ă  14,3 °C pour 1991-2020[22].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel prĂ©sentant un intĂ©rĂȘt patrimonial n'est recensĂ© sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[23] - [24] - [25].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Cézert est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [26] - [I 2] - [27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 3] - [I 4].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (86,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (95,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (73,7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (12,7 %), forĂȘts (7,8 %), zones urbanisĂ©es (5,5 %), prairies (0,2 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Voies de communication

    La D3 passe à proximité du village.

    Transports

    La ligne 326 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la gare de Castelnau-d'Estrétefonds, en correspondance avec des TER Occitanie vers Toulouse-Matabiau, et la ligne 328 relie la commune au centre-ville de Grenade depuis Launac.

    La gare de Castelnau-d'Estrétefonds est la plus proche.

    L'aéroport de Toulouse-Blagnac est le plus proche du village.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-CĂ©zert est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[29]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[30].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de Saint-Pierre. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2009, 2017 et 2021[31] - [29].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Cézert.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (88,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 169 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 169 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 98 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[32] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[33].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999[29].

    Toponymie

    Durant la RĂ©volution, la commune porte le nom de CĂ©zert-Libre[34].

    Ses habitants sont appelés les Saint-Cézeriens.

    Histoire

    L’abbaye de Mas Grenier, fondĂ©e vers 940, est Ă  l’origine de la crĂ©ation d’un prieurĂ© Ă  Saint-CĂ©zert. En 1292 Bertrand Jourdain de l’Isle devint seigneur du domaine de Saint-CĂ©zert et du fort de la Mothe. Au Moyen Âge, les maisons du village Ă©tait resserrĂ©es autour de l’église. Le village Ă©tait dĂ©fendu Ă  l’est par un talus et sur les autres cĂŽtĂ©s par un fossĂ© et un chemin de ronde. Un pont-levis permettait de traverser le fossĂ©, il se trouvait Ă  l’entrĂ©e de l’actuelle place occitane.

    Au dĂ©but du XVIe siĂšcle, la seigneurie passa par mariage dans la famille Perusse d’Escars. En 1567 celle-ci fit restaurer le chĂąteau de la Mothe sur les plans du cĂ©lĂšbre architecte toulousain Dominique Bachelier. À la RĂ©volution, le chĂąteau devint bien national et le village fut renommĂ© « CĂ©zert libre ».

    Au XIXe siĂšcle, sous le mandat de Raymond Sicard, maire de 1825 Ă  1865, l’église fut reconstruite. Puis en 1899, le maire François Sicard, lui aussi maire pendant 40 ans, fit construire la mairie-Ă©cole prĂ©vue pour abriter les salles de classe, le logement des instituteurs et la mairie[35] - [36] - [37].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2017 Ă©tant compris entre 100 habitants et 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'Ă©lection de 2020 est de onze[38] - [39].

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Commune faisant partie de la cinquiÚme circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes des Hauts Tolosans et du canton de Léguevin (avant le redécoupage départemental de 2014, Saint-Cézert faisait partie de l'ex-canton de Grenade) et avant le de la communauté de communes de Save et Garonne.

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    avant 1995 mars 2008 Henri Labezin DVD
    mars 2008 mai 2020 Claude Butto DVD Retraité de l'enseignement
    mai 2020 En cours Henri Oliveira-Soares SE Ingénieur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[41].

    En 2020, la commune comptait 436 habitants[Note 7], en augmentation de 2,35 % par rapport Ă  2014 (Haute-Garonne : +7,44 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    314375370401437417415455413
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    449418374332326330325314327
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    308300278248278270262264271
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    270221188329402413350341411
    2017 2020 - - - - - - -
    434436-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee Ă  partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[43] 1975[43] 1982[43] 1990[43] 1999[43] 2006[44] 2009[45] 2013[46]
    Rang de la commune dans le département 301 421 199 225 239 278 290 271
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Enseignement

    Saint-Cézert fait partie de l'académie de Toulouse. Les élÚves du primaire sont regroupés au Burgaud, tandis que les collégiens étudient au collÚge de Cadours et les lycéens au lycée de Pibrac.

    Sports

    Chasse, pétanque,

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes de Save et Garonne[47].

    Économie

    Revenus

    En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 159 mĂ©nages fiscaux[Note 8], regroupant 421 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 23 570 â‚Ź[I 5] (23 140 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 6]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 7]4,8 %7,6 %8,2 %
    DĂ©partement[I 8]7,7 %9,6 %9,3 %
    France entiĂšre[I 9]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  268 personnes, parmi lesquelles on compte 82,8 % d'actifs (74,6 % ayant un emploi et 8,2 % de chĂŽmeurs) et 17,2 % d'inactifs[Note 9] - [I 7]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 4] - [I 10]. Elle compte 51 emplois en 2018, contre 43 en 2013 et 40 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 202, soit un indicateur de concentration d'emploi de 25,4 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 68,6 %[I 11].

    Sur ces 202 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 38 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 88 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,5 % les transports en commun, 5,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

    Activités hors agriculture

    21 Ă©tablissements[Note 10] sont implantĂ©s Ă  Saint-CĂ©zert au . Le tableau ci-dessous en dĂ©taille le nombre par secteur d'activitĂ© et compare les ratios avec ceux du dĂ©partement[Note 11] - [I 14]. Le secteur de la construction est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 28,6 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (6 sur les 21 entreprises implantĂ©es Ă  Saint-CĂ©zert), contre 12 % au niveau dĂ©partemental[I 15].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations201279
    SAU[Note 12] (ha)660454396543

    La commune est dans les « Coteaux du Gers », une petite région agricole occupant une partie nord-ouest du département de la Haute-Garonne, caractérisée par une succession de coteaux peu accidentés, les surfaces cultivées étant entiÚrement dévolues aux grandes cultures[48]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siÚge dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (20 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 543 ha[50] - [Carte 6] - [Carte 7].

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Orens

    Le clocher-mur de Saint-Orens de Saint-Cezert.

    L’église Saint-Orens actuelle fut construite au XIXe siĂšcle. De l’ancienne Ă©glise, situĂ©e au mĂȘme emplacement, elle a conservĂ© la chapelle de la Vierge, le clocher et le portail, sur lequel figure la date de 1772. L’architecte diocĂ©sain Delort conduisit le chantier qui dĂ©buta en 1864. MalgrĂ© des travaux inachevĂ©s, l’église fut utilisĂ©e Ă  partir du . Les travaux reprirent en 1870 et l’église fut consacrĂ©e le [51].

    Le clocher-mur imposant est coiffĂ© d’un pignon triangulaire et percĂ© de cinq baies. Il est soutenu par de puissants contreforts. La nef est de style nĂ©ogothique avec une voĂ»te en ogive. Elle est encadrĂ©e de six chapelles. En 1892 l’abbĂ© Gilard choisit le peintre Laconde, Grand Prix de Rome, pour rĂ©aliser le dĂ©cor du chƓur. Prenant comme modĂšles les visages de ses contemporains de Saint CĂ©zert, il rĂ©alisa une Ɠuvre qui conte la vie de Saint-Orens, patron du village. Des travaux de restauration furent rĂ©alisĂ©s dans les annĂ©es 1950 : restauration du sommet du clocher, des vitraux, de la voĂ»te, de l’éclairage et du chauffage.

    Place du village

    Il y avait autrefois sur la place une bascule qui servait Ă  peser les animaux et les rĂ©coltes avant de les vendre. On voyait aussi sur cette place le travail du forgeron qui servait Ă  ferrer les bƓufs. Le panneau fixĂ© sur la façade de la maison Andrieu, Ă  droite de la mairie, prĂ©sente encore plusieurs modĂšles de fers de diffĂ©rentes tailles pour les chevaux, les bƓufs, les vaches, etc. Sur la place se trouvent Ă©galement le puits, la croix de mission et une statue de la Vierge. Un ancien pigeonnier est visible Ă  gauche de la mairie. On Ă©levait les pigeons pour en consommer la chair et pour collecter la fiente, appelĂ©e colombine[52]. C’était un engrais apprĂ©ciĂ©, en particulier pour la vigne, une culture importante Ă  Saint CĂ©zert au XIXe siĂšcle. Pendant son mandat qui dura de 1825 Ă  1865, le maire François Sicard, fit construire, route d’Aucamville, Ă  l’emplacement d’une source ancienne, la fontaine, le lavoir et l’abreuvoir.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[13].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    12. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[49].
    • Cartes
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