Accueil🇫🇷Chercher

Porto Alegre

Porto Alegre est la capitale de l'État du Rio Grande do Sul, au Brésil, sise entre le rio Guaíba et ses nombreuses îles, et plusieurs morros (collines) couverts de végétation, et composée de quatre-vingt-quatre quartiers. La ville est agrémentée de parcs (neuf grands parcs urbains) et de rues arborées (plus d'un million d'arbres plantés), notamment dans les quartiers anciens de la Cidade Baixa. En outre, la municipalité possède une réserve biologique, autour de la plage du quartier de Lami, sur le fleuve, ce qui lui vaut d'avoir une des plus grandes concentrations urbaines d'oiseaux du pays. Son nom signifie littéralement « Port joyeux ».

Porto Alegre
Devise : Leal e Valerosa Cidade de Porto Alegre (Loyale et valeureuse cité de P. Alegre)
Blason de Porto Alegre
HĂ©raldique
Drapeau de Porto Alegre
Drapeau
Porto Alegre
Administration
Pays Drapeau du Brésil Brésil
RĂ©gion Sud
État Drapeau du Rio Grande do Sul Rio Grande do Sul
Langue(s) portugais
Maire SebastiĂŁo Melo (MDB)
Code postal 90 000-000
Fuseau horaire
Heure d'été
UTC-3
UTC-2
Indicatif 51
DĂ©mographie
Gentilé portalegrense
Population 1 492 530 hab.[1] (2021)
DensitĂ© 3 013 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 30° 01′ 42″ sud, 51° 13′ 44″ ouest
Altitude m
Superficie 49 539 ha = 495,39 km2
Divers
Site(s) touristique(s) Point de départ touristique vers le reste de l'État ; centre économique
Fondateur
Date de fondation
JerĂ´nimo de Ornelas
1732
Création de la municipalité Resolução Régia du
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Brésil
Voir sur la carte topographique du Brésil
Porto Alegre
Géolocalisation sur la carte : Brésil
Voir sur la carte administrative du Brésil
Porto Alegre
GĂ©olocalisation sur la carte : Rio Grande do Sul
Voir sur la carte administrative du Rio Grande do Sul
Porto Alegre
Liens
Site web Site officiel

    C'est la dixième ville en importance de population du BrĂ©sil, et reprĂ©sente 0,1848 % de la surface de l'État du Rio Grande do Sul et 0,0058 % de celle du territoire brĂ©silien. Sa population Ă©tait de 1 409 351 habitants au recensement de 2010[2]. La municipalitĂ© s'Ă©tend sur 497 km2[2]. Sa rĂ©gion mĂ©tropolitaine est composĂ©e de 31 villes.

    La ville a été administrée pendant 16 ans par le Parti des Travailleurs (PT). Depuis 1988 Olívio Dutra, Tarso Genro, Raul Pont, Tarso Genro (2e mandat), puis João Verle, l'adjoint de Genro, ont été successivement maires.
    Élu en 2004, José Fogaça, candidat du Parti Populaire Socialiste (PPS), occupe le poste de maire depuis le 1er janvier 2005. Il est entretemps passé au PMDB. En avril 2010, il démissionne de son poste pour pouvoir se présenter à la candidature de gouverneur de l'État du Rio Grande do Sul pour les élections de cette même année. Il est remplacé par José Fortunati, son vice-maire. En 2012, Fortunati est élu maire et termine son mandat en 2016. Depuis 2017, Nelson Marchezan Jr, fils d'un ancien homme politique brésilien, est maire par le PSDB.

    En 2001, Porto Alegre a accueilli le premier Forum social mondial, événement — aujourd'hui itinérant — qui discute les questions sociales du monde moderne. La ville a été le siège du Forum en 2002, 2003 et 2005. En 2014, Porto Alegre était une ville hôte de la coupe du monde de football.

    Histoire

    Genèse

    Le site de la ville était originellement occupé par les amérindiens Tapes et Minuanos.

    La création de Porto Alegre remonte à 1732 avec le peuplement des Campos de Viamão et de Porto Alegre par des éleveurs de bétail de Laguna, dans l'État de Santa Catarina. Vingt ans après arrivèrent des Missions jésuites, les premiers éléments de l'expédition de Gomes de Andrade. Ils s'établirent au bord du lac Guaíba, au lieu-dit Porto de Viamão ou Porto do Dorneles, sur les terres du propriétaire terrien Jerônimo de Ornelas. Plus tard, l'évêque de Rio de Janeiro créera la paroisse de São Francisco do Porto dos Casais, séparée de celle de Nossa Senhora da Conceição de Viamão[3].

    En juillet 1772, le gouverneur de la capitainerie de Rio Grande, José Marcelino de Figueiredo, décide la mesure de 60 lots de terres pour des couples açoriens ; le lieu s'appellera Porto dos Casais (Port des Couples). Le , Porto Alegre devient la capitale de la Capitainerie, avec l'installation officielle du gouvernement de Figueiredo.

    Le processus de création de Porto Alegre a donc été le fait de l'installation successive d'éleveurs de bétail (XVIIIe siècle), de colons portugais des Açores (1752), d'esclaves africains, d'aventuriers et d'immigrants allemands, espagnols, italiens et polonais (entre 1820 et 1890), entre autres nombreuses nationalités présentes, qui se sont approprié les terres indigènes. Ce sont leurs croyances, légendes, habitudes, coutumes et technologies qui ont formé la mosaïque culturelle qui fait la Porto Alegre du XXIe siècle.

    Le développement historique

    La cité va ensuite se développer rapidement, à partir du petit noyau qui constitue aujourd'hui le quartier Centro. Elle va vivre quelques périodes de tension du fait de sa position de capitale de la Capitainerie (puis de Province) la plus méridionale du Brésil, et de la proximité des frontières de pays ayant de nombreux conflits à gérer.

    Cependant, la période de difficultés la plus longue ne fut causée par aucun conflit extérieur, comme la guerre du Paraguay, mais causée par la Révolution Farroupilha, qui débuta par un affrontement armé le , dans la capitale même, près du pont da Azenha.

    À l'exception des premiers jours, la capitale gaúcha restera durant les dix années dans les mains des troupes gouvernementales, mais était assiégée en permanence par les Farrapos qui cherchaient à l'isoler au maximum. Sa résistance à l'un des obstacles qu'elle eut à subir durant cette période lui valut le titre donné par l'Empereur de « mui leal e valorosa » (très loyale et valeureuse) qui apparaît dans sa devise.

    Après la Guerre des Farrapos, la ville reprit son rythme normal de développement, restant toujours au centre des événements politiques et sociaux de l'État du Rio Grande do Sul et du Brésil. Deux exemples en furent l'ascension de Getúlio Vargas, homme politique gaúcho qui devint un repère de l'histoire nationale, et le mouvement de la Légalité (movimento da Legalidade), maintenu par le gouvernement Brizola au début des événements qui conduisirent au coup d'État de 1964.

    Porto Alegre est emblématique pour la gauche brésilienne. C’est la ville de Leonel Brizola, ancien chef de file charismatique des socialistes, mais aussi le siège du Forum social mondial, gouvernée de 1989 à 2005 par le Parti des travailleurs, qui y expérimenta son budget participatif[4].

    GĂ©ographie

    La ville est installĂ©e au bord du fleuve GuaĂ­ba, plus prĂ©cisĂ©ment sur le delta du JacuĂ­, qui s'Ă©tend sur 210 km2, au point de rencontre des eaux des fleuves (rios) JacuĂ­, Sinos, CaĂ­ et GravataĂ­ dans le lac GuaĂ­ba (ce « lac » Ă©tant ouvert, on le nomme aussi « fleuve »). Ses 30 Ă®les, entrecoupĂ©es de petites baies et de canaux, forment l'archipel du JacuĂ­, dont la zone de protection Ă©cologique fut crĂ©Ă©e en 1979. Son Ă©cosystème a un rĂ´le important pour l'habitat et la survie des oiseaux et des espèces aquatiques. Près du dĂ©bouchĂ© du GuaĂ­ba dans la Lagoa dos Patos, une autre zone protĂ©gĂ©e permet la survie de nombreuses espèces.

    Porto Alegre et la lagoa dos Patos.

    Villes voisines

    Les morros

    La ville possède de nombreuses collines, les morros, pouvant aller jusqu'Ă  311 m d'altitude.

    Le plus haute morro est le Morro Santana (pt)

    Climat

    Au sud du tropique du Capricorne, Porto Alegre dispose d'un climat subtropical humide. La ville connaît la plus importante variation de température parmi les capitales brésiliennes au cours de l'année.

    Les étés sont chauds et humides, avec des températures allant parfois jusqu'à 40 °C. Les hivers sont doux, très humides et pluvieux. Durant cette saison, les journées avec des températures variant de 5 °C à 15 °C sont courantes. L'automne et le printemps forment deux saisons de transitions.

    Le record de température minimale de Porto Alegre remonte au avec -4 °C[5].

    Le , 42,6 °C sont mesurés dans la zone nord de la ville, en faisant le record de température la plus chaude jamais enregistrée de Porto Alegre[6].

    • Moyenne annuelle : 19,5 °C
    • Printemps (septembre Ă  dĂ©cembre) : entre 12 °C et 30 °C
    • ÉtĂ© (dĂ©cembre Ă  mars) : entre 20 °C et 35 °C
    • Automne (mars Ă  juin) : entre 8 °C et 25 °C
    • Hiver (juin Ă  septembre) : entre 0 °C et 19 °C
    Données climatiques de Porto Alegre[7]
    Mois Jan. Fév. Mars Avr. Mai Juin Juil. Août Sept. Oct. Nov. Déc.
    Température moyenne maxima °C 31 31 28 25 22 19 19 20 21 23 27 29
    Température moyenne minima °C 19 20 18 16 12 9 9 10 12 14 16 18

    Coucher du soleil

    • Printemps : 19:45 (horaire d'Ă©tĂ© brĂ©silien)
    • ÉtĂ© : 20:45 (horaire d'Ă©tĂ© brĂ©silien)
    • Automne : 17:55 (horaire d'hiver brĂ©silien)
    • Hiver : 17:30 (horaire d'hiver brĂ©silien)

    Économie

    La ville était il y a encore une vingtaine d'années un pôle industriel et marchand important. À ce jour, la plupart des industries importantes se sont déplacées dans la périphérie de la ville, sur les communes avoisinantes faisant partie de la Région métropolitaine de Porto Alegre. Il ne reste plus que les industries de services et les productions de l'agriculture familiale (petite agriculture) qui se développent dans les zones rurales de la Municipalité. Ces dernières s'intègrent souvent dans des projets d'économie solidaire.

    La ville est le siège de la société Forjas Taurus, important fabricant d'armes[8].

    Le port de Porto Alegre

    Le port de Porto Alegre est le plus mĂ©ridional du BrĂ©sil. Il couvre 55 000 m2 de surface. GĂ©ographiquement privilĂ©giĂ© par sa localisation, il est au centre d'un rĂ©seau fluvial qui unit le centre producteur rĂ©gional sur les cours d'eau qui se jettent dans la Lagoa dos Patos avec le plus grand port maritime du Mercosul, le port de Rio Grande, Ă  300 km au sud, sur l'ocĂ©an Atlantique sud. Son ancien portique d'entrĂ©e a Ă©tĂ© construit en une structure de fer dĂ©corĂ©e de vitraux, commandĂ©e Ă  Paris en 1919. Ce dernier est un point d'attraction touristique de la ville, d'oĂą partent les croisières sur le rio GuaĂ­ba.

    Cette position rend possible un trafic permanent entre Porto Alegre et Buenos Aires, charriant des produits sidérurgiques et, principalement, des produits agricoles venant essentiellement de l'intérieur de l'État du Rio Grande do Sul.

    Avec un profil actuel de port importateur, il est en train de devenir, avec les investissements en cours de réalisation, un des principaux maillons de la chaîne logistique du commerce du Rio Grande do Sul.

    • PIB par habitant (2009) : R$ 25 438 (Change 2009)
    • Exportations totales (2009) : US$ 629 992 398

    L'Ă©ducation

    La ville de Porto Alegre, avec São Paulo, Rio de Janeiro, est l'une des plus avancées dans le domaine de l'éducation. Elle a un des taux les plus bas d'abandon et une grande quantité (28) de facultés dans la ville[9].

    Administration

    L'organisation municipale

    Comme toute municipalité brésilienne, Porto Alegre possède un pouvoir exécutif — le maire et les secrétaires (comme les ministres dans un gouvernement national) —, et un pouvoir législatif, à travers le conseil municipal (Câmara Municipal)[10]. Les secrétariats sont au nombre de vingt-cinq, plus sept entités d'administration indirecte assimilées. Ceci forme le « gouvernement municipal ». Les conseillers municipaux au nombre de trente-six sont répartis entre seize partis.

    La démocratie participative

    L'acteur essentiel de la démocratie participative, outre l'exécutif local qui en est le garant, est la « pyramide participative » à travers laquelle les citoyens font valoir les choix qu'ils entendent voir mis en œuvre. Cet organe est divisé en trois grands niveaux : le niveau micro-local, le niveau sectoriel et thématique, et enfin au sommet, le Conseil du Budget participatif (COP). À l'instar d'un budget municipal classique, son rythme de cycle de réunions est annuel.

    Au niveau micro-local, les réunions sont ouvertes à tous les citoyens, et constituées à leur initiative, de manière à débattre des projets et problèmes de quartier, et par la suite faire part de revendications et de projets d'investissements souhaités au niveau supérieur des assemblées plénières par l'envoi de délégués (dont le nombre sera fonction de la participation aux réunions).

    À l'échelle sectorielle et thématique, ce sont les assemblées plénières (une par secteur) qui prennent le relais pour synthétiser, et hiérarchiser les propositions émises au niveau micro-local sous forme de matrices primaires où sont désignés quatre priorités parmi treize postes budgétaires (éducation, habitat, voirie…). Cette première matrice vise à répartir les investissements par service de l'administration municipale. Puis, les assemblées plénières élisent en leur sein des délégués qu'elles envoient dans les forums, et des conseillers au budget participatif pour décider dans l'organe du C.O.P. Les forums sont constitués, soit par secteur (découpage géographique de la ville), soit par thème pour les problématiques qui impliquent une politique à l'échelle de la ville (Circulation et transports, Santé et assistance sociale, Culture, Éducation et loisirs, Développement urbain et social…). Au sein de ces forums, il s'agit à ce stade de discuter, de débattre des projets d'investissements du secteur ou du thème, et de matérialiser les orientations choisies par le biais de matrices budgétaires conçues selon trois critères formalisés : les priorités établies par les habitants, les carences en services et équipements de bases, la population. Ces trois critères font appel respectivement à des logiques majoritaires-démocratiques, de justice distributive, et technique. Chacun de ces trois critères est pondéré et vient coefficienter les postes budgétaires de manière à représenter la volonté des citoyens, et la politique de redistribution.

    Enfin, le C.O.P. constitue le lien avec l'exécutif, il vote et amende les matrices budgétaires, il synthétise à l'échelle municipale les attributions budgétaires par secteurs et par postes. Il débat aussi des autres postes budgétaires (salaires des fonctionnaires, dépense de fonctionnement…). C'est ainsi au niveau des C.O.P. qu'est réellement établi un budget qu'avalisera l'exécutif. Mais le rôle du C.O.P. est aussi de préparer les budgets des années suivantes puisque c'est en son sein et avec la participation du G.A.P.L.A.N. (institution émanant de l'exécutif ayant pour objet la planification à moyen terme des investissements municipaux) que sont définies les procédures de fonctionnement du budget participatif, cela constitue un rôle essentiel, le budget étant largement déterminé par les pondérations matricielles.

    Tout ceci a été sensiblement remis en question par la défaite électorale du Parti des travailleurs qui avait mis en place le système, et l'arrivée, le , du nouveau maire, José Fogaça, aux affaires politiques de la cité. La nouvelle gestion exécutive municipale est moins favorable à ce type de fonctionnement. Celui-ci, même à l'époque de la direction PTiste, n'impliquait qu'environ 10 % de la population adulte de Porto Alegre.

    Maires de Porto Alegre

    Le maire actuel de Porto Alegre est Sebastião Melo, du Mouvement démocratique brésilien (MDB) depuis le .

    Population

    En plus de la venue de Portugais, d'Allemands, d'Italiens, pour la plupart de religions catholique ou protestante, la ville regroupe plusieurs autres communautés confessionnelles. Sont présentes une forte communauté juive, avec ses organisations socio-culturelles, une communauté maronite et une autre de rite grecque-catholique melkite. Nombreux autres courants du Protestantisme, historique, pentcôtiste, néo-pentecôtiste, adventiste, etc., se rencontrent aussi dans les divers quartiers de la cité.

    DĂ©mographie

    • EspĂ©rance de vie : 71,59 ans (2000)
    • Coefficient de mortalitĂ© infantile (2005) : 12,89 pour 1 000
    • Taux d’analphabĂ©tisme (2000) : 3,45 %
    • Croissance dĂ©mographique (2005) : 1,25 % par an
    • Indice de DĂ©veloppement Humain (IDH) : 0,865[11]
    • 97,07 % de la population est urbaine
    • 2,93 % de la population est rurale

    Transports

    Porto Alegre est le centre géographique des principales routes du Cône Sud, à égale distance de Buenos Aires et Montevideo, que de São Paulo et de Rio de Janeiro. La capitale gaúcha est reliée aux routes fédérales BR-290 et BR-116, qui permettent la connexion avec les autres États brésiliens et l'Uruguay et l'Argentine.

    Distances villes Rio Grande do Sul
    Caxias do Sul120 km
    Pelotas278 km
    Rio Grande317 km
    Gramado115 km
    Passo Fundo297 km
    Santa Maria306 km
    Distances capitales Mercosul
    Buenos Aires1 048 km
    Montevideo868 km
    Asuncion1 311 km
    Santiago2 408 km
    Distances Capitales brésiliennes
    VilleDistance (route)Temps de volVilleDistance (route)Temps de vol
    Aracaju3 296 km05h55MaceiĂł3 568 km05h45
    BelĂ©m3 854 km06h45Natal4 046 km05h35
    Belo Horizonte1 760 km03h40Porto Velho3 598 km07h15
    Brasilia2 111 km02h30Recife3 781 km05h00
    Campo Grande1 413 km04h20Rio Branco4 043 km07h40
    Cuiabá2 137 kmde 4 Ă  8 heuresRio de Janeiro1 555 km01h45
    Curitiba720 km01h00Salvador3 117 km04h45
    FlorianĂłpolis497 km00h45SĂŁo LuĂ­s3 911 km06h55
    Fortaleza4 174 km06h55SĂŁo Paulo1 134 km01h15
    Goiânia1 855 km03h35Teresina3 725 km06h30
    JoĂŁo Pessoa3 908 km05h50VitĂłria2 020 km04h15

    Sports

    Célébrités

    Jumelages

    Porto Alegre est jumelée avec 13 villes[12]:

    Notes et références

    1. IBGE
    2. Institut brésilien de géographie et de statistiques
    3. (pt) SĂ©rgio da Costa Franco, Porto Alegre ano a ano : uma cronologia histĂłrica : 1732-1950, Letra & Vida, , 2e Ă©d. (ISBN 978-85-8118-031-1)
    4. « Municipales au Brésil : Manuela d’Avila, espoir de la gauche à Porto Alegre », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
    5. (pt) « O dia mais frio da história de Porto Alegre »
    6. (pt) « Porto Alegre bate recorde histórico de calor: 42,6°C »
    7. (en) BBC Weather.
    8. « Taurus, symbole de la course à l’armement de la société brésilienne », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
    9. Faculdades reconhecidas pelo MEC
    10. Câmara Municipal.
    11. Atlas du DĂ©veloppement Humain, PNUD, 2000.
    12. (pt) « Capital convidada para Conferência das Cidades Irmãs »

    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

    • Martine Hassoun, Porto Alegre, Un guide alternatif, Éditions Syllepse, , (ISBN 2-913165-59-1).
    • Porto Alegre, l'espoir d'une autre dĂ©mocratie, Marion Gret & Yves Sintomer, La DĂ©couverte « Sur le vif », , (ISBN 2-7071-4494-0).
    • Porto Alegre, les voix de la dĂ©mocratie, Le budget participatif racontĂ© au quotidien, Estelle Granet, Éditions Syllepse, , (ISBN 2-84797-031-2).
    • Raul Pont, L’expĂ©rience du budget participatif de Porto Alegre, Le Monde diplomatique, .
    • Genro Tarso et de Sousa Ubiratan, Quand les habitants gèrent vraiment leur ville, le budget participatif : l'expĂ©rience de Porto Alegre au BrĂ©sil, Ă©ditions Charles LĂ©opold Mayer, Paris, 1998.
    • Tout a commencĂ© Ă  Porto Alegre - Mille forums sociaux, Bernard Cassen, Mille et une Nuits, , (ISBN 2-84205-791-0).

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.