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Chaingy

Chaingy est une commune française située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.

Chaingy
Chaingy
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Loiret
Arrondissement Orléans
Intercommunalité Communauté de communes des Terres du Val de Loire
Maire
Mandat
Jean-Pierre Durand
2020-2026
Code postal 45380
Code commune 45067
DĂ©mographie
Gentilé Cambiens
Population
municipale
3 987 hab. (2020 en augmentation de 10,78 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 184 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 53â€Č 04″ nord, 1° 46â€Č 25″ est
Altitude Min. 82 m
Max. 124 m
Superficie 21,69 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Chaingy
(ville-centre)
Aire d'attraction Orléans
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Meung-sur-Loire
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Chaingy
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Chaingy
Liens
Site web www.chaingy.fr

    La commune est située dans le périmÚtre du Val de Loire inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO[1] - [2].

    GĂ©ographie

    Localisation

    La superficie de la ville est de 2 169 hectares.

    En 1870, son territoire est composĂ© de 2 174 hectares de terrain de tertiaire moyen, produit des cĂ©rĂ©ales, du vin, des bois.

    Chaingy est situĂ©e dans l'aire urbaine d'OrlĂ©ans et l'unitĂ© urbaine de Chaingy, Ă  10 km Ă  l'ouest d'OrlĂ©ans et km Ă  l'ouest d'IngrĂ©, en direction de Blois, en position mĂ©diane entre OrlĂ©ans et Meung-sur-Loire.

    La commune se trouve dans la région naturelle du Val de Loire sur le Rollin et la ligne SNCF allant de Paris-Austerlitz à Bordeaux-Saint-Jean.

    Les communes limitrophes sont Bucy-Saint-Liphard, Ingré, La Chapelle-Saint-Mesmin, Saint-Ay, Huisseau-sur-Mauves, Saint-Pryvé-Saint-Mesmin, Mareau-aux-Prés.

    GĂ©ologie

    La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sĂ©dimentaires français. Cette vaste dĂ©pression, occupĂ©e dans le passĂ© par des mers peu profondes et des lacs, a Ă©tĂ© comblĂ©e, au fur et Ă  mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches gĂ©ologiques[3].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant du CĂ©nozoĂŻque, l'Ăšre gĂ©ologique la plus rĂ©cente sur l'Ă©chelle des temps gĂ©ologiques, dĂ©butant il y a 66 millions d'annĂ©es. La formation la plus ancienne est du calcaire de Pithiviers remontant Ă  l’époque MiocĂšne de la pĂ©riode NĂ©ogĂšne. La formation la plus rĂ©cente est des alluvions rĂ©centes des lits mineurs remontant Ă  l’époque HolocĂšne de la pĂ©riode Quaternaire. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans les feuilles « n°362 - Patay » et « n°363 - OrlĂ©ans » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000Ăšme du dĂ©partement du Loiret[4] - [5] et leurs notices associĂ©es[6] - [7].

    Carte géologique de la commune
    Ère PĂ©riode Époque Formations gĂ©ologiques
    CĂ©nozoĂŻque
    (0 - 66.0)
    Quaternaire
    (0 - 2.58)
    HolocĂšne
    Fz :alluvions récentes des lits mineurs, HolocÚne
    FC :alluvions et colluvions du fond des vallées secondaires, HolocÚne
    PléistocÚne non présent
    NĂ©ogĂšne
    (2.58 - 23.03)
    PliocÚne non présent
    MiocĂšne
    m2MSO :marnes et sables de l'Orléanais, Burdigalien
    m2MCO :marnes et calcaires de l'Orléanais, Burdigalien
    m1CPi :calcaire de Pithiviers, Aquitanien
    PaléogÚne
    (23.03 - 66.0)
    OligocÚne non présent
    ÉocĂšne non prĂ©sent
    PaléocÚne non présent

    Relief

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l’Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rences dans toutes les statistiques, est de 21,69 km2[8] - [Note 1]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 21,68 km2[5]. Son relief est relativement plat puisque la dĂ©nivelĂ©e maximale atteint 42 mĂštres. L'altitude du territoire varie entre 82 m et 124 m[11].

    Hydrographie

    La commune est longĂ©e sur son flanc sud par la Loire (0,884 km). Le rĂ©seau hydrographique communal, d'une longueur totale de 10,2 km, comprend Ă©galement divers petits cours d'eau dont la Mauve de Saint Ay (6,478 km) et le Rollin (2,319 km) [12].

    Le cours de la Loire s’insĂšre dans une large vallĂ©e qu’elle a façonnĂ©e peu Ă  peu depuis des milliers d’annĂ©es. Elle traverse le sud du dĂ©partement du Loiret depuis Beaulieu-sur-Loire jusqu'Ă  Beaugency, avec un cours large et lent. La Loire prĂ©sente des fluctuations saisonniĂšres de dĂ©bit assez marquĂ©es. La station hydromĂ©trique la plus proche situĂ©e en amont de la commune et servant de rĂ©fĂ©rence en cas de crue est celle d'OrlĂ©ans, au droit du pont Royal. Le dĂ©bit mensuel moyen (calculĂ© sur 55 ans pour cette station) varie de 96,80 m3/s au mois d'aoĂ»t Ă  600 m3/s au mois de fĂ©vrier. La Loire connaĂźt toutefois en cas d'intempĂ©ries exceptionnelles des pics de dĂ©bits trĂšs importants, le maximum ayant Ă©tĂ© atteint sur cette station le avec 3 130 m3/s. Le dĂ©bit maximal de la Loire calculĂ© pour les crues maximales de 1856 ou 1866 est de l'ordre de 7 000 m3/s[13] - [14]. La hauteur maximale a Ă©tĂ© atteinte le 2 juin 1856 avec 7,10 m[15].Son dĂ©bit est rĂ©gulĂ© par des barrages amont (Naussac en amont sur l’Allier et Villerest). Ces barrages interviennent pour le soutien d’étiage (dĂ©bit minimum de 60 m3/s en Ă©tiage Ă  Gien) et Villerest permet Ă©galement d’écrĂȘter les crues. La Loire est un cours d’eau domanial classĂ© en deuxiĂšme catĂ©gorie piscicole. L'espĂšce biologique dominante est constituĂ©e essentiellement de poissons blancs (cyprinidĂ©s) et de carnassiers (brochet, sandre et perche). Depuis les annĂ©es 1990 ce type de riviĂšres est Ă©galement peuplĂ© de silures [16] - [17].

    • Carte de la commune de Chaingy et des communes limitrophes.
      Carte de la commune de Chaingy et des communes limitrophes.
    • RĂ©seau hydrographique de Chaingy.
      RĂ©seau hydrographique de Chaingy.

    RĂ©serve naturelle nationale de Saint-Mesmin

    La rĂ©serve naturelle nationale de Saint-Mesmin est une aire protĂ©gĂ©e faisant partie des rĂ©serves naturelles de France et dont le statut est dĂ©fini par la loi relative Ă  la dĂ©mocratie de proximitĂ© du . Elle a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e par dĂ©cret du 14 dĂ©cembre 2006. Elle comprend la partie de la vallĂ©e de la Loire situĂ©e dans le domaine public fluvial s’étendant de Saint-PryvĂ©-Saint- Mesmin et Mareau-aux-PrĂ©s, en rive gauche, Ă  La Chapelle-Saint-Mesmin, Chaingy et Saint-Ay, en rive droite ainsi que certaines parcelles cadastrĂ©es de la commune de Saint-PryvĂ©-Saint-Mesmin. Elle s'Ă©tend sur 263 ha, auxquels s'ajoute un pĂ©rimĂštre de protection de 90 ha, et englobe la pointe de Courpain (boisement alluvial situĂ© au confluent de la Loire et du Loiret) et les Ăźles de Mareau[18]. La zone se superpose pour partie Ă  la zone de protection spĂ©ciale vallĂ©e de la Loire du Loiret du rĂ©seau Natura 2000 et Ă  la zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique de type 2 « Ile de Saint-PryvĂ©-Saint-Mesmin et abords ». La variĂ©tĂ© des milieux a permis le dĂ©veloppement d’une flore trĂšs riche et diversifiĂ©e, avec 558 espĂšces de plantes supĂ©rieures recensĂ©es dont 3 protĂ©gĂ©es au niveau national (pulicaire vulgaire, gagĂ©e des prĂ©s, tulipe sauvage) et 5 au niveau rĂ©gional (limoselle aquatique, pigamon jaune, corydale Ă  bulbe plein, laĂźche de Loire, scille d'automne). Le castor d’Europe a fait son apparition dans la rĂ©serve en 1983, Ă  la suite de sa rĂ©introduction en amont de Blois. Nocturne, il se laisse difficilement observer mais les traces de son activitĂ© sont nombreuses[18].

    Sites Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d’intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives «Habitats » et «Oiseaux ». Ce rĂ©seau est constituĂ© de Zones SpĂ©ciales de Conservation (ZSC) et de Zones de Protection SpĂ©ciale (ZPS). Dans les zones de ce rĂ©seau, les États Membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles. L'objectif est de promouvoir une gestion adaptĂ©e des habitats tout en tenant compte des exigences Ă©conomiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularitĂ©s rĂ©gionales et locales de chaque État Membre. les activitĂ©s humaines ne sont pas interdites, dĂšs lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l’état de conservation favorable des habitats et des espĂšces concernĂ©s[19] - [20]. Les sites Natura 2000 prĂ©sents sur le territoire communal de Chaingy sont au nombre de deux[INPN 1].

    Nom NumĂ©ro Type ArrĂȘtĂ© Superficie Description
    VallĂ©e de la Loire de Tavers Ă  Belleville-sur-Loire FR2400528SIC (Directive "Habitats") 13 avril 2007[21] 7 120 ha Le site concerne 51 communes. La dĂ©limitation de ce site Natura 2000 est trĂšs proche de celle correspondant Ă  la Directive Oiseaux. L'intĂ©rĂȘt majeur du site repose sur les milieux ligĂ©riens liĂ©s Ă  la dynamique du fleuve, qui hĂ©bergent de nombreuses espĂšces citĂ©es en annexe II de la directive Habitats[INPN 2]. Il est situĂ© dans la frange sud de la commune[22].
    VallĂ©e de la Loire du Loiret FR2410017ZPS (Directive "Oiseaux") 4 mai 2007[23] 7 684 ha Le site concerne la vallĂ©e de la Loire dans le Loiret. Cette ZPS se poursuit en amont et en aval sur les dĂ©partements voisins. L'intĂ©rĂȘt majeur du site repose sur les milieux et les espĂšces ligĂ©riens liĂ©s Ă  la dynamique du fleuve. Ces milieux hĂ©bergent de nombreuses espĂšces citĂ©es en annexe I de la directive Oiseaux. Le site est caractĂ©risĂ© par la prĂ©sence de colonies nicheuses de sternes naine et pierregarin et de mouette mĂ©lanocĂ©phale. Des sites de pĂȘche du Balbuzard pĂȘcheur sont Ă©galement prĂ©sents. Le site est Ă©galement lieu de reproduction du bihoreau gris, de l'aigrette garzette, de la bondrĂ©e apivore, du milan noir, de l'ƓdicnĂšme criard, du martin-pĂȘcheur, du pic noir, de la pie-griĂšche Ă©corcheur[INPN 3]. Il est situĂ© dans la frange sud de la commune[22].

    Zones nationales d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Le territoire communal de Chaingy comprend deux ZNIEFF[INPN 4].

    DĂ©signation Type Superficie Description Carte
    « Ile de Mareau et environs » type 1[Note 2] 99,2 hectares La zone s'Ă©tend sur trois communes : Chaingy, Mareau-aux-PrĂ©s et Saint-Ay[DREAL 1]. Son altitude varie entre 88 et 88 m[INPN 5]. Elle est constituĂ©e du lit mineur de la Loire dans un des rares secteurs oĂč la vĂ©gĂ©tation aquatique est relativement abondante (dont Vallisneria spiralis). Un ilĂŽt de graviers hĂ©berge une colonie de sternes naines (Sterna albifrons). L'ensemble de ces Ăźles et Ăźlots est un bel exemple de dynamique fluviale car ils sont sans cesse remodelĂ©s par le fleuve. Le site est occupĂ© par le castor d'Europe (Castor fiber) et est un point d'accueil important pour l'avifaune migratrice et hivernante (laridĂ©s, limicoles, anatidĂ©s)[INPN 6].
    Carte des ZNIEFF de la commune et de ses abords.
    « La loire orlĂ©anaise » type 2[Note 3] 5 458 hectares La zone s'Ă©tend sur 37 communes, dont Dampierre-en-Burly, et se superpose pour la commune Ă  la zone Natura 2000 de nom similaire. Elle correspond Ă  la boucle septentrionale du fleuve[DREAL 2]. Son altitude varie entre 80 et 135 m[INPN 7]. Elle se caractĂ©rise par un lit mineur largement occupĂ© par des Ăźles et grĂšves sableuses. Ces milieux soumis au marnage annuel recĂšlent de multiples habitats plus ou moins temporaires. C'est pratiquement la seule section qui prĂ©sente des mĂ©andres. On observe, sur les basses terrasses, quelques formations sablo-calcaires[INPN 8].

    Histoire

    Chaingy comme les localitĂ©s terminĂ©es par "-y", possĂšde un passĂ© trĂšs ancien remontant sans doute Ă  l'Ă©poque celtique. Son nom indique qu'on y tenait marchĂ©. L'occitan cambiar signifie Ă©changer. Les "premiers habitants" Ă  l'Ă©poque prĂ©historique vivaient Ă  proximitĂ© de la Loire dans les grottes du coteau surplombant le fleuve, Ă  l'abri des vents du nord. Cet endroit fut dĂ©nommĂ© Fourneaux du fait de la fonte de minerais. Chaingy dont les maisons occupent la crĂȘte du coteau qui descend jusqu'Ă  la Loire est une commune semi-rurale, sans vestige historique particulier. Au temps oĂč la "Marine de Loire" Ă©tait florissante, les mariniers qui descendaient le fleuve faisaient escale Ă  Fourneaux. Au fil des ans, la population augmentant, celle-ci abandonna les bords de Loire pour s'installer Ă  l'intĂ©rieur des terres, Ă  l'abri des grandes crues.

    En 498, Clodomir, troisiĂšme fils de Clovis et second fils de Clotilde, fait don du territoire de Chaingy aux abbĂ©s de Micy, afin que ces abbĂ©s apprennent aux habitants Ă  exploiter la terre. Les abbĂ©s perçoivent les revenus et rendent la justice pendant plusieurs siĂšcles. L'une des principales cultures dĂ©veloppĂ©es sur le plateau fut la vigne dont le vin Ă©tait conservĂ© dans de caves creusĂ©es dans le sous-sol calcaire. Les maisons vigneronnes furent construites avec le calcaire ainsi extrait. C'est ainsi qu'au cours des siĂšcles le bourg de Chaingy s'est dĂ©veloppĂ© au Tertre , prĂšs de son emplacement actuel.

    À l'occasion de travaux entrepris par EDF (au Moulin de Pierre), la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique de Meung-sur-Loire a fait d'intĂ©ressantes dĂ©couvertes en mettant au jour huit fosses du deuxiĂšme Ăąge du fer, vestiges palĂ©olithique, nĂ©olithique et gallo-romain. À l'Ă©poque gallo-romaine, Chaingy se dĂ©nommait Cambiacum, ce qui signifie lieu d'Ă©change. C'Ă©tait un centre commercial assez important puisque les "Marchands" venant d'OrlĂ©ans ou de la Beauce y Ă©changeaient leurs produits.

    En 1300, Philippe IV le Bel y avait sa maison de chasse Ă  Goumat (lieu-dit en bordure de forĂȘt). L'histoire de Chaingy s'inscrit dans la trame traditionnelle de l'histoire d'OrlĂ©ans.

    Une quittance, dans les archives de la fabrique, atteste qu'en vertu d'une transaction en date de 1607, l'abbaye de Saint-Mesmin recevait 14 pintes de vin sur chaque arpent de vigne.

    En 1750, le célÚbre juriste orléanais Pothier y possédait une maison de campagne au lieu-dit l'Aire du Bois. Il y venait passer l'été et y écrivit quelques-uns de ses ouvrages.

    La crĂ©ation d'une zone industrielle d'une dizaine d'hectares dite Les Pierrelets a permis l'implantation d'entreprises employant une main d'Ɠuvre locale.

    Au XVe siĂšcle, Chaingy comptait 1 500 habitants. La cure donnait un revenu de 1 000 livres. L'abbĂ© de Saint-Mesmin avait Ă  Chaingy un revenu de 4 000 livres, Ă©tait seigneur haut justicier de la paroisse et nommait le curĂ©. S'il y avait deux petites censives dans la paroisse, celle de la Groue et celle du baron de Saint Laurent d'OrlĂ©ans. En 1869, on compte 1 702 habitants. 200 dans le bourg, le reste dans 60 hameaux Ă©loignĂ©s de 1 Ă  km du bourg. On compte environ 150 habitants au Cas Rouge et autant Ă  La Groue, et prĂšs de 100 habitants dans chacun des hameaux de la grande Barre, du Tertre, de Fourneaux, et du Grand Prenay.

    La proximité de la commune avec la ville d'Orléans a fait que sa population a presque doublé depuis 1962.

    Blasonnement

    Les armoiries de Chaingy se blasonnent ainsi :

    De gueules au sautoir cousu d'azur chargé de cinq étoiles d'or posées à plomb.

    Urbanisme

    Typologie

    Chaingy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 4] - [24] - [25] - [26]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Chaingy, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 2 communes[27] et 7 117 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[28] - [29].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'OrlĂ©ans, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 136 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[30] - [31].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (66 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (69,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (56,9 %), forĂȘts (18,1 %), zones urbanisĂ©es (12 %), prairies (7,6 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (2,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (1,5 %), eaux continentales[Note 6] (1,2 %)[32].

    L’évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    • Carte orthophotographique de la commune en 2016.
      Carte orthophotographique de la commune en 2016.

    Plan d'occupation des sols et Plan local d'urbanisme

    La commune prescrit l'élaboration d'un plan d'occupation des sols en juin 1985. Le document est approuvé en octobre 1988 et révisé en juillet 1991 et mai 1995[33].

    La loi relative Ă  la solidaritĂ© et au renouvellement urbains du 13 dĂ©cembre 2000, dite loi SRU, complĂ©tĂ©e par la loi urbanisme et habitat du 2 juillet 2003, marque une Ă©volution de la planification urbaine en crĂ©ant notamment les plans locaux d’urbanisme (PLU), vecteurs de projets de territoire, appelĂ©s Ă  se substituer progressivement aux plans d’occupation des sols. Le PLU contient deux Ă©lĂ©ments nouveaux par rapport au POS : le plan d'amĂ©nagement et de dĂ©veloppement durable (PADD), qui exprime le projet de la ville par des orientations gĂ©nĂ©rales en matiĂšre d'urbanisme, de dĂ©veloppement, d'Ă©quipement et de prĂ©servation de l'environnement et les orientations d'amĂ©nagement et de programmation (OAP) qui correspondent Ă  des zooms qui peuvent porter sur des quartiers ou secteurs Ă  mettre en valeur, rĂ©habiliter, restructurer ou amĂ©nager, ou sur l'amĂ©nagement d'un espace public, etc. Dans ce cadre le conseil municipal prescrit l'Ă©laboration d'un plan local d'urbanisme le 9 fĂ©vrier 2006. AprĂšs l'enquĂȘte publique qui s'est dĂ©roulĂ©e en dĂ©cembre 2009, le document est approuvĂ© le 3 juin 2010. Le 26 fĂ©vrier 2013, le conseil municipal dĂ©cide de rĂ©viser ce document[33] - [34].

    Le nouveau PLU a été approuvé par le Conseil Municipal le 22 septembre 2020[35].

    Documents d'orientations intercommunaux

    La commune est membre du Pays Loire Beauce, qui regroupe 38 communes. En 2012 les Pays ForĂȘt d'OrlĂ©ans Val de Loire, Loire Beauce et Pays Sologne Val-sud sont les seuls territoires du dĂ©partement du Loiret ne disposant pas de schĂ©ma de cohĂ©rence territoriale (SCoT). Compte tenu de l'intĂ©rĂȘt de cet outil pour l'avenir des territoires, les Ă©lus de ces pays dĂ©cident d'engager une dĂ©marche commune d'Ă©laboration de SCOT. Le comitĂ© syndical du Pays Loire Beauce se prononce majoritairement en janvier 2013 pour prendre la compĂ©tence « Elaboration, gestion et suivi du SchĂ©ma de CohĂ©rence Territoriale » dans ses statuts[36]. Le pĂ©rimĂštre de SCoT Ă  l'Ă©chelle des 38 communes composant le Pays Loire Beauce est arrĂȘtĂ© par le ComitĂ© Syndical le 26 juin 2013[37]. Les trois SCoT sont lancĂ©s officiellement et simultanĂ©ment Ă  La FertĂ©-Saint-Aubin le 21 juin 2014[38], l'assistance Ă  maĂźtrise d'ouvrage Ă©tant confiĂ©e Ă  un seul bureau d'Ă©tudes[39]. AprĂšs Ă©tude et concertation de 2014 Ă  2017, le document doit ĂȘtre approuvĂ© en 2018[40].

    Voies de communication et transports

    RĂ©seau routier principal de la commune de Chaingy (avec indication du trafic routier 2014).

    Infrastructures routiĂšres

    La commune est traversée par l'autoroute A10 et deux routes départementales : la RD 2152 et la RD 805.

    L'autoroute A10, dite « L'Aquitaine », relie Paris à Bordeaux (au niveau de sa rocade) via Orléans, Tours, Poitiers et Niort. Elle traverse la partie centrale de la commune. L'échangeur de Meung-sur-Loire constituant la sortie no 15, situé sur le territoire de la commune du Bardon, est l'accÚs le plus proche.

    La RD 2152 est une route Ă  grande circulation[41]. Il s'agit de l'ancienne RN 152 qui reliait Briare Ă  Angers par la rive droite de la Loire lors de sa crĂ©ation en 1824, et qui succĂ©dait Ă  la Route impĂ©riale 172[42]. En 2005, elle est dĂ©classĂ©e dans sa totalitĂ© et transfĂ©rĂ©e au dĂ©partement du Loiret par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 22 dĂ©cembre 2005[43], consĂ©cutivement au dĂ©cret du 5 dĂ©cembre 2005[44] qui dĂ©finit la nouvelle consistance du rĂ©seau routier national et qui prĂ©voit de maintenir dans le rĂ©seau routier national que la partie la plus mĂ©ridionale de la route, entre le dĂ©bouchĂ© de l'A66 et l'Espagne. Cet axe traverse la commune du nord-est au sud-ouest et supporte en 2014 un trafic de 8 161 vĂ©hicules/jour dans la traversĂ©e de l'agglomĂ©ration[45]. La RD 805 (2 177 vĂ©hicules/jour) relie le bourg Ă  la RD 2152[45].

    Complétant ces voies, la commune est sillonnée de plusieurs voies communales et chemins ruraux desservant ses fermes et hameaux et les bourgs environnants.

    Transports en commun routiers

    En 2020, Chaingy est desservie par deux lignes réguliÚres du réseau d'autocars interurbains Rémi 45 : la ligne 9 qui relie Beaugency - Meung-sur-Loire - Saint Ay - Chaingy - Orléans[46] et la ligne 9A, qui relie aussi Beaugency à Orléans via Chaingy[47]. Des correspondances SNCF sont assurées à la gare d'Orléans et TAO et Rémi 28 à la Gare routiÚre d'Orléans.

    Infrastructures ferroviaires

    La commune est traversée par la ligne de Paris-Austerlitz à Bordeaux-Saint-Jean, l'une des grandes lignes de chemin de fer radiales françaises partant de Paris en direction du Sud-Ouest du pays. La gare de Chaingy-Fourneaux-Plage est desservie par des trains TER Centre-Val de Loire omnibus circulant entre Blois et Orléans[48].

    Risques majeurs

    La commune de Chaingy est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : inondations (par dĂ©bordement de la Loire), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicitĂ© trĂšs faible). Elle est Ă©galement exposĂ©e Ă  un risque technologique : le risque de transport de matiĂšres dangereuses[49]. Entre 1989 et 2019, huit arrĂȘtĂ©s ministĂ©riels ayant portĂ© reconnaissance de catastrophe naturelle ont Ă©tĂ© pris pour le territoire de la commune : trois pour des inondations et coulĂ©es de boues et cinq pour des mouvements de terrains[50].

    Risques naturels

    Zone inondable de la commune de Chaingy.

    La zone inondable de la commune se trouve au sud de la N152, entre cette route et la Loire[35]. Elle fait partie du val de la Bouverie, un petit val agricole, quasiment pas urbanisĂ©, d’une longueur de 4 kilomĂštres, qui concerne Ă©galement la commune de La Chapelle-Saint-Mesmin. Le systĂšme de protection de ce val est un systĂšme d'endiguement ouvert Ă  l'aval, propriĂ©tĂ© de l'État et de diffĂ©rents propriĂ©taires privĂ©s. Il s'Ă©tend sur 3,6 km et protĂšge plus de 500 personnes. Le niveau de protection apparent de la levĂ©e domaniale correspond Ă  une crue d'occurrence 5 000 ans (environ 6,5 m Ă  l'Ă©chelle de crue d'OrlĂ©ans). La levĂ©e privĂ©e, situĂ©e Ă  l'aval du systĂšme, prĂ©sente un niveau de protection apparent dĂ©fini par le niveau de la crue d’occurrence 500 ans (environ 6,1 m Ă  l'Ă©chelle d'OrlĂ©ans)[51]. Le val commence Ă  ĂȘtre inondĂ© par remous Ă  partir de la crue de pĂ©riode 70 ans et l'est en grande partie pour la crue de protection du systĂšme. Au-delĂ  de la crue d’occurrence 70 ans (environ 5,0 m Ă  l'Ă©chelle d'OrlĂ©ans), le risque de rupture de la digue ne peut plus ĂȘtre considĂ©rĂ© comme nĂ©gligeable. Ce risque s'explique par la prĂ©sence de vĂ©gĂ©tation dans l'ouvrage et de fosses d'Ă©rosion de brĂšches historiques[52]. Le risque d'inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prĂ©vention du risque inondation (PPRI) du val d'Ardoux, approuvĂ© le [53].

    Le territoire de la commune peut Ă©galement ĂȘtre concernĂ© par un risque d'effondrement de cavitĂ©s souterraines non connues. Une cartographie dĂ©partementale de l'inventaire des cavitĂ©s souterraines et des dĂ©sordres de surface a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e. Il a Ă©tĂ© recensĂ© sur la commune plusieurs effondrements de cavitĂ©s[54].

    Par ailleurs, le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sÚcheresse. Le phénomÚne de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sÚcheresse[55]. Ce phénomÚne peut provoquer des dégùts trÚs importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particuliÚrement affecté le Loiret aprÚs la canicule de l'été 2003. Une grande partie du territoire de la commune est exposée à un aléa « fort » face à ce risque, selon l'échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et miniÚres (BRGM)[56].

    Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicitĂ© croissante[57]. La commune, Ă  l’instar de l’ensemble du dĂ©partement, est concernĂ©e par un risque trĂšs faible[50].

    Risques technologiques

    La commune est exposée au risque de transport de matiÚres dangereuses, en raison du passage sur son territoire d'un gazoduc et d'un oléoduc exploité par la société Trapil[58], d'une ligne de transport ferroviaire et d'itinéraires routiers structurants supportant un fort trafic (l'autoroute A10 et la route départementale D2152)[49] - [59].

    Politique et administration

    Bloc communal : Commune et intercommunalités

    La paroisse et bourg de Chaingy acquiert le statut de municipalitĂ© avec le dĂ©cret du de l'AssemblĂ©e Nationale[60] puis celui de « commune », au sens de l'administration territoriale actuelle, par le dĂ©cret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[61]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l'organisation municipale pour qu'un rĂ©gime juridique uniforme soit dĂ©fini pour toutes les communes de France, point de dĂ©part de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central[62].

    Aucun événement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou réception de territoire, n'a affecté la commune depuis sa création[63].

    La commune de Chaingy n'appartient Ă  aucune intercommunalitĂ© Ă  fiscalitĂ© propre jusqu'en 2011 et fait partie, Ă  cette date, des 68 communes du Loiret dites « isolĂ©es »[64]. La commune adhĂšre Ă  la communautĂ© de communes du Val des Mauves lors de la crĂ©ation de cette intercommunalitĂ© le [65]. La commune appartient Ă  d'autres Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale, de type syndicats ou autres regroupements intercommunaux. Le dĂ©coupage territorial de ces structures est en constante Ă©volution dans une perspective de rationalisation et d'efficience des services[Note 7]. Depuis le , la commune est membre de la communautĂ© de communes des Terres du Val de Loire[66].

    Circonscriptions de rattachement

    Sous l'Ancien RĂ©gime, Ă  la veille des États gĂ©nĂ©raux de 1789, la paroisse de Chaingy Ă©tait rattachĂ©e sur le plan ecclĂ©siastique au diocĂšse d'OrlĂ©ans, sur le plan judiciaire au bailliage d'OrlĂ©ans , sur le plan militaire au gouvernement d'OrlĂ©ans et sur le plan administratif Ă  la gĂ©nĂ©ralitĂ© d'OrlĂ©ans[67] - [68].

    La loi du divise le pays en 83 dĂ©partements dĂ©coupĂ©s chacun en six Ă  neuf districts eux-mĂȘmes dĂ©coupĂ©s en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les dĂ©partements, sont le siĂšge d’une administration d’État et constituent Ă  ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Chaingy est alors incluse dans le canton de La Chapelle-Saint-Mesmin, le district d'OrlĂ©ans et le dĂ©partement du Loiret[69].

    La recherche d’un Ă©quilibre entre la volontĂ© d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exĂ©cution et le contrĂŽle des lois d’une part, et la volontĂ© d’accorder une certaine autonomie aux collectivitĂ©s de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 Ă  1838[70]. Les dĂ©coupages territoriaux Ă©voluent ensuite au grĂ© des rĂ©formes visant Ă  dĂ©centraliser ou recentraliser l'action de l'État. La rĂ©gionalisation fonctionnelle des services de l'État (1945-1971) aboutit Ă  la crĂ©ation de rĂ©gions[71]. L'acte I de la dĂ©centralisation de 1982-1983 constitue une Ă©tape importante en donnant l'autonomie aux collectivitĂ©s territoriales, rĂ©gions, dĂ©partements et communes[72]. L'acte II intervient en 2003-2006[73], puis l'acte III en 2012-2015. ParallĂšlement l'État se rĂ©forme pĂ©riodiquement. La rĂ©forme de l’administration territoriale de l’État (RĂ©ATE), entrĂ©e en vigueur au et issue de la rĂ©vision gĂ©nĂ©rale des politiques publiques (RGPP) est une des grandes rĂ©formes visant Ă  simplifier l'organisation de l’État.

    Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Chaingy aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l'historique de l'évolution de leurs territoires.

    Circonscription Nom DerniĂšre pĂ©riode Type de circonscription Évolution du dĂ©coupage territorial
    DistrictOrléans1790-1795AdministrativeLa commune est rattachée au district d'Orléans de 1790 à 1795[63] - [69]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquiÚrent dÚs lors plus d'importance[74].
    CantonLa Chapelle-Saint-Mesmin1790-1801Administrative et Ă©lectoraleEn 1790, lors de la crĂ©ation des cantons, districts et dĂ©partements, la commune de Chaingy est rattachĂ©e au canton de La Chapelle Saint Mesmin[63]. Les cantons sont supprimĂ©s, en tant que dĂ©coupage administratif, par une loi du 26 juin 1793, et ne conservent qu'un rĂŽle Ă©lectoral[74]. Ils permettent l’élection des Ă©lecteurs du second degrĂ© chargĂ©s de dĂ©signer les dĂ©putĂ©s[75]. Ils acquiĂšrent une fonction administrative avec la disparition des districts en 1795.
    IngrĂ©1801-1806Sous le Consulat, un redĂ©coupage territorial visant Ă  rĂ©duire le nombre de justices de paix ramĂšne le nombre de cantons dans le Loiret de 59 Ă  31[76]. Chaingy est alors rattachĂ©e au canton d'IngrĂ© par arrĂȘtĂ© du 9 vendĂ©miaire an X (30 septembre 1801)[77] - [63].
    Orléans-Nord-Ouest1806-1973En 1806, la commune est rattachée au canton d'Orléans-Nord-Ouest, un canton nouveau formé entre autres des communes de l'ancien canton d'Ingré[78].
    Saint-Jean-de-la-Ruelle1973-1982En 1973, la commune est rattachée au canton de Saint-Jean-de-la-Ruelle[79].
    Meung-sur-Loire1982-2015En 1982, un nouveau dĂ©coupage cantonal des communes de la rĂ©gion orlĂ©anaise conduit la commune Ă  ĂȘtre rattachĂ©e au canton de Meung-sur-Loire[80].
    Meung-sur-Loire2015-ÉlectoraleLa loi du [81] et ses dĂ©crets d'application publiĂ©s en fĂ©vrier et [82] introduisent un nouveau dĂ©coupage territorial pour les Ă©lections dĂ©partementales. La commune est alors rattachĂ©e au canton de Meung-sur-Loire[82]. Depuis cette rĂ©forme, plus aucun service de l'État n'exerce sa compĂ©tence sur un territoire s'appuyant sur le nouveau dĂ©coupage cantonal. Le canton a disparu en tant que circonscription administrative de l'État ; il est dĂ©sormais uniquement une circonscription Ă©lectorale dĂ©diĂ©e Ă  l'Ă©lection d'un binĂŽme de conseillers dĂ©partementaux siĂ©geant au conseil dĂ©partemental[83].
    ArrondissementOrléans1801-AdministrativeChaingy est rattachée à l'arrondissement d'Orléans depuis sa création en 1801[63] - [77].
    Circonscription lĂ©gislative2e circonscription2010-ÉlectoraleLors du dĂ©coupage lĂ©gislatif de 1986, le nombre de circonscriptions lĂ©gislatives passe dans le Loiret de 4 Ă  5. Un nouveau redĂ©coupage intervient en 2010 avec la loi du . En attribuant un siĂšge de dĂ©putĂ© « par tranche » de 125 000 habitants, le nombre de circonscriptions par dĂ©partement varie dĂ©sormais de 1 Ă  21[84] - [85]. Dans le Loiret, le nombre de circonscriptions passe de cinq Ă  six[86]. La rĂ©forme n'affecte pas Chaingy qui reste rattachĂ©e Ă  la deuxiĂšme circonscription[87].

    Collectivités de rattachement

    La commune de Chaingy est rattachĂ©e au dĂ©partement du Loiret et Ă  la rĂ©gion Centre-Val de Loire[88], Ă  la fois circonscriptions administratives de l'État et collectivitĂ©s territoriales.

    Conseil municipal et maire

    Depuis les Ă©lections municipales de 2014, le conseil municipal de Chaingy, commune de plus de 1 000 habitants, est Ă©lu au scrutin proportionnel de liste Ă  deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[89], pour un mandat de six ans renouvelable[90]. Il est composĂ© de 27 membres[91]. L'exĂ©cutif communal est constituĂ© par le maire, Ă©lu par le conseil municipal parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-Ă -dire pour la durĂ©e du mandat du conseil.


    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1945 1959 Louis Simon Artiste peintre
    Officier de la LĂ©gion d'Honneur
    1959 1965 Charles Quetard Chevalier de la LĂ©gion d'Honneur
    1965 1989 Francine Fontaine née Lasserre SE Officier de l'Ordre National du Mérite
    mars 1989 mars 2001 Daniel Chartier SE Ingénieur agricole
    Docteur en sciences sociales du développement
    Directeur des MFR puis du CNP du BĂ©zy
    Les données manquantes sont à compléter.
    2008 En cours Jean-Pierre Durand[92] MĂ©decin
    Les données manquantes sont à compléter.

    Équipements et services

    Gestion des déchets

    Au 31 dĂ©cembre 2016, la commune est membre du syndicat mixte intercommunal pour le ramassage et le traitement des ordures mĂ©nagĂšres (SMIRTOM) de la rĂ©gion de Beaugency, crĂ©Ă© en 1971. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures mĂ©nagĂšres rĂ©siduelles[Note 8] en porte Ă  porte, des emballages mĂ©nagers recyclables en porte Ă  porte ou en points d’apport volontaire, du verre en points d’apport volontaire et des papiers en points d’apport volontaire [93]. Un rĂ©seau de sept dĂ©chĂšteries accueille les encombrants et autres dĂ©chets spĂ©cifiques (dĂ©chets verts, dĂ©chets dangereux, gravats, ferraille, cartons
). La dĂ©chĂšterie la plus proche de la commune est situĂ©e sur la commune de Saint-Ay[93]. L'Ă©limination et la valorisation Ă©nergĂ©tique des dĂ©chets est effectuĂ©e dans l'UIOM de Saran depuis 1996, exploitĂ©e par la sociĂ©tĂ© Orvade, filiale du groupe VĂ©olia, par dĂ©lĂ©gation de service de la communautĂ© urbaine OrlĂ©ans-MĂ©tropole[94].

    Depuis le , la « gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté de communes des Terres du Val de Loire, en application de la loi NOTRe du [95]. Dans ce nouveau cadre, le préfet du Loiret indique dans un courrier du aux présidents des communautés de communes concernées que le SMIRTOM de la région de Beaugency sera dissout le [96].

    Production et distribution d'eau

    Le service public d’eau potable est une compĂ©tence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 dĂ©cembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques[97]. Au , la production et la distribution de l'eau potable sur le territoire communal sont assurĂ©es par la commune elle-mĂȘme[98]. La loi NOTRe du 7 aoĂ»t 2015 prĂ©voit que le transfert des compĂ©tences « eau et assainissement » vers les communautĂ©s de communes sera obligatoire Ă  compter du . Le transfert d’une compĂ©tence entraĂźne de facto la mise Ă  disposition gratuite de plein droit des biens, Ă©quipements et services publics utilisĂ©s, Ă  la date du transfert, pour l'exercice de ces compĂ©tences et la substitution de la communautĂ© dans les droits et obligations des communes[99] - [100].

    Assainissement

    La compĂ©tence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usĂ©es, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrĂŽle des raccordements aux rĂ©seaux publics de collecte[101], est assurĂ©e par la commune elle-mĂȘme[102]. La commune est raccordĂ©e Ă  une station d'Ă©puration situĂ©e sur le territoire de la commune de La Chapelle-Saint-Mesmin, mise en service le et dont la capacitĂ© nominale de traitement est de 350 000 EH, soit 55 000 m3/jour. Cet Ă©quipement utilise un procĂ©dĂ© d'Ă©puration biologique dit « Ă  boues activĂ©es »[103] - [104].

    L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[105]. Depuis le , la CommunautĂ© de communes des Terres du Val de Loire assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), aprĂšs la fusion des communautĂ©s de communes du Val des Mauves, du Canton de Beaugency, du Val d'Ardoux et de la Beauce oratorienne situĂ©e dans le Loir-et-Cher qui l'assuraient auparavant. Celui-ci a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[106].

    Prix de l'eau

    Le « prix de l’eau » doit permettre de financer l’ensemble des investissements (mise en place de nouveaux ouvrages, mise aux normes du patrimoine existant, renouvellement du patrimoine...) mais aussi les frais de fonctionnement du service (frais de personnel du service, Ă©lectricitĂ©, produits de traitement, renouvellement du matĂ©riel, analyses, Ă©limination des dĂ©chets...)[107]. L'observatoire national des services d'eau et d'assainissement publie la description actualisĂ©e des services publics d'eau potable et d'assainissement, qu’il s’agisse de leur organisation, de leur tarif ou de leur performance[108]. Le prix au m3 est calculĂ© pour une consommation annuelle de 120 m3 (rĂ©fĂ©rence INSEE)[109].

    DomaineCommune201020112012201320142015
    Eau potableChaingy1,33[110]1,37[111]1,37[112]1,39[113]1,39[114]1,38[115]
    Loiret1,76[116]1,7[117]1,66[118]1,69[119]
    France1,93[116]1,96[117]2[118]2,03[119]
    AssainissementChaingy1,19[110]1,23[111]1,23[112]1,27[113]1,27[114]1,28[115]
    Loiret2,07[116]2,19[117]2,25[118]2,38[119]
    France1,73[116]1,82[117]1,85[118]1,89[119]

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[120]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[121].

    En 2020, la commune comptait 3 987 habitants[Note 9], en augmentation de 10,78 % par rapport Ă  2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 9561 9142 0281 6781 7051 7041 7701 7981 757
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6781 6661 7021 6861 6451 5951 5661 5121 392
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3181 2581 1749651 0269731 0021 0031 284
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 4661 5741 8962 5622 6412 8593 2273 3163 531
    2015 2020 - - - - - - -
    3 6173 987-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[122] puis Insee Ă  partir de 2006[123].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Patrimoine

    L'Ă©glise Saint-Symphorien.
    • L'Ă©glise appartient Ă  l'architecture romane primitive. Le 22 septembre 1793, l'Ă©glise fut dĂ©pouillĂ©e de ses cloches, de ses vases sacrĂ©s, de deux calices et d'un ostensoir. Les croix furent abattues. En 1840, elle possĂ©dait encore ses fenĂȘtres plein-cintre, Ă©troites, semblables Ă  celles de Saint-Étienne de Beaugency. L'Ă©glise tombait en ruine aprĂšs avoir souffert de la RĂ©volution. Elle est sous le vocable de saint Symphorien et de saint Jean-Baptiste. Elle a 33 m de longueur sur 10 m de largeur et peut contenir 500 personnes. Le cimetiĂšre, le presbytĂšre, les Ă©coles sont auprĂšs de l'Ă©glise. Le presbytĂšre appartient Ă  la commune. L'Ă©cole des garçons est dirigĂ©e par un instituteur ; l'Ă©cole des filles par 4 religieuses de la Providence, fondĂ©es en 1846 par mesdemoiselles GrangĂ©. L'Ă©glise possĂšde les reliques de saint Symphorien et de saint SĂ©bastien, donnĂ©es en 1580 par Monseigneur de la Saussaye, Ă©vĂȘque d'OrlĂ©ans. Les confrĂ©ries du Saint Sacrement, de la Sainte Vierge, de Saint Vincent; l'association de la Propagation de la foi, les fĂȘtes des corps d'Ă©tat sont Ă©tablies dans cette paroisse. Il y a un bureau de bienfaisance. Les religieuses des Ă©coles vont secourir les malades Ă  domicile. Mesdemoiselles GrangĂ© ajoutent aux Ă©coles une salle d'asile. Les habitants de Chaingy ont formĂ© le projet de construire une nouvelle Ă©glise (patron) en 1895. La guerre finie, le conseil de fabrique et le conseil municipal Ă©tablirent le plan actuel du bourg en dĂ©truisant l’église d’architecture romane et en faisant construire la mairie, l’église (consacrĂ©e le 30 juin 1897) de style ogival et le presbytĂšre (actuelle Poste) que nous voyons actuellement.
    • La gare de Chaingy-Fourneaux-Plage
    • Le site de Fourneaux-plage : reconnu le par arrĂȘtĂ© du ministre de la Jeunesse, des Arts et des Lettres, le site de Fourneaux-plage a acquis depuis cette date une renommĂ©e rĂ©gionale.
    • La commune est situĂ©e dans la zone de protection spĂ©ciale vallĂ©e de la Loire du Loiret du rĂ©seau Natura 2000[124] et dans la zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique de type 2 secteur embouchure du Loiret[125].
    • La rĂ©serve naturelle nationale de Saint-Mesmin.

    Sites et paysages remarquables

    Le , le Val de Loire, dans son cours moyen de Sully-sur-Loire (Loiret) Ă  Chalonnes-sur-Loire (Maine-et-Loire), est inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l'organisation des Nations unies pour l'Ă©ducation, la science et la culture (UNESCO) comme « paysage culturel ». Cette inscription reconnaĂźt au site une « valeur universelle exceptionnelle » fondĂ©e sur la densitĂ© de son patrimoine monumental, architectural et urbain, l'intĂ©rĂȘt du paysage fluvial et la qualitĂ© exceptionnelle d’expressions paysagĂšres hĂ©ritĂ©es de la Renaissance et du SiĂšcle des LumiĂšres. Toute altĂ©ration de la V.U.E. est considĂ©rĂ©e comme une perte pour la mĂ©moire de l’HumanitĂ©[126]. Le prĂ©fet de la rĂ©gion Centre, prĂ©fet coordonnateur, approuve le plan de gestion pour le Val de Loire patrimoine mondial par arrĂȘtĂ© en date du 15 novembre 2012[DREAL 3]. Trente-cinq communes du Loiret sont concernĂ©es[DREAL 4], dont Chaingy qui a une frange de son territoire inscrite et le reste en zone tampon[DREAL 5].

    Personnalités liées à la commune

    • Jacques QuĂ©tard de La Porte (1746-1822), gĂ©nĂ©ral des armĂ©es de la RĂ©publique et de l'Empire et maire de la commune nommĂ© par dĂ©cret du 2 juin 1812, y est dĂ©cĂ©dĂ©.
    • LĂ©on PellĂ© (1881-1963), agriculteur et homme politique français sous la TroisiĂšme RĂ©publique, est nĂ© dans la commune.
    • Yann Moix, Ă©crivain et rĂ©alisateur français nĂ© en 1968, a vĂ©cu Ă  Chaingy. Il a fait de la commune le lieu principal de son roman Podium.
    • Alexandre Moix, Ă©crivain, journaliste et rĂ©alisateur français nĂ© en 1972, a vĂ©cu Ă  Chaingy.

    Jumelages

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[9] - [10]
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e caractĂ©risĂ©e par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. La commune peut faire partie de diverses autres intercommunalitĂ©s qui ne sont pas reprĂ©sentĂ©es : des syndicats (syndicats intercommunaux Ă  vocation unique(SIVU), (syndicats intercommunaux Ă  vocation multiple(SIVOM), syndicats mixtes) ou d’autres regroupements intercommunaux (programme local de l'habitat (PLH), contrat local de santĂ© (CLS), centre intercommunal d'action sociale (CIAS).
    8. Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus aprÚs extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
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    Voir aussi

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    • Camille Bloch, Cahiers de dolĂ©ances du bailliage d'OrlĂ©ans pour les États gĂ©nĂ©raux de 1789 - tome 1, OrlĂ©ans, MinistĂšre de l'Instruction publique, (lire en ligne)
    • Camille Bloch, Cahiers de dolĂ©ances du bailliage d'OrlĂ©ans pour les États gĂ©nĂ©raux de 1789 - tome 2, OrlĂ©ans, MinistĂšre de l'Instruction publique, (lire en ligne)
    • Collectif, Loiret : un dĂ©partement Ă  l'Ă©lĂ©gance naturelle, Paris, Christine Bonneton, , 319 p. (ISBN 978-2-86253-234-9)
    • AbbĂ© Jean-Baptiste Charles Patron, DĂ©partement du Loiret : Dictionnaire des communes, Paris, ComĂ©dit, 1991, rĂ©Ă©dition de 1870, 511 p. (ISBN 978-2-909112-01-5 et 2-909112-01-2)
    • Claude Motte, Isabelle SĂ©guy & Christine ThĂ©rĂ©, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d’hier, communes d’aujourd’hui : Les communes de la France mĂ©tropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut National d’Études DĂ©mographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne)

    Rapports

    • Plan de prĂ©vention des risques d'inondations dans le Val d'Ardoux : Rapport de prĂ©sentation, (lire en ligne) - RĂšglement - Carte du zonage rĂ©glementaire de Chaingy.
    • Rapport 2015 sur le prix et la qualitĂ© du service public d'assainissement (lire en ligne)
    • Les services publics d'eau et d'assainissement (lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

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