Garac
Garac est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Rivière-Verdun, un petit pays d'élection de l'est de la Gascogne, à l'écart des grandes voies de communication, et s'étageant sur les terrasses de la rive gauche de la Garonne, entre la vallée de la Save et la Lomagne, et se prolongeant en Gascogne toulousaine.
Garac | |||||
En arrivant du sud | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Occitanie | ||||
DĂ©partement | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Toulouse | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Hauts Tolosans | ||||
Maire Mandat |
Joël Melac 2020-2026 |
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Code postal | 31480 | ||||
Code commune | 31209 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Garacois, Garacoises | ||||
Population municipale |
153 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 25 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 43° 41′ 32″ nord, 1° 05′ 21″ est | ||||
Altitude | Min. 150 m Max. 274 m |
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Superficie | 6,05 km2 | ||||
Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de LĂ©guevin | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Haute-Garonne
GĂ©olocalisation sur la carte : Occitanie
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Arsène, le Cédat et par divers autres petits cours d'eau.
Garac est une commune rurale qui compte 153 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 485 habitants en 1793. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Garacois ou Garacoises.
GĂ©ographie
Localisation
- Carte dynamique
- Carte Openstreetmap
- Carte topographique
- Carte avec les communes environnantes
La commune de Garac se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 30 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 16 km de Léguevin[2], bureau centralisateur du canton de Léguevin dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Cadours[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Vignaux (1,8 km), Caubiac (2,6 km), Bellegarde-Sainte-Marie (3,0 km), Le Grès (3,7 km), Encausse (4,1 km), Le Castéra (4,5 km), Sainte-Livrade (4,8 km), Cadours (5,2 km).
Sur le plan historique et culturel, Garac fait partie du pays de Rivière-Verdun, un petit pays d'élection de l'est de la Gascogne sis à l'écart des grandes voies de communication. Ce territoire s'étage sur les terrasses de la rive gauche de la Garonne, entre la vallée de la Save et la Lomagne, et se prolonge plein est en Gascogne toulousaine[4].
Garac est limitrophe de cinq autres communes. Les communes limitrophes sont Le Grès, Bellegarde-Sainte-Marie, Caubiac, Thil et Vignaux.
GĂ©ologie et relief
La superficie de la commune est de 605 hectares ; son altitude varie de 150 à 274 mètres[6].
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par l'Arsène, le Cédat, le ruisseau de la Trappe et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[8] - [9].
L'Arsène, d'une longueur totale de 14,1 km, prend sa source dans la commune d'Encausse (32) et s'écoule d'ouest en est. Il traverse la commune et se jette dans La Save à Montaigut-sur-Save, après avoir traversé 10 communes[10].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[11] - [12] - [13].
Urbanisme
Voies de communication et transports
- Par la route : la D24 permet de rejoindre Encausse (la route sera ensuite classée D116) et Bellegarde-Sainte-Marie et le Castéra ou encore Vignaux si l'on tourne à gauche (en direction Encausse) pour prendre la D42, et si l'on tourne à gauche en direction Bellegarde-Sainte-Marie pour prendre la D58 et rejoindre Thil. La D42a permet aussi de rejoindre Caubiac, au nord, et Sainte-Livrade, au sud, en tournant à droite pour prendre la D58.
- Par l'autocar : le réseau départemental Arc-en-Ciel.
- Par le train : la gare de MĂ©renvielle est la plus proche du village.
- Par l'avion : l'aéroport international de Toulouse-Blagnac.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Garac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Arsène. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[16] - [14].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 70 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 70 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17] - [Carte 1].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1993, 2003, 2011 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1999[14].
Toponymie
Le nom de la commune Garac vient du mot occitan Garac.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2017 Ă©tant compris entre 100 habitants et 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'Ă©lection de 2020 est de onze[19] - [20].
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
Commune faisant partie de la sixième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes des Hauts Tolosans et du canton de Léguevin (avant le redécoupage départemental de 2014, Garac faisait partie de l'ex-canton de Cadours) et avant le de la communauté de communes des Coteaux de Cadours.
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].
En 2020, la commune comptait 153 habitants[Note 2], en diminution de 7,83 % par rapport Ă 2014 (Haute-Garonne : +7,44 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Garac fait partie de l'académie de Toulouse.
L'éducation est assurée par un regroupement pédagogique intercommunal avec les communes de Bellegarde-Sainte-Marie et Le Castéra pour les classes de la maternelle au primaire.
Écologie et recyclage
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes des Coteaux de Cadours[29].
Une déchetterie est présente sur la commune de Cadours[30].
Économie
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 2] | 6,9 % | 1,8 % | 8,7 % |
DĂ©partement[I 3] | 7,7 % | 9,6 % | 9,3 % |
France entière[I 4] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 99 personnes, parmi lesquelles on compte 83,7 % d'actifs (75 % ayant un emploi et 8,7 % de chômeurs) et 16,3 % d'inactifs[Note 3] - [I 2]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2] - [I 5]. Elle compte 29 emplois en 2018, contre 24 en 2013 et 17 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 74, soit un indicateur de concentration d'emploi de 39,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 66,9 %[I 6].
Sur ces 74 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 12 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 7]. Pour se rendre au travail, 88,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 8].
Activités hors agriculture
13 établissements[Note 4] sont implantés à Garac au [I 9]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,8 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 13 entreprises implantées à Garac), contre 25,9 % au niveau départemental[I 10].
Agriculture
La commune est dans les « Coteaux du Gers », une petite région agricole occupant une partie nord-ouest du département de la Haute-Garonne, caractérisée par une succession de coteaux peu accidentés, les surfaces cultivées étant entièrement dévolues aux grandes cultures[31]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 5] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 3].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 19 lors du recensement agricole de 1988[Note 7] à 13 en 2000 puis à 9 en 2010[33] et enfin à 10 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 47 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[34] - [Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 934 ha en 1988 à 1 541 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 49 à 154 ha[33].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Jean-Baptiste.
Église Saint-Jean-Baptiste Son porche Vue sur les Pyrénées au sud
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[32].
- Cartes
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune de Garac » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Garac » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Garac » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Garac » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
Autres sources
- Stephan Georg, « Distance entre Garac et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Garac et Léguevin », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Garac », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 364-365.
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Garac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- « Carte hydrographique de Garac » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
- Sandre, « l'Arsène »
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Garac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Garac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Garac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Garac », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur www.haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Garac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- http://www.coteauxcadours31.fr/fr/environnement/environnement.html
- http://www.coteauxcadours31.fr/fr/environnement/dechetterie-de-cadours.html
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Garac - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de la Haute-Garonne » (consulté le ).