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Aucamville (Haute-Garonne)

Aucamville (Aucamvila en occitan) est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne en région Occitanie.

Aucamville
Aucamville (Haute-Garonne)
La mairie.
Blason de Aucamville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Toulouse Métropole
Maire
Mandat
Gérard André
2020-2026
Code postal 31140
Code commune 31022
Démographie
Gentilé Aucamvillois
Population
municipale
9 245 hab. (2020 en augmentation de 13,69 % par rapport à 2014)
Densité 2 335 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 40′ 11″ nord, 1° 25′ 52″ est
Altitude Min. 125 m
Max. 135 m
Superficie 3,96 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Toulouse
(banlieue)
Aire d'attraction Toulouse
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Castelginest
Législatives 5e circonscription de la Haute-Garonne
Localisation
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Aucamville
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Aucamville
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Aucamville
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Aucamville
Liens
Site web https://www.ville-aucamville.fr/

    Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays toulousain, qui s’étend autour de Toulouse le long de la vallée de la Garonne, bordé à l’ouest par les coteaux du Savès, à l’est par ceux du Lauragais et au sud par ceux de la vallée de l’ Ariège et du Volvestre.

    Géographie

    Localisation

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    La commune d'Aucamville se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à km de Castelginest[2].

    La commune fait partie du bassin de vie de Toulouse[I 1], de l'aire d'attraction de Toulouse, dans l'Unité urbaine de Toulouse, en banlieue nord de Toulouse, au-delà du quartier de Lalande.

    Sur le plan historique et culturel, Aucamville fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[3].

    Route de Fronton, le centre d'Aucamville

    .

    Communes limitrophes

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Fonbeauzard (0,9 km), Launaguet (2,2 km), Castelginest (2,8 km), Saint-Alban (2,9 km), Fenouillet (3,2 km), Beauzelle (4,3 km), L'Union (4,6 km), Saint-Geniès-Bellevue (4,7 km). Les communes limitrophes sont Saint-Alban, Fenouillet, Fonbeauzard, Launaguet et Toulouse.

    Communes limitrophes d’Aucamville[5]
    Saint-Alban Fonbeauzard
    Fenouillet Aucamville Launaguet
    Toulouse

    Géologie et relief

    Le territoire communal se caractérise par des terrains en lanière, c'est-à-dire des parcelles longues et étroites héritées des anciennes cultures maraichères, très présentes au nord de Toulouse jusque dans les années 1960. La ville possède l'une des plus petites superficie de l'agglomération toulousaine (396 hectares).

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier d'Aucamville.

    La commune est dans le Bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par l'Hers-Mort, le ruisseau de Maltemps et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[7] - [Carte 1].

    L'Hers-Mort, d'une longueur totale de 89,3 km, prend sa source dans la commune de Laurac et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Grenade, après avoir traversé 40 communes[8].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de température : 13,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 16 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 716 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947[14] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[15] - [Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[16], à 13,8 °C pour 1981-2010[17], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[18].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[19] - [20] - [21].

    Urbanisme

    Typologie

    Aucamville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [22] - [I 2] - [23]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes[I 3] et 1 047 829 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[I 4] - [I 5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune du pôle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6] - [I 7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (85,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (82,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (68,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (17 %), zones agricoles hétérogènes (11,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,8 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Morphologie urbaine

    En 30 ans, Aucamville a connu une mutation importante, passant du statut de village à celui de petite ville, totalement intégrée dans le maillage urbain du nord de l'agglomération toulousaine. Aujourd'hui, l'urbanisation communale se confond avec celle des communes de Launaguet à l'est, de Fonbeauzard et Saint-Alban au nord, de Fenouillet à l'ouest et de Toulouse au sud. Ville essentiellement résidentielle, Aucamville compte environ 50 % d'habitat pavillonnaire et 50 % d'habitat collectif (nombreuses résidences de deux à trois étages). Le rapport entre propriétaires et locataires est sensiblement le même.

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 4 661, alors qu'il était de 4 139 en 2014 et de 3 734 en 2009[I 8].

    Parmi ces logements, 91,6 % étaient des résidences principales, 1 % des résidences secondaires et 7,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 48,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 51,5 % des appartements[I 9].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Aucamville en 2019 en comparaison avec celle de la Haute-Garonne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1 %) inférieure à celle du département (4,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 51,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (50,6 % en 2014), contre 52,2 % pour la Haute-Garonne et 57,5 pour la France entière[I 10].

    Le logement à Aucamville en 2019.
    Typologie Aucamville[I 8] Haute-Garonne[I 11] France entière[I 12]
    Résidences principales (en %) 91,6 88,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1 4,4 9,7
    Logements vacants (en %) 7,4 7,3 8,2

    Voies de communication

    La ville est traversée du nord au sud par trois axes de circulation importants : la RD 820 (ex-RN 20 reliant Montauban à Toulouse), l'A62 (autoroute « des deux mers » reliant Bordeaux à Toulouse) et la route de Fronton (RM4 reliant Bruguières à Toulouse). Cette dernière constitue l'axe principal de la commune.

    Transports collectifs

    À l'ouest de la commune, la gare SNCF de Lacourtensourt est desservie plusieurs fois par jour par la ligne ferroviaire Toulouse-Montauban.

    Projets d'aménagement

    La gare de Lacourtensourt (située à l'ouest, à la limite avec le territoire de Toulouse) est desservie plusieurs fois par jour par la ligne ferroviaire Toulouse-Montauban[25]. L'arrivée de la LGV à Toulouse à l'horizon 2025-2030 devrait permettre la mise en place d'un TER urbain entre la gare de Saint-Jory et la gare de Toulouse Matabiau, avec une connexion à la ligne B du métro à la station La Vache. Plusieurs gares et stations seraient réhabilitées ou réaménagées sur ce tronçon. À Aucamville, la gare de Lacourtensourt serait déplacée plus au sud, à la hauteur de l'avenue Salvador-Allende. Un vaste projet de réaménagement urbain autour de la RD 820, entre Toulouse-Sesquières et Fenouillet, est prévu pour accompagner ce projet.

    Risques naturels et technologiques

    Le territoire de la commune d'Aucamville est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Hers-Mort. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1995, 1997, 1999, 2006, 2008 et 2009[28] - [26].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Aucamville.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 141 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 2 141 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[30].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[26].

    Risques technologiques

    La commune est située en aval du barrage de l'Estrade sur la Ganguise (département de l'Aude). À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[31].

    Toponymie

    L'absence de formes très anciennes laisse penser à une transposition du nom d’Aucamville (Tarn-et-Garonne), comme c'est souvent le cas en toponymie[32].

    Par contre, Aucamville (Tarn-et-Garonne) est mentionné pour la première fois dès le XIe siècle sous la forme Ochamsvilla, puis Aucamvilla après 1312[33].

    Selon une étymologie populaire ou latinisante, le nom de la commune signifierait « la ville de l'oie », en latin *Aucum Villa, occitan auca « oie ». C'est la même chose pour Campville parfois rencontrée dans certains documents, qui serait un composé toponymique à partir de l'occitan camp « champ », d'où *au camp ville « la ville au champ » qui révèle un processus de réinterprétation similaire.

    Ce type d'explications étymologiques n'est pas retenu par les spécialistes, d'une part parce que la forme la plus ancienne Ochamsvilla les contredit, d'autre part parce que le [m] final de l'accusatif singulier féminin du latin s'était amuï depuis longtemps en latin vulgaire, donc a fortiori au moment de la formation des noms en -ville qui datent tous du Moyen Âge. Un composé roman basée sur auca « oie » est possible phonétiquement, si on suppose une nasalisation hypothétique de [a], mais il implique de rejeter comme erronée la forme Ochamsvilla. De plus, sur plusieurs milliers de composés en -ville, seule une petite dizaine contient un nom d'animal, qui pourrait être un sobriquet, mais dont les formes anciennes permettent de formuler cette hypothèse car elles sont parfaitement claires, ce qui n'est pas le cas ici. Ainsi, un premier élément d'origine animale est bien identifiable dans Quièvreville (Capravilla v. 1024) ou Chèvreville (Caprivillam 1186) avec « la chèvre » ou encore Villechien (Villacanis 1112, Villa Canis 1172 - 1182), par exemple, mais Ernest Nègre considère qu'il s'agit de surnoms de personnages, d'après l'animal[34]. De même, rares sont les toponymes en -ville formés avec un autre appellatif roman, c'est-à-dire un nom commun.

    Les formations toponymiques en -ville ne sont jamais mentionnés dans la documentation disponible antérieurement à la période mérovingienne et ce, contrairement à de nombreux autres toponymes bien attestés à l'époque antique. En outre, les toponymes en -ville sont basés pour la plupart sur un nom de personne, parfois aisément identifiable, par exemple dans Ramonville, Martainville, Rogerville, Huberville, etc., généralement il s'agit d'un anthroponyme de type germanique. C'est pourquoi les spécialistes de la toponymie penchent pour un anthroponyme ayant cette origine, soit Ogmarus, traité comme *Ogamarus[34], soit un nom de femme wisigothique *Auka[35]. On rencontre la variante Aukisa dans Aucazein (*Aukasinga), commune de l'Ariège[36].

    Histoire

    Temps modernes

    La commune d'Aucamville s'est constituée aux dépens de deux communautés qui l'ont précédée sur le territoire qu'elle occupe actuellement : celle de Lacourtensourt, qu'elle a supplanté à la tête du consulat au XVIIIe siècle ; celle ensuite de la Croix-Bénite, qu'elle s'est adjointe et qu'elle a englobé au siècle suivant dans ses limites territoriales.

    Entre les terres plus ou moins cultivées de Lacourtensourt et de Croix-Bénite, s'étendait une large bande de terrain marécageux, prolongeant celui de Lalande. C'était un champ vacant, concédé à la corporation des bouchers toulousains, qui l'utilisait pour faire paître le bétail destiné aux marchés de la ville rose.

    Époque contemporaine

    Village maraîcher, au XIXe et début du XXe siècle, Aucamville est alors réputé pour la culture de la violette de Toulouse (avec près de 300 producteurs). L'activité décline à la fin des années 1950 ; le développement des techniques de culture sous serres permettant d'obtenir d'autres fleurs que la violette en hiver.

    Depuis, les terres cultivables ont peu à peu laissé place à une urbanisation à la fois résidentielle, industrielle et commerciale.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Toulouse du département de la Haute-Garonne.

    Elle faisait partie de 1801 à 1973 du canton de Toulouse-Nord, année où elle est rattachée à celui de Toulouse-14[37]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Castelginest.

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de la Haute-Garonne.

    Intercommunalité

    Aucamville est membre de la métropole dénommée Toulouse Métropole, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2009 sous le statut de communauté urbaine et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales. Cette communauté urbaine, dénommée jusqu'en 2012 Le Grand Toulouse a été transformée en métropole en application de l'article 43 de la loi MAPTAM du , par le décret du [38].

    La communauté urbaine succède au district du Grand Toulouse créé en 1992 est transformé en en communauté d'agglomération en 2000.

    Tendances politiques et résultats

    Lors des élections municipales de 2014 dans la Haute-Garonne, la liste PS-PCF-EELV menée par le maire sortant Gérard André est la seule candidate et obtient donc la totalité des suffrages exprimés, soit 2 063 voix, et est donc élue en totalité.
    Lors de ce scrutin où 52,36 % des électeurs se sont abstenus, 21,50 % des votants ont choisis un bulletin blanc ou nul[39].

    Lors des élections municipales de 2020 dans la Haute-Garonne, la liste PS menée par le maire sortant Gérard André est à nouveau la seule candidate et obtient donc la totalité des suffrages exprimés, soit 1 175 voix, et est donc élue en totalité.
    Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France où 75,73 % des électeurs se sont abstenus, 16,31 % des votants ont choisis un bulletin blanc ou nul[40].

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 5 000 habitants et 9 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de vingt-neuf[41] - [42].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[43]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1848 1852 François Gombaud
    1852 1870 Pierre Salles
    1870 1874 Jean-François Expert Républicain
    1874 1876 Pierre Salles
    1876 1881 Jean-François Expert Républicain
    1881 1884 Antoine Astruc
    1884 1900 Prosper Blanc
    1900 1944 Guillaume Comminal
    1944 1961 Jean-Marius Sudrié SFIO puis
    UDCA et UFF
    Expert-comptable, fondateur du comité local de résistance (septembre 1943).
    Nommé administrateur provisoire le 28 août 1944, élu maire le 21 décembre 1944
    Démissionnaire
    1961 1970 Joseph Nougein SFIO Commerçant
    Mort en fonction
    1970 1971 Robert Chadourne SFIO Inspecteur des écoles
    1971 1977 Raymond Cazalens DVD Météorologiste
    1977 1983 Claude Cornac[Note 7] PS Cadre commercial
    Sénateur de la Haute-Garonne (1989 → 1996)
    Conseiller général de Toulouse-14 (1978 → 1996)
    1983 2004[44] Maurice Canut[45] PS Principal-adjoint de collège
    Vice-président du Grand Toulouse
    Démissionnaire
    2004 En cours
    (au 13 décembre 2022)
    Gérard André PS Professeur de mathématiques
    Vice-président de Toulouse Métropole
    Président de la régie Tisséo
    Réélu pour le mandat 2020-2026[46] - [47] - [48]

    Jumelages

    Équipements et services publics

    Eau et déchets

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de Toulouse Métropole et de l'agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie[49].

    Une déchèterie est située sur la commune de Saint-Alban.

    Enseignement

    Aucamville relève de l'académie de Toulouse.

    La commune compte deux écoles maternelles (écoles Henri-Matisse et Nicolas-Poussin), deux écoles élémentaires (écoles Jules-Ferry et Victor-Hugo) et un collège (Les Violettes).

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[51].

    En 2020, la commune comptait 9 245 habitants[Note 8], en augmentation de 13,69 % par rapport à 2014 (Haute-Garonne : +7,44 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
    265137134179225219243443392
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    452461553632676680688738751
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    7367637989281 0061 0531 2481 5442 091
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
    2 4012 5412 8263 8075 5336 9387 4978 0498 138
    2020 - - - - - - - -
    9 245--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[52].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[53] 1975[53] 1982[53] 1990[53] 1999[53] 2006[54] 2009[55] 2013[56]
    Rang de la commune dans le département 22 33 37 33 27 23 24 26
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Compte tenu de sa très faible superficie, la ville n'a quasiment plus de foncier disponible. Seules quelques « dents creuses » permettent encore la réalisation de petites opérations immobilières. À terme, sa capacité démographique ne devrait pas excéder 10 000 habitants (selon le PLU Plan Local d'Urbanisme de Toulouse-Métropole).

    Manifestations culturelles et festivités

    Tout au long de l'année, la ville est animée par de nombreux rendez-vous culturels :

    • Concerts : festival de guitare d'Aucamville et du nord toulousain, événement intercommunal où se produisent, depuis plus de 20 ans, des guitaristes locaux, nationaux et internationaux (Baden Powell, Popa Chubby, Kiko Ruiz, Birelli Lagrene, Sylvain Luc, Serge Lopez...), Orchestre de chambre de Toulouse, Jazz sur son 31, fête de la musique...
    • Expositions : semaine des arts (regroupant de nombreux artistes régionaux autour d'un invité d'honneur, souvent plasticien contemporain), A l'ombre des Arts...
    • Théâtre et événements divers : animations en partenariat avec des manifestations de l'agglomération toulousaine (Caravane de cirque, Toulouse en Piste, Zoom arrière, Festival du Livre de Jeunesse...)
    • Cinéma : le cinéma Jean Marais dispose de la technologie numérique depuis septembre 2012. Les cinés de cocagnes disposent d'une délégation de service public pour la gestion de ce cinéma classé art et essai. Outre la programmation de plusieurs séances par jour, la structure propose des ciné-goûters et ciné-pitchous pour les plus petits, ainsi que des ciné-concerts, ciné-opéras et ciné-débats pour les plus grands.

    Sports et loisirs

    Parc municipal, piscine intercommunale de l'Hersain, lac et zone de loisirs Claude-Cornac[57].

    La commune compte plusieurs clubs sportifs : TLA XV - Toulouse Lalande Aucamville XV (rugby à XV), les Arlequins d'Aucamville (rugby vétéran), l'entente Saint Alban - Aucamville Foobtall Club (SAAFT), le Tennis Club d'Aucamville, l'USA Handball, l'USA Cyclotourisme, le Club Karaté Aucamville, Jujitsu Aucamville, Aucamville tir à l'arc, Aucamville escrime, les épicuriens de l'Hers (course à pied), le TACO - Toulouse Aucamville Coureurs Occitan, le Judo Club Aucamville - Fonbeauzard, l'Amicale de pétanque, les Amis boulistes Aucamvillois, l'Association communale de Chasse, l'Association de Pêche, la Team Garbolino Sensas (pêche de compétition) et les nombreuses sections du CCLA - Club Culture et Loisirs d'Aucamville (gymnastique, yoga, taï chi chuan...).

    Aucamville possède plusieurs salles consacrées aux activités sportives (salle de danse, escrime, dojo...) et un complexe sportif municipal avec plusieurs terrains de rugby et de football, un gymnase, des installations de tennis. Les Aucamvillois bénéficient également du complexe sportif de l'Hersain, un complexe intercommunal situé sur la commune de Saint-Alban (piscine couverte, tennis, parcours sportif et terrains de grands jeux).

    Chaque année, en juin, la mairie et les clubs sportifs de la commune organisent la Fête des sports, une manifestation qui rassemble une centaine d'enfants et autant de bénévoles autour d'un challenge sportif proposant une dizaine de disciplines.

    Vie associative

    Bibliothèque municipale, cinéma Jean-Marais, salle Georges-Brassens (salle de spectacle)[58].

    Aucamville héberge plus de 60 associations avec des activités diverses et variées[59].

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 4 059 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 8 841 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 920 â‚¬[I 13] (23 140 â‚¬ dans le département[I 14]). 55 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 10] (55,3 % dans le département).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 15]8,5 %10 %9,2 %
    Département[I 16]7,7 %9,6 %9,3 %
    France entière[I 17]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 5 744 personnes, parmi lesquelles on compte 81,6 % d'actifs (72,4 % ayant un emploi et 9,2 % de chômeurs) et 18,4 % d'inactifs[Note 11] - [I 15]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune fait partie du pôle principal de l'aire d'attraction de Toulouse[Carte 4] - [I 18]. Elle compte 2 381 emplois en 2018, contre 2 862 en 2013 et 2 843 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 4 200, soit un indicateur de concentration d'emploi de 56,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 67,1 %[I 19].

    Sur ces 4 200 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 551 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants[I 20]. Pour se rendre au travail, 79,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 10,3 % les transports en commun, 7,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 21].

    Secteurs d'activités

    948 établissements[Note 12] sont implantés à Aucamville au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13] - [I 22].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble948100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    485,1 %(5,7 %)
    Construction14815,6 %(12 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    29130,7 %(25,9 %)
    Information et communication313,3 %(4,1 %)
    Activités financières et d'assurance353,7 %(3,8 %)
    Activités immobilières252,6 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    13314 %(19,8 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    16217,1 %(16,6 %)
    Autres activités de services757,9 %(7,9 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,7 % du nombre total d'établissements de la commune (291 sur les 948 entreprises implantées à Aucamville), contre 25,9 % au niveau départemental[I 23].

    Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[60] :

    • Etb Etudes Et Travaux Du Batiment, travaux de maçonnerie générale et gros Å“uvre de bâtiment (13 102 k€)
    • Transports Liga, affrètement et organisation des transports (11 309 k€)
    • Savfima, commerce de gros (commerce interentreprises) de quincaillerie (8 603 k€)
    • Coop Industrielle Menuiserie Sud Ouest - Cimso, travaux de menuiserie bois et PVC (5 139 k€)
    • Leyfa Measurement, ingénierie, études techniques (4 169 k€)

    Entreprises et commerces

    L'activité économique sur la commune est importante avec notamment une zone d'activités industrielles, artisanales et commerciales à l'ouest (entre la RD 820 et l'A62) et une forte présence commerciale le long de la route de Fronton (plus de 100 commerces et services de proximité). Conforté par de nombreux services publics (poste, trésorerie, maison des solidarités, mission locale, Comité de Bassin d'Emploi...) un cinéma et un marché de plein vent tous les dimanches matin depuis mars 2010, cet axe très passant constitue aujourd'hui un cœur de ville vivant et attractif.

    La société Liebberr est implantée le long de la RD 820 (site industriel à cheval sur Toulouse et Aucamville).

    Aucune exploitation agricole ayant son siège dans la commune n'est recensée lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (38 en 1988)[63] - [Carte 5].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Notre-Dame-du-Rosaire.
      L'église Notre-Dame-du-Rosaire.
    • La mairie.
      La mairie.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Aucamville
    Blason de Aucamville Blason
    D'argent à l'hôtel de ville du lieu du même couvert de gueules, mouvant des flancs ; au canton dextre du chef écartelé d'or et de gueules à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces brochant de l'un en l'autre, et au canton senestre d'or chargé d'une plante de violette de trois pièces au naturel.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Paul-Jean-Exupère Ousset (curé d'Aucamville), Aucamville, notice historique, 1964
    • Jean-Gaston Lafore, Au pays de la violette - Souvenirs de la commune d'Aucamville, 1925

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Aucamville », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. L'espace de loisirs de la commune porte le nom de ce maire.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    10. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[62]
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique d'Aucamville » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune d'Aucamville » (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
    3. « Unité urbaine 2020 de Toulouse » (consulté le ).
    4. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    8. « Chiffres clés - Logement en 2019 à Aucamville » (consulté le ).
    9. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Aucamville - Section LOG T2 » (consulté le ).
    10. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Aucamville - Section LOG T7 » (consulté le ).
    11. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    12. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).
    13. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Aucamville » (consulté le ).
    14. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    15. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Aucamville » (consulté le ).
    16. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    17. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    19. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Aucamville » (consulté le ).
    20. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    21. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    22. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Aucamville » (consulté le ).
    23. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Aucamville et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Aucamville et Castelginest », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
    4. « Communes les plus proches d'Aucamville », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Carte IGN sous Géoportail
    6. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
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    8. Sandre, « l'Hers Mort »
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    11. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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    19. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Aucamville », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Aucamville », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    25. « Vendre à un promoteur », sur http://vendreaunpromoteur.com/.
    26. « Les risques près de chez moi - commune d'Aucamville », sur Géorisques (consulté le )
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    32. Ernest Nègre Toponymie générale de la France (lire en ligne)
    33. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, volume 2, Librairie Droz, Genève 1991 (lire en ligne)
    34. ibid.
    35. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, éditions Larousse 1968 (Réédition Guénégaud 1979), p. 34b.
    36. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Décret no 2014-1078 du 22 septembre 2014 portant création de la métropole dénommée « Toulouse Métropole » .
    39. Résultats officiels pour la commune Aucamville
    40. « Elections municipales 2020 », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
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    45. Patrick Dublin, « Aucamville : le décès de l'ancien maire Maurice Canut », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Premier adjoint de 1977 à 1983 puis maire de 1983 à 2004, il aura marqué la commune ».
    46. Réélu pour le mandat 2014-2020 : Patrick Desprez, « Aucamville : Gérard André élu pour son second mandat », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il s'agit du deuxième mandat pour Gérard André, qui a pris possession du poste de premier magistrat aucamvillois lors du retrait de l'ancien maire, Maurice Canut, en 2004 ».
    47. Institut Supérieur de Journalisme de Toulouse, « Aucune concurrence mais beaucoup d’enjeux à Aucamville : À cinq mois des prochaines élections municipales, Aucamville s’apprête à vivre une sensation de déjà-vu. Le maire actuel, Gérard André, sans concurrence depuis 2004, devrait être réélu sans difficulté pendant que les enjeux qui entourent sa commune se multiplient », Le Journal toulousain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    48. Réélu pour le mandat 2020-2026 : « Extrait du registre des deliberations - séance du 26 mai 2020 » [PDF], La vie municipale > Délibérations du Conseil municipal et actes réglementaires, sur https://www.ville-aucamville.fr (consulté le ).
    49. http://www.mairie-brax31.fr/fr/le-village-pratique/collecte-des-dechets.html
    50. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    51. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    52. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    53. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    54. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
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    62. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[61].
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    64. « Église Notre-Dame-du-Rosaire à Aucamville (31140), la Mairie d'Aucamville, sa commune et sa ville (Haute-Garonne). », sur www.annuaire-mairie.fr (consulté le ).
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