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Brax (Haute-Garonne)

Brax (prononcer [bʁaks]; en occitan Brats) est une commune française situĂ©e dans le nord du dĂ©partement de la Haute-Garonne, en rĂ©gion Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est exposĂ©e Ă  un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par le Courbet et par divers autres petits cours d'eau.

Brax
Brax (Haute-Garonne)
Vue aérienne de Brax et de son chùteau en 2011.
Blason de Brax
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Toulouse Métropole
Maire
Mandat
Thierry Zanatta
2020-2026
Code postal 31490
Code commune 31088
DĂ©mographie
Gentilé Braxéens
Population
municipale
2 887 hab. (2020 en augmentation de 8,21 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 653 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 36â€Č 53″ nord, 1° 14â€Č 24″ est
Altitude Min. 145 m
Max. 240 m
Superficie 4,42 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Toulouse
(banlieue)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Toulouse-7
LĂ©gislatives SixiĂšme circonscription
Localisation
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Brax
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Brax
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Brax
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Brax
Liens
Site web mairie-brax31.fr

    La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© de deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique. Une partie de la forĂȘt de Bouconne est situĂ©e sur le territoire de la commune.

    Brax est une commune urbaine qui compte 2 887 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Toulouse et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelĂ©s les BraxĂ©ens ou BraxĂ©ennes.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le chùteau, inscrit en 1946.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    La commune de Brax se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

    Sur le plan historique et culturel, Brax fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[1].

    Elle se situe Ă  16 km Ă  vol d'oiseau de Toulouse[2], prĂ©fecture du dĂ©partement. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : LĂ©guevin (1,7 km), Pibrac (3,7 km), La Salvetat-Saint-Gilles (4,9 km), Lasserre-PradĂšre (6,3 km), PradĂšre-les-Bourguets (6,6 km), LĂ©vignac (6,8 km), MĂ©renvielle (6,8 km), Plaisance-du-Touch (7,1 km).

    Brax est limitrophe de trois autres communes.

    Communes limitrophes de Brax[4]
    Pibrac
    Lasserre-PradĂšre Brax
    LĂ©guevin

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Brax.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[5]. Elle est drainée par le Courbet, le Couget, le ruisseau de la Chauge, le ruisseau de Maudinat et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[6] - [Carte 1].

    Le Courbet, d'une longueur totale de 10,1 km, prend sa source dans la commune de LĂ©guevin et s'Ă©coule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans l'Aussonnelle Ă  Colomiers, aprĂšs avoir traversĂ© 4 communes[7].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 10 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 700 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 9,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 5,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[11] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[12] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, mise en service en 1922[13] et qui se trouve Ă  12 km Ă  vol d'oiseau[14] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[15], Ă  14,1 °C pour 1981-2010[16], puis Ă  14,3 °C pour 1991-2020[17].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[18] :

    • la « forĂȘt de Bouconne » (2 868 ha), couvrant 10 communes dont neuf dans la Haute-Garonne et une dans le Gers[19].

    Et une ZNIEFF de type 2[Note 5] - [18] :

    • les « terrasses de Bouconne et du Courbet » (2 088 ha), couvrant 5 communes du dĂ©partement[20].

    Urbanisme

    Typologie

    Brax est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [21] - [I 2] - [22]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Toulouse, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 81 communes[I 3] et 1 047 829 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomĂ©ration de Toulouse est la cinquiĂšme plus importante de la France en termes de population, derriĂšre celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[I 4] - [I 5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6] - [I 7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (38,3 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (49,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (38,3 %), zones urbanisĂ©es (37,3 %), forĂȘts (24,4 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Voies de communication et transports

    AccĂšs par la route nationale 124.

    Brax est desservie par la gare de Brax - LĂ©guevin, d'oĂč partent des TER Occitanie effectuant des liaisons entre Toulouse-Matabiau, L'Isle-Jourdain et Auch.

    La ligne 32 du réseau Tisséo permet de relier le chùteau de la commune et le centre-ville à la gare de Colomiers, située sur la ligne C des trains urbains de Toulouse.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Brax est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Courbet. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1989, 1993, 1999 et 2009[26] - [24].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Brax.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (88,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 003 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1 003 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 98 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[28].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2003, 2012 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

    Toponymie

    Brax vient de braco (terre boueuse) en gaulois.

    Une commune de Lot-et-Garonne porte le mĂȘme nom.

    Histoire

    Brax fut autrefois un lieu fortifié dépendant du comté de L'Isle-Jourdain et jusqu'au XVIIe siÚcle eut pour seigneurs la noble famille des Montfort, et notamment Géraud de Montfort, juge royal et bailli d'Auterive, et Pierre de Montfort, conseiller au parlement de Toulouse en 1582. Les armes des Montfort se trouvent sous le porche de l'église moderne de Brax, trÚs mutilées et provenant de l'ancienne église démolie au XIXe siÚcle (Ces armes se trouvent également sur l'une des clefs de voûte de l'église de Boulogne-sur-Gesse). Un Jean de Montfort fut capitoul de Toulouse en 1468, en 1483 et en 1484.

    Les revenus de Brax servaient de caution Ă  Toulouse au sujet des servitudes que Toulouse possĂ©dait en forĂȘt de Bouconne et que Brax y possĂšde toujours.

    Les archives de la commune remontent Ă  Françoise de Seysses, dame de Brax qui avait achetĂ© le village Ă  une autre dame, Marie Ducos, seigneuresse de Brax. On connaĂźt un acte du parlement de Toulouse du Ă  ce sujet. Cette dame devait Ă©pouser Jean de Polastron et on peut estimer que c'est aussi la date de la construction, sur le ruisseau de la Chauge, de ce chĂąteau Ă©lĂ©gant avec ses hauts pignons et ses fenĂȘtres mansardĂ©es qui fait l'orgueil du village actuel. La tour, le donjon et la chapelle ont disparu vers la RĂ©volution. En 1628, le chĂąteau appartenait Ă  la famille de Pins qui devait, Ă  nouveau, en hĂ©riter Ă  la fin du XIXe siĂšcle et le conserver jusqu'en 1939. C'est le comte de Pins-Montbrun qui Ă©tait le maire de Brax avant, pendant et aprĂšs la Grande Guerre de 1914-1918.

    Le chĂąteau de Brax : la tour Henry IV.

    Entre ces dates, le chùteau avait appartenu aux familles de Polastron, LahillÚre et de Hérisson. Le dernier des Hérisson possÚde une trÚs belle pierre tombale dans l'église actuelle (bas-cÎté de droite). C'est à la fin du XVIIe siÚcle, à la suite d'un séisme, que fut érigée une statue du Christ, la face tournée vers l'Occident : monolithe de m de haut à base carrée développée ensuite en colonne octogonale, au bas de laquelle on lit la phrase suivante : « Le 21 de la Terre Trembla. »

    La premiĂšre Ă©glise a dĂ» ĂȘtre consacrĂ©e vers 1511 par l'Ă©vĂȘque de Pamiers (on le sait par un texte de l'Ă©vĂȘque offrant une cloche Ă  l'Ă©glise). L'Ă©glise fut inaugurĂ©e en 1865 par M. de Saint-FĂ©lix, curĂ© dĂšs 1848, qui consacra sa vie et sa fortune Ă  cette Ă©dification et Ă  celle du prieurĂ©, pour lequel il lĂ©gua 800 F de rente or perpĂ©tuelle pour son entretien et le maintien de l'enseignement gratuit dans le village. Son tombeau se trouve derriĂšre le maĂźtre autel. AprĂšs 1901, on perd la trace de cette donation


    Le chĂąteau a Ă©tĂ© achetĂ© en 1967 par l'Association des enfants invalides (aujourd'hui l'association ASEI — Agir, Soigner, Éduquer, InsĂ©rer) qui l'a amĂ©nagĂ© en Centre de rĂ©Ă©ducation de l'ouĂŻe et de la parole. On y Ă©duque environ 90 sourds-muets ou malentendants.

    En 2020, l'association ASEI fait part de son désir de vendre une grande partie du domaine afin de regrouper ses activités dans un nouveau bùtiment dans le parc[29]. Afin d'éviter une vente du chùteau à des investisseurs privés, la mairie décide d'engager des discussions pour s'en porter acquéreur[29]. Le , une délibération est prise lors de la séance du conseil municipal, autorisant le maire de Brax à engager la procédure d'acquisition[30].

    Les origines

    La fondation du village remonte trÚs vraisemblablement aux environs du XIIe siÚcle, dans un environnement boisé et marécageux.

    Le lieu était situé à proximité de l'ancienne voie romaine qui allait de Toulouse à Auch.

    Brax est un vieux village blotti au pied du chĂąteau comtal du XIVe siĂšcle et de l'Ă©glise du XIXe siĂšcle dont la brique chatoie sous le soleil.

    Politique et administration

    La mairie.

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2017 Ă©tant compris entre 2 500 habitants et 3 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'Ă©lection de 2020 est de vingt-trois[31] - [32].

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune fait partie de la sixiÚme circonscription de la Haute-Garonne, de Toulouse Métropole et du canton de Toulouse-7 (avant le redécoupage départemental de 2014, Brax faisait partie de l'ex-canton de Léguevin).

    Tendances politiques et résultats

    Les résultats dans la ville de Brax tendent à montrer un certain enclin pour la Gauche, que ce soit pour les Régionales, Présidentielles et Européennes.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1929 1961 LĂ©on Gailhaguet
    1961 1969 Marcel Cardonne
    1969 Georges Bastien[33] Colonel retraité et historiographe militaire
    Robert Calsou
    Bernard Cunnac PS Attaché parlementaire
    SupplĂ©ant de la dĂ©putĂ©e HĂ©lĂšne Mignon (1997 → 2002)
    Jean-Pierre Vergé PS
    François Lepineux DVG (AC) Responsable achat dans l'aéronautique
    [34] En cours Thierry Zanatta DVG Professeur de génie mécanique

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[35].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[37].

    En 2020, la commune comptait 2 887 habitants[Note 8], en augmentation de 8,21 % par rapport Ă  2014 (Haute-Garonne : +7,44 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    263230282373346325281316322
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    290307303290313300299301271
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    262259249222218188188197234
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    3074589021 2021 3582 0172 3672 3732 531
    2015 2020 - - - - - - -
    2 6512 887-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee Ă  partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[40] 1975[40] 1982[40] 1990[40] 1999[40] 2006[41] 2009[42] 2013[43]
    Rang de la commune dans le département 157 114 98 96 78 82 84 80
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    De 199 habitants Ă  la fin de la Grande Guerre, le bourg regroupe environ 1 000 habitants en 1974. Au dernier recensement de , Brax comptait 2 086 habitants.

    Enseignement

    Brax fait partie de l'académie de Toulouse.

    La commune possÚde une école maternelle et une école élémentaire.

    Culture

    BibliothĂšque municipale, foyer rural.

    Activités sportives

    Brax accueille diffĂ©rents clubs — basket-ball, football, tennis, pĂ©tanque, judo — et organise la FoulĂ©e braxĂ©enne


    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté urbaine de Toulouse Métropole et de l'agence de l'environnement et de la maßtrise de l'énergie[44].

    Économie

    Revenus

    En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 1 109 mĂ©nages fiscaux[Note 9], regroupant 2 996 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 29 350 â‚Ź[I 8] (23 140 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 9]). 69 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 10] (55,3 % dans le dĂ©partement).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 10]4,8 %7,9 %5,4 %
    DĂ©partement[I 11]7,7 %9,6 %9,3 %
    France entiĂšre[I 12]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  1 833 personnes, parmi lesquelles on compte 75,6 % d'actifs (70,2 % ayant un emploi et 5,4 % de chĂŽmeurs) et 24,4 % d'inactifs[Note 11] - [I 10]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 4] - [I 13]. Elle compte 281 emplois en 2018, contre 343 en 2013 et 253 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 1 294, soit un indicateur de concentration d'emploi de 21,7 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 61,8 %[I 14].

    Sur ces 1 294 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 108 travaillent dans la commune, soit 8 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 81,6 % des habitants utilisent un vĂ©hicule personnel ou de fonction Ă  quatre roues, 8,3 % les transports en commun, 7,3 % s'y rendent en deux-roues, Ă  vĂ©lo ou Ă  pied et 2,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

    Secteurs d'activités

    155 établissements[Note 12] sont implantés à Brax au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13] - [I 17].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble155100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    117,1 %(5,7 %)
    Construction2012,9 %(12 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    2818,1 %(25,9 %)
    Information et communication42,6 %(4,1 %)
    Activités financiÚres et d'assurance21,3 %(3,8 %)
    Activités immobiliÚres63,9 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    2818,1 %(19,8 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    4227,1 %(16,6 %)
    Autres activités de services149 %(7,9 %)

    Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santĂ© humaine et l'action sociale est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 27,1 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (42 sur les 155 entreprises implantĂ©es Ă  Brax), contre 16,6 % au niveau dĂ©partemental[I 18].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[45] :

    • France Energetique, travaux d'installation d'Ă©quipements thermiques et de climatisation (641 k€)
    • Okkio, commerces de dĂ©tail d'optique (352 k€)
    • JSC Finance, activitĂ©s des sociĂ©tĂ©s holding (302 k€)
    • Cap Soleil, construction d'autres ouvrages de gĂ©nie civil n.c.a. (278 k€)
    • SARL Pastel Pan, services administratifs combinĂ©s de bureau (57 k€)

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations4431
    SAU[Note 14] (ha)257314321

    La commune est dans les « Coteaux du Gers », une petite région agricole occupant une partie nord-ouest du département de la Haute-Garonne, caractérisée par une succession de coteaux peu accidentés, les surfaces cultivées étant entiÚrement dévolues aux grandes cultures[46]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est l'exploitation de grandes cultures (hors céréales et oléoprotéagineuses)[Carte 5]. Une seule exploitation agricole ayant son siÚge dans la commune est recensée lors du recensement agricole de 2020[Note 16] (quatre en 1988). La superficie agricole utilisée est de 21 ha[48] - [Carte 6] - [Carte 7].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Orens
    • L'Ă©glise.
      L'Ă©glise.
    • La façade.
      La façade.
    • L'intĂ©rieur.
      L'intérieur.
    • Le plafond.
      Le plafond.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Brax
    Blason de Brax Blason
    D’azur au chĂąteau du lieu d’or essorĂ© de gueules et soutenu de deux Ă©pis de blĂ© d’or posĂ©s en chevron renversĂ©.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Le Patrimoine des Communes de la Haute-Garonne. Flohic Editions, volume 1, Paris 2000, (ISBN 2-84234-081-7), p. 841–842.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    10. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    14. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    15. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[47].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Brax » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021)..
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Brax » (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
    3. « Unité urbaine 2020 de Toulouse » (consulté le ).
    4. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », (consultĂ© le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Brax » (consulté le ).
    9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Brax » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    14. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Brax » (consulté le ).
    15. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    16. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Brax » (consulté le ).
    18. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
    2. Stephan Georg, « Distance entre Brax et Toulouse », sur distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches de Brax », sur villorama.com (consulté le ).
    4. Carte IGN sous GĂ©oportail
    5. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Fiche communale de Brax », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
    7. Sandre, « le Courbet ».
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
    10. « DĂ©finition d’une normale climatologique », sur meteofrance.fr (consultĂ© le ).
    11. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consultĂ© le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le ).
    13. « Station météofrance Toulouse-Francazal - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Brax et Cugnaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    18. « Liste des ZNIEFF de la commune de Brax », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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    29. Voir « Extrait du BBC hors série Décembre 2020 » sur mairie-brax31.fr.
    30. Voir la délibération du conseil municipal du sur mairie-brax31.fr.
    31. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    32. Voir sur elections.interieur.gouv.fr.
    33. S. B., « Le colonel Bastien a toujours bon pied, bon Ɠil », La DĂ©pĂȘche,‎ (lire en ligne).
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    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. INSEE, « Population selon le sexe et l'ùge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    41. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    42. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    43. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    44. Voir sur mairie-brax31.fr.
    45. « Entreprises à Brax », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    46. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    47. PrĂ©sentation des premiers rĂ©sultats du recensement agricole 2020, MinistĂšre de l’agriculture et de l’alimentation, 10 dĂ©cembre 2021
    48. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Brax - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    49. « Chùteau de Brax », notice no PA00094297, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
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