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La Chapelle-Saint-Mesmin

La Chapelle-Saint-Mesmin est une commune française située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.

La Chapelle-Saint-Mesmin
Mairie
Panneau d'entrée de ville Girouet Val de Loire - patrimoine mondial de l'UNESCO
Église
L'hÎtel de ville, panneau d'entrée de ville, le girouet Val de Loire - patrimoine mondial de l'UNESCO et l'église Saint-Mesmin.
Blason de La Chapelle-Saint-Mesmin
Blason
La Chapelle-Saint-Mesmin
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Loiret
Arrondissement Orléans
Intercommunalité Orléans Métropole
Maire
Mandat
Valérie Barthe Cheneau
2020-2026
Code postal 45380
Code commune 45075
DĂ©mographie
Gentilé Chapellois
Population
municipale
10 095 hab. (2020 en diminution de 0,22 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 1 127 hab./km2
Population
agglomération
288 229 hab.
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 53â€Č 26″ nord, 1° 50â€Č 27″ est
Altitude Min. 87 m
Max. 113 m
Superficie 8,96 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Orléans
(banlieue)
Aire d'attraction Orléans
(commune du pĂŽle principal)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Jean-de-la-Ruelle
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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La Chapelle-Saint-Mesmin
Liens
Site web ville-lachapellesaintmesmin.fr

    La commune est situĂ©e dans la rĂ©gion naturelle du Val de Loire et l'unitĂ© urbaine d'OrlĂ©ans. C'est l'une des 22 communes d'OrlĂ©ans MĂ©tropole. Elle est incluse dans le rĂ©seau Natura 2000 et le Val de Loire est inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l'Organisation des Nations unies pour l'Ă©ducation, la science et la culture (UNESCO) comme « paysage culturel ».

    Elle est traversée d'est en ouest par plusieurs voies de communication : la Loire, la route départementale 2152, la ligne de Paris-Austerlitz à Bordeaux-Saint-Jean, l'autoroute A10, le GR3 (sentier de grande randonnée 3) et par l'un des quatre chemins de Compostelle : la Via Turonensis venant de Paris.

    Elle doit son nom Ă  Maximin de Micy ou saint Mesmin l'Ancien, 2e abbĂ© (510-520) du monastĂšre de Saint-Mesmin de Micy, Ă©difiĂ© sur la rive opposĂ©e de la Loire. Selon la lĂ©gende, il traversa le fleuve pour aller terrasser le dragon dans la grotte du dragon de BĂ©raire (d'oĂč Berarius, le premier nom de la commune) situĂ©e sous l'Ă©glise.

    La commune possĂšde de nombreux sites archĂ©ologiques, notamment celui des Chesnats dont les fouilles ont permis la mise au jour de vestiges d'un village du haut Moyen Âge prenant sa source Ă  l'Ă©poque gallo-romaine (du Ier au XIe siĂšcle), retraçant 1 000 ans d'histoire. Ce site est considĂ©rĂ© actuellement comme l'un des plus importants en France pour cette pĂ©riode.

    La Chapelle-Saint-Mesmin abrite Ă©galement un patrimoine prestigieux (le chĂąteau de l'Ardoise et le chĂąteau des Hauts) et un monument historique classĂ© depuis 1862, l'Ă©glise de la Chapelle-Saint-Mesmin, l'une des plus anciennes Ă©glises du Val de Loire (XIe siĂšcle). De 1846 Ă  1906, l'ancienne maison de retraite Paul-Gauguin constituait le petit sĂ©minaire, Ă©cole secondaire religieuse, crĂ©Ă©e par Jean-Jacques Fayet, dĂ©veloppĂ©e par FĂ©lix Dupanloup et oĂč de nombreuses personnalitĂ©s ont suivi leurs Ă©tudes.

    Sur le plan Ă©conomique, son activitĂ© viticole Ă©tait trĂšs importante jusqu’à la fin du XIXe siĂšcle. Le tissu Ă©conomique communal est aujourd'hui largement reprĂ©sentĂ© par les commerces, transports et services divers mais aussi par un secteur industriel dont le plus important reprĂ©sentant est l'usine de production du verre Duralex, prĂ©sente sur la commune depuis 1934.

    La ville dispose d'un tissu associatif dynamique avec en particulier le club de BMX chapellois, premier club sportif de cyclisme en nombre de licenciĂ©s au niveau national. Avec un dĂ©marrage des travaux prĂ©vu courant , la ville disposera, en , du plus grand circuit de bicross de France, avec une piste d'une longueur de 420 mĂštres.

    GĂ©ographie

    Localisation et communes limitrophes

    La commune de La Chapelle-Saint-Mesmin se trouve dans le dĂ©partement du Loiret, en rĂ©gion Centre-Val de Loire[1]. Elle fait partie de la rĂ©gion naturelle du Val de Loire orlĂ©anais, une rĂ©gion qui s'Ă©tend entre la Puisaye Ă  l'est, le Blaisois Ă  l'ouest, la Petite Beauce et la forĂȘt d'OrlĂ©ans au nord, la Sologne au sud[2].

    Elle se situe Ă  7,1 km par la route[Note 1] d'OrlĂ©ans[Carte 1], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  5,2 km de Saint-Jean-de-la-Ruelle[Carte 2], bureau centralisateur du canton de Saint-Jean-de-la-Ruelle dont dĂ©pend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'OrlĂ©ans[1].

    Les communes limitrophes sont : Ingré au nord, Chaingy à l'ouest, Saint-Jean-de-la-Ruelle à l'est et Saint-Pryvé-Saint-Mesmin au sud[3].

    Les communes les plus proches, les distances Ă©tant mesurĂ©es entre chefs-lieux de communes Ă  vol d'oiseau, sont, au nord de la Loire[4] : Saint-Jean-de-la-Ruelle (3,6 km), IngrĂ© (3,6 km), OrlĂ©ans (5,0 km), Chaingy (5,0 km), et au sud : Saint-PryvĂ©-Saint-Mesmin (2,3 km), Saint-Hilaire-Saint-Mesmin (2,7 km), Olivet (5,4 km), Mareau-aux-PrĂ©s (5,6 km). Par la route, les communes situĂ©es au sud de la Loire, sont bien plus Ă©loignĂ©es, le franchissement de la Loire se faisant au droit du pont de l'Europe[5].

    GĂ©ologie et relief

    Carte géologique du territoire, bordée au sud par un socle alluvionnaire lié à la Loire
    Carte géologique de la commune de La Chapelle-Saint-Mesmin.
    • Fz : Alluvions rĂ©centes des lits mineurs (HolocĂšne)
    • FC : Alluvions et colluvions du fond des vallĂ©es secondaires (HolocĂšne)
    • m2MSO : Marnes et sables de l'OrlĂ©anais (Burdigalien)
    • m2MCO : Marnes et calcaires de l'OrlĂ©anais (Burdigalien)
    • m1CPi : Calcaires de Pithiviers (Aquitanien)

    La commune se situe au sud du Bassin parisien, un vaste bassin sĂ©dimentaire composĂ© localement d'un empilement de roches sĂ©dimentaires d'origine marine et lacustre (dĂ©pĂŽts carbonatĂ©s) et fluviatiles (dĂ©pĂŽts dĂ©tritiques issus de l’érosion d'anciennes chaĂźnes de montagnes)[6] - [7].

    Le Calcaire de Beauce constitue la principale assise gĂ©ologique de la commune. C'est une roche calcaire d'origine lacustre ĂągĂ©e de l'Aquitanien (de −23 Ă  −20,5 millions d’annĂ©es). La partie supĂ©rieure de cette formation (Calcaires de Pithiviers - m1CPi et les Marnes et Calcaires de l'OrlĂ©anais - m2MCO), est la plus reprĂ©sentĂ©e sur la commune[8]. Selon les donnĂ©es disponibles du Bureau de recherches gĂ©ologiques et miniĂšres (BRGM - Service gĂ©ologique national), les roches calcaires sont prĂ©sentes au niveau du forage de l'ancien chĂąteau d'eau de la commune, sous environ 40 cm de terre vĂ©gĂ©tale[9].

    Les Marnes et Sables de l’OrlĂ©anais (m2MSO), ĂągĂ©s du Burdigalien (de −20,44 Ă  −15,97 millions d'annĂ©es), recouvrent les Calcaires de Beauce, et se localisent au nord de la commune. Ces sables sont essentiellement composĂ©s de grains de quartz Ă©moussĂ©s, accompagnĂ©s de feldspaths kaolinisĂ©s et friables, de silex Ă  patine noire et de graviers calcaires particuliĂšrement frĂ©quents Ă  la base de la formation[10] - [8].

    Enfin des alluvions et colluvions récentes, datant de l'HolocÚne, occupent le fond d'une ancienne vallée secondaire, perpendiculaire à la Loire dont le lit mineur est quant à lui occupé par des alluvions récentes (Fz) datant également de l'HolocÚne[11].

    La superficie de la commune est de 8,96 km2. Son territoire est relativement plat puisque le dĂ©nivelĂ© maximal atteint 26 mĂštres. L'altitude du territoire varie entre 87 m et 113 m[12] - [G 1].

    CarriĂšres souterraines et Ă  ciel ouvert

    Depuis le XVIIe siĂšcle jusqu'en 1914, on comptait de nombreuses carriĂšres Ă  ciel ouvert (notamment aux lieux-dits les Forges, La Guide, Maison BrulĂ©e, la Blennerie, MĂšgreville, la Butte, le Petit Courant et sous le chemin de la levĂ©e) et souterraines (notamment aux lieux-dits la Croix Noble, Four Ă  Chaux, Montaut et Monteloup). En 1905, on en recensait 65, le plus important regroupement de carriĂšres de pierres de taille du dĂ©partement du Loiret Ă  cette Ă©poque, pour une production annuelle de 6 000 tonnes[Carte 3]. Les fours Ă  chaux sont exploitĂ©s le plus souvent par des cultivateurs, appelĂ©s chaufourniers. Les pierres chapelloises Ă©taient considĂ©rĂ©es comme dures et de bonne qualitĂ© et ont Ă©tĂ© utilisĂ©es notamment pour les constructions Ă  OrlĂ©ans du pont Royal, de l'Ă©glise Saint-Paterne ou de la rue de la RĂ©publique. Elles Ă©taient expĂ©diĂ©es par bateaux Ă  partir du port de La Chapelle puis par chemin de fer lors du dĂ©clin de la batellerie. Aujourd'hui, la plupart des carriĂšres Ă  ciel ouvert ont Ă©tĂ© remblayĂ©es et celles souterraines ont peu Ă  peu Ă©tĂ© abandonnĂ©es puis fermĂ©es[GHL 1].

    Paysages

    Lithographie en noir et blanc présentant, depuis la rive opposée, un village au-delà d'un cours d'eau.
    Vue de La Chapelle-Saint-Mesmin depuis la rive opposée au XIXe siÚcle.

    Trois unitĂ©s topographiques et paysagĂšres peuvent ĂȘtre distinguĂ©es sur la commune[G 2] :

    • le plateau de Beauce dont la limite sud est marquĂ©e par le coteau qui borde la Loire et qui occupe les deux-tiers nord de la commune. Cette partie haute de la commune prĂ©sente des altitudes comprises entre 100 et 115 m NGF, avec toutefois la prĂ©sence d'un petit talweg liĂ© Ă  la riviĂšre des Bois aujourd'hui disparue ;
    • le coteau de la Loire, avec un dĂ©nivelĂ© d'une dizaine de mĂštres, faisant la transition entre Beauce et Val de Loire ;
    • le Val de Loire et sa plaine alluviale prĂ©sentant une altitude moyenne de 90 m.

    Le lit du fleuve est lui-mĂȘme partagĂ© entre le lit mineur, oĂč l'eau s'Ă©coule en permanence, et le lit majeur, qui fait partie du val de la Bouverie, un petit val agricole, quasiment pas urbanisĂ©, d’une longueur de 4 kilomĂštres, qui concerne Ă©galement la commune de Chaingy[13].

    Labellisation patrimoine mondial

    Logo en noir et blanc du label Patrimoine mondial de l'Unesco.
    Patrimoine mondial de l'UNESCO.

    Le , le Val de Loire, dans son cours moyen de Sully-sur-Loire (Loiret) Ă  Chalonnes-sur-Loire (Maine-et-Loire), est inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l'organisation des Nations unies pour l'Ă©ducation, la science et la culture (UNESCO) comme « paysage culturel ». Cette inscription reconnaĂźt au site une « valeur universelle exceptionnelle » fondĂ©e sur la densitĂ© de son patrimoine monumental, architectural et urbain, l'intĂ©rĂȘt du paysage fluvial et la qualitĂ© exceptionnelle d’expressions paysagĂšres hĂ©ritĂ©es de la Renaissance et du SiĂšcle des LumiĂšres. Toute altĂ©ration de cette « valeur » est considĂ©rĂ©e comme une perte pour la mĂ©moire de l’HumanitĂ©[14]. Le prĂ©fet de la rĂ©gion Centre, prĂ©fet coordonnateur, approuve le plan de gestion pour le Val de Loire patrimoine mondial par arrĂȘtĂ© en date du [14]. Trente-cinq communes du Loiret sont concernĂ©es, dont La Chapelle-Saint-Mesmin qui a une frange de son territoire inscrite et le reste en zone tampon[15]. La covisibilitĂ© prĂ©sente sur la commune entre l'Ă©glise et la pointe de Courpain est considĂ©rĂ©e comme l’une des valeurs identitaires du paysage du patrimoine UNESCO dans l’OrlĂ©anais[G 3].

    • Carte en couleurs du val de Loire et du pĂ©rimĂštre inscrit au label patrimoine de l'Unesco.
      Carte du périmÚtre Val de Loire, patrimoine de l'Unesco, sur la commune et ses abords, et de la zone tampon.
    • photographie en couleurs d'un poteau en fer surmontĂ© d'une sorte de girouette.
      Le girouet Val de Loire – patrimoine mondial caractĂ©rise la signalĂ©tique patrimoine mondial des communes du Val de Loire inscrites[16].

    Cours d'eau

    Carte en couleurs représentant les cours d'eau (la Loire au sud, le Rollin au sud-ouest)
    RĂ©seau hydrographique de La Chapelle-Saint-Mesmin.

    La commune est traversĂ©e par la Loire sur 3,788 km. Le rĂ©seau hydrographique communal, d'une longueur totale de 4,17 km, comprend Ă©galement un autre petit cours d'eau, le Rollin[17].

    Le cours de la Loire s’insĂšre dans une large vallĂ©e qu’elle a façonnĂ©e peu Ă  peu depuis des milliers d’annĂ©es. Elle traverse le sud du dĂ©partement du Loiret depuis Beaulieu-sur-Loire jusqu'Ă  Beaugency, avec un cours large et lent. La Loire prĂ©sente des fluctuations saisonniĂšres de dĂ©bit assez marquĂ©es[18]. La station hydromĂ©trique la plus proche situĂ©e en amont de la commune et servant de rĂ©fĂ©rence en cas de crue est celle d'OrlĂ©ans, au droit du pont Royal[19].

    En bord de Loire, les sources de Bellevue, eaux provenant de rĂ©surgences de la Loire, du gouffre de l'Île Charlemagne (Saint-Jean-le-Blanc), de l'affleurement de la nappe de Beauce et de nappes souterraines situĂ©es dans le sous-sol de la forĂȘt d'OrlĂ©ans, favorisent une faune et une flore spĂ©cifiques[20].

    Au pied du coteau coule parfois un petit ruisseau, le Rollin[21], qui prend sa source en contrebas du chĂąteau du mĂȘme nom, le chĂąteau de la Source du Rollin[22], situĂ© en surplomb vers le milieu du val, pour se jeter dans la Loire Ă  l'extrĂ©mitĂ© du val de la Chapelle Ă  Saint-Ay un peu moins de trois kilomĂštres plus loin[Note 2].

    Zones humides

    Le registre du cadastre de 1812 mentionne plusieurs zones humides (Lieux-dits la Vallée, la Noue, le clos du four, le clos de la Source) mais on en comptait d'autres qui avaient pour noms : mare d'Orentay, mare de la Jaunisse, mare des Dangeaux, mare des Garreaux, la mare du Pigeon Vert[23].

    Une étude de prélocalisation des zones humides a été engagée en sur l'ensemble du territoire du schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) de la Nappe de Beauce. Sur le territoire de la commune, les zones humides probables sont localisées au niveau du lit majeur de la Loire et en fond de vallon du ruisseau « le Rollin »[24] - [G 4].

    Climat

    ParamÚtres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,2 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,9 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,6 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 682 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,6 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,2 j

    La commune bĂ©nĂ©ficie d’un climat « ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalitĂ© des communes du Loiret. Le climat reste ocĂ©anique mais avec de belles dĂ©gradations. Les tempĂ©ratures sont intermĂ©diaires et les prĂ©cipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en Ă©tĂ©, mais les pluies tombent en moyenne durant douze jours en janvier et huit en juillet, valeurs moyennes rapportĂ©es Ă  l’ensemble français. La variabilitĂ© interannuelle des prĂ©cipitations est minimale tandis que celle des tempĂ©ratures est Ă©levĂ©e[25].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[25]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Cette Ă©volution peut ĂȘtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, OrlĂ©ans-Bricy, qui se trouve Ă  13,0 km Ă  vol d'oiseau[26], oĂč la tempĂ©rature moyenne Ă©volue de 11 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[27], Ă  11,2 °C pour 1981-2010[28], puis Ă  11,7 °C pour 1991-2020[29].

    Milieux naturels et biodiversité

    La commune est bordĂ©e par la Loire sur plus de km. Le sentier de grande randonnĂ©e GR3 emprunte l’ancien chemin de halage et permet de dĂ©couvrir de beaux points de vue sur OrlĂ©ans et la Sologne Ă  partir du parc municipal situĂ© dans les bois[M 1]. De nombreuses essences (perce-neige, violettes, marguerites...) et une cinquantaine de variĂ©tĂ©s d'arbres et arbustes sont rĂ©pertoriĂ©es et visibles selon les saisons.

    Les bords de Loire offrent Ă  La Chapelle-Saint-Mesmin une grande diversitĂ© de paysages et de milieux naturels, dont les plus remarquables sont : la forĂȘt alluviale, les herbiers aquatiques, les grĂšves et les sources. GrĂące Ă  cette diversitĂ© de milieux naturels, les bords de Loire chapellois abritent plusieurs stations de plantes rares ou protĂ©gĂ©es, telles que la gagĂ©e des prĂ©s, la tulipe sauvage, ou l’herbe Saint-Roch, ainsi que la corydale Ă  bulbe plein[M 2].

    La ville a engagĂ© en 2008, l'opĂ©ration « Objectif zĂ©ro pesticide dans nos villes et villages ». Le niveau d’utilisation des herbicides a Ă©tĂ© fortement rĂ©duit depuis plusieurs annĂ©es pour l’entretien des espaces verts, des forĂȘts, des promenades et des voiries. Le second volet, mis en place Ă  partir du , en prĂ©voit l’interdiction pour un usage par les particuliers[M 3].

    La commune a obtenu en 2004 le niveau « deux fleurs » au Concours des villes et villages fleuris[30]. Elle dispose de trois parcs municipaux : Parc municipal de la place des GrÚves (aire de pique-nique, jeux pour enfants et mini-golf[Note 4], parc de l'Espace Béraire (1986)[31] et Parc de la Solitude[M 1].

    RĂ©serve naturelle nationale de Saint-Mesmin

    Carte en couleurs du périmÚtre de la réserve naturelle, englobant plusieurs communes.
    Carte du périmÚtre de la réserve naturelle nationale Saint-Mesmin.
    Photographie en couleurs d'une rive d'un cours d'eau, avec l'Ă©mergence de divers arbres dans l'eau.
    Pointe de Courpain (à Saint-Pryvé-Saint-Mesmin).

    La rĂ©serve naturelle nationale de Saint-Mesmin est une aire protĂ©gĂ©e faisant partie du rĂ©seau des rĂ©serves naturelles en France et dont le statut est dĂ©fini par la loi relative Ă  la dĂ©mocratie de proximitĂ© du . Elle a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e par dĂ©cret du . Elle comprend la partie de la vallĂ©e de la Loire situĂ©e dans le domaine public fluvial s’étendant de Saint-PryvĂ©-Saint-Mesmin et Mareau-aux-PrĂ©s, en rive gauche, Ă  La Chapelle-Saint-Mesmin, Chaingy et Saint-Ay, en rive droite ainsi que certaines parcelles cadastrĂ©es de la commune de Saint-PryvĂ©-Saint-Mesmin. Elle s'Ă©tend sur 263 ha, auxquels s'ajoute un pĂ©rimĂštre de protection de 90 ha, et englobe la pointe de Courpain (boisement alluvial situĂ© au confluent de la Loire et du Loiret) et les Ăźles de Mareau[32]. La zone se superpose pour partie Ă  la zone de protection spĂ©ciale vallĂ©e de la Loire du Loiret du rĂ©seau Natura 2000[33] et Ă  la zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique de type 2 « Île de Saint-PryvĂ©-Saint-Mesmin et abords »[INPN 1]. La variĂ©tĂ© des milieux a permis le dĂ©veloppement d’une flore trĂšs riche et diversifiĂ©e, avec 558 espĂšces de plantes supĂ©rieures recensĂ©es dont trois protĂ©gĂ©es au niveau national (pulicaire vulgaire, gagĂ©e des prĂ©s, tulipe sauvage) et cinq au niveau rĂ©gional (limoselle aquatique, pigamon jaune, corydale Ă  bulbe plein, laĂźche de Loire, scille d'automne). Il Ă©galement possible d'observer la cĂ©phalanthĂšre de Damas, orchidĂ©e rare[34]. Le castor d’Europe a fait son apparition dans la rĂ©serve en 1983, Ă  la suite de sa rĂ©introduction en amont de Blois. Nocturne, il se laisse difficilement observer mais les traces de son activitĂ© sont nombreuses[32].

    Sites Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d’intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce rĂ©seau est constituĂ© de Zones SpĂ©ciales de Conservation (ZSC) et de Zones de Protection SpĂ©ciale (ZPS). Dans les zones de ce rĂ©seau, les États Membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles. L'objectif est de promouvoir une gestion adaptĂ©e des habitats tout en tenant compte des exigences Ă©conomiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularitĂ©s rĂ©gionales et locales de chaque État Membre. Les activitĂ©s humaines ne sont pas interdites, dĂšs lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l’état de conservation favorable des habitats et des espĂšces concernĂ©s[35]. Les sites Natura 2000 prĂ©sents sur le territoire communal de La Chapelle-Saint-Mesmin sont au nombre de deux[INPN 2] :

    • la VallĂ©e de la Loire de Tavers Ă  Belleville-sur-Loire, un site d'importance communautaire (SIC) (Directive « Habitats ») crĂ©Ă© le , de 7 120 ha superficie. Le site concerne 51 communes. La dĂ©limitation de ce site Natura 2000 est trĂšs proche de celle correspondant Ă  la Directive Oiseaux. L'intĂ©rĂȘt majeur du site repose sur les milieux ligĂ©riens liĂ©s Ă  la dynamique du fleuve, qui hĂ©bergent de nombreuses espĂšces citĂ©es en annexe II de la directive Habitats[INPN 3] - [INPN 4]. Il est situĂ© dans la frange sud de la commune[36]. Les bords de Loire de La Chapelle abritent notamment deux espĂšces protĂ©gĂ©es : la couleuvre vipĂ©rine et l’alyte, surnommĂ© le crapaud accoucheur[M 2] ;
    • la VallĂ©e de la Loire du Loiret, une Zone de protection spĂ©ciale (ZPS) (Directive « Oiseaux ») crĂ©Ă©e le , de 7 684 ha de superficie. Le site concerne la vallĂ©e de la Loire dans le Loiret. Cette ZPS se poursuit en amont et en aval sur les dĂ©partements voisins. L'intĂ©rĂȘt majeur du site repose sur les milieux et les espĂšces ligĂ©riens liĂ©s Ă  la dynamique du fleuve. Ces milieux hĂ©bergent de nombreuses espĂšces citĂ©es en annexe I de la directive Oiseaux. Le site est caractĂ©risĂ© par la prĂ©sence de colonies nicheuses de sternes naines et pierregarin et de mouette mĂ©lanocĂ©phale. Des sites de pĂȘche du Balbuzard pĂȘcheur sont Ă©galement prĂ©sents. Le site est Ă©galement lieu de reproduction du bihoreau gris, de l'aigrette garzette, de la bondrĂ©e apivore, du milan noir, de l'ƓdicnĂšme criard, du martin-pĂȘcheur, du pic noir, de la pie-griĂšche Ă©corcheur[INPN 5] - [INPN 6]. Il est situĂ© dans la frange sud de la commune[36].

    Au fil des saisons, on peut aussi apercevoir cygnes, hérons, foulques, balbuzards et entendre les chants des rossignols, hirondelles et fauvettes[GHL 3].

    Depuis le dĂ©but des annĂ©es 1970, on y observe une augmentation massive de la reproduction du grand cormoran (Phalacrocorax carbo sinensis), espĂšce protĂ©gĂ©e, Ă  tel point, qu'un projet d'arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral relatif Ă  la rĂ©gulation du grand cormoran pour la pĂ©riode 2019-2022 dans le dĂ©partement du Loiret est envisagĂ© contre les dĂ©gĂąts aux piscicultures extensives en Ă©tangs et aux peuplements piscicoles sur les eaux[37]. En 2014, l'association Loiret Nature Environnement a dĂ©nombrĂ© une centaine de cormorans perchĂ©s sur l'unique saule de l'Ăźle de Saint-PryvĂ©-Saint-Mesmin qu'on dĂ©nomme pour cette raison l'arbre aux cormorans[LaR 1].

    Zones nationales d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    Carte en couleurs des Znieff, concernant la Loire, sur le flanc sud de la commune.
    Carte des ZNIEFF de la commune et de ses abords.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Le territoire communal de La Chapelle-Saint-Mesmin comprend deux ZNIEFF[INPN 7].

    L'Ăźle de Saint-PryvĂ©-Saint-Mesmin et abords est une ZNIEFF de type 1[Note 5], d'une superficie de 50 hectares, s'Ă©tendant sur les territoires de deux communes : La Chapelle-Saint-Mesmin et Saint-PryvĂ©-Saint-Mesmin[DREAL 1]. Son altitude est de 95 m[INPN 8]. Cette portion de la Loire est constituĂ©e d'une mosaĂŻque d'habitats typiques du lit mineur comprenant des eaux courantes calmes, des milieux pionniers des grĂšves de vase et/ou de sable, des milieux herbacĂ©s, des friches, des boisements pionniers de saules arbustifs, des boisements plus Ă©voluĂ©s de la saulaie-peupleraie[INPN 1].

    La Loire orlĂ©anaise est une ZNIEFF de type 2[Note 6], d'une superficie de 5 458 hectares. Elle s'Ă©tend sur 37 communes et se superpose pour la commune Ă  la zone Natura 2000 de nom similaire. Elle correspond Ă  la boucle septentrionale du fleuve[DREAL 2]. Son altitude varie entre 80 et 135 mĂštres[INPN 9]. Elle se caractĂ©rise par un lit mineur largement occupĂ© par des Ăźles et grĂšves sableuses. Ces milieux soumis au marnage annuel recĂšlent de multiples habitats plus ou moins temporaires. C'est pratiquement la seule section qui prĂ©sente des mĂ©andres. On observe, sur les basses terrasses, quelques formations sablo-calcaires[INPN 10].

    Jardins familiaux

    Photographie en couleurs d'un jardin, ceinturé d'un grillage, dans lequel se trouvent un cabanon et des tunnels de serres.
    Enclos municipal des jardins familiaux.

    Depuis les annĂ©es 2010, la commune propose la mise Ă  disposition de douze parcelles de 100 m2 chacune de jardins familiaux pour les habitants. Par le passĂ© et jusqu'en 1974, un terrain privĂ© (Ă  l'emplacement actuel du concessionnaire automobile situĂ© prĂšs de l'autoroute) Ă©tait mis Ă  disposition de l'association des jardins ouvriers et familiaux[GHL 4].

    Rucher pédagogique

    Un rucher pĂ©dagogique, composĂ© de quatre essaims, a Ă©tĂ© mis en place en 2016 par la mairie, avec l'aide d'une dizaine d'apiculteurs amateurs locaux, afin d’agir en faveur de la sauvegarde des abeilles et de contribuer Ă  prĂ©server la biodiversitĂ©. Les quatre essaims composĂ©s chacun d'environ 50 000 abeilles (dont des abeilles noires, espĂšce locale), peuvent produire annuellement jusqu'Ă  80 kg de miel[LaR 2]. Une sensibilisation est proposĂ©e aux enfants des Ă©coles de la commune chaque annĂ©e au cours des mois de mai et juin. Un pot de miel produit, le miel du dragon, est remis Ă  chaque visiteur[M 5].

    Urbanisme

    Typologie

    La Chapelle-Saint-Mesmin est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 7] - [38] - [In 1] - [39]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine d'OrlĂ©ans, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 19 communes[In 2] et 282 269 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[In 3] - [In 4]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'OrlĂ©ans, dont elle est une commune du pĂŽle principal[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 136 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 habitants[In 5] - [In 6].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (56,2 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (45,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (43,8 %), terres arables (29,2 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (12,4 %), forĂȘts (9,5 %), eaux continentales[Note 9] (5,1 %)[40].

    L’évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 4].

    • Carte en couleurs des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    • Vue aĂ©rienne du territoire communal.
      Carte orthophotographique de la commune en 2016.

    Planification

    Carte simplifiée de la commune, différenciant avec différentes couleurs les zones urbaines, à urbaniser et naturelles.
    Carte du zonage du plan local d'urbanisme de la commune (2019).

    La loi SRU du a incitĂ© les communes Ă  se regrouper au sein d’un Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis d’amĂ©nagement de l’espace au sein d’un SchĂ©ma de cohĂ©rence territoriale (SCoT), un document d’orientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă  une grande Ă©chelle et Ă  un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT OrlĂ©ans-MĂ©tropole, approuvĂ© le [41].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvĂ©[42]. Le zonage rĂ©glementaire et le rĂšglement associĂ© peuvent ĂȘtre consultĂ©s sur le gĂ©oportail de l'urbanisme[Carte 5]. Les zones AU sont les zones Ă  urbaniser, les A correspondent Ă  des zones agricoles et les N Ă  des zones naturelles.

    Morphologie urbaine

    L’urbanisation de la commune s’est dĂ©veloppĂ©e grĂące Ă  plusieurs facteurs[G 5] :

    • un territoire fertile constituĂ© de vignes, sans contraintes particuliĂšres de relief et Ă  l’abri des caprices du fleuve ;
    • la commune se situe dans un couloir de communication : les voies antiques vers Tours et Le Mans, la Loire navigable (en lien avec Nantes) ;
    • la proximitĂ© gĂ©ographique (essor Ă©conomique) et le lien historique (St-Mesmin) avec l’abbaye de Micy.

    Vers 1905, la commune n’est constituĂ©e que d’une mosaĂŻque de hameaux. Dans les annĂ©es 1950, la tĂąche urbaine se dĂ©veloppe par extension de ces hameaux et des espaces entourant l’usine de verrerie et Michelin. Le centre-bourg apparaĂźt. Dans les annĂ©es 1980, la morphologie urbaine de la commune se transforme avec la mise en service des autoroutes A10 en 1974 et A71 en 1980. L’urbanisation s’étend alors de maniĂšre simultanĂ©e sur la quasi-totalitĂ© du territoire communal, mĂȘme si l’extrĂȘme ouest reste Ă  dominante rurale. Dans les annĂ©es 2000, l’urbanisation se densifie par comblement des dents creuses[G 5].

    Voies routiĂšres

    Carte en couleurs du réseau routier, avec indication des trafics.
    RĂ©seau routier principal de la commune de La Chapelle-Saint-Mesmin (avec indication du trafic routier 2014).
    Photographie en couleurs d'un bloc cylindrique de pierre entouré de végétation.
    Borne royale no 62.

    La commune est traversĂ©e par trois voies routiĂšres d’importance supra communale orientĂ©es sud-ouest nord-est : les autoroutes A10 et A71 ainsi que la RD2152[G 6].

    L'autoroute A10, qui relie Paris Ă  Bordeaux et dont la section OrlĂ©ans – Parçay-Meslay a Ă©tĂ© mise en service en 1974[G 7], longe la commune sur son flanc nord et supportait, sur cette section, un trafic moyen journalier annuel de 42 880 vĂ©hicules/jour en 2018[43] (40 186 vĂ©hicules/jour en 2014[G 8]).

    L’autoroute A71, qui relie OrlĂ©ans Ă  Clermont-Ferrand et dont la section OrlĂ©ans (A10) – Olivet (sortie 2) a Ă©tĂ© mise en service en 1980[G 7], supporte un trafic similaire (41 115 vĂ©hicules/jour en 2018[43], 38 993 vĂ©hicules/jour en 2014[G 8]). La sortie de cette autoroute, dĂ©nommĂ©e « OrlĂ©ans-Centre » est situĂ©e sur la partie est de la commune et permet l'accĂšs vers le centre-ville d'OrlĂ©ans Ă  partir des deux autoroutes[G 8].

    La RD 2152 est une voie historique. Il s'agit de l’ancienne RN 152 dĂ©classĂ©e en 2006 dont la dĂ©nomination et le tracĂ© ont Ă©voluĂ© avec le temps. CrĂ©Ă©e en 1824 et reliant Briare Ă  Angers, elle succĂšde alors Ă  la route impĂ©riale 172. Elle est numĂ©rotĂ©e 152 en 1933, puis dĂ©classĂ©e en 2006[44]. Elle supporte un trafic de 8 061 vĂ©hicules/jour en 2014[G 8]. Sur le tracĂ©, trois exemplaires de bornes royales (ou bornes Ă  fleur de lys) installĂ©es tous les km environ au XVIIIe siĂšcle, sont placĂ©es sur le trottoir de gauche en provenance d'OrlĂ©ans[Note 10].

    Diverses voies secondaires et parallĂšles Ă  la RD 2152 et l'A10 sont Ă©galement prĂ©sentes : les axes Croquechataigne – Autruche -Chaingy et 3 fossĂ©s – Beauvois – Cahotus – PerriĂšre - Muids[G 6]. Perpendiculairement, trois axes nord-sud principaux peuvent ĂȘtre dĂ©finis : la rue d'IngrĂ© et les axes GabelliĂšre – Placeau – Bruelles – Maison Rouge ainsi que Eiffel – Orentay - Azone[G 6].

    Transports collectifs

    La commune est bien desservie par le rĂ©seau de tram-bus mise en Ɠuvre par OrlĂ©ans MĂ©tropole et dispose Ă©galement d'une desserte ferroviaire[G 9].

    La ligne B du tramway d'OrlĂ©ans, mise en service en 2012, termine son parcours sur le territoire de la commune. Le terminus ouest nommĂ© Georges-Pompidou est la seule station prĂ©sente sur la commune. Elle est situĂ©e sur l'avenue du mĂȘme nom, Ă  la limite avec les villes d'IngrĂ© et Saint-Jean-de-la-Ruelle. Le trajet reliant la commune au centre-ville d'OrlĂ©ans s'effectue en 14 minutes environ[45].

    La Chapelle-Saint-Mesmin est desservie par cinq lignes de bus des transports de l'agglomĂ©ration orlĂ©anaise (TAO) : 2, 4, 51, 52 et resa’nord. Les deux premiĂšres lignes de bus de la TAO (ex-SEMTAO) desservant la commune, ont Ă©tĂ© mises en service en 1979[M 6].

    La commune est Ă©galement desservie depuis 2017 par RĂ©mi (ligne no 9), le rĂ©seau de la rĂ©gion Centre-Val de Loire (OrlĂ©ans - Beaugency AR) et compte deux arrĂȘts[46].

    La ligne de chemin de fer Paris-Austerlitz Ă  Bordeaux-Saint-Jean, qui traverse de part en part le territoire de la commune, suivant plus ou moins parallĂšlement le tracĂ© de l'autoroute A10 Ă  une distance d'environ un kilomĂštre plus au nord, et qui constitue une frontiĂšre naturelle avec la commune voisine d'IngrĂ©, est toujours considĂ©rĂ©e aujourd'hui comme une vĂ©ritable coupure avec le centre bourg pour les habitants des quartiers situĂ©s entre ces deux rĂ©seaux (Les Forges, l'Autruche, Pailly, les Chesnats, Orentay et Maison Rouge). La gare (de 4e classe), d'une longueur de 240 mĂštres est situĂ©e Ă  l'est du chemin de la GabelliĂšre.

    Certains trains de la ligne TER Centre-Val de Loire no 3[47] (Tours, Blois-Chambord, OrlĂ©ans) s'arrĂȘtent en gare de La Chapelle-Saint-Mesmin[48]. La ville est desservie en semaine par plusieurs TER en direction d'OrlĂ©ans et de Blois. Le trajet La Chapelle/OrlĂ©ans centre-ville s'effectue en huit minutes[M 7].

    • TraversĂ©e de la Chapelle via la D 2152.
    • Photographie en couleurs d'un tramway vu lĂ©gĂšrement de profil, les quais de part et d'autre Ă©tant dĂ©serts.
      La ville est desservie par la ligne B du tramway.
    •  Carte postale en noir et blanc reprĂ©sentant l'arrivĂ©e d'un train Ă  vapeur devant l'ancienne gare.
      L'ancienne gare ferroviaire de La Chapelle-Saint-Mesmin.

    Transports en mode doux et sentiers de grande randonnée

    Photographie en couleurs d'une stÚle en pierre parallélépipédique avec une coquille Saint-Jacques en bas relief.
    StĂšle du chemin de Compostelle.

    Un important réseau cyclable maille la commune[G 10].

    La commune est traversée par le GR3 (sentier de grande randonnée 3, autrefois dénommé Sentier de Loire) et par l'un des quatre chemins de Compostelle: la Via Turonensis venant de Paris. En , La Chapelle-Saint-Mesmin était la premiÚre commune du Loiret à ériger une stÚle commémorative, en collaboration avec l'association « Compostelle 45 »[49] qui est à l'origine du projet. L'installation de celle-ci a pour but de mieux faire connaitre la Via Turonensis auprÚs des pÚlerins et randonneurs mais aussi pour contribuer à développer le tourisme. Celle-ci a été réalisée par les élÚves et leur professeur de l'atelier sculpture du lycée Henri Gaudier-Brzeska de Saint-Jean-de-Braye. Elle est installée au pied de l'église Saint-Mesmin sur l'ancien chemin de halage de la rive droite de la Loire[LaR 3].

    Bornes de Loire

    Photographie en couleurs d'un petit bloc blanc pierreux parallélépipédique avec l'inscription 101 sur un cÎté.
    Borne de Loire kilomĂštre 101, au pied de l'Ă©glise.

    Des bornes géographiques de deux types (forme cylindrique ou carrée) ont été installées au milieu du XIXe siÚcle par les services des ponts et chaussées tout le long des berges de la Loire[50].

    Les bornes de pierre de forme cylindrique servent Ă  indiquer la distance en kilomĂštres parcourue par la Loire de l’est vers l’ouest du dĂ©partement. À la Chapelle, on en compte cinq placĂ©es Ă  Ă©gale distance tous les kilomĂštres Ă  proximitĂ© du chemin de halage entre les limites est et ouest de la commune[GHL 6].

    Les bornes de pierre carrĂ©es sont des bornes-repĂšres de nivellement situĂ©es aussi bien sur la rive gauche que sur la rive droite de la Loire. Elles sont gravĂ©es d’un numĂ©ro suivi d’une lettre. Le « M » signifie montant (amont), le « D » descendant (aval). La numĂ©rotation part du MĂ©ridien de Paris. La borne 0 se trouve sur la levĂ©e de Loire entre Saint-PĂšre-sur-Loire et Saint-BenoĂźt-sur-Loire ainsi que sur la rive gauche. ImplantĂ©es sur des points hauts comme les levĂ©es, elles sont espacĂ©es d’un kilomĂštre rĂ©el environ. Au pied de l'Ă©glise, la borne 54D est parfaitement identifiable[GHL 6].

    Logement

    En 2017, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 4 611, alors qu'il Ă©tait de 4 091 en 2009 et de 3 561 en 1999[I 1].

    Parmi ces logements, 91,6 % étaient des résidences principales, 0,7 % des résidences secondaires et 7,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 70,03 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 29,04 % des appartements[I 2].

    La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 68,8 %, en légÚre baisse par rapport aux années précédentes. La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était de 11,8 % en légÚre hausse par rapport aux années précédentes[I 3].

    Programme local de l'habitat (PLH)

    Le PLH 4 (2023-2028), élaboré en 2022 par Orléans Métropole en concertation avec les communes membres, a défini les objectifs et le programme d'actions pour les sept prochaines années, notamment à La Chapelle Saint-Mesmin[M 8] :

    • Parc privĂ©:
      • Accompagner des projets de rĂ©novation thermique[51].
    • DĂ©veloppement du logement[52] - [M 9]:
      • Accentuer l’effort de production de logements de type 2 et 3, dont la demande augmente.
      • Inclure davantage de logements adaptĂ©s aux personnes Ă  mobilitĂ© rĂ©duite dans les programmes.
    • Production du logement social[53]:
      • La ville a dĂ©fini un taux minimal de 30% de logements sociaux[54] pour tout programme comportant 5 logements ou plus sur des zones dĂ©finies au plan local d'urbanisme mĂ©tropolitain (PLUm).

    De l'habitat typique ancien Ă  l'habitat pavillonnaire

    La maison « vigneronne » locale typique, perpendiculaire Ă  la rue, s'articule autour d'une maison d'habitation (avec une chambre basse unique et multifonctionnelle sous laquelle court une cave et surmontĂ©e d'un grenier) et d'une grange (qui abrite le pressoir)[T 1]. Le grenier s'ouvre sur une ou plusieurs lucarnes d'accĂšs qui sont souvent placĂ©es au-dessus d'une porte ou d'une fenĂȘtre afin d'allĂ©ger le poids sur le linteau. Les briques remplacent les pierres autour de la cheminĂ©e ou du four pour Ă©viter de les faire Ă©clater Ă  cause de la chaleur. Portes et fenĂȘtres sont encadrĂ©es de pierres de taille. La porte d'entrĂ©e est d'un seul vantail et surmontĂ©e d'une imposte vitrĂ©e. Certaines maisons sont munies d'une porte de type fermiĂšre (articulĂ©e en deux parties, permettant de laisser fermĂ©e la partie basse afin d'empĂȘcher l'intrusion d'animaux). Un puits Ă  eau se trouve frĂ©quemment Ă  proximitĂ© (notamment pour permettre au maçon d'avoir de l'eau Ă  disposition pour bĂątir sa maison). Les murs, souvent d'une largeur d'au moins 50 centimĂštres, sont Ă©levĂ©s en moellons posĂ©s (Ă  partir du XIXe) Ă  l'aide d'une pĂąte de terre blanche, puis enduits de mortier de chaux et de sable de Loire. La toiture est formĂ©e de deux versants d'une pente de 45⁰ et composĂ©e de tuiles plates Ă  ergots. La base de la toiture repose sur une corniche de briques ou de pierres. Le faĂźtage est surmontĂ© de tuiles faĂźtiĂšres raccordĂ©es par de gros bourrelets de mortier[GHL 7].

    À partir du XIXe siĂšcle et jusqu'Ă  la premiĂšre moitiĂ© du XXe siĂšcle, de nombreuses maisons possĂšdent leur propre four Ă  pain. On le trouve soit Ă  l'intĂ©rieur de la maison, soit accolĂ© au corps d'habitation, plus rarement Ă  l'Ă©cart de la propriĂ©tĂ©. Dans le quartier de la PerriĂšre, par exemple, il en existait une quinzaine dont quatre subsistent encore aujourd'hui[GHL 8].

    Pendant les Trente Glorieuses, plusieurs lotissements et ensembles immobiliers de logement sont réalisés[GHL 9] :

    • Les Oiseaux (1953) ;
    • La Noue (1954) ;
    • HLM de la rue de Verdun (1959), anciennement dĂ©nommĂ©s Lotissement des Tilleuls et actuellement RĂ©sidence de La Bredauche[GHL 10] ;
    • Les Pervenches (1962-1967) et Le Gaigneau (1963)[Note 11] ;
    • La Barre de l'Ange (1963-1967)[Note 12] ;
    • Les Sansonnets (1964-1968)[Note 13] ;
    • Le Levereau (1965-1967)[Note 14] ;
    • Les Hauts du Bourg (1965-1968)[Note 15] ;
    • Le PrieurĂ© (1968-1972)[Note 16] ;
    • Bel Air (1963-1976) (ou Square des dĂ©portĂ©s)[Note 17].

    Projets d'aménagement

    Le plan local d'urbanisme (PLU)[M 13], mis en révision en 2015[M 14] et adopté par Orléans Métropole début 2019, a défini des orientations d'aménagement et de programmation (OAP), en réflexion jusqu'à la mise en place du PLU métropolitain (PLUm)[M 15], concernant les secteurs suivants :

    • secteurs de Pailly et du moulin de Pailly : encadrer l’intĂ©gration des nouvelles constructions Ă  vocation d’habitat, prĂ©server les ensembles bĂątis et paysagers remarquables et crĂ©ation de liaisons douces. CrĂ©ation d’un Ă©quipement public sur le secteur du Moulin de Pailly ;
    • secteur Descartes[M 16] : encadrer l’intĂ©gration et le dĂ©veloppement de ce secteur Ă  vocation mixte. PrĂ©servation des masses et continuitĂ©s vĂ©gĂ©tales ainsi que crĂ©ation de liaisons douces. MixitĂ© programmatique et qualitĂ© d’amĂ©nagement pour conjuguer dĂ©veloppement Ă©conomique et qualitĂ© du cadre de vie ;
    • secteur des Cacoux : encadrer l’intĂ©gration des nouvelles constructions Ă  vocation d’habitat en prenant en compte les risques d’inondation. PrĂ©servation des ensembles paysagers remarquables et crĂ©ation de liaisons douces ;
    • zone d'activitĂ©s ouest : pĂŽle d'activitĂ©s des quatre cheminĂ©es : encadrer le dĂ©veloppement du pĂŽle des Quatre CheminĂ©es et veiller Ă  prĂ©server le paysage lointain offert depuis la rive sud de la Loire, traitement des franges entre habitat et activitĂ©s, et entre espace agricole et activitĂ©s, amĂ©lioration de l’entrĂ©e de ville pour contribuer Ă  l’intĂ©gration des activitĂ©s existantes et de l’extension de la zone ;
    • bords de Loire : prĂ©server des Ă©lĂ©ments du patrimoine bĂąti et paysager, notamment boisĂ©s, et mettre en valeur le secteur UNESCO[Note 18] de protection des bords de Loire. Traitement des entrĂ©es de ville est et ouest pour valoriser l’image de la ville. AmĂ©nagement de liaisons douces reliant le centre-ville aux bords de Loire ;
    • rĂ©amĂ©nagement du centre-ville : crĂ©er une unitĂ© au sein du centre-ville, en minimisant la coupure urbaine constituĂ©e par la RD 2152 et « en rapprochant » les Ă©quipements et espaces verts entre eux Ă  l’aide de liaisons en modes doux.

    Risques naturels et technologiques majeurs

    La commune de La Chapelle-Saint-Mesmin est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : inondations (par dĂ©bordement de la Loire ou de ruisseaux), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique. Elle est Ă©galement exposĂ©e Ă  un risque technologique : le transport de matiĂšres dangereuses[59]. Entre 1999 et 2020, quinze arrĂȘtĂ©s ministĂ©riels ayant portĂ© reconnaissance de catastrophe naturelle ont Ă©tĂ© pris pour le territoire de la commune de La Chapelle-Saint-Mesmin dont quatre pour des inondations et coulĂ©es de boue et onze pour des mouvements de terrain[60]. Le site de la mairie met Ă  disposition le Document d'information communal sur les risques majeurs (DICRIM)[M 17]. Par ailleurs OrlĂ©ans MĂ©tropole et ses communes membres proposent un dispositif gratuit de diffusion d’alertes Ă  l’ensemble de la population[M 18].

    Risque d'inondation

    Carte en couleurs représentant la zone inondable par la Loire.
    Zone inondable de la commune de La Chapelle-Saint-Mesmin.

    La Loire est à l'origine des dégùts les plus importants sur le territoire de la commune en cas de crue majeure. Les crues historiques sont celles de 1846, 1856, 1866 et 1907[61].

    La zone inondable de la commune de La Chapelle-Saint-Mesmin couvre une surface de 158 hectares, soit 18 % du territoire communal. Cette zone se rĂ©partit en 25 ha en espaces agricoles, 60 ha en eau, 53 ha en espaces naturels et 20 ha en surfaces urbanisĂ©es[62]. 67 personnes rĂ©sident dans cette zone[63].

    Le risque d'inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) du val d'Orléans - val amont, approuvé le [64]. Deux documents permettent de définir les modalités de gestion de crise et d'organisation des secours : au niveau départemental, le dispositif ORSEC départemental spécialisé déclenché en cas d'inondation de la Loire, le plan ORSIL[Note 19], et au niveau communal le plan communal de sauvegarde[65].

    Risque de mouvements de terrain

    Le territoire de la commune peut ĂȘtre concernĂ© par un risque d'effondrement de cavitĂ©s souterraines non connues. Une cartographie dĂ©partementale de l'inventaire des cavitĂ©s souterraines et des dĂ©sordres de surface a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e. Il a Ă©tĂ© recensĂ© sur la commune plusieurs effondrements de cavitĂ©s[66]. Par ailleurs le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liĂ©s Ă  la sĂ©cheresse. Le phĂ©nomĂšne de retrait-gonflement des argiles est la consĂ©quence d'un changement d'humiditĂ© des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible, mais aussi de la perdre en se rĂ©tractant en cas de sĂ©cheresse[67]. Ce phĂ©nomĂšne peut provoquer des dĂ©gĂąts trĂšs importants sur les constructions (fissures, dĂ©formations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particuliĂšrement affectĂ© le Loiret aprĂšs la canicule de l'Ă©tĂ© 2003 et la canicule de l’étĂ© 2018[68]. La plus grande partie du territoire de la commune est soumise Ă  un alĂ©a « moyen » face Ă  ce risque, selon l'Ă©chelle dĂ©finie par le Bureau de recherches gĂ©ologiques et miniĂšres (BRGM). Une bande Ă©troite longeant la Loire est en alĂ©a « faible ». Une zone au nord de la commune centrĂ©e sur Pailly, la Corne, les Bruelles est en alĂ©a « fort »[69].

    Risques de tempĂȘte

    Le , une tempĂȘte d’une intensitĂ© exceptionnelle a soufflĂ© Ă  151 km/h sur l’ensemble de la commune[LaR 4]. Des dĂ©gĂąts matĂ©riels importants (arbres arrachĂ©s, toitures soulevĂ©es, vĂ©hicules et habitations endommagĂ©s) ont Ă©tĂ© constatĂ©s mais aucune victime n’a Ă©tĂ© Ă  dĂ©plorer. Le niveau de vitesse du vent le plus important avait Ă©tĂ© prĂ©cĂ©demment relevĂ© en 1967 : 166 km/h.

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Cette paroisse, qui appartenait Ă  l'abbaye Saint-Mesmin de Micy, est mentionnĂ©e primitivement sous la forme Villa Berarii en 836 (copie de la fin Xe siĂšcle ou dĂ©but XIe siĂšcle)[70]. Par la suite, elle est attestĂ©e au Xe siĂšcle sous le nom de Cappella Sancti Maximini[71] - [72]; La Chapelle Sainct Mesmin en [73], en [74], en [75] et en [76]. Puis La Chappelle Saint Mesmin est attestĂ©e en 1536, et enfin La Chapelle Saint Mesmin en 1740[77] et sur la carte de Cassini au XVIIIe siĂšcle[72]. Sous la Convention, les noms des saints Ă©tant bannis, la commune porte briĂšvement le nom de Roche-sur-Loire ou La Chapelle-Mesmin[T 2]. On retrouve le nom de La Chapelle Saint-Mesmin en 1801, dans l'arrĂȘtĂ© du 5 vendĂ©miaire an IX portant rĂ©duction des justices de paix du dĂ©partement du Loiret[78].

    Étymologie

    Il s'agit d'une formation toponymique mĂ©diĂ©vale. D'aprĂšs la premiĂšre mention, le nom primitif devait ĂȘtre *Berarville (Villa Berarii IXe siĂšcle), les noms en -ville au sens ancien de « domaine rural, village » Ă©tant frĂ©quent dans la rĂ©gion. L'Ă©lĂ©ment Berar- reprĂ©sente l'anthroponyme Berar[ius] ou Berachar[ius], nom d’homme d'origine germanique en usage Ă  l’époque mĂ©rovingienne[72]. Par la suite le nom de la chapelle dĂ©diĂ©e Ă  saint Mesmin s'est substituĂ© au toponyme d'origine selon un mode usuel en toponymie. La chapelle est consacrĂ©e Ă  Maximin de Micy (saint Mesmin l'Ancien), 2e abbĂ© (510-520) du monastĂšre de Saint-Mesmin de Micy. Les formations toponymiques La Chapelle + nom de saint sont courantes comme noms de communes et Albert Dauzat en dĂ©nombre plus d'une vingtaine dont La Chapelle-Saint-Martin, lieux du Loir et Cher et de Savoie[79].

    Remarque : cappella, diminutif du bas latin cappa, « chape, manteau », dĂ©signait spĂ©cialement la chape ou manteau de saint Martin, le grand thaumaturge, relique insigne, dont les premiers souverains se faisaient suivre dans leurs expĂ©ditions militaires, et sur laquelle se prĂȘtaient les serments. Puis, cappella dĂ©signa l'endroit mĂȘme oĂč dans le palais Ă©tait conservĂ©e la fameuse chape, et enfin ce vocable fut appliquĂ© Ă  tout sanctuaire possĂ©dant des reliques; cappella a abouti en ancien français Ă  chapele Ă©crit aujourd'hui « chapelle »[80].

    Écarts, lieux-dits et chemins ruraux

     Carte présentant le découpage en parcelles et lieux-dits de la commune.
    Carte des lieux-dits (hors zone urbaine) de La Chapelle-Saint-Mesmin.

    Le fichier FANTOIR 2020 des voies et lieux-dits de La Chapelle-Saint-Mesmin (publiĂ© le 2 fĂ©vrier 2021) recense pour la commune 328 toponymes et odonymes, se dĂ©composant en 98 lieux-dits et 230 voies : un boulevard, six avenues, 146 rues, cinq places, deux squares, trois routes, 34 impasses, 18 chemins, trois allĂ©es, 100 lieux-dits et 10 autres voies[81].

    Les hameaux autour desquels s’est dĂ©veloppĂ©e l’urbanisation dans les annĂ©es 1950[G 5], subsistent aujourd’hui sous forme de quartiers : les Hauts Champs, Grattelard, Montaut, la GabelliĂšre, la PerriĂšre ou les Muids[82].

    Histoire

    Préhistoire et protohistoire

    Photo en couleur de deux squelettes.
    Sépulture double dite « la dame de Monteloup », une femme (20 ans) et son enfant - La jeune femme est richement parée de plusieurs colliers comportant plus de deux cents dentales et une centaine de perles en lignite.

    En 1856, la grotte du dragon de Béraire, cavité souterraine naturelle apparue au cours de l'HolocÚne[83], est découverte par l'archéologue Ernest Pillon.

    Au cours du XXe siĂšcle, plusieurs sites prĂ©historiques (PalĂ©olithique supĂ©rieur, culture magdalĂ©nienne) sont dĂ©couverts au lieu-dit Monteloup[GHL 11]. Le site a livrĂ© des vestiges humains magdalĂ©niens[84] - [85]. Une sĂ©rie d'occupations livre de l'industrie lithique typique du Badegoulien Ă  raclettes, avec des piĂšces de facture plus rĂ©cente[86] (MagdalĂ©nien)[87]. Monteloup est prospectĂ© par l'abbĂ© A. Nouel en 1937, puis par Jacques Allain en 1970. Dans le mĂȘme temps, Allain prospecte aussi le site badegoulien « Le Coteau », qui est Ă©galement visitĂ© par Guy Richard en 1972[88] - [89].

    Des travaux d'agrandissement d'une cave dans le hameau des Neuf-Arpents réalisés en 1988 ont en particulier mis au jour une double sépulture datant du néolithique : « La Dame de Monteloup », une femme d'une vingtaine d'années tenant contre elle un enfant de dix-huit mois. Les riches parures retrouvées sur son corps révÚlent son honorabilité ou son niveau de richesse ainsi que l'existence probable d'une coutume funéraire[T 3].

    Antiquité

    Au début de notre Úre, sur l'emplacement actuel de l'église saint-Mesmin, se tenait une villa gallo-romaine appartenant à un dénommé Béraire (Villa Berarii). Cette villa surplombait la falaise dans laquelle se trouve la grotte du dragon de Béraire[T 4]. La Chapelle-Saint-Mesmin était probablement traversée par la voie gallo-romaine reliant Orléans (Cenabum) à Tours (Caesarodunum) par la rive droite de la Loire et qui figure sur la table de Peutinger[90].

    La rue du Coin Chaud a livré d'anciennes carriÚres comblées avec des matériaux de l'époque gallo-romaine[91].

    Moyen Âge

     Photographie en couleurs d'un terrain sur lequel il y a plusieurs trous de silos et au premier plan, un homme debout en train de regarder au loin.
    Vue d'une partie du chantier de fouilles archéologiques des Chesnats en mai 2012.

    Des fouilles effectuées en 1990 dans le périmÚtre de l'ancien cimetiÚre de l'église ont mis au jour de nombreuses sépultures d'époque mérovingienne (notamment sous la 1re mairie et sur la place du bourg)[GHL 12].

    Des fouilles archĂ©ologiques prĂ©ventives[92], en 2009 dans le quartier dit les Chesnats, ont permis la mise au jour de vestiges d'un village du haut Moyen Âge, vĂ©ritable rĂ©serve Ă  grains, prenant sa source Ă  l'Ă©poque gallo-romaine (du Ier au XIe siĂšcle) et site historique de plusieurs hectares retraçant 1 000 ans d'histoire[93]. Ce site archĂ©ologique est considĂ©rĂ© actuellement comme l'un des plus importants en France pour cette pĂ©riode (des dizaines de milliers de vestiges immobiliers ont Ă©tĂ© dĂ©couverts)[94].

    La lĂ©gende veut qu'aux environs du VIe siĂšcle, saint Mesmin l'Ancien, qui Ă©tablit un monastĂšre Ă  Micy, de l'autre cĂŽtĂ© de la Loire, y combattit un dragon Ă  BĂ©raire (premier nom du village), donnant son nom Ă  ce lieu. À sa mort, saint Mesmin se fait ensevelir dans la grotte situĂ©e sous la Villa Berarii (BĂ©raire). Cette grotte devient un lieu de pĂšlerinage jusqu'Ă  son oubli. Un cimetiĂšre d'Ă©poque mĂ©rovingienne est implantĂ© Ă  partir du VIe siĂšcle autour d’un Ă©difice cultuel au-dessus du tombeau de Saint Mesmin. L'Ă©difice est remplacĂ© par l'Ă©glise Saint-Mesmin entre le XIe et le XIIe siĂšcle[T 4].

    • Objets dĂ©couverts dans les fouilles des Chesnats en 2009-2012
    • agrafe moyenĂągeuse
      Agrafe.
    • Briquet moyenĂągeux
      Briquet.
    • ClĂ© moyenĂągeuse
      Clé.
    • Faucille moyenĂągeuse
      Faucille.
    • Fibule moyenĂągeuse
      Fibule.
    • Lissoir moyenĂągeux
      Lissoir.
    • Mors de cheval moyenĂągeux
      Mors de cheval.
    • Peson moyenĂągeux
      Peson.
    • Vaisselle moyenĂągeuse
      Vaisselle.

    XVIe et XVIIe siĂšcles

    Au XVIe siĂšcle, la commune dispose d'installations portuaires. En effet, on trouve mention du « port et passage de Saint-Mesmin » dĂšs 1529[95]. En 1616, on compte 185 feux ce qui correspond Ă  environ 832 habitants[GHL 13].

    La qualité de bourg ligérien implique que la Loire est une voie de communication aussi sollicitée que la route. Le village est peuplé majoritairement de vignerons qui produisent principalement un vin rouge de table : l'Auvernat[GHL 14], issu du cépage pinot noir[96].

    XVIIIe siĂšcle

    Lithographie en noir et blanc représentant une église sur un promontoire et, en contrebas, des villageois marchant sur un chemin.
    Église et berge de Loire (Aignan-Thomas Desfriches, 1760)

    De la prĂ©histoire jusqu'au milieu du XIXe siĂšcle, la Loire est un important axe de navigation et de transport de marchandises et de personnes[97]. Le dessin ci-contre au crayon noir d'Aignan-Thomas Desfriches, datĂ© de 1760, reprĂ©sentant deux bateaux Ă  grande voile rectangulaire, tĂ©moigne de l’activitĂ© de la marine de Loire au XVIIIe siĂšcle, en interaction avec la commune. Le plus proche est en cours de dĂ©chargement. On y voit nettement, Ă  l’arriĂšre, le gouvernail ou piautre placĂ© sur sa fourche. À gauche deux femmes chargĂ©es de ballots et une fillette empruntent le chemin escarpĂ© joignant la grĂšve du fleuve Ă  l'Ă©glise qui le domine[98].

    L'assemblĂ©e des habitants, composĂ©e des chefs de familles du village et reprĂ©sentĂ©e par le syndic, Guillaume Rouilly, qui organise la levĂ©e des impositions et gĂšre les dĂ©penses dues aux travaux[T 5]. L'assemblĂ©e Ă©lectorale du , prĂ©sidĂ©e par Sylvain Dubois, procureur fiscal dĂ©pendant de la justice seigneuriale de l'abbaye de Micy, est chargĂ©e d'Ă©lire les dĂ©putĂ©s et de rĂ©diger les cahiers de dolĂ©ances faisant suite Ă  la convocation des États gĂ©nĂ©raux de 1789 par Louis XVI.

    Révolution française et Empire

    Le dĂ©cret de l'AssemblĂ©e constituante de 1789 dĂ©cide « il y aura une municipalitĂ© dans chaque ville, bourg, paroisse ou communautĂ© de campagne »[99]. La municipalitĂ© de La Chapelle Saint Mesmin est rattachĂ©e au canton de La Chapelle Saint Mesmin et au district d'OrlĂ©ans[100]. Jacques Deshayes, vigneron, devient le premier maire de la commune (sont Ă©lus avec lui cinq conseillers, un procureur et douze notables). Un dĂ©cret de dĂ©christianisation est promulguĂ© et le mot saint est banni. La Chapelle Saint-Mesmin devient Roche-sur-Loire ou La Chapelle-Mesmin[T 2]. L'Ă©glise, fermĂ©e la mĂȘme annĂ©e, restera sans prĂȘtre jusqu'en 1802. Le premier prĂ©sident Ă©lu du canton est François Boucher, un Chapellois. La Chapelle-Saint-Mesmin est alors rattachĂ©e au Canton d'IngrĂ© et Ă  l'arrondissement d'OrlĂ©ans par arrĂȘtĂ© du 9 vendĂ©miaire an X ()[101] - [100] - [102].

    La vie municipale s'organise. Une école primaire est établie dans la commune en [103]. Une Garde nationale composée de volontaires est créée, à La Chapelle, afin de « préserver les villes contre les ennemis au dehors et les prémunir contre les fléaux du dedans »[GHL 15].

    Un dĂ©cret prĂ©fectoral en date du 16 thermidor an VIII () nomme maire François Bigault, qui habite non pas La Chapelle mais Saint-Jean-de-la-Ruelle. La mĂȘme annĂ©e, la commune est rattachĂ©e au canton d'OrlĂ©ans-Nord-Ouest, un nouveau canton formĂ© entre autres des communes de l'ancien canton d'IngrĂ©[104].

    Progressivement, les vignerons sacrifient la vigne au profit de la polyculture dĂ©sormais plus rentable[GHL 16]. Dans son ouvrage Topographie de tous les vignobles connus paru en 1816, l'Ɠnologue français AndrĂ© Jullien dresse un Ă©tat des lieux du vignoble orlĂ©anais. Parmi les vins rouges dits de premiĂšre classe, sont rĂ©pertoriĂ©s les vignobles chapellois[Note 20].

    Milieu du XIXe siĂšcle

    La premiĂšre mairie est Ă©difiĂ©e en 1831 Ă  l'emplacement de l'ancien cimetiĂšre (entre l'Ă©glise et la place du bourg). La seconde est construite en 1854 Ă©galement place du bourg[105]. En 1844, le petit sĂ©minaire du diocĂšse d'OrlĂ©ans est Ă©difiĂ© dans le parc du chĂąteau des Hauts. Il sera complĂštement achevĂ© en [106]. À cette Ă©poque, on compte, sur la Loire, quatre moulins flottants servant Ă  moudre le blĂ© ainsi qu'un bac permettant de « passer » le fleuve. Faisant suite Ă  la crue de la Loire du , la ferme de la Bouverie (limite de Chaingy) est saccagĂ©e[107] - [GHL 18] - [GHL 19].

    L'arrivée du chemin de fer en à La Chapelle fait progressivement disparaitre la viticulture et la batellerie[108], puis cesser, aprÚs quelques semaines, leurs activités[109]. La commune commence à tourner le dos à la Loire, ce qui accentue le basculement des activités vers le nord-est de la commune.

    Vers 1850, environ 70 % de la population active est concernée par la viticulture. Le vin local, précoce et de bon gout, est alors considéré comme l'un des principaux crus de l'Orléanais[T 6].

    Jusqu'Ă  leur disparition en 1851, une dizaine de bateaux Ă  vapeur, d'un tirant d'eau de 21 centimĂštres, assuraient la liaison entre Nevers et Nantes et pouvaient transporter jusqu'Ă  150 passagers[109].

    Lithographie en couleurs représentant une église en haut d'une falaise dans laquelle est située une grotte et, en contrebas, des embarcations décorées festivement, traversant un cours d'eau trÚs large.
    Inauguration de la grotte du dragon (gravure de Charles Pensée-1858).

    En 1856, faisant suite à la crue de Loire de début du mois de juin qui a submergé de nouveau les levées de Vaussoudun[Note 21] et de la Bouverie, l'entrée de la grotte du dragon est retrouvée par l'archéologue Ernest Pillon[110]. Elle sera inaugurée le [111].

    En 1863[112], un orchestre d'harmonie est fondé au sein du corps de sapeurs-pompiers de la commune qui sera remplacé en 1878 par l'Harmonie de La Chapelle Saint-Mesmin[113].

    Le , une Ă©norme inondation recouvre Ă  nouveau le val[114].

    Guerre franco-allemande de 1870

    AprĂšs l'entrĂ©e des troupes bavaroises Ă  OrlĂ©ans, le , La Chapelle-Saint-Mesmin est occupĂ©e Ă  partir du . Faisant suite Ă  l'armistice signĂ© par le gouvernement provisoire le , les troupes d'occupation imposent Ă  la commune le paiement d'une contribution de 4 635 francs avant le . Craignant le retour des troupes, la municipalitĂ© parvient finalement Ă  rĂ©unir la somme de 2 000 francs qu'elle remet Ă  l'autoritĂ© d'occupation vers le . Faisant suite Ă  une nouvelle exigence de la troupe, le maire parvient Ă  faire annuler cette seconde contribution et il est dĂ©cidĂ© qu'une partie de la somme prĂ©levĂ©e sur les habitants soit reversĂ©e aux plus nĂ©cessiteux. Entre le et le , neuf conscrits chapellois meurent au combat[GHL 21].

    TroisiĂšme RĂ©publique

    AprÚs les ravages causés par le phylloxéra en 1878, un puceron ravageur de la vigne, trÚs peu de replantations sont entreprises[M 19]. Les vignerons deviennent minoritaires et laissent la place aux « cultivateurs propriétaires ». En 1896, ces derniers représentent plus de la moitié de la population active[T 6]. En 1931, ils ne seront plus que 43 %, en 1936 seulement 34 %, en 1954 : 14 % et en 2017 : 0,1 % (cinq agriculteurs).

    Jusqu'à la fin du XIXe siÚcle, le quartier de la Guide prend de l'ampleur et dépasse progressivement en nombre d'habitants celui du bourg. C'est là, en bordure de la route principale, qu'est édifiée en 1884 la nouvelle mairie[M 20].

    En , le centre de la commune est raccordé au réseau d'électricité[GHL 22].

    DĂ©but du XXe siĂšcle

    Le , la crue de la Loire, qui atteint la cote de 5,75 mĂštres, envahit les bois et le chemin de halage. En novembre de la mĂȘme annĂ©e, la commune se voit attribuer une nouvelle pompe Ă  incendie qui est remisĂ©e dans le local est de la mairie. La prĂ©cĂ©dente pompe sera attribuĂ©e en 1910 par la commune au 45e rĂ©giment d'artillerie stationnĂ© dans la commune[M 21].

    En 1911, faisant suite au vote de la loi de sĂ©paration des Églises et de l'État de 1905, l’allĂ©e des Tilleuls, propriĂ©tĂ© de l’ancien petit sĂ©minaire, fait l’objet d’un classement dans le domaine communal. La salle des fĂȘtes, les logements de l’asile Sainte-Anne, le presbytĂšre et la chapelle Sainte-Anne sont attribuĂ©s Ă  la commune[M 22].

    La commune compte 178 mobilisĂ©s entre les annĂ©es 1914 et 1918. DĂšs le mois d', le 45e rĂ©giment d'artillerie de campagne (975 hommes), installĂ© Ă  l'origine dans l'ancien Petit SĂ©minaire, est cantonnĂ© dans les quartiers du Bourg et de la Guide. L'ancien petit sĂ©minaire sert d'ambulance (poste de secours) pour les militaires hindous blessĂ©s. DĂ©but 1917, le chĂąteau des Hauts est transformĂ© en hĂŽpital temporaire pour la 5e section d'infirmiers militaires (S.I.M.). Les noms des 50 soldats chapellois[115], dĂ©clarĂ©s morts pour la France sur 55, figurent sur le monument aux morts de la commune[GHL 23].

    Carte postale en noir et blanc : photographie d'un monsieur debout, devant une cabane marquée « passeur », ayant en main une grande barre de bois de plusieurs mÚtres de longueur
    Le passeur de Loire muni de sa bourde.

    Début 1921, le bac du passeur[GHL 24] de Loire cesse son activité qui renaitra durant l'occupation à la suite de la destruction par les bombardements alliés des ponts sur la Loire. Il subsistera jusqu'au début des années 1950[T 7].

    La culture principale à cette époque reste la vigne (Gris-meunier, Noah, Othello) mais on produit également du blé, de l'avoine, de l'orge, des pommes de terre, des asperges[GHL 25].

    Aux alentours de 1930, l'Annuaire général des communes du Loiret des personnes, des services et des biens répertorie une soixantaine d'artisans-commerçants[116].

    En 1933, la commune est complÚtement raccordée au réseau d'électricité. En 1939, le premier chùteau d'eau (rue de Beauvois) est édifié et les travaux du réseau d'adduction d'eau sont achevés en 1940. Un second chùteau d'eau édifié en 1961 (rue des Auvernais) et une station de pompage implantée à Gouffault (Les Muids) en 1985 compléteront le réseau.

    Seconde Guerre mondiale

    DĂ©but , devant la crainte de l'avancĂ©e allemande jusqu'Ă  Paris, la commune sollicitĂ©e par la prĂ©fecture du Loiret, accueille, pendant ce qu'on a appelĂ© la drĂŽle de guerre, une soixantaine de fillettes originaires de la ville de Fontenay-sous-Bois[GHL 26]. AprĂšs la dĂ©bĂącle de , faisant suite Ă  l'invasion des troupes allemandes par le Nord de la France, c'est le dĂ©but de l'exode en juin. La commune est traversĂ©e par des flots de rĂ©fugiĂ©s venant du Nord, de l'Est puis de la rĂ©gion parisienne. À partir du 12 ou , la panique s'empare des habitants qui souhaitent se rĂ©fugier au sud de la Loire. Au retour, de nombreuses maisons ont souffert. Beaucoup de poules et de lapins ont disparu mais le bĂ©tail s'est regroupĂ© prĂšs de quelques fermes[GHL 27].

    AprĂšs la signature de l'armistice du 22 juin 1940, les troupes allemandes s'installent dans certaines maisons inoccupĂ©es. La Kommandantur est en particulier au 7, allĂ©e des Tilleuls[Note 22]. Une trentaine de ballons captifs, maintenus dans les airs par des cĂąbles, en bord de Loire au sud-ouest de la commune, empĂȘchent tout survol aĂ©rien et protĂšgent le transformateur Ă©lectrique du hameau de Fourneaux (Ă  Chaingy)[GHL 28]. À partir de l'annĂ©e 1943, de nombreux jeunes Chapellois sont envoyĂ©s en Allemagne par le service du travail obligatoire (STO).

    Le , une bombe est lùchée par une importante formation de bombardiers se dirigeant vers la ville de Stuttgart en Allemagne. Celle-ci explose au niveau de la rive sud de la Loire et souffle la plupart des vitraux de l'église Saint-Mesmin. Le village est libéré le par les GI américains. Peu aprÚs des membres des FFI sont chargés de surveiller la rive opposée de la Loire. Le , un cultivateur est tué dans un champ par l'explosion d'une mine sur laquelle sa carriole avait roulé. Les derniers prisonniers de guerre libérés ne rentrent que vers cette époque[GHL 29].

    Depuis 1945

    AprĂšs l'implantation d'un hĂŽpital militaire amĂ©ricain en 1951 (the 34th hospital) dans les locaux de l'ancien petit sĂ©minaire et sa fermeture en 1967, Ă  la suite du dĂ©part de la France du commandement intĂ©grĂ© de l'OTAN[GHL 30], l'urbanisation de la commune s'accentue au cours des Trente Glorieuses : de nombreux lotissements et ensembles immobiliers de logements sont rĂ©alisĂ©s[GHL 31]. La construction de l'Ă©cole du bourg (appelĂ©e aussi Ă©cole de la route puis de la rue d'IngrĂ©, actuellement École Jean-Vilar) en 1952 permet de rĂ©pondre plus efficacement Ă  la scolarisation des 400 enfants de la commune[GHL 32].

    Avec l’installation de l’usine Michelin en 1950, sont Ă©rigĂ©s divers ensembles d’habitation : la petite citĂ© Michelin, puis le lotissement des Oiseaux pour le personnel Michelin (en 1953), puis celui de la Noue (en 1954). En 1963, la « maison de campagne » de la Barre de l’Ange (bĂątie avant 1850) est remplacĂ©e par une rĂ©sidence. Au nord de la RN 152, les rĂ©sidences du Levereau et du PrieurĂ© sont respectivement bĂąties en 1963 et 1968-1971. Puis de nombreux lotissements sont construits : rue de Monteloup (1960) ; les Hauts du Bourg (1965), le domaine de Monteloup (1965- 1973), le Paradis (1973), deux lotissements au grand Courant et vers l’Ardoise (1974-1977), le Moulin de Bel-Air (1975-1977), les Montaux (Ă  partir de 1976), rue d’Orentay (1977), clos du Four (1977)[T 8].

    Avec le dĂ©veloppement du secteur secondaire dans les annĂ©es 1950, le nombre d’exploitations agricoles diminue fortement. En 1951, malgrĂ© la crĂ©ation de l'appellation d'origine vin dĂ©limitĂ© de qualitĂ© supĂ©rieure (VDQS) « vins de l'OrlĂ©anais » (OrlĂ©ans (AOC))[117], s'Ă©tendant sur 25 communes autour d'OrlĂ©ans dont La Chapelle-Saint-Mesmin, la viticulture poursuit son dĂ©clin. En 2021, il ne subsiste aucun vignoble notable sur le territoire de la commune.

    À partir des annĂ©es 1960, La Chapelle Ă©volue progressivement vers le secteur tertiaire. Ces changements entrainent des transformations radicales dans les domaines sociaux, dĂ©mographiques et gĂ©ographiques. Ils annoncent une inexorable mutation identitaire[T 8].

    Politique et administration

    DĂ©coupage territorial

    La commune de Chapelle-Saint-Mesmin[Note 23] est membre de l'intercommunalitĂ© OrlĂ©ans MĂ©tropole[Note 24], un Ă©tablissement public de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre crĂ©Ă© le dont le siĂšge est Ă  OrlĂ©ans. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux. En 2020, il s'agit du SM amĂ©nagement desserte aĂ©rienne de l'Ouest du Loiret (SMAEDAOL), du SM des bassins versants de la Bionne et du Cens et du SMAH du bassin de la RetrĂȘve et de son affluent le ruisseau du Renard[118].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement d'Orléans, au département du Loiret et à la région Centre-Val de Loire[In 7]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Jean-de-la-Ruelle pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[119], et de la deuxiÚme circonscription du Loiret pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[120].

    Élections de 2020

    TĂȘte de listeSuffragesPourcentageCMCC
    Nicolas Bonneau151458,38 %262
    Francine Meurgues107941,61 %71

    Le conseil municipal de La Chapelle-Saint-Mesmin, commune de plus de 1 000 habitants, est Ă©lu au scrutin proportionnel de liste Ă  deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[121], pour un mandat de six ans renouvelable[122]. Compte tenu de la population communale, le nombre de siĂšges Ă  pourvoir lors des Ă©lections municipales de 2020 est de 33[123]. Les trente-trois conseillers municipaux sont Ă©lus au premier tour avec un taux de participation de 37,65 %, se rĂ©partissant en vingt-six issus de la liste conduite par Nicolas Bonneau et sept issus de celle de Francine Meurgues[124]. Nicolas Bonneau, maire sortant, est rĂ©Ă©lu pour un nouveau mandat le [125].

    Les trois siÚges attribués à la commune au sein du conseil communautaire de l'intercommunalité Orléans Métropole se répartissent en : liste de Nicolas Bonneau (2) et liste de Francine Meurgues (1)[124].

    Nicolas Bonneau, maire depuis 2008, meurt le , Ă  l’ñge de 53 ans, Ă  la suite d'un accident vasculaire cĂ©rĂ©bral[126]. Le conseil municipal Ă©lit le ValĂ©rie Barthe Cheneau maire de la commune, jusque-lĂ  premiĂšre adjointe[127] - [128].

    Liste des maires

    La liste des maires successifs est affichée à la mairie[129] - [T 9].

    Depuis la Libération, huit maires se sont succédé[129] - [T 9] :

    Liste des maires depuis la Libération
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1944 1947 Pierre Bergerard Maçon
    1947 1951 Maurice LaliÚre Entrepreneur de maçonnerie
    1954 1977 Aurélien Hatton Plombier
    mars 1977 mars 1989 Pierre Grard RPR Chirurgien-dentiste
    mars 1989 juin 1995 Jean-Marc Bernard PS Responsable de projets
    juin 1995 mars 2008 Michel Tescher UDF[Note 25] puis UMP Chirurgien gynécologue[132]
    mars 2008 [126] Nicolas Bonneau PS[133] puis soutenu par LREM[133] Cadre de la fonction publique[LaR 5]
    14 septembre 2020[127] En cours
    (au [M 23])
    Valérie Barthe Cheneau[127] DVG Chargée de communication[134]

    Conseil municipal des jeunes

    Le conseil municipal des jeunes est une instance consultative de la jeunesse créée en 1996 par la municipalité[M 24] dont les principaux objectifs sont :

    • d'associer et de consulter les jeunes sur les projets et dĂ©cisions de la commune dans les domaines qui les concernent ;
    • de contribuer Ă  prĂ©parer les jeunes Ă  leur vie de citoyen.

    Les 33 jeunes conseillers sont élus par les enfants scolarisés dans les classes de CM1, CM2 et 6e, domiciliés dans la commune. La durée de leur mandat est de deux ans.

    Finances locales

    La commune de La Chapelle-Saint-Mesmin faisant partie d'un établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre, Orléans Métropole, son budget ne reflÚte qu'imparfaitement la réalité de la fiscalité locale en raison des transferts de dépenses de fonctionnement et d'investissement vers l'EPCI, d'une part, et de la perception par l'intercommunalité du produit de la fiscalité professionnelle (la contribution économique territoriale), d'autre part. Ainsi, diverses ressources fiscales sont prélevées au niveau communautaire, et de nombreuses dépenses sont également effectuées à ce niveau[135].

    En 2019, le budget communal principal s'Ă©quilibrait Ă  17 689 000 € dont 12 541 000 € en section de fonctionnement et 5 148 000 € en investissement. La part d'impĂŽts locaux dans les produits de fonctionnement s'Ă©tablissait Ă  63,0 %, contre 43,2 % pour la strate de communes Ă©quivalente de 10 000 Ă  20 000 habitants appartenant Ă  un groupement fiscalisĂ©, avec des taux d'imposition fixĂ©s Ă  16,3 % pour la taxe d'habitation (16,7 % pour la strate), (y compris Taxe sur les logements vacants (THLV)), 32,62 % et 64,21 % pour la taxe fonciĂšre sur le bĂąti et le non-bĂąti (23 % et 54 % pour la strate). Par ailleurs l’encours de la dette communale est relativement faible, puisqu’il s’établit Ă  530 â‚Ź/habitant contre 850 â‚Ź/habitant pour la strate[136].

    Distinctions et labels

    La commune a obtenu en 2004 le niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris[30].

    En 2019, elle obtient le label officiel commune touristique[LaR 6] au titre de membre d'OrlĂ©ans MĂ©tropole et le label « Terre de jeux 2024 » destinĂ© aux collectivitĂ©s qui s’engagent dans l’aventure des Jeux avec leurs habitants[137] dans la perspective de la tenue des Jeux olympiques d'Ă©tĂ© de 2024[M 25].

    En 2020, l'association PrĂ©vention routiĂšre lui dĂ©cerne le niveau « un cƓur » du label « ville prudente », label des communes qui s’engagent pour la prĂ©vention et la sĂ©curitĂ© routiĂšres[138].

    Jumelages

    Photographie d'une estrade de part et d'autre de laquelle peuvent ĂȘtre vus le drapeau français et le drapeau du Royaume-Uni et en arriĂšre plan le nom des deux communes jumelĂ©es des deux pays.
    Jumelage La Chapelle-Newhaven.

    Au 31 mars 2021, La Chapelle-Saint-Mesmin est jumelée avec[139] - [140] :

    Le comitĂ© de jumelage avec Newhaven, ville portuaire d'Angleterre situĂ©e dans le Sussex de l'Est, est particuliĂšrement actif. Il fĂȘte ses dix ans en 2021[LaR 7].

    Équipements et services publics

    Eau potable

    Le premier chĂąteau d'eau (de Beauvois) est Ă©difiĂ© en 1939 avec un forage de 84 mĂštres. Le service public d’eau potable est une compĂ©tence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du sur l’eau et les milieux aquatiques[141]. La gestion de l’eau Ă©tant une compĂ©tence obligatoire des communautĂ©s urbaines[142] et des mĂ©tropoles[143], la communautĂ© urbaine OrlĂ©ans MĂ©tropole s'est substituĂ©e Ă  la commune[Note 26] pour la mise en Ɠuvre du service public d'eau potable lors de la transformation de la communautĂ© d'agglomĂ©ration Val de Loire en communautĂ© urbaine le , puis c'est la mĂ©tropole OrlĂ©ans MĂ©tropole le qui a pris cette compĂ©tence. La commune de La Chapelle-Saint-Mesmin est alimentĂ©e en eau potable par deux forages pompant l'eau dans la nappe souterraine des calcaires de Beauce : le forage de 75 mĂštres de la rue des Auvernais (chĂąteau d'eau des Auvernais), mis en service en 1962 et le forage de 80 mĂštres de Gouffaut (les Muids), mis en service en 1985[144].

    Eaux usées

    La compĂ©tence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usĂ©es, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrĂŽle des raccordements aux rĂ©seaux publics de collecte[145], est assurĂ©e depuis le par la communautĂ© de l'AgglomĂ©ration OrlĂ©ans Val de Loire, puis le par la communautĂ© urbaine et enfin depuis le par OrlĂ©ans MĂ©tropole[146].

    Depuis le , la mĂ©tropole a signĂ© un contrat de dĂ©lĂ©gation de service public avec la sociĂ©tĂ© Suez pour l'exploitation des rĂ©seaux et ouvrages de transport de 11 communes du territoire mĂ©tropolitain dont La Chapelle-Saint-Mesmin[147]. Le rĂ©seau comprend un rĂ©seau unitaire (eaux usĂ©es + eaux pluviales) de 40 822 ml, un rĂ©seau sĂ©paratif eaux usĂ©es de 7 760 ml et un rĂ©seau d'eaux pluviales de 4 229 ml. On compte, dans la commune, 17 stations de relevage pour les eaux usĂ©es et 2 pour les eaux pluviales[146]. Ces stations peuvent contenir de une Ă  quatre pompes dont les puissances peuvent varier de 1,3 kW Ă  140 kW (soit de l/s Ă  450 l/s)[148].

    Un zonage d'assainissement, qui dĂ©limite les zones d'assainissement collectif, les zones d'assainissement non collectif et le zonage pluvial[149] a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© par l’AgglO et a Ă©tĂ© approuvĂ© par dĂ©libĂ©ration du conseil de communautĂ© du [150].

    La commune est raccordĂ©e Ă  la station d'Ă©puration dite « de La Chapelle-Saint-Mesmin », situĂ©e au sud-ouest du territoire communal[151]. Cet Ă©quipement, dont la capacitĂ© est de 350 000 EH, le plus important sur le territoire d'OrlĂ©ans MĂ©tropole, a Ă©tĂ© mis en service le [152] et son exploitation est assurĂ©e depuis par VĂ©olia[147].

    Gestion des déchets

    Carte présentant les différents points de traitement des déchets de Orléans-Métropole.
    Sites de collecte, de traitement et de valorisation des déchets de la communauté urbaine d'Orléans Métropole, avec localisation de la commune de La Chapelle-Saint-Mesmin.

    La collecte, le traitement et la valorisation des déchets sont une compétence exclusive de la communauté urbaine Orléans Métropole depuis 2002 (l'intercommunalité était alors communauté de communes). La collecte des déchets ménagers résiduels (DMr)[Note 27] est effectuée en porte-à-porte dans toutes les communes de la communauté urbaine. Un réseau de six déchÚteries (créé au début des années 1990) accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, cartons
). La plus proche pour les habitants de la commune de La Chapelle-Saint-Mesmin est celle d'Ingré[153].

    Une unitĂ© de traitement permettant la valorisation Ă©nergĂ©tique (l’incinĂ©ration des dĂ©chets mĂ©nagers rĂ©siduels) et la valorisation matiĂšre des autres dĂ©chets (corps creux, corps plats et multimatĂ©riaux) est en service Ă  Saran depuis 1996. Elle est exploitĂ©e par la sociĂ©tĂ© Orvade, filiale du groupe Veolia[154].

    Enseignement, formation, animation

    La commune dispose de trois groupes scolaires (élémentaire, maternelle) Jean-Vilar[Note 28] (1952), Bel-Air (1971), Les Vallées (maternelle en 1980 et élémentaire en 1994) et d'un collÚge (collÚge Pasteur, 1972).

    Elle dispose Ă©galement d'un centre de loisirs (enfants de 3 Ă  15 ans) rĂ©alisĂ© dans les annĂ©es 1980. Le prĂ©cĂ©dent centre aĂ©rĂ©, construit en 1968 et dĂ©truit par un incendie accidentel, Ă©tait situĂ© au mĂȘme endroit.

    À la rentrĂ©e 2014, l'ouverture d'une Ă©cole privĂ©e hors contrat de confession musulmane Ă©tait prĂ©vue, la premiĂšre de France en rĂ©gion Centre. Elle n'a pas pu ouvrir Ă  cause d'un non-respect de certaines normes de sĂ©curitĂ©, et ne pouvait toujours pas ouvrir Ă  la rentrĂ©e 2015 Ă  la suite d'une dĂ©cision du maire relative au nombre de places de stationnement concernant cette Ă©cole[155]. L'association qui promouvait ce projet a fini par y renoncer au printemps 2016[156].

    Sont également situés sur le territoire de la commune :

    Santé, solidarité

    Le centre social municipal abrite[M 27] :

    • le centre communal d'action sociale (CCAS) ;
    • le centre local d'information et de coordination (CLIC) qui accompagne les personnes ĂągĂ©es et leurs familles ;
    • le multi-accueil MĂ©lodine, Ă©tablissement municipal d’accueil du jeune enfant (EAJE) qui permet l’accueil en simultanĂ© de 20 enfants de façon rĂ©guliĂšre ou occasionnelle ;
    • la mini-crĂšche La courte Ă©chelle, Ă©tablissement municipal d’accueil du jeune enfant (EAJE) qui permet l’accueil de 21 enfants de 0 Ă  3 ans (ou jusqu’à la scolarisation ) en accueil rĂ©gulier.

    En outre, un service municipal de transport gratuit en minibus adapté est proposé aux personnes ùgées pour leur permettre de se déplacer.

    La Maison de santé pluridisciplinaire municipale (MSP) a vu le jour en 2019 grùce à l'action de la municipalité et regroupe une vingtaine de praticiens[M 28].

    Le relais d'assistantes maternelles (RAM) est un service municipal gratuit mis Ă  la disposition des habitants. C’est un lieu d’écoute, d’informations, de rencontres, d’animations et d’échanges pour les parents, les assistantes maternelles, les gardes Ă  domicile et les enfants.

    Un pÎle de santé privé a ouvert ses portes en 2017 et regroupe une dizaine de praticiens[M 28].

    Une dizaine d'associations Ă  but social agissent au niveau local.

    Établissements pour personnes ĂągĂ©es

    La commune accueille trois établissements d'hébergement pour personnes ùgées dépendantes (EHPAD) :

    • l'Ehpad les Ombrages (qui hĂ©berge Ă©galement le centre de rĂ©adaptation fonctionnelle Le Coteau - CRFA) gĂ©rĂ©s par l’Union pour la Gestion des Établissements des Caisses d’Assurance Maladie (UGECAM) se sont installĂ©s dĂ©but 2018[M 29] ;
    • l'Ehpad RĂ©sidence de La Chapelle[157] ;
    • l'Ehpad Reflet de Loire administrĂ© par l'entreprise Korian[158].

    Police municipale

    La police municipale composĂ©e de six policiers en 2021, assure des missions de dissuasion et de prĂ©vention, y compris en milieu scolaire (Ă©coles, collĂšge, centre de formation d’apprentis). Elle effectue environ 1200 interventions annuellement. Le service supervise Ă©galement le dispositif de vidĂ©o-protection composĂ© de 60 camĂ©ras rĂ©parties sur le territoire de la commune[M 30].

    Sapeurs-pompiers

    En 2021, la commune dispose d’un centre de premiĂšre intervention (CPI) composĂ© d’une quinzaine de sapeurs-pompiers volontaires. Le centre rĂ©alise plus de 300 interventions par an (feux, accidents, secours Ă  victimes et autres opĂ©rations). Il dĂ©pend du service dĂ©partemental d'incendie et de secours (SDIS) et possĂšde un vĂ©hicule d’intervention polyvalent (VIP) dotĂ© d’une rĂ©serve d’eau de 400 litres et d’un vĂ©hicule lĂ©ger[M 31].

    Il est intégré au Groupement Intercommunal des Sapeurs Pompiers de l'Agglomération Orléanaise (GISPAO) en 1991[M 32].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793.

    Le recensement de 1954 rĂ©vĂšle qu'en vingt annĂ©es, la population a augmentĂ© de 35 % et le nombre de maisons s'est accru de 85 % entre 1936 et 1958. 7 % sont alors de nationalitĂ© Ă©trangĂšre, principalement amĂ©ricaine, car 13 000 amĂ©ricains se sont installĂ©s dans l'agglomĂ©ration orlĂ©anaise Ă  la suite du Pacte de l’Otan de 1949[T 8]. Entre 1951 et 1967, 5 495 bĂ©bĂ©s (dont prĂšs de 5 000 citoyens amĂ©ricains) naissent dans l'hĂŽpital militaire de la commune (The 34th General Hospital), le plus important d'Europe. En 1966, la France quitte l'OTAN et les bases militaires amĂ©ricaines sont dĂ©mantelĂ©es[GHL 33].

    Entre 1954 et 1982, la population triple, passant de 2 613 Ă  7 801 habitants[T 8]. En 2020, la commune comptait 10 095 habitants, en diminution de 0,22 % par rapport Ă  2014[I 4].

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1751 3241 2701 2671 2821 2411 2711 3661 452
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6941 8481 8581 7751 7271 7561 7361 8221 696
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6621 5171 5531 2771 3881 6471 9132 1622 613
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    3 7485 1436 4827 8018 2078 9679 2829 80010 223
    2020 - - - - - - - -
    10 095--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[100] puis Insee Ă  partir de 2006[159].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Locales

    La commune compte une trentaine d'associations culturelles et accueille de nombreuses manifestations dont :

    • la fĂȘte du vin doux[160], fin septembre, place des GrĂšves, depuis 1977 ;
    • les Ă©ditions du festival national d'opĂ©ras pour enfants[M 33] se sont dĂ©roulĂ©es chaque annĂ©e de 1990 Ă  1992 puis tous les 2 ans de 1992 Ă  2002[161] ;
    • depuis 2004, le festival d'images sous-marines Images de l'eau delĂ  : concours, confĂ©rences, projections, expositions[162] ;
    • le festival Geek FaĂ«ries (2010-2012).

    Le , la commune commĂ©more le bicentenaire de la RĂ©volution française par l'organisation de manifestations et cĂ©rĂ©monies. À cette occasion, un arbre de la libertĂ©, un chĂȘne, est officiellement plantĂ© par la municipalitĂ© dans le parc de l'Espace BĂ©raire.

    Photographie en couleurs d'un groupe de musiciens en représentation, sur une estrade, un batteur étant au premier plan.
    Festival Balade en Musiques.

    Depuis sa création en 2008/2009, le service culturel municipal propose une saison de programmations culturelles tout le long de l'année avec plusieurs temps forts:

    • le festival « Balade en musiques » en juin depuis 2008, place des GrĂšves et renommĂ© depuis 2022 « Sons au fil de l'eau[163] » ;
    • les fĂȘtes d'automne, entre 2008 et 2015, appelĂ©es « Festival E Chap & Vous! » ;
    • la « fĂȘte des Duits »[164], Ă  partir de l'Ă©tĂ© 2014 et pendant quelques annĂ©es, a permis de crĂ©er en bord de Loire et dans le parc de la Solitude, un espace culturel original vouĂ© Ă  la lĂ©gende du Dragon de Saint-Mesmin et Ă  la crĂ©ation artistique.
    • « la rue au fil de l'eau », festival des arts de la rue, ayant lieu en Ă©tĂ© Ă  partir de 2021, dans le centre bourg et place de l'Ă©glise[165], en lien avec « le Loiret au fil de l'eau », manifestation d'Ă©tĂ© organisĂ©e par le Conseil dĂ©partemental du Loiret[166].

    En outre, pour commĂ©morer les 1 500 ans de la mort de saint Mesmin, la ville a proposĂ© tout au long de l'annĂ©e 2020 des manifestations culturelles autour de la lĂ©gende du dragon de BĂ©raire[167].

    Agglomération

    La commune participe par ailleurs à des manifestations organisées au niveau de l'agglomération :

    • le festival intercommunal Festiv'Elles organisĂ© dans le cadre de la journĂ©e internationale des droits des femmes en mars de chaque annĂ©e depuis 2015. CrĂ©Ă© au dĂ©part avec deux communes de l'agglomĂ©ration orlĂ©anaise, au fil des annĂ©es, d’autres communes se sont jointes au projet. Elles sont aujourd'hui onze (La Chapelle-Saint-Mesmin, ChĂ©cy, Fleury-les-Aubrais, IngrĂ©, OrlĂ©ans, Ormes, Saint-Jean-de-Braye, Saint-Jean-de-la-Ruelle, Saint-Jean-le-Blanc, Saran et Semoy) Ă  proposer une programmation diverse, variĂ©e et complĂ©mentaire (expositions, projections, spectacles tout public, concerts et spectacles d’humour)[168] ;
    • les FĂȘtes johanniques d'OrlĂ©ans, qui fĂȘtent chaque dĂ©but mai la libĂ©ration d'OrlĂ©ans par Jeanne d'Arc en 1429, restent la manifestation populaire la plus importante et la plus ancienne de l'agglomĂ©ration OrlĂ©anaise[169] ;
    • le festival de Loire rassemble en septembre Ă  OrlĂ©ans, depuis 2003, tous les deux ans les annĂ©es impaires, une importante batellerie internationale (700 mariniers, 500 artistes, 150 exposants) avec prĂšs de 300 manifestations gratuites programmĂ©es autour de ce thĂšme, sur deux kilomĂštres de quais[170].

    Sports

    Les clubs sportifs de la ville (environ 22 associations, 3 400 licenciĂ©s) sont regroupĂ©s au sein de l'Union sportive chapelloise, crĂ©Ă©e en 1941[171].

    En 1990, la commune créé une école municipale des sports réservée aux enfants de quatre à six ans[M 34].

    Jusqu'en 2022, la commune disposait de deux gymnases : Jean Sadoul (1972 et dĂ©nommĂ© ainsi en 1992[M 35]) et AurĂ©lien-Hatton (le complexe sportif dont dĂ©pend le gymnase est amĂ©nagĂ© en 1970 et ce dernier agrandi en 1993) et d'une piscine municipale construite en 1973 et rĂ©habilitĂ©e en 2011. Le gymnase Jean-Sadoul dĂ©sormais trop vĂ©tuste et inadaptĂ©, ferme ses portes fin pour ĂȘtre dĂ©moli et laisser la place, dĂ©but (les travaux ayant dĂ©marrĂ© fin 2020[M 36]), Ă  un nouveau complexe sportif plus moderne, plus vaste (2 640 m2), plus Ă©conome et mieux adaptĂ© aux activitĂ©s des associations sportives locales[M 37], dĂ©nommĂ© Nicolas Bonneau, en hommage Ă  son maire Ă  l'origine du projet, dĂ©cĂ©dĂ© en 2020.

    Un circuit de BMX, situĂ© en bord de Loire au lieu-dit Vaussoudun[Note 29] dans le domaine public fluvial (gĂ©rĂ© par l'État) depuis 1988, accueille rĂ©guliĂšrement des compĂ©titions nationales et internationales. Ce terrain « en dur » est prĂ©cĂ©dĂ© en 1983 par l'implantation d'un simple parcours de bicross (encore en activitĂ©) prĂšs de la place des GrĂšves[M 4]. L'association le Bi Club Chapellois[172], utilisatrice du circuit, est le premier club de BMX de France en nombre de licenciĂ©s. À ce titre, avec 310 licenciĂ©s, le club s’est vu remettre en 2017 par le prĂ©sident de la FĂ©dĂ©ration française de cyclisme, le trophĂ©e de plus grand club de cyclisme français, sur 2 508 clubs, toutes disciplines confondues[M 38].

    Un nouveau circuit de BMX, composĂ© d’une piste d’une longueur de 420 mĂštres et muni de deux buttes de dĂ©part s’élevant chacune respectivement Ă  une hauteur de 5 et de 8 mĂštres, respectant les normes des compĂ©titions internationales, sera Ă©difiĂ© dans le courant de l'annĂ©e 2023 Ă  l'extrĂȘme ouest de la commune au lieu-dit Les Pierrelayes[M 39]. La zone dĂ©diĂ©e Ă  ce projet a en effet Ă©tĂ© validĂ©e le par le conseil d'OrlĂ©ans MĂ©tropole dans le cadre de l'Ă©laboration du Plan local d'urbanisme mĂ©tropolitain (PLUM). Ce circuit intĂšgrera, Ă  partir de , la plus longue piste de bicross de France et devrait ĂȘtre utilisĂ©e comme « base arriĂšre » pour les Jeux olympiques d'Ă©tĂ© de 2024.

    Vie associative

    En dehors des associations sportives et culturelles, la commune tĂ©moigne d'une vie associative intense[173] - [174]. Elle compte de nombreuses associations culturelles, comme « Bidon Ă© vous », Échanges franco-allemands ou DĂ©tente et loisirs[M 40], des associations humanitaires, d'entraide et sociales[175]. L'Harmonie de La Chapelle Saint-Mesmin[176] est le groupe culturel le plus ancien de la commune encore en activitĂ©, puisque l'orchestre a Ă©tĂ© fondĂ© par la compagnie des sapeurs-pompiers en 1863[112], Ă  la suite de la dissolution de la Garde nationale en 1852.

    Culte catholique

    Le territoire de la commune dĂ©pend du « groupement paroissial de La Chapelle-Saint-Mesmin-Chaingy-St Ay (Agylus) »[177] au sein du « pĂŽle missionnaire Ouest »[178] du diocĂšse d'OrlĂ©ans. Le lieu de culte est l'Ă©glise Saint-Mesmin oĂč la messe est cĂ©lĂ©brĂ©e chaque dimanche[179].

    Autres cultes

    Le lieu de culte musulman est la mosquĂ©e Al-Taqwa[180] nĂ©anmoins, il est possible d'aller dans l'une des quatre mosquĂ©es d'OrlĂ©ans (pakistanaise, La Source, Es-Sunna et Ibn Badis)[181]. Les Chapellois ne disposent pas de lieux de culte israĂ©lite et protestant. Pour ces religions, les lieux de culte les plus proches sont Ă  OrlĂ©ans : synagogue d'OrlĂ©ans et plusieurs lieux de culte protestant, notamment le temple de l'Église protestante unie de France[182], le centre de l'Église Ă©vangĂ©lique libre d'OrlĂ©ans[183], le centre de l'Église Parole de Vie[184], l'Église Ă©vangĂ©lique baptiste de l'OrlĂ©anais[185].

    Télévision

    France 3 Orléans Loiret est la chaßne locale publique sur l'actualité du Loiret et de sa métropole.

    Radio

    Plusieurs chaĂźnes de radio peuvent ĂȘtre reçues dans la commune[186], parmi lesquelles (classement en fonction de la frĂ©quence d'Ă©mission) :

    Presse

    Les Chapellois sont informés par :

    • les pages locales du quotidien La RĂ©publique du Centre[LaR 8] ;
    • le magazine municipal LCSM, bulletin trimestriel d'information de 20 pages, tirage couleur, distribuĂ© gratuitement aux habitants et consultable sur le site de la mairie[M 41] ;
    • le Guide Pratique, guide municipal annuel de 64 pages, recensant les services, les commerces, les entreprises, les associations et fournissant tous renseignements utiles ;
    • le Bulletin annuel du Groupe d'histoire locale (GHL) de La Chapelle Saint-Mesmin ;
    • L'Étudiant autonome, journal des Ă©tudiants de l'agglomĂ©ration orlĂ©anaise dont le siĂšge de la rĂ©daction est situĂ© sur le campus de La Source ;
    • La Tribune d'OrlĂ©ans, journal gratuit d'informations locales paraissant chaque jeudi (le journal a cessĂ© son activitĂ© le et a Ă©tĂ© regroupĂ© avec L'Hebd'O, devenant ainsi La Tribune/Hebd'O, magazine [gratuit] d'information d'OrlĂ©ans et d'OrlĂ©ans MĂ©tropole, paraissant chaque mercredi) ;
    • Edith Magazine, fĂ©minin mensuel gratuit d'OrlĂ©ans et son agglomĂ©ration.

    Internet

    Le déploiement du réseau FTTH (de l'anglais : Fiber to the Home, en français : Fibre optique jusqu'au domicile) est opérationnel depuis 2016 sur tout le territoire de la commune[M 42].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 4 227 mĂ©nages, 10 072 personnes dans les mĂ©nages fiscaux, et un revenu fiscal mĂ©dian dĂ©clarĂ© par unitĂ© de consommation de 22 730 €[I 5], ce qui place La Chapelle-Saint-Mesmin au 9 764e rang par ordre dĂ©croissant parmi les 31 330 communes de plus de 34 mĂ©nages en mĂ©tropole[I 6].

    Cette valeur de 22 730 euros de revenu fiscal mĂ©dian disponible est trĂšs lĂ©gĂšrement supĂ©rieure (+ 3,5 %) Ă  la mĂ©diane dĂ©partementale qui s'Ă©tablit, pour la mĂȘme annĂ©e, Ă  21 960 euros[I 7].

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    Division200720122017
    Commune7 %9 %9,6 %
    DĂ©partement9,2 %12,1 %13,1 %
    France métro.11 %12,7 %13,4 %

    En 2017, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  6 280 personnes, parmi lesquelles on compte 78,5 % d'actifs dont 71 % ayant un emploi et 7,5 % de chĂŽmeurs[I 8]. Depuis 2007, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    On compte 3 446 emplois dans la commune, contre 3 189 en 2007 et 3 489 en 2012. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune Ă©tant de 4 485, l'indicateur de concentration d'emploi est de 76,8 %[I 9].

    Seulement 19,3 % des habitants travaillent dans la commune[I 10]. Pour se rendre au travail, 82 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 9,9 % de transports en commun, 5,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied. Enfin 2,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

    Secteurs d'activité

    SecteurPostes salariésTaux
    Ensemble3 592100
    Agriculture00
    Industrie39711,1 %
    Construction3128,7 %
    Commerce, transports, services divers2 18260,7 %
    Administration publique, enseignement,
    santé, action sociale
    74120,6 %

    Le tissu économique communal est largement représenté par les commerces, transports et services divers qui représentent 61 % des emplois sur le territoire en 2017[G 11], contre 47,3 % aux niveaux départemental et national[189] - [190].

    L'activitĂ© agricole[G 12]. encore prĂ©sente en 2010 a connu une Ă©rosion continue en 30 ans, passant de 21 exploitations agricoles ayant leur siĂšge dans la commune en 1988, Ă  9 en 2000, 8 en 2010. En 2017, la commune ne compte plus que trois exploitants agricoles[GHL 34].

    L'activitĂ© industrielle, avec 397 emplois dans la commune et 11,1 % des emplois, est non nĂ©gligeable mais reste infĂ©rieure au niveau dĂ©partemental, oĂč elle reprĂ©sente 16,7 %[I 12].

    Zonage

    La commune dispose de cinq zones d'activité[G 13] :

    • la zone des Portes de Micy, zone communale situĂ©e directement Ă  la sortie du pĂ©age autoroutier OrlĂ©ans/Centre ;
    • la zone de la Chistera, zone privĂ©e situĂ©e au long de l'avenue Georges Pompidou Ă  proximitĂ© du pĂ©age autoroutier OrlĂ©ans/Centre, de la deuxiĂšme ligne de tramway et du parc relais de 176 places ;
    • la zone Descartes, zone privĂ©e Ă  environ deux minutes du pĂ©age autoroutier OrlĂ©ans/Centre ;
    • la zone des Forges, zone communale situĂ©e au nord de la ville et Ă  environ 1 km du pĂ©age autoroutier ;
    • la zone des Quatre CheminĂ©es, zone communale situĂ©e Ă  la sortie ouest de la ville en bordure de la route dĂ©partementale 2152. Cette zone doit faire l’objet d’un agrandissement dans le cadre du plan local d'urbanisme mis en rĂ©vision en 2015 et adoptĂ© par OrlĂ©ans MĂ©tropole en 2019 (voir plus haut la section « Projets d'amĂ©nagement »).

    Industrie

    Photographie en couleurs de face, de trois verres de table empilés l'un dans l'autre, sur une table.
    Verres Duralex-DSC 3968.
    Photographie en couleurs d'une affiche représentant le bibendum Michelin poussant un pneu.
    Affiche publicitaire Michelin.

    Il subsiste un réel secteur industriel entre l'usine Duralex (dotée d'une imposante cheminée) et l'autoroute A71 au lieu-dit des Hauts-Champs, ce secteur est par ailleurs connexe à la zone industrielle d'Ingré / Saint-Jean-de-la-Ruelle (communes limitrophes) et est trÚs bien desservie par les infrastructures autoroutiÚres. Les deux principales entreprises en activité sont les entreprises Duralex et la conserverie de légumes Maingourd. L'entreprise Michelin qui a également été un employeur important de ce secteur d'activité a aujourd'hui disparu.

    La verrerie Duralex[191], emploie en 2021 environ 260 personnes. PlacĂ©e en redressement judiciaire en , le tribunal de commerce d'OrlĂ©ans a validĂ©, fin , son rachat par la maison mĂšre de Pyrex, International Cookware[192] - [LaR 9]. Cette verrerie, crĂ©Ă©e en 1927 par le vinaigrier Dessaux, a appartenu Ă©galement au parfumeur François Coty en 1930, sous le nom de sociĂ©tĂ© des verreries de La Chapelle-Saint-Mesmin. Elle servait alors Ă  fabriquer des flacons de parfum[193]. Elle a Ă©tĂ© acquise par Saint-Gobain en 1934. En 1935, l'usine compte 575 salariĂ©s[GHL 35]. Certains entrepĂŽts Ă  l'est au lieu-dit des Forges ont Ă©tĂ© cĂ©dĂ©s Ă  d'autres entreprises depuis l'avĂšnement des flux tendus. À la fin des annĂ©es 1960, l'usine compte 1 000 employĂ©s sur 41 000 m2 couverts et produit 600 000 articles par jour[T 10]. Mais la vaisselle trempĂ©e Duralex « incassable » fabriquĂ©e sur place qui Ă©quipe encore de nombreuses cuisines de collectivitĂ©s continue d'ĂȘtre exportĂ©e en 2021 dans plus de 100 pays du monde. Ceci malgrĂ© l'installation d'usines similaires du prototype performant Chapellois par le groupe Saint-Gobain dans d'autres pays et aprĂšs des licenciements massifs Ă  La Chapelle dans les annĂ©es 1980 accompagnĂ©s d'importants mouvements sociaux. La vaisselle Duralex modĂšle de design industrielle du XXe siĂšcle est prĂ©sente au MoMa Store, boutique du MusĂ©e of Modern Art de New York.

    La conserverie de lĂ©gumes RenĂ© Maingourd (Groupe CECAB-Eureden : D'aucy-Maingourd-Depenne[194]
), crĂ©Ă©e initialement en 1880 Ă  OrlĂ©ans[195], est installĂ©e dans la commune depuis 1969 en face de l'entrĂ©e/sortie des autoroutes A10 et A71 Ă  l'extrĂ©mitĂ© sud-est de ce secteur industriel de la commune. En 2019, elle employait 154 personnes et prĂ©sentait un chiffre d'affaires de 42 676 908 â‚Ź[196] - [197].

    Une importante entreprise Michelin (domaine de 19 hectares dont 41 000 m2 de bĂątiments) s'est installĂ©e en 1950 au sud-est de l'actuelle verrerie Duralex et Ă  l'est de la rue d'IngrĂ©, et a comptĂ© des effectifs importants (1 300 personnes jusqu'aux annĂ©es 1980, 850 personnes en 1988 et 522 personnes en 1991). Pendant ces 50 annĂ©es d'existence, l'usine a fabriquĂ© pneus (le « MĂ©talic »), chambres Ă  air et enfin cartes routiĂšres[GHL 36]. Faisant suite Ă  la cessation des activitĂ©s industrielles et la suppression de 485 emplois en 1991 puis de la fin des activitĂ©s sur les cartes routiĂšres en avec une quarantaine d'employĂ©s, et enfin Ă  la dĂ©molition du site en 1996-1997, il ne reste aujourd'hui de l'usine Michelin que quelques traces (notamment une petite citĂ© pavillonnaire rĂ©servĂ©e au personnel de l'usine : Les Oiseaux et La Noue), et laisse place au siĂšge social voisin du groupe Mr Bricolage.

    Agriculture

    Au XIXe siĂšcle, environ 400 familles paysannes vivaient de l'agriculture. En 1950, on comptait 362 exploitants. En 1972, le nombre se rĂ©duit Ă  49. En 2017, la commune ne compte plus que trois exploitants agricoles[198].

    En raison de la taille et du morcellement des parcelles cultivables ainsi que du manque de chemins pour y circuler, le syndicat agricole local propose, en 1945, de procĂ©der Ă  un remembrement de la propriĂ©tĂ© fonciĂšre. La commune fut l'une des premiĂšres du dĂ©partement Ă  le mettre en place en 1950. L'association fonciĂšre (AFP) fut crĂ©Ă©e Ă  cette occasion. Cette opĂ©ration permit de rĂ©duire le nombre de parcelles cadastrales de 18 960 Ă  1 405[GHL 37]. Un second remembrement a lieu Ă  l'occasion de la construction et le passage de l'autoroute A10 sur le territoire de la commune en 1974 afin de procĂ©der Ă  la remise en forme des parcelles et des chemins d'exploitation[GHL 38]. L'association fonciĂšre est chargĂ©e d'entretenir les chemins d'exploitation qui ne peuvent ĂȘtre classĂ©s dans le domaine communal, Ă  l'exception du chemin de l'Ă©chelle rĂ©trocĂ©dĂ© Ă  la commune en 1992[M 43].

    Afin d'améliorer leurs revenus, les cultivateurs, en contrat avec la Société d'exploitation industrielle des tabacs et des allumettes (Seita), s'essayÚrent à la culture du tabac à partir de 1950. On compte huit planteurs dÚs la premiÚre année, seize en 1956 et enfin deux en 1970. Mais cette activité, bien que rémunératrice, exigeait beaucoup d'énergie et de temps. Elle cessa en 1970[GHL 39] - [GHL 40].

    Commerce

    Photographie en couleurs d'un marché en extérieur, une vasque fleurie au premier plan.
    Le marché de Béraire.

    Le marchĂ© de BĂ©raire, crĂ©Ă© en 2009, a lieu le samedi matin de 8 h Ă  13 h devant l’Espace BĂ©raire. C'est un marchĂ© Ă  dominante alimentaire qui compte 30 commerçants et producteurs.

    Les petits commerces et moyennes surfaces se trouvent principalement le long de l'ancienne route nationale (route de Blois, rue Nationale, route d'Orléans), créant des micro-centralités le long de cet axe et lui conférant une certaine animation malgré le flux important de véhicules. Le supermarché de la marque Intermarché s'installe à l'ouest de la commune en 1983[M 44].

    La place du Bourg, anciennement commerçante, ne compte plus en 2021 qu'un bistrot.

    Services

    Le chùteau des Hauts a été vendu en 2012 par le conseil général du Loiret à la société d'informatique Pentalog qui en a entrepris la rénovation[199] pour en faire son siÚge.

    Le siÚge social du groupe Mr Bricolage est situé à La Chapelle-Saint-Mesmin depuis 2000 en lieu et place de l'ancienne usine Michelin dans la zone industrielle. Il regroupe plus de 340 collaborateurs.

    Culture locale, patrimoine et tourisme

    Église Saint-Mesmin

    L'église Saint-Mesmin est l'une des plus anciennes du Val de Loire, bùtie à flanc de coteau au-dessus de la grotte dite du dragon aux XIe et XIIe siÚcles. Elle est « classée » au titre des monuments historiques depuis 1862[200].

    Grotte du dragon de BĂ©raire

    La grotte du dragon de Béraire, située juste en dessous de la Villa Béraire (Villa Berarii) à l'emplacement de l'église Saint-Mesmin, aurait été, selon la légende, le repÚre d'un dragon terrassé par Maximin de Micy (saint Mesmin l'Ancien), 2e abbé de Micy située sur la rive opposée. Il y fut enterré à sa mort en 520.

    La Croix Noble

    C'est une croix[Note 30] en pierre taillée, d'1,86 mÚtre de hauteur, située à l'extrémité nord-ouest de la commune, au carrefour des rues d'Orentay et de l'Azone et des routes de Chaingy et de La Chapelle[201]. Elle y a été installée le par trois carriers[Note 31], au croisement de cinq chemins[Note 32] empruntés à l'époque principalement par des troupeaux de bovins. Ce monument a été précédé, au XVIIe siÚcle, par une autre croix[Note 33], disparue plusieurs années avant son remplacement par la croix actuelle. Elle a été extraite d'une carriÚre souterraine située à proximité par Jacques Moreau, agriculteur et carrier. Les aménagements récents des chemins en routes ont permis la création d'un terre-plein au milieu du carrefour mettant en valeur cette croix. Mutilée par une collision malheureuse dans les années 1980, la Croix Noble a été restaurée par l'Atelier de la PerriÚre de La Chapelle Saint-Mesmin. Une restauration de la croix (décapage et peinture des inscriptions gravées) est entreprise en 2021[GHL 42].

    La chapelle Chemin de Beuvry

    Photographie en couleurs d'une stÚle funéraire de type chapelle au milieu d'un cimetiÚre.
    Chapelle Chemin de Beuvry (en haut à droite du cliché).

    Cette chapelle sépulcrale de la famille Chemin de Beuvry est un imposant monument funéraire érigé en 1837 dans le cimetiÚre dit « du bourg » à la mémoire de Etienne Jean Désiré Chemin de Beuvry (voir liste des propriétaires du chùteau des Hauts) par sa veuve Françoise Le Pilleur de Beuvry qui en fit don, ainsi que deux parcelles de terrain du cimetiÚre[Note 34], à la commune[GHL 43].

    Ancien petit séminaire

    Propriété de l'hÎpital d'Orléans jusqu'en 2020, le petit séminaire était, entre 1846 à 1906, l'école secondaire ecclésiastique dépendant du séminaire d'Orléans. Il est créé par Jean-Jacques Fayet et continue de se développer sous l'épiscopat de Félix Dupanloup. Il a compté jusqu'à 300 élÚves. Paul Gauguin fut l'un de ses élÚves les plus illustres.

    ChĂąteaux

    • Lithographie en noir et blanc reprĂ©sentant  un chĂąteau et au second plan, un cours d'eau trĂšs large.
      Le ChĂąteau des Hauts au XIXe siĂšcle.
    • Photographie en couleur d'un chĂąteau de deux Ă©tages, la façade Ă©tant blanche et le toit en ardoises.
      Le petit-chĂąteau.
    • Photographie en couleurs d'un chĂąteau, constituĂ© de trois corps de bĂątiments, chacun de deux Ă©tages, le toit Ă©tant en ardoises ; une pelouse au premier plan.
      ChĂąteau de la Source du Rollin.
    • Photographie en couleurs d'un chĂąteau de deux Ă©tages, le toit Ă©tant en ardoises ; une pelouse au premier plan.
      ChĂąteau de l'Ardoise.
    • Photographie en couleurs d'un chĂąteau de deux Ă©tages, le toit Ă©tant en ardoises et les combes amĂ©nagĂ©es ; flanquĂ© de part et d'autre de deux tours.
      ChĂąteau des Tourelles.

    La commune contient plusieurs chĂąteaux :

    • le chĂąteau des Hauts qui date du XVe siĂšcle est le siĂšge de la sociĂ©tĂ© d'informatique Pentalog[199]. Il a Ă©tĂ© la rĂ©sidence notamment de Marie Touchet la maĂźtresse de Charles IX, la tragĂ©dienne Mademoiselle Raucourt[202] et FĂ©lix Dupanloup Ă©vĂȘque d'OrlĂ©ans ;
    • le Petit chĂąteau ou chĂąteau de la Solitude, abrite l'hĂŽtel de ville depuis 1999 ;
    • le chĂąteau de la Source du Rollin ou chĂąteau du Rollin, construit au XIXe siĂšcle[T 11], est, en 2021, une hostellerie de charme pouvant accueillir rĂ©ceptions, fĂȘtes de mariage et sĂ©minaires[203] ;
    • le chĂąteau de l'Ardoise a notamment Ă©tĂ© Ă  partir de 1840 la demeure d'Ernest Pillon, archĂ©ologue et dĂ©couvreur de la grotte du dragon de BĂ©raire[GHL 44] ;
    Carte postale en noir et blanc représentant un bùtiment nommé « Les Pervenches ».
    Le chùteau des Pervenches avant sa démolition.
    • le chĂąteau des Tourelles bĂąti dans le seconde moitiĂ© du XIXe siĂšcle ;
    • le petit chĂąteau (Ă  ne pas confondre avec l'autre petit chĂąteau, actuel hĂŽtel de ville), belle demeure possĂ©dant une cave voutĂ©e construite au Moyen Âge ; il fut habitĂ© dans les annĂ©es 1920 par la comĂ©dienne Nelly Cormon ;
    • les chĂąteaux des Oiseaux, des Pervenches, de La Barre de l'Ange et de Monteloup (dont il ne subsiste aujourd'hui que l'allĂ©e) ont Ă©tĂ© dĂ©molis dans les annĂ©es 1950 et 1960 pour laisser la place Ă  des lotissements ou Ă  des ensembles immobiliers.

    Ancienne mairie

    L'ancienne mairie, située sur la route départementale 2152, abrite l'école municipale de musique et de danse depuis 1999[M 45].

    Photographie en couleurs d'une cour vue d'un toit la bordant, bordée d'une rangée d'arbres.
    Vue de l'ancienne école communale au second plan et du petit séminaire au lointain.

    En 1881, le conseil municipal dĂ©cide de faire Ă©difier une nouvelle Ă©cole. Trois ans plus tard, en 1884, une mairie-Ă©cole[204] remplace la prĂ©cĂ©dente en bordure de la route principale, au hameau de La Guide « Ă  l'emplacement de la pompe »[Note 35], situation plus centrale pour la commune mais Ă©loignĂ©e du centre ancien et de la Loire dont celle-ci se dĂ©tourne progressivement. L'ancienne Ă©cole communale (bibliothĂšque municipale depuis 2000 aprĂšs avoir servi pendant plusieurs annĂ©es de salle du conseil municipal) et la cour de l'Ă©cole Ă©taient situĂ©es juste derriĂšre la mairie. Au moment de sa construction, un mur sĂ©parait l'Ă©cole des filles de celle des garçons. Un puits commun, construit dans l'axe du mur, permettait d'en actionner le treuil indĂ©pendamment d'un cĂŽtĂ© (Ă  l'ouest, cotĂ© garçons) ou de l'autre (Ă  l'est, cĂŽtĂ© filles). Le mur et le puits seront dĂ©molis dans les annĂ©es 1950[GHL 45]. Un muret entourant de part et d'autre une large grille Ă  double vantaux est Ă©difiĂ© face Ă  la route principale[Note 36]. À l'est de ce mur est Ă©galement construit le local abritant la pompe Ă  incendie et Ă  l'ouest, celui de la prison. DĂ©but 1884, il est Ă©galement dĂ©cidĂ© d'ajouter une annexe pour y installer l'horloge de la mairie au-dessus de laquelle est percĂ©e une lucarne-cloche. Celle-ci ne sera branchĂ©e au rĂ©seau Ă©lectrique qu'en 1978[M 47]. Le coĂ»t de la construction des bĂątiments et de l'expropriation des propriĂ©taires des terrains, qui s'Ă©lĂšve Ă  la somme 93 947,84 francs, est financĂ© en partie par un emprunt (auprĂšs de l'État, de particuliers et de la caisse des Ă©coles) et par la revente des anciens locaux des Ă©coles et de la mairie situĂ©s place du bourg[GHL 46]. Le bĂątiment est rĂ©novĂ© en 1959, sous le mandat d'AurĂ©lien Hatton, maire[205].

    Autres patrimoines civils

    La commune possĂšde de nombreux autres lieux et monuments civils :

    • l'ancienne salle des fĂȘtes, ancienne lingerie[GHL 47] du petit sĂ©minaire (qui accueille depuis 2000 le studio de l'Ă©cole municipale de danse[Note 37] et les bĂątiments de l'ancien asile Sainte-Anne (actuels locaux associatifs), propriĂ©tĂ©s de l'ancien petit sĂ©minaire, ont Ă©tĂ© attribuĂ©s Ă  la commune en 1911[206], Ă  la suite du vote de la loi de sĂ©paration des Églises et de l'État en 1905. Concerts, bals, sĂ©ances de thĂ©Ăątre et de cinĂ©ma s'y dĂ©roulaient jusqu'Ă  la construction de l'Espace BĂ©raire ;
    • le gĂźte d'Ă©tape municipal, anciennement Closerie des Roses construite en 1909[Note 38], acquis par la commune en 1989[M 49] et amĂ©nagĂ© en 1991[M 50], d'une capacitĂ© de 15 personnes, situĂ© en pleine verdure en bord de Loire, accueille randonneurs et cyclo-touristes toute l'annĂ©e ;
    • le bĂątiment abritant le poste de police municipale actuel, construit en 1934 pour y installer le bureau de poste, a Ă©tĂ© rachetĂ© par la commune en 1983[M 51] ;
    • le bureau de poste actuel, construit par la commune[M 52], a Ă©tĂ© inaugurĂ© le [GHL 48] ;
    • le centre social et la halte garderie ouvrent en 1978[M 53] ;
    • le monument aux morts, faisant suite Ă  une souscription publique en 1919, est inaugurĂ© en en mĂ©moire des Chapellois morts pour la France au cours de la PremiĂšre Guerre mondiale. Il est situĂ© dans le cimetiĂšre dit « du bourg ». Deux plaques fixĂ©es sur celui-ci rendent Ă©galement hommage aux morts de la Seconde Guerre mondiale et de la guerre d'AlgĂ©rie[Note 39]. Les sĂ©pultures de quelques maires de la commune du XIXe siĂšcle s'y trouvent. Un nouveau cimetiĂšre a Ă©tĂ© crĂ©Ă© en 1982 Ă  la limite ouest de la commune ;
    Photographie en couleurs d'une allée étroite et longue, bordée de deux rangées d'arbres sans feuilles.
    L'allée de Monteloup.
    • l'allĂ©e de Monteloup, situĂ©e au lieu-dit le Poirier Baron, constitue l'unique vestige de cette propriĂ©tĂ©, composĂ©e d'un petit chĂąteau et de communs, datant du XVIIIe siĂšcle dĂ©molis dans les annĂ©es 1970 et remplacĂ©s par le lotissement homonyme. C'est une allĂ©e remarquable conservĂ©e en l'Ă©tat bordĂ©e de tilleuls qui part de la route de Blois au nord et qui menait vers l'entrĂ©e de la propriĂ©tĂ©. À l'Ă©poque, on la surnommait allĂ©e Ă  Drufin, du nom de famille des derniers propriĂ©taires (1807 Ă  1962)[Note 40]. Elle est aujourd'hui classĂ©e dans le domaine communal[GHL 50] - [M 54] ;
    • les serres municipales sont construites en 1988[M 55] ;
    • Le pont de l'A71 sur la Loire, pont autoroutier en bĂ©ton prĂ©contraint entre la commune et Saint-PryvĂ©-Saint-Mesmin.

    Tourisme

    • Une offre d'hostellerie diversifiĂ©e existe (7 hĂŽtels pour 359 chambres1er_janvier_2021_421-0">[I 13]) principalement Ă  proximitĂ© de l'entrĂ©e des autoroutes A10 et A71 (entrĂ©e/sortie OrlĂ©ans-Centre) et sur la route d'OrlĂ©ans Ă  laquelle s'ajoute une aire municipale d'autocaravanes (camping-cars) de 23 emplacements d’environ 60 m2 chacun situĂ© en bord de Loire[Note 41].
    • Un parcours touristique « Nature et Culture », intitulĂ© A la dĂ©couverte de la Chapelle-Saint-Mesmin, composĂ© de « six missions », a Ă©tĂ© crĂ©Ă© par la commune au moyen d'une application gratuite tĂ©lĂ©chargeable sur smartphone [207].
    • Un parcours patrimonial, composĂ© de 13 panneaux de bois retraçant l'histoire de la commune et dĂ©crivant la richesse de son patrimoine (Culture et Nature), intitulĂ© Sur les traces du passeur, sera mis en place au dĂ©but de l'Ă©tĂ© 2023 prĂšs des bords de Loire[M 56].

    Sites archéologiques

    Le plan local d'urbanisme approuvĂ© en 2019 a permis de rĂ©pertorier 19 sites de vestiges archĂ©ologiques[G 14] :

    1. le site gallo-romain au lieu-dit Les Garreaux ;
    2. la carriĂšre d'extraction de calcaire d'Ă©poque au lieu-dit Pailly ;
    3. l'indice toponymique d'activité métallurgique au lieu-dit Les Forges ;
    4. le site d'habitat du Haut-Empire romain au lieu-dit de Gouffault ;
    5. l'enclos circulaire d'Ă©poque indĂ©terminĂ©e aux lieux-dits L'Épinodier et Les Fourreaux ;
    6. la voie romaine potentielle d'Orléans à Tours (route communale) ;
    7. la voie romaine probable d'Orléans à Tours (N152) ;
    8. le site préhistorique (mobilier lithique de surface non daté) rue du Clos du Four ;
    9. l'agglomération gallo-romaine, médiévale et moderne (La Chapelle Saint-Mesmin) ;
    10. le chùteau médiéval (chùteau des Hauts) ;
    11. la station magdalénienne de Monteloup aux lieux-dits de Monteloup et Les Neuf Arpents ;
    12. le village du Moyen Âge au lieu-dit de l'Ardoise ;
    13. le site préhistorique (mobilier lithique de surface non daté) au lieu-dit Le Coteau ;
    14. l'enclos circulaire (chĂąteau de la Source) ;
    15. le site gallo-romain (lieu de culte potentiel) au lieu-dit La Source du Rollin ;
    16. le site du Paléolithique et du Mésolithique au lieu-dit Besançon ;
    17. le moulin d'Ă©poque moderne au lieu-dit Pailly ;
    18. le moulin d'Ă©poque moderne au lieu-dit Sud Grattelard ;
    19. le moulin d'Ă©poque moderne au lieu-dit Sud de la Noue[Note 42].

    Le territoire de la commune comprend d'autres sites archéologiques :

    • en 1862, l'archĂ©ologue Ernest Pillon[GHL 52] dĂ©couvre des sĂ©pultures, Ă  l'emplacement du ChĂąteau des Tourelles (construit en 1869), qui attestent l'existence d'une nĂ©cropole paĂŻenne gallo-romaine avec la prĂ©sence de squelettes dont chacun portait une mĂ©daille de nolage[209] ;
    • en 2005, Ă  l'occasion de l'amĂ©nagement du lotissement des Grands Clos, des fouilles archĂ©ologiques permettent de confirmer l'existence (un siĂšcle avant notre Ăšre) d'un village d'Ă©poque protohistorique (vaisselle cĂ©ramique, torchis, trous de poteaux) et la mise Ă  jour de vestiges (vaisselle cĂ©ramique, lampe Ă  huile, fusaĂŻole, carreau d'arbalĂšte, dĂ© Ă  coudre, piĂšce de monnaie), provenant d'une probable bĂątisse seigneuriale (pigeonnier ou tour dĂ©fensive) datant de l'Ă©poque mĂ©diĂ©vale (XIVe siĂšcle et XVe siĂšcle)[GHL 53] ;
    • en 2007, prĂšs du lieu-dit Gouffault, un rapport archĂ©ologique de sondage effectuĂ© sur 720 m2 par le Bureau d'Études de Recherches et d'Applications (BERA) a permis de rĂ©colter des piĂšces de monnaie gauloises, romaine et du IXe siĂšcle, divers objets mĂ©talliques du Moyen Âge, des tessons de cĂ©ramique et de mettre en Ă©vidence des pieds de mur (calcaire, briques et tuiles d'origine gallo-romaine), des trous de poteaux et diffĂ©rents fossĂ©s[GHL 54].

    Paysages remarquables

    La place des GrĂšves, situĂ©e en bordure de Loire Ă  proximitĂ© d'une zone boisĂ©e (les bois de La Chapelle dĂ©nommĂ© Ă©galement « parc municipal » dont le bois de Vaussoudun fait partie[210]), constitue un potentiel touristique pour la commune. En effet, ce site naturel bordĂ© par le sentier GR3 et bĂ©nĂ©ficiant du classement du Val de Loire au patrimoine mondial de l’UNESCO, se trouve dans un rayon d'accĂšs : de l'Ă©glise Saint-Mesmin, de la grotte du dragon de BĂ©raire, de la RĂ©serve naturelle nationale de Saint-Mesmin, de l'ancienne cale du passeur de Loire, du gĂźte d’étapes municipal, de la guinguette municipale, du minigolf municipal, de l'aire municipal de camping-cars, du terrain de jeu de pĂ©tanque, du parcours de santĂ©, d'une aire de pique-nique, d'une aire de jeux pour jeunes enfants, d'un mini-terrain de BMX.

    Le lieu, présentant un espace dégagé face à la Loire, constitue également un point de vue idéal pour l'observation de la faune et la flore des bords de Loire. La place est également un lieu de convivialité, de détente, de loisirs et de promenades familiales.

    Elle est Ă©galement utilisĂ©e pour l'accueil de manifestations musicales estivales, Ă  l'occasion de la fĂȘte de la musique ou du festival annuel municipal Ballade en Musique[211].

    Équipements culturels

    La ville possÚde plusieurs équipements culturels dont la gestion est confiée au service culturel de la mairie, créé en 2008/2009 :

    • l'Espace BĂ©raire, complexe culturel et lieu de diffusion, Ă©difiĂ© en 1986 (comprenant une salle de congrĂšs de 600 places, un auditorium de 130 places, une salle de restaurant de 100 places, une cuisine, plusieurs salles de rĂ©unions et un espace d’exposition en mezzanine) est situĂ© au sein du vaste parc de BĂ©raire, ouvert au public. L'Ă©difice est inaugurĂ© le [M 57] ;
    • la bibliothĂšque municipale, crĂ©Ă©e en [M 58]. D'abord implantĂ©e dans le centre social, elle est intĂ©grĂ©e Ă  l'Espace BĂ©raire en 1986 et s'installera enfin en 2001 dans les locaux rĂ©amĂ©nagĂ©s de l’école de l'ancienne mairie sous la dĂ©nomination de BibliothĂšque Louis-Rouilly. Environ 30 000 documents sont mis Ă  la disposition des lecteurs. Un portage Ă  domicile de livres est proposĂ© aux personnes ĂągĂ©es, handicapĂ©es ou malades ;
    • l'Ă©cole municipale de musique, de danse et de thĂ©Ăątre[Note 43], crĂ©Ă©e en 1978[Note 44]. Disciplines : formation musicale, piano, violon, guitare, flĂ»te traversiĂšre, clarinette, saxophone, trompette, cor d’harmonie, trombone, tuba, percussions, batterie, chorales, orchestres, danse classique, modern’jazz et thĂ©Ăątre. Les enseignants artistiques encadrent le fonctionnement d’un Orchestre Ă  l'Ă©cole qui a Ă©tĂ© crĂ©Ă© au cours du mandat municipal 2014/2020[M 64]. L’EMM est installĂ©e dans l'ancienne mairie depuis septembre 1999[M 45] ;
    Photographie en couleurs d'un bùtiment récent dont l'architecture présente un toit en forme d'auvent trÚs avancé.
    La salle du Plessis des Hauts.
    • la salle du Plessis des Hauts, salle polyvalente Ă  destination des associations[Note 45], est inaugurĂ©e en 2006 ;
    • la salle Messemin, salle d'exposition attenante Ă  la bibliothĂšque municipale, inaugurĂ©e en 2007 en hommage au peintre Chapellois EugĂšne PrĂ©vost dit Messemin ;
    • l'ancienne salle des fĂȘtes, rĂ©habilitĂ©e en 2001 et amĂ©nagĂ©e en studio de danse est rĂ©servĂ©e aux cours de danse classique et de modern'jazz ;
    • la Maison de Beauvois, ancienne maison paysanne, acquise et rĂ©novĂ©e en 1993, salle rĂ©servĂ©e aux associations ;
    • la Guinguette, acquise et rĂ©novĂ©e en 1989, et dĂ©nommĂ©e ainsi en 1995[M 67], situĂ©e en bord de Loire, lieu convivial d'activitĂ©s associatives d'intĂ©rieur et de plein-air;
    • les salles RenĂ© Deparday[Note 46], situĂ©es derriĂšre l’ancienne mairie, qui servaient de rĂ©fectoires aux Ă©coliers jusqu’aux annĂ©es 1960, puis de centre social, sont rĂ©servĂ©es aux activitĂ©s associatives.

    Personnalités liées à la commune

    Parmi les nombreuses personnalités liées à La Chapelle Saint-Mesmin, on peut citer :

    • saint Mesmin l'Ancien ou Maximin de Micy ( -520), 2e abbĂ© du monastĂšre de Saint-Mesmin de Micy ;
    • Jean-Jacques Fayet (1786-1849), Ă©vĂȘque d'OrlĂ©ans et homme politique. Il achĂšte la propriĂ©tĂ© du chĂąteau des Hauts en 1844, afin d'y faire bĂątir le petit sĂ©minaire (en 2021 : maison de retraite Paul-Gauguin) ;
    • Louis-Émile Vanderburch, (1794-1862), Ă©crivain et dramaturge français, habita le petit chĂąteau, qui hĂ©berge l'actuelle mairie, de 1836 Ă  1853 ;
    • FĂ©lix Dupanloup (1802-1878), Ă©vĂȘque d'OrlĂ©ans et homme politique. Il fait du chĂąteau des Hauts sa rĂ©sidence d'Ă©tĂ© privilĂ©giĂ©e et dirigea le petit sĂ©minaire ;
    • Ernest Pillon (1803-1874), peintre, dessinateur et archĂ©ologue. Il s'installe Ă  La Chapelle Saint-Mesmin en 1840 en faisant l'acquisition du chĂąteau de l'Ardoise et Ă©lu conseiller municipal en 1845 ; il y meurt, il est inhumĂ© dans le vieux cimetiĂšre ;
    • Alexandre Collin (1808-1890), ingĂ©nieur. Il rĂ©habilite l'accĂšs Ă  la grotte du Dragon en 1857 ;
    • EugĂšne PrĂ©vost (1880-1944), peintre et dĂ©corateur ; il est nĂ© dans la commune.
    • Émile Rousseau (1899-1979), artiste lyrique ; il a vĂ©cu Ă  La Chapelle[212] ;
    • Alain Drufin (1942), athlĂšte, spĂ©cialiste du lancer du poids ; il est nĂ© dans la commune ;
    • Bruno Bini (1954), footballeur puis entraĂźneur. Il est Ă©lu conseiller municipal en 2014 ;
    • Franck Bellucci (1966), Ă©crivain, comĂ©dien et enseignant, rĂ©side dans la commune[213].

    HĂ©raldique

    Blason de La Chapelle-Saint-Mesmin

    Sur proposition des Archives départementales du Loiret, les armes de La Chapelle-Saint-Mesmin, adoptées par le conseil municipal en 1977[M 68], se blasonnent ainsi :

    D'azur à la croix componée d'argent et de gueules de neuf piÚces, cantonnée de quatre fleurs de lys d'or[214].

    Flamme postale

    Flamme postale de la commune, représentant la Loire avec en premier plan un héron et des roseaux et en arriÚre-plan l'église communale.
    Flamme postale

    En octobre 1990, la municipalité crée une flamme postale[215] - [GHL 55] afin de mieux faire connaitre l'identité de la commune (église, Loire, faune ligérienne) au moyen des échanges postaux.

    Logo et identité visuelle

    La refonte de l’identitĂ© visuelle de la commune est rĂ©alisĂ©e en 2016 avec en particulier la crĂ©ation d’un nouveau logo qui remplace celui utilisĂ© depuis 1991[Note 47]. Une charte graphique associĂ©e au logo est parallĂšlement crĂ©Ă©e[M 69] - [Note 48].

    • Logo en couleurs de forme triangulaire ; les couleurs : vert, bleu nuit et rouge.
      Logo de la commune entre 1991 et 2016.
    • Logo en couleurs reprĂ©sentant, sur un fond bleu nuit, une frise-flamme jaune, une ligne de couleur bleu et un nuage de points rouge.
      Logo de la commune depuis 2016.

    Voir aussi

    Par auteur
    • Camille Bloch, Cahiers de dolĂ©ances du bailliage d'OrlĂ©ans pour les États gĂ©nĂ©raux de 1789 - tome 1, OrlĂ©ans, MinistĂšre de l'Instruction publique, (lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
    • Camille Bloch, Cahiers de dolĂ©ances du bailliage d'OrlĂ©ans pour les États gĂ©nĂ©raux de 1789 - tome 2, OrlĂ©ans, MinistĂšre de l'Instruction publique, (lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
    • Gilles Cosson, Les taureaux de Khorsabad, Paris, Plon, , 318 p. (ISBN -2 259-00084-3), p. 237, 248. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
    • Du Boys, Netty (1837-1890), L'AbbĂ© Hetsch : par l'auteur des Derniers jours de Mgr Dupanloup ; avec introduction de Mgr Perraud, Paris, Librairie Poussielgue FrĂšres, , 692 p. (lire en ligne)
    • Jacques Debal, Histoire d'OrlĂ©ans et de son terroir : tome II (XVIIe, XVIIIe et XIXe siĂšcles), Le Coteau (42120), Editions Horvath, , 365 p. (ISBN 2-7171-0247-7). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
    • Jean-Marie Flonneau, Deux siĂšcles d'industrie dans le Loiret 1750-1950, OrlĂ©ans, Chambre de commerce et d'industrie du Loiret, , 120 p. (ISBN 2-909390-02-0), p. 107 Ă  108. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
    • Pierre Georges, BĂ©raire ou La Chapelle Saint-Mesmin : La petite histoire, Vincennes, Editions de la vie contemporaine, , 30 p. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
    • François-Henri Houbart, Histoire de l'Orgue en OrlĂ©anais et dans le Loiret : Inventaire des orgues, facteurs, organistes, compositeurs, Sampzon, Delatour France, , 482 p. (ISBN 9782414068753). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article.
    • Émile Huet, Histoire du Petit SĂ©minaire de La Chapelle Saint-Mesmin, OrlĂ©ans, Paul Pigelet & Fils, , 450 p., rĂ©Ă©ditĂ© en 2010 par Kessinger Publishing (ISBN 1166792625 et 978-1166792626).
    • AbbĂ© EugĂšne Jarossay, Histoire de l'Abbaye de Micy-Saint-Mesmin Lez-OrlĂ©ans (502-1790), son influence religieuse et sociale : d'aprĂšs les archives et les documents originaux, piĂšces justificatives et gravures, avec une lettre de Mgr Touchet, OrlĂ©ans, M. Marron, , 543 p. (lire en ligne). RĂ©Ă©ditĂ© en 2010 par Kessinger Publishing (ISBN 978-1167713569). Disponible sur le site de University of Toronto Libraries (lire en ligne).Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
    • AbbĂ© Lagrange, Vie de Monseigneur Dupanloup : EvĂȘque d'OrlĂ©ans, Membre de l'AcadĂ©mie Française, t. 1, 2 et 3, Paris, Librairie Poussielgue FrĂšres, , 1548 p. (lire en ligne).
    • Berthold de Micy, Vie de saint Mesmin : Vita Sancti Maximini, dĂ©diĂ©e Ă  Jonas, Ă©vĂȘque d’OrlĂ©ans, Abbaye de Micy, . ÉditĂ© en 1668 par Dom Jean Mabillon, ASOB saec1, Paris, 1668, p. 580-597. Bibliotheca hagiographica latina, Vol. 2, Vita BHL 5817, page 851, Bruxelles, 1898-1899[217].
    • AbbĂ© Patron, DĂ©partement du Loiret : Dictionnaire des communes, Paris, ComĂ©dit, 1991, rĂ©Ă©dition de 1870, 511 p. (ISBN 978-2-909112-01-5 et 2-909112-01-2)
    • AbbĂ© Patron (prĂ©f. Mgr Dupanloup), Recherches historiques sur l'OrlĂ©anais : oĂč Essai sur l'histoire, l'archĂ©ologie, la statistique des villes, villages, hameaux, Ă©glises, chapelles, chĂąteaux forts abbayes, hĂŽpitaux et institutions de l'OrlĂ©anais proprement dit: depuis l'Ă©poque celtique jusqu'Ă  nos jours, t. 1, Blanchard, , 511 p. (lire en ligne), p. 365.Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
    • AbbĂ© Patron (prĂ©f. Mgr Dupanloup), Recherches historiques sur l'OrlĂ©anais : oĂč Essai sur l'histoire, l'archĂ©ologie, la statistique des villes, villages, hameaux, Ă©glises, chapelles, chĂąteaux forts abbayes, hĂŽpitaux et institutions de l'OrlĂ©anais proprement dit: depuis l'Ă©poque celtique jusqu'Ă  nos jours, t. 2, Blanchard, , 621 p. (lire en ligne).Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
    • Jean-RenĂ© Perrin (prĂ©f. PrĂ©face de Jean-Pierre Sueur, sĂ©nateur du Loiret), La LĂ©gende du Dragon de BĂ©raire, Éditions Édilivre, , 112 p. (ISBN 978-2-7521-0302-4). AcadĂ©mie d'OrlĂ©ans Agriculture, Sciences, Belles-Lettres et Arts VIe SĂ©rie, tome 20, 2010, p. 145 : Lire en ligne la communication de J.R Perrin (2010) Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article.
    • Louis Marie Prudhomme, Dictionnaire gĂ©ographique et mĂ©thodique de la RĂ©publique française en 120 dĂ©partements, volume 1, Paris, Louis Marie Prudhomme, , 673 p. (lire en ligne).
    • Catherine Thion, La Chapelle-Saint-Mesmin, des siĂšcles d'histoire, La Chapelle-Saint-Mesmin, Mairie de La Chapelle-Saint-Mesmin, 2007, 2016, 93 p. (ISBN 978-2-9529017-0-3). Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
    • Charles Vander-Burch Fils, Biographie d'un homme de lettres, Saint-Étienne, Imprimerie veuve ThĂ©olier AinĂ© et Cie, , 19 p. (lire en ligne)
    • FrĂ©dĂ©ric ZĂ©gierman, Le guide des pays de France - Nord, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59960-2). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
    Collectifs
    • Collectif, Bulletins annuels et Ă©ditions spĂ©ciales hors sĂ©rie du Groupe d'Histoire Locale, La Chapelle Saint-Mesmin, GHL, depuis 1984 (ISSN 0981-0706). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article.
    • Collectif, Petit SĂ©minaire de La Chapelle Saint-Mesmin : le site, l'histoire, l'Ɠuvre, OrlĂ©ans, Herluison, 32 p. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
    • FĂȘte de la cinquantaine et douziĂšme rĂ©union triennale des anciens prĂ©sidĂ©es par S. G. Mgr : l'Ă©vĂȘque d'OrlĂ©ans le 26 juillet 1896 : petit sĂ©minaire de La Chapelle-Saint-Mesmin, OrlĂ©ans, Paul Pigelet, , 70 p. (lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
    • Collectif, Loiret : un dĂ©partement Ă  l'Ă©lĂ©gance naturelle, Paris, Christine Bonneton, , 319 p. (ISBN 978-2-86253-234-9)
    • Claude Motte, Isabelle SĂ©guy & Christine ThĂ©rĂ©, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d’hier, communes d’aujourd’hui : Les communes de la France mĂ©tropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut National d’Études DĂ©mographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article

    Rapports

    Articles connexes

    Liens externes

    Filmographie

    Vidéos

    Vidéos archivées sur les images d'archives en région Centre-Val de Loire :

    Vidéo archivée sur la chaßne Youtube du Festival national d'opéras pour enfants de La Chapelle-Saint-Mesmin :

    Long métrage

    Quelques scÚnes du long métrage de Gaël Lépingle Des garçons de province (2023) ont été tournées en 2020 à La Chapelle Saint-Mesmin, notamment prÚs de la place de l'hÎtel de ville, place de l'église, dans le parc de l'ancien petit séminaire, dans le parc de la Solitude, et sur l'esplanade de l'Espace Béraire :

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. La RiviÚre des Bois, aujourd'hui entiÚrement busée, fut par le passé plus un fossé intermittent qu'une véritable riviÚre. Elle était souvent asséchée. Mais à des époques plus reculées, elle traversait la commune pour se jeter dans le Rollin[GHL 2]
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Le mini-golf est créé en 1983 par la municipalité[M 4]
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , l'ancienne notion d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. La borne 61 se trouve au bord du chemin menant Ă  la Loire juste aprĂšs le no 23 de la route ; la borne 62 au carrefour de la rue de la Bredauche; la borne 63, juste aprĂšs le dernier feu tricolore avant la sortie de la commune vers l'ouest[GHL 5]
    11. À l'emplacement de cette rĂ©sidence se trouvait un petit chĂąteau et ses dĂ©pendances dĂ©nommĂ© Les Pervenches datant de la fin du XIXe siĂšcle. Les douze immeubles composĂ©s de cent vingt-neuf logements de type « Ă©conomique et social » ont Ă©tĂ© bĂątis par tranches successives entre 1962 et 1967[M 10]
    12. La Barre de l'Ange est un ensemble immobilier de trois corps de bĂątiments de 92 logements (Le Parc, La Tour, Le Halage, locaux commerciaux et garages fermĂ©s). Le permis de construire a Ă©tĂ© dĂ©livrĂ© le et les travaux rĂ©ceptionnĂ©s le . À cet emplacement, se dressait, au milieu d'un parc, une maison de maĂźtre construite (probablement au milieu du XIXe siĂšcle) en moellons et toiture d'ardoise sur laquelle on dĂ©bouchait par une allĂ©e bordĂ©e de vignes. Un belvĂ©dĂšre surplombait la Loire. L'accĂšs sur la Loire existe toujours[55]
    13. Les Sansonnets est un ensemble de trois petits immeubles de trente logements, situés de part et d'autre de la rue des Chaffaults à l'emplacement de parcelles auparavant cultivées, et réservés au moment de la construction aux personnels de l'entreprise Saint-Gobain[56]
    14. Le Levereau est le nom du lieu-dit (clos des Levereaux, vignes des Levraux, les Evraux[57]. Cette résidence, composée de six bùtiments dont six pavillons jumelés, compte 105 logements.
    15. Les Hauts du Bourg sont un lotissement de vingt-trois maisons dont les toits plats seront pour la majorité remplacés par des toits à double pente, en raison de problÚmes d'infiltrations d'eau[58]
    16. Le PrieurĂ© est un ensemble de trois immeubles de trois Ă  six Ă©tages composĂ©s au total de 70 appartements (permis de construire no 56.991 du ).
    17. En 1963, il est décidé l'expropriation d'une superficie de quatre hectares des terrains nécessaires à la réalisation d'un lotissement à usage d'habitation « afin de permettre aux personnes de condition modeste de pouvoir accéder à la propriété »[M 11], dossiers permis de construire no 1137, 1575, 1238 et 1036). Il est composé de trois immeubles : Le petit parc (1969) 20 appartements, le bouvreuil (1975) 16 appartements, les mésanges (1968) 76 appartements, de pavillons (1965), de cinq commerces et d'un local paroissial (1972). Un petit immeuble de vingt appartements de type HLM sera ajouté à proximité afin de proposer « des logements destinés à des personnes ùgées à revenus modestes »[M 12].
    18. Le Val de Loire est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.
    19. ORSIL = Organisation des Secours en cas d’Inondation Loire.
    20. ...soixante quatorze arpents d'excellentes vignes échelonnées sur le coteau en plein midi, ... in Bulletin de la Société Archéologique d'Orléans - T4 - Ernest Pillon (1862)[GHL 17]
    21. La chapelle de Vaussoudun est également détruite par la crue[GHL 20]
    22. Le 7, allée des Tilleuls est la Villa des TroÚnes
    23. Les lieux-dits les Hauts-Champs et les Bas-Champs qui dépendaient de la commune voisine d'Ingré ont été rattachés à la commune de La Chapelle respectivement en 1949 et 1957 (délibérations municipales du et du ).
    24. En 1964, elle fait partie des douze communes (Orléans, Chécy, Combleux, Fleury-les-Aubrais, Ingré, La Chapelle Saint-Mesmin, Saint-Jean de Braye, Saint-Jean-de-la-Ruelle, Saint-Jean-le-Blanc, Saint-Pryvé-Saint-Mesmin, Semoy, Saran) à s'associer en vue de créer le Syndicat intercommunal à vocations multiples de l'agglomération orléanaise (SIVOMAO).
    25. Michel Tescher conduit une « liste d'intĂ©rĂȘt communal, d'opposition municipale - MajoritĂ© prĂ©sidentielle »[131]
    26. La commune assurait la gestion de l'eau depuis la création du chùteau d'eau en 1939.
    27. Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus aprÚs extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
    28. Avant 1990, l'Ă©cole Jean-Vilar Ă©tait dĂ©nommĂ©e École du Bourg, puis École de la rue d'IngrĂ©. La sculpture de cuivre qui se trouve sur la façade de l'Ă©cole est une Ɠuvre de l'artiste Marcel Gili, commandĂ©e dans le cadre du 1 % artistique[M 26].
    29. À cet exact emplacement, une dĂ©charge recueillait, jusqu'en 1973, tous types d'immondices, d'ordures mĂ©nagĂšres et de dĂ©chets industriels. Le conseil municipal dĂ©cide d'y mettre fin en .
    30. Outre la Croix Noble, il existait six autres croix jusqu'au XXe siÚcle qui ont toutes progressivement disparu : la croix de l'Ardoise (carrefour des rues de l'Ardoise, de Monteloup et de la Tortue), la croix Monteau appelée aussi croix Blanche ou croix Blond (entre la rue des Forges et la commune d'Ingré), la croix de Chivaneau ou croix du Got (chemin des Hauts Champs), la croix de Marmogne (rue de Marmogne et rue Clovis), la croix des Chaffaults (rue des Chaffaults) et la croix de la place de l'église[GHL 41]
    31. Jacques Moreau, Clément Delord et Gaston Girault. Une anecdote rapportée par Robert Pillault raconte que, peu aprÚs son édification, des habitants de la ville voisine de Chaingy « veulent abattre la croix. Les constructeurs montent la garde pendant trois jours (et probablement trois nuits) avec leurs outils ».
    32. Chemin d'Orentay, chemin de la Zone (sic), grand chemin d'Orléans à Chaingy et chemins de Maigreville (sic) et de la Petite Grésie (ou chemin des soldats). Ces deux derniers chemins qui constituaient une médiane sud-ouest/nord-est ont aujourd'hui disparu de ce croisement.
    33. Autrefois, la Procession des Rogations (bénédiction des cultures pendant les trois jours précédant l'Ascension), se rendait jusqu'à la Croix Noble.
    34. Le legs est signifié par acte notarié (n° 1775) le par Madame Le Pileur de Beuvry par-devant Maßtre Bigot. L'ordonnance royale du autorise la commune à accepter la donation. Enfin, le , l'acte de donation est signé et Madame veuve de Beuvry s'engage à faire démolir le mur séparant les deux parcelles, entourant le monument, du reste du cimetiÚre.
    35. Il s'agit probablement de la pompe Ă  incendie de la compagnie des sapeurs-pompiers.
    36. À cette Ă©poque, l'entrĂ©e Ă  la mairie se fait uniquement par cet accĂšs. En 1985, il est dĂ©cidĂ© de percer un accĂšs Ă  l'est Ă  partir de la cour de la mairie vers l'allĂ©e des tilleuls[M 46]. En 1997, le portail est dĂ©montĂ© puis replacĂ© Ă  l'entrĂ©e du parc de la Solitude sur dĂ©cision de la MunicipalitĂ© afin de permettre d'ouvrir celui-ci, devenu public, sur la place du Bourg.
    37. Le montant de la rĂ©habilitation de l'ancienne salle des fĂȘtes en studio de danse s'Ă©lĂšve Ă  la somme de 1 285 128 F T.T.C.[M 48]
    38. À l'Ă©poque, pension de famille et cafĂ©-restaurant (et guinguette le dimanche Ă  la belle saison).
    39. StĂšle rĂ©alisĂ©e par ValĂšre Girault, tailleur de pierre, pour la somme de 3 005 francs. AprĂšs l'agrandissement du cimetiĂšre en 1928, le monument est replacĂ© au centre de celui-ci[GHL 49]
    40. Deux membres de cette famille ont été maires de la commune : Edmond Drufin (en 1896) et son fils Gaston Drufin (de 1904 à 1908). L'un des descendants de cette famille, Alain Drufin (né en 1942 à La Chapelle-Saint-Mesmin) sera un athlÚte de haut niveau. Il fut champion de France de lancer de poids en 1966.
    41. Cette aire de camping-cars a remplacé en 2009 le camping municipal créé en 1970 et qui avait été fermé en 2002.
    42. Entre les annĂ©es 1840 et 1870, on comptait 6 Ă  7 moulins en activitĂ©, Ă©poque oĂč La Chapelle en possĂ©dait le plus. Les moulins connus sont le moulin Boucher-Blanchard (1845-1876), le moulin de Bel Air ou Sagot (avant 1773-1886), le moulin de la Noue (avant 1750-1863), le moulin de la Guide (XVIIIe), le moulin Blanchard aux Garreaux (1840-1906), le moulin Hatton aux Dangeaux (1837-aprĂšs 1890), le premier moulin de Pailly (entre 1812 et 1821-1884), le second moulin de Pailly (1825) existe toujours, il a Ă©tĂ© amĂ©nagĂ© en maison d'habitation en 1926[GHL 51]
    43. Le cours de théùtre est créé en 2000[M 59]
    44. En 1962, la commune crée un cours municipal de solfÚge et en 1963, un cours d'enseignement musical. Les cours sont dispensés dans le petit local situé à l'ouest de l'ancienne mairie[M 60]. Les interventions musicales dispensées par des enseignants musiciens dans les écoles commencent en 1973[M 61]. L'école municipale de musique est créée en 1978[M 62]. En 1981, son fonctionnement est assuré par l'Harmonie (associative) de la commune puis elle redevient municipale en 1982[M 63]. AprÚs avoir été dispensés dans des salles en préfabriqué situées rue d'Ingré, les cours auront lieu dans une aile de l'école élémentaire Jean-Vilar. Depuis la rentrée scolaire 1999[M 45], l'école municipale de musique occupe complÚtement l'ancienne mairie.
    45. À l'origine destinĂ©e aux activitĂ©s des « sĂ©niors », l'estimation du montant des travaux s'Ă©lĂšve, en 2003 Ă  la somme de 861 120 F T.T.C.[M 65] et s'Ă©lĂšvera en dĂ©finitive Ă  la somme de 1 079 680 F T.T.C.[M 66]
    46. Nommées ainsi en 1989 en hommage à René Deparday (1894-1989) agriculteur chapellois, responsable associatif et de coopératives agricoles.
    47. La « frise-flamme » fait Ă©cho Ă  l’histoire et au patrimoine de la ville. La ligne du fleuve caractĂ©rise son cadre de vie. Le nuage de points souligne la cohĂ©sion des acteurs du territoire. Le concept du bloc-marque assure Ă  la ville une lisibilitĂ© immĂ©diate.
    48. La commune n'a toutefois pas déposé ce logo à l'Institut national de la propriété industrielle (INPI), le seul logo déposé au sein de la commune est celui d'un ostéopathe[216].
    • Cartes
    Ouvrage de Catherine Thion
    Bulletin annuel du Groupe d'histoire locale de La Chapelle Saint-Mesmin
    1. AimĂ© Hugon, « CarriĂšres et souterrains », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 3,‎ , p. 6-9 (ISSN 0981-0706) (sources: archives dĂ©partementales du Loiret).
    2. Annick Bureau, « Les mares Ă  La Chapelle Saint-Mesmin », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 26,‎ , p. 35-38 (ISSN 0981-0706).
    3. Michel Roussillat, « La Loire, quartier d’hiver du viking noir », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 23,‎ , p. 58-60 (ISSN 0981-0706).
    4. Marinette Bonnier et DaniĂšle Lelong, « Jardins Ă  La Chapelle hier et aujourd’hui », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 17,‎ , p. 36-37 (ISSN 0981-0706).
    5. DaniĂšle Boucher, « Des tĂ©moins discrets des siĂšcles passĂ©s: les bornes royales et les bornes de Loire », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 32,‎ , p. 18-22 (ISSN 0981-0706).
    6. DaniĂšle Boucher, « Des tĂ©moins discrets des siĂšcles passĂ©s: les bornes royales et les bornes de Loire », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 32,‎ , p. 18-22 (ISSN 0981-0706).
    7. Pierre Moreau, « Maisons paysannes », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 1,‎ , p. 17-21 (ISSN 0981-0706).
    8. Pierre Moreau, « Vieux fours Ă  pain Ă  La Chapelle Saint-Mesmin », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 23,‎ , p. 19-25 (ISSN 0981-0706).
    9. Reine Mothiron, « L'urbanisation de La Chapelle de la 1Ăšre guerre mondiale Ă  1978 », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 5,‎ , p. 15-27 (ISSN 0981-0706).
    10. Christiane Quillerier, « Lotissement des Tilleuls 1955-1959 », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 23,‎ , p. 12-18 (ISSN 0981-0706).
    11. Marc Laroche, « Histoire d'une dĂ©couverte magdalĂ©nienne sur le plateau de Monteloup », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 33,‎ , p. 1-4 (ISSN 0981-0706).
    12. Dominique Petit et Pascal Julien, « ArchĂ©ologie prĂšs de l'Ă©glise », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 8,‎ , p. 4-16 (ISSN 0981-0706)
    13. « Recensements », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 7,‎ , p. 12-13 (ISSN 0981-0706)
    14. Sandrine Beaudenuit, « Les vignerons Ă  La Chapelle aux XVIIIe siĂšcle et XIXe siĂšcle », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 17,‎ , p. 1-6 (ISSN 0981-0706).
    15. AimĂ© Hugon, « Les sapeurs pompiers », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 4,‎ , p. 40-45 (ISSN 0981-0706).
    16. Sandrine Beaudenuit, « Les vignerons Ă  La Chapelle aux XVIIIe siĂšcle et XIXe siĂšcle », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 17,‎ , p. 1-6 (ISSN 0981-0706). Sources : archives dĂ©partementales du Loiret : 3E 38977 - 3E 39020, archives municipales CC2 : impĂŽts et comptabilitĂ©, rĂŽle du vingtiĂšme de 1765, 1770 et 1782 - 3F10: vigne, vin. Cadastre napolĂ©onien: G1 Ă  G10.
    17. Luce Madeline, « Vaussoudun et ses habitants aprĂšs la RĂ©volution de 1789 », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 19,‎ , p. 19-22 (ISSN 0981-0706).
    18. Claude Moreau, « Les levĂ©es : la brĂšche de Vaussoudun de 1846 », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 18,‎ , p. 41-43 (ISSN 0981-0706). Sources : archives dĂ©partementales du Loiret et DIREN du Loiret.
    19. Pierre Moreau et Jean-Claude Meunier, « MystĂšres Ă  Vaussoudun », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 36,‎ , p. 44-47 (ISSN 0981-0706).
    20. Pierre Moreau et Jean-Claude Meunier, « MystĂšres Ă  Vaussoudun », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 36,‎ , p. 44-47 (ISSN 0981-0706).
    21. Jules Boucher, « Journal de Jules Boucher, engagĂ© volontaire chapellois », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 4,‎ , p. 54-61 (ISSN 0981-0706). Sources : Archives communales (dĂ©libĂ©rations municipales des et ) et Émile Huet, Histoire du Petit SĂ©minaire de La Chapelle Saint-Mesmin, OrlĂ©ans, Paul Pigelet & Fils, , 450 p., rĂ©Ă©ditĂ© en 2010 par Kessinger Publishing (ISBN 1166792625 et 978-1166792626).
    22. Pascal Julien, « L'Écho de La Chapelle-Saint-Mesmin », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 3,‎ , p. 19-20 (ISSN 0981-0706). Sources : DĂ©libĂ©ration du conseil municipal du , rapportĂ© dans le bulletin L'Écho de La Chapelle-Saint-Mesmin de et de .
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    24. Monique Veillon, « Le passeur », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 4,‎ , p. 28-33 (ISSN 0981-0706). Sources retranscrites des archives municipales, sĂ©ries O 11.
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    32. Jeannette Audejean et Annick Bureau, « La construction de l'Ă©cole Jean-Vilar », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 21,‎ , p. 9-11 (ISSN 0981-0706) (sources : archives municipales).
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    38. Pierre Beaudenuit, « Cheminement de l'agriculture depuis deux siĂšcles », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 28,‎ , p. 3-5 (ISSN 0981-0706)(sources : archives municipales).
    39. Marcel Moreau et Pierre Moreau, « La culture du tabac Ă  La Chapelle-Saint-Mesmin », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 29,‎ , p. 26-31 (ISSN 0981-0706).
    40. Michel Stobre, « La rĂ©colte du tabac 1945-1950 », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 35,‎ , p. 32-33 (ISSN 0981-0706).
    41. AimĂ© Hugon, « Les croix de nos chemins », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 11,‎ , p. 21-25 (ISSN 0981-0706).
    42. Jacques Maviel, « La Croix Noble », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 8,‎ , p. 17-20 (ISSN 0981-0706). Sources : archives communales, notes de Robert Pillault aux archives dĂ©partementales du Loiret, cotes 139J6 et 139J7, bulletin paroissial L'Echo de La Chapelle de juin 1903.
    43. AimĂ© Hugon, « La famille Chemin de Beuvry », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 16,‎ , p. 9-14 (ISSN 0981-0706).
    44. DaniĂšle Boucher, « La maison de l'Ardoise du VIe siĂšcle au XXe siĂšcle, de la propriĂ©tĂ© religieuse Ă  la propriĂ©tĂ© d'agrĂ©ment », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 28,‎ , p. 33-39 (ISSN 0981-0706)
    45. RĂ©gine DĂ©parday-Rouet, « Distribution des prix et souvenirs d'Ă©cole », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 30,‎ , p. 16 (ISSN 0981-0706).
    46. Pierre Beaudenuit, « DĂ©libĂ©ration du conseil municipal du 9 fĂ©vrier 1882 », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 14,‎ , p. 30 (ISSN 0981-0706)
    47. Marinette Bonnier, « L'allĂ©e des tilleuls », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 30,‎ , p. 58-61 (ISSN 0981-0706).
    48. Monique Veillon, « La poste : facteurs et bureaux de poste Ă  La Chapelle Saint-Mesmin », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 8,‎ , p. 25 (ISSN 0981-0706).
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    53. Jacques Maviel, « ArchĂ©ologie-Lotissement des Grands Clos, 2Ăšme tranche d'archĂ©ologie prĂ©ventive », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 23,‎ , p. 3-5 (ISSN 0981-0706) (source : INRAP OrlĂ©ans, projet 2005 n°2223).
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    Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement Centre-Val de Loire
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    Dossier relatif Ă  la commune
    1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catĂ©gorie.
    2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
    3. LOG T7 - RĂ©sidences principales selon le statut d'occupation.
    4. « Populations légales 2018 - Commune de la Chapelle-Saint-Mesmin » (consulté le ).
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    8. EMP T1, Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
    9. EMP T5 - Emploi et activité (Insee) pour La Chapelle-Saint-Mesmin.
    10. ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone (Insee) pour La Chapelle-Saint-Mesmin.
    11. ACT G2, Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2017.
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    9. « Avis d'enquĂȘte publique/Demande de permis d’amĂ©nager n° 045 075 21 A0001, dĂ©posĂ©e par la SAS Domaine Floresens, d’une friche industrielle situĂ©e entre la rue d’IngrĂ© et la rue de l’Enfer par la crĂ©ation d’un quartier Ă  usage mixte : habitations et activitĂ©s Ă©conomiques. », (consultĂ© le ).
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    19. ArrĂȘtĂ© du maire du (archives municipales).
    20. Délibération du conseil municipal du .
    21. Délibérations du conseil municipal des et (archives municipales).
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    52. 421 logements sur 7 années (représentant 4,4% de la métropole), dont 70 logements par an. Notamment dans le secteur Descartes à l'Est de la commune, dans le cadre du projet d'aménagement de la SAS Domaine Floresens, à l'emplacement de la friche industrielle ancienne de l'usine Michelin.
    53. 149 logements (représentant 5,4% de la métropole) dont 25 logements par an.
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    202. La remarquable collection de roses du jardin du chùteau à l'époque de la célÚbre actrice, entre 1801 et 1815, permet à la commune de figurer dans le répertoire de la Route de la Rose du Loiret établi par le conseil département du Loiret: « La route de la rose du Loiret », sur https://www.routedelarose.fr, Tourisme Loiret (consulté le ).
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    204. Architecte : R. Dusserre (source: plaque apposée au-dessus de l'entrée de l'ancienne salle des mariages)
    205. Information confirmée par la plaque apposée au-dessus de l'entrée de l'ancienne salle des mariages.
    206. Par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du Ă  la suite de la dĂ©libĂ©ration du conseil municipal du dans laquelle : « la commune revendique la propriĂ©tĂ© de l'allĂ©e des tilleuls et du petit sĂ©minaire afin d'agrandir les Ă©coles et d'amĂ©nager une salle des fĂȘtes (...). »
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    215. Dessinée gracieusement par Béatrice Veillon.
    216. Logotype no 16 4 250 264 déposé le .
    217. Site de la BNF.
    218. Cette maison, situĂ©e sur la route dĂ©partementale vers la limite Est de la commune, a Ă©tĂ© abattue Ă  la fin de l’annĂ©e 2022. Elle a Ă©tĂ© plus tard dĂ©nommĂ©e Le Pigeon Vert.
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