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Risque sismique dans le Loiret

Le risque sismique dans le Loiret est un des risques majeurs susceptibles d'affecter le département du Loiret (région Centre-Val de Loire, France). Il se caractérise par la possibilité qu'un aléa de type séisme se produise et occasionne des dommages plus ou moins importants aux personnes, aux biens ou à l'environnement sur le territoire départemental.

Risque sismique dans le Loiret
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Image illustrative de l’article Risque sismique dans le Loiret
GĂ©ographie
Pays France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Loiret
Zonage sismique
1-très faible 334 communes
Vulnérabilité de la population
1-très faible 647 727 habitants[1](2011)
Vulnérabilité du bâti
1-très faible 312 554 logements[1] (2011)
Séisme de référence
Commune Tigy
Date 3 octobre 1933
Magnitude 6

La totalité du département est classée en zone de sismicité « très faible ». À ce titre aucune réglementation spécifique ne s'applique aux constructions dites « à risque normal ». Seules les installations classées « à risque spécial », dont fait partie la centrale nucléaire de Dampierre-en-Burly, doivent respecter la réglementation parasismique en vigueur.

Histoire

Principaux événements marquants

Au cours des 500 dernières annĂ©es, les sĂ©ismes historiques ressentis dans le dĂ©partement n’ont jamais entraĂ®nĂ© de dommages matĂ©riels importants. La base de donnĂ©es SisFrance des sĂ©ismes historiques en France, gĂ©rĂ©e par le Bureau de recherches gĂ©ologiques et minières (BRGM), recense une vingtaine d'Ă©vĂ©nements, ressentis dans au moins une commune du dĂ©partement, dont quatre dont l'Ă©picentre est localisĂ©e dans le dĂ©partement[2] :

DateHeureLocalisation épicentrale[note 1]Région ou pays de l'épicentreIntensité épicentrale
Épicentre dans le Loiret
3 octobre 19337 h 54 min 20 sVal de Loire (Tigy)Orléanais-Blésois-Pays Chartrain6
26 février 191511 h 30 minVal de Loire (Saint-Ay)Orléanais-Blésois-Pays Chartrain
16 août 188519 h 23 minBeauce (Bricy)Orléanais-Blésois-Pays Chartrain5
29 avril 183117 h 30 minForêt d'Orléans (Fay-aux-Loges)Orléanais-Blésois-Pays Chartrain5
Épicentre hors du Loiret
7 juin 19310 h 25 min 1 sMer du nord (Dogger Bank)Grande-Bretagne
26 septembre 19255 h 5 minMarche-Boischaut (Chateaumeillant - la Châtre)Berry6,5
14 septembre 18665 h 10 minBrenne (Azay-le-Ferron)Berry7
5 juillet 18413 h 30 minBrenne (Châtillon-sur-Indre)Berry4
5 juillet 18410 h 30 minBrenne (Châtillon-sur-Indre)Berry7
21 janvier 18147 h 15 minVallée de la Sarthe (Sainte-Jamme ?)Maine
25 janvier 17993 h 45 minMarais breton (Bouin)Pays nantais et vendéen7,5
1 novembre 17559 h 30 minAtlantique (W. Lisbonne)Portugal
11 octobre 174919 h 8 minChâtelleraudais ?Poitou
13 mars 17085 hLoudunois ?Poitou
12 mai 16822 h 30 minHautes-Vosges (Remiremont)Vosges8
26 janvier 15796 h 50 minMarche-Boischaut ?Berry
25 juin 152222 hPlateau méridional (Le Grand-Pressigny ?)Touraine
10 septembre 1316Brenne ?Berry
18 février 84922 hHautes-Vosges (Remiremont ?)Vosges

SĂ©isme de Tigy (1933)

Le 3 octobre 1933 à 7 h 54, deux secousses sismiques de trois secondes, avec un arrêt d'une demi-seconde entre chacune, ont été ressenties dans toute la région est d'Orléans. Avec une intensité épicentrale de 6, il s'agit du plus fort séisme s'étant produit dans le Loiret.

Plusieurs personnes eurent la sensation d'un léger soulèvement du sol avec déplacement vers le Nord, suivi d'un grondement rapide[3]. L'épicentre se situe aux environs de Tigy, dans la région naturelle de la Sologne. Les effets de ce séisme d'intensité moyenne ont été enregistrés entre Orléans et Sully-sur-Loire. À Tigy, une cheminée a été abattue et quelques dégâts peu importants se sont également produits à Vienne-en-Val, La Ferté-Saint-Aubin, Fay-aux-Loges et Vitry-aux-Loges. À Saint-Denis-de-l'Hôtel, une jeune fille s'est trouvée projetée de sa bicyclette. À Jargeau, Châteauneuf-sur-Loire, Donnery, Saint-Benoit-sur-Loire et Orléans, « les vibrations étaient semblables à celles que produirait le passage d'un gros camion passant sur les pavés d'une rue »[3]. Un phénomène curieux a été observé par les pêcheurs le long de la Loire et des rivières : « à l'instant précis où la secousse se produisit, tous les poissons apparurent brusquement à la surface de l'eau. Ils n'y restèrent malheureusement que l'espace de quelques secondes »[4]. Ce séisme est toutefois passé inaperçu à Pithiviers, Chartres, Melun, Corbeil, Étampes, entre Loire et Seine, alors qu'il a été bien observé à Paris et jusqu'aux Andelys dans l'Eure[5].

Événements récents

Le Ă  21 h 15 TU (23 h 15 heure locale), un sĂ©isme, dit « sĂ©isme de Châtillon-dur-Loire », d’une magnitude de 3,6, s'est produit dans le Giennois. L’épicentre est localisĂ© Ă  km de la commune de Cernoy-en-Berry, Ă  la limite du dĂ©partement du Cher entre le pays Giennois et Sancerrois. Sa profondeur est incertaine pour le CEA et de 24 km pour le RĂ©NaSS[note 2]. L’intensitĂ© maximale observĂ©e est de III sur l'Ă©chelle EMS-98 dans un rayon de 5 Ă  15 km pour 8 communes autour de l’épicentre. Le sĂ©isme a Ă©tĂ© dĂ©clarĂ© ressenti dans 31 communes, la secousse couvrant ainsi une surface de 1 594 km2[6] - [7].

Zonage sismique dans le Loiret

Pour chaque commune du territoire national, un aléa sismique, c'est-à-dire l’ampleur des mouvements sismiques attendus sur une période de temps donnée, a pu être défini à partir de l'analyse des données de la sismicité historique (données issues de témoignages et de documents bibliographiques recensés depuis environ 1000 ans), des données instrumentales (mesurées par des appareils depuis une cinquantaine d’années) et par l'identification des failles actives[8]. La France a ainsi été découpée en cinq zones de sismicité croissante par décret du 22 octobre 2010[9] (article D563-8-1 du code de l’environnement), allant de la zone 1, de sismicité très faible, à la zone 5, de sismicité forte.

La totalité du département du Loiret est classée en zone de sismicité « très faible »[9].

Prévention du risque sismique

Travaux de réduction de la vulnérabilité

Les travaux de réduction de la vulnérabilité (mitigation) des enjeux bâtis passe par une vérification de la conformité des structures aux règles parasismiques en vigueur.

RĂ©glementation parasismique

L’objectif de la réglementation parasismique est la sauvegarde des vies humaines pour une secousse dont le niveau d’agression est fixé pour chaque zone de sismicité, dans des limites économiques supportables pour la société[10]. Les articles R563-1 à R563-8 du Code de l’environnement distinguent deux types d’ouvrages :

  • les ouvrages « Ă  risque normal » comprenant les bâtiments, Ă©quipements et installations pour lesquels les consĂ©quences d’un sĂ©isme demeurent circonscrites Ă  leurs occupants et Ă  leur voisinage immĂ©diat»[11] ;
  • les installations classĂ©es « Ă  risque spĂ©cial » correspondant « aux bâtiments, Ă©quipements et installations pour lesquels les effets sur les personnes, les biens et l’environnement de dommages mĂŞme mineurs rĂ©sultant d’un sĂ©isme peuvent ne pas ĂŞtre circonscrits au voisinage immĂ©diat desdits bâtiments, Ă©quipements et installations ». La nouvelle rĂ©glementation parasismique, dĂ©finie par l'arrĂŞtĂ© du 4 octobre 2010, s'impose Ă  ces ouvrages, quel que soit le niveau d'alĂ©a[12]. Dans le dĂ©partement du Loiret, la centrale nuclĂ©aire de Dampierre-en-Burly entre dans ce cadre.

Centrale nucléaire de Dampierre

Le sĂ©isme de rĂ©fĂ©rence associĂ© Ă  la centrale nuclĂ©aire de Dampierre (Dampierre-en-Burly) est le sĂ©isme de Tigy, qui s’est produit le 3 octobre 1933. Le sĂ©isme maximum historiquement vraisemblable (SMHV) est un sĂ©isme similaire Ă  ce sĂ©isme de rĂ©fĂ©rence se produisant au droit du site de la centrale, d'intensitĂ© VI sur l'Ă©chelle Medvedev-Sponheuer-Karnik (MSK) et de magnitude 4,4. Par dĂ©duction, le sĂ©isme majorĂ© de sĂ©curitĂ© (SMS) est de d'intensitĂ© VII MSK et de magnitude 4,9. Après application d'un coefficient de sol correspondant Ă  un sol moyen, le spectre de sol caractĂ©risant la rĂ©ponse du sol Ă  un tel sĂ©isme peut ĂŞtre Ă©tabli. Le pic d'accĂ©lĂ©ration s'Ă©tablit, selon l'Ă©valuation complĂ©mentaire de sĂ©curitĂ© de 2011, Ă  0,18 g pour le SMS, soit une vitesse de 7 cm/s[13]. Le spectre associĂ© Ă  la SMS Ă©tait Ă©valuĂ© en 2003 Ă  0,17 g par ÉlectricitĂ© de France (EDF) et Ă  0,21 g par l'Institut de radioprotection et de sĂ»retĂ© nuclĂ©aire (IRSN). Dans son courrier du 2 juin 2003, l'AutoritĂ© de sĂ»retĂ© nuclĂ©aire (ASN) a validĂ© les conclusions d'EDF en retenant une accĂ©lĂ©ration de 0,17 g comme vĂ©rification pour le dimensionnement[14].

Les centrales nuclĂ©aires ayant Ă©tĂ© construites par paliers, Ă  savoir sur des bases identiques de conception, le spectre retenu pour le dimensionnement de toutes les centrales d'un mĂŞme palier est identique, quel que soit le lieu. Pour les rĂ©acteurs de 900 MW (palier CPY), la forme spectrale utilisĂ©e Ă©tait celle dite du « spectre EDF » dĂ©finie comme la moyenne lissĂ©e du spectre de 8 accĂ©lĂ©rogrammes enregistrĂ©s lors de cinq sĂ©ismes d'origine californienne. L'Ă®lot nuclĂ©aire de Dampierre a ainsi Ă©tĂ© conçu sur la base d'un spectre normĂ© Ă  0,2 g Ă  pĂ©riode nulle. Pour les ouvrages de site hors Ă®lot, un spectre normĂ© Ă  0,1 g a Ă©tĂ© retenu. L'Ă©valuation complĂ©mentaire de sĂ»retĂ© de Dampierre rĂ©alisĂ©e en 2011 montre que le spectre EDF (SMD) enveloppe bien le spectre du SMS sur la gamme de frĂ©quences 1-6 Hz, mais que l'on peut constater un lĂ©ger dĂ©passement autour des 10 Hz. Celui-ci n'induit toutefois aucun impact significatif, compte tenu des mĂ©thodes de calcul de l'Ă©poque, très largement sĂ©curitaires[15].

Plan de prévention des risques

Le plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) sismique, établi par l’État français, définit des zones d’interdiction et des zones de prescription ou sous réserve[16]. Du fait que le département est entièrement en zone de sismicité très faible, il n'existe aucun PPR de prescrit dans le département du Loiret.

Document d’urbanisme

Le code de l'urbanisme impose la prise en compte des risques dans les documents d'urbanisme. Ainsi, les plans locaux d'urbanisme (PLU) permettent de refuser ou d'accepter, sous certaines conditions, un permis de construire dans des zones exposées[17]. Du fait que le département est entièrement en zone de sismicité très faible, aucune règle ne s'impose dans les plans locaux d'urbanisme en dehors des règles générales de construction parasismique définies dans l'article R111-38 du code de la construction[18].

Permis de construire

Le département étant en zone de sismicité « très faible », aucune réglementation spécifique ne s'applique aux bâtiments à risque normal. Les installations classées pour la protection de l'environnement soumises à autorisation doivent quant à elles respecter les conditions imposées par l'arrêté du 4 octobre 2010[19].

Information préventive

Le maire élabore le dossier d'information communal sur les risques majeurs (DICRIM), un document qui regroupe les données locales, départementales et nationales nécessaires à l'information des citoyens au titre du droit à l'information en ce qui concerne les risques majeurs[20]. Le département étant classé en zone de sismicité très faible, le Dossier départemental des risques majeurs ne recense pas ce risque en tant que risque majeur local[21], le DICRIM peut donc ne pas comporter de volet « séisme ».

Information des acquéreurs ou locataires

L’information lors des transactions immobilières fait l’objet d’une double obligation Ă  la charge des vendeurs ou bailleurs : l'Ă©tablissement d’un Ă©tat des risques naturels et technologiques et la dĂ©claration d’une Ă©ventuelle indemnisation après sinistre. Concernant le risque sismique, seules les communes en zone de sismicitĂ© de 2 Ă  5 sont soumises Ă  cette obligation, en application de l’arrĂŞtĂ© du 19 mars 2013[22]. Le 10 juillet 2014, le Ministère de l'Ă©cologie, du dĂ©veloppement durable et de l'Ă©nergie a publiĂ© un site Internet dĂ©nommĂ© « GĂ©orisques » dĂ©diĂ© aux risques majeurs qui donne Ă  l'ensemble des usagers les informations rĂ©glementaires sur les risques auxquels ils sont soumis en localisant leur habitat directement sur une carte ou en saisissant leur adresse. Ce site permet en particulier aux notaires et agences immobilières d'Ă©diter l'Ă©tat des risques naturels et technologiques Ă  fournir obligatoirement aux acquĂ©reurs ou locataires[23].

Organisation des secours

Au niveau départemental

En cas de survenue d'un séisme de grande ampleur affectant plusieurs communes du département, le plan Orsec départemental[note 3] serait déclenché et mis en œuvre. Ce plan définit, en application de la loi n° 2004-811 du 13 août 2004 de modernisation de la sécurité civile, l’organisation de la direction des secours et permet la mobilisation des moyens publics et privés nécessaires à l’intervention. Au niveau départemental, le préfet est directeur des opérations de secours. Il élabore et déclenche le dispositif Orsec[24].

Au niveau communal

Le maire, détenteur des pouvoirs de police, a la charge d'assurer la sécurité de la population dans les conditions fixées par le code général des collectivités territoriales. À cette fin, il élabore un plan communal de sauvegarde si la commune est comprise dans le champ d’application d’un plan particulier d'intervention[25].

Notes et références

Notes

  1. L’épicentre est le point théorique situé à la surface terrestre à la verticale du foyer du séisme
  2. Le RéNaSS est le Réseau national de surveillance sismique français.
  3. Orsec : Organisation de la Réponse de SÉcurité Civile.

Références

  1. Eider, Base de données régionales et départementales sur l'environnement, l'énergie, le transport, le logement et la construction
  2. « Liste des séismes régionaux ressentis dans le département du Loiret », sur http://www.sisfrance.net (consulté le )
  3. Marcel P.E. Luizard, « Bulletin de la société astronomique de France - le tremblement de terre de la region orléanaise du 3 octobre 1933 », sur http://www.sisfrance.net/, (consulté le )
  4. Les catastrophes météo dans le Loiret - (2010), p. 80
  5. séisme du 3 octobre 1933 - Annuaire 1933, Institut physique du Globe de Strasbourg
  6. « Séisme de Châtillon-sur-Loire (Loiret) du 25 septembre 2013 (3,6 ML CEA-LDG) - étude macrosismique », sur http://www.franceseisme.fr/, (consulté le )
  7. Ch. L., « Loiret: un séisme de magnitude 3,7 ressenti à GienLoiret: un séisme de magnitude 3,7 ressenti à Gien », sur https://france3-regions.francetvinfo.fr/, (consulté le )
  8. « Risques naturels en Loir-et-Cher », sur le site de la préfecture de Loir-et-Cher (consulté le ), p. 38
  9. Décret no 2010-1255 du 22 octobre 2010 portant délimitation des zones de sismicité du territoire français.
  10. « La prévention du risque sismique en France », sur http://www.developpement-durable.gouv.fr/, (consulté le )
  11. Article R563-3 du Code de l'environnement
  12. « Les ICPE à risque spécial », sur http://www.planseisme.fr/ (consulté le )
  13. « Rapport d'évaluation complémentaire de la sûreté des installations nucléaires la centrale de Dampierre au regard de l'accident de Fukushima », sur le site de l'Autorité de sûreté nucléaire, Électricité de France (consulté le ), p. 3-61
  14. ASN, « Courrier ASN à EDF - Réexamens de sûreté des centrales nucléaires VD2 1300 MWe et VD3 900 MWe. Détermination des mouvements sismiques à prendre en compte pour la sûreté des installations nucléaires, en application de la RFS 2001-01 », sur observ.nucleaire.free.fr, Observatoire du nucléaire, (consulté le )
  15. « Rapport d'évaluation complémentaire de la sûreté des installations nucléaires la centrale de Dampierre au regard de l'accident de Fukushima », sur le site de l'Autorité de sûreté nucléaire, Électricité de France (consulté le ), p. 12-14-61
  16. « DGa3 – Plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPRN) et plan de prévention des risques miniers (PPRM) », sur http://www.mementodumaire.net/, (consulté le )
  17. « Informations transmises aux maires pour l’élaboration de leur document communal d’information sur les risques majeurs - zone de sismicité faible », sur http://www.prim.net/ (consulté le ), p. 6
  18. Article R111-38 du code de la construction et de l'habitation
  19. Arrêté du 4 octobre 2010 relatif à la prévention des risques accidentels au sein des installations classées pour la protection de l'environnement soumises à autorisation, sur Légifrance.
  20. « Dossier d'information communal sur les risques majeurs », sur http://www.risquesmajeurs.fr/ (consulté le )
  21. « Dossier départemental des risques majeurs du Loiret », sur http://www.loiret.gouv.fr/ (consulté le )
  22. « Information de l’Acquéreur ou du Locataire (IAL) : obligations du vendeur ou du bailleur », sur http://www.developpement-durable.gouv.fr/, Ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie (consulté le )
  23. « Géorisques : un site d’information pour évaluer les risques près de chez vous », sur http://www.service-public.fr/, (consulté le )
  24. « Présentation du dispositif ORSEC », sur http://www.mementodumaire.net/ (consulté le )
  25. « Plan communal de sauvegarde (PCS) », sur http://www.mementodumaire.net/ (consulté le )


Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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