Armorial des barons militaires de l'Empire (C-E)
Cet article présente et décrit les armoiries des barons militaires sous le Premier Empire de C à E.
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Figure | Nom du baron et blasonnement |
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Marc Cabanes de Puymisson ( à Montpellier †), colonel du 17e léger (6 nivôse an XIV), général de brigade (), Baron Cabanes de Puymisson et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Bayonne)), Légionnaire (4 germinal an XII), puis Officier de la Légion d'honneur (),
D'azur ; à la licorne furieuse, rampant, et contournée d'argent; quartier des barons militaires brochant sur le tout.[1] - [2] |
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François Cabeau ( - Flaçey (Jura) ✝ - Sens (Yonne)), colonel d'artillerie (), baron Cabau et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Gand)), Légionnaire (25 prairial an XII), puis, Officier de la Légion d'honneur (),
Écartelé, au premier d'azur au coq contourné, la tête à dextre d'argent, crêté et barbé de gueules, becqué et membré d'or ; au deuxième des barons tirés de l'armée ; au troisième de gueules à la bombe d'or d'or enflammée d'argent ; au quatrième d'azur au lévrier arrêté d'or.[1] |
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Jean Baptiste Cacault ( - Surgères ✝ - Torgau), général de brigade (), baron Cacault et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Compiègne)), officier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII),
Coupé au premier parti à dextre d'argent à la bande d'azur chargée de trois étoiles du champ, à senestre des barons tirés de l'armée, le deuxième d'azur au léopard d'argent surmonté d'une croix enhendée d'or.[3] - [4] - [5] - [1] |
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Nicolas Cadrès (né le - Saint-Denis (Gironde)), capitaine au 24e de ligne, Baron Cadrès et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Fontainebleau),
Écartelé au premier et quatrième d'argent au lion rampant d'azur, tenant de la dextre une épée du même ; au deuxième des barons tirés de l'armée ; au troisième de gueules au chevron d'argent. Livrées : les couleurs de l'écu[1]. |
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François René Cailloux, dit Pouget (né à Craon (Lorraine) le ), colonel du 26e régiment d'infanterie légère (12 pluviôse an XIII), général de brigade (), baron Cailloux Pouget et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Bordeaux)), Légionnaire (4 germinal an XII), puis Commandant (3 nivôse an XIV : saute le grade d'officier), puis grand officier de la Légion d'honneur (), chevalier de Saint-Louis (),
D'azur; au chevron d'or, accompagné de trois grenades aussi d'or enflammées de gueules, quartier des barons militaires brochant sur le tout.[1] |
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Jean-Chrysostôme Calès (né le à Caraman (Languedoc)), colonel du 96e régiment de ligne (), baron Calès et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Rambouillet)), Légionnaire le 25 prairial an XII, puis Officier de la Légion d'honneur (),
D'azur, à la cuirasse à l'antique d'or adextrée d'une S et sénestrée d'un C d'argent et surmontée d'un casque aussi d'or posé au deuxième point en chef ; franc quartier des barons tirés de l'armée.[1] |
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Jean-Pierre-Hugues Cambacérès ( - Montpellier ✝ - Paris), Général de brigade (), 1er baron de Cambacérès et de l'Empire (), Légionnaire (15 pluviôse an XII), puis, Officier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), Chevalier de Saint-Louis (),
D'or, dextrochère au naturel paré de gueules, rebrassé d'hermines mouvant de sénestre, tenant les tables de la loi de sable, accompagné de trois lozanges de même, cantonné à sénestre en chef du quartier des barons sortis de l'armée et à dextre d'un chevron de gueules accompagné de trois rosettes de même.[1] - [2] Parti : au I d'or, au dextrochère de carnation, paré de gueules, retroussé d'hermine, tenant les tables de la loi de sable, le tout accompagné de trois losanges de sable ; au II coupé du franc-quartier des Barons militaires de l'Empire et d'or, au chevron de gueules, accompagné de trois roses du même (de Cambacérès).[6] |
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Pierre Jacques Étienne Cambronne ( - Saint-Sébastien-sur-Loire ✝ - Nantes), général de brigade, baron Cambronne et de l'Empire (décret du , lettres patentes du ] (Saint-Cloud)), Comte de l'Empire (1815), Vicomte Cambronne (1822), Légionnaire (1804), Officier (1807), Commandant (1813), puis Grand officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (1819), Pair de France ( (Cent-Jours)),
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Toussaint Campi ( - Ajaccio ✝ - Lyon), colonel du 26e léger (), colonel au 65e de ligne (), Général de brigade (), lieutenant général (), Baron de l'Empire (), Officier de la Légion d'honneur[8]
Coupé : au 1, parti de sinople, à une gerbe d'or et du quartier des Barons militaires de l'Empire ; au 2, d'argent, à une sirène de carnation, tenant de sa main dextre un miroir ovale d'azur encadré d'or, et nageant sur une mer de sinople. Devise : CAMPI TUI REPLEBUNTUR UBERTATE[3] - [9] - [4] - [10]. |
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Christophe François Camus de Richemont ( - Montmarault (province d'Auvergne) ✝ - à la bataille de Leipzig), chef d'escadron (), colonel (), Général de brigade (), Baron de Richemont et de l'Empire (lettres patentes du [11]), officier de la Légion d'honneur (),
Écartelé au premier d'azur au chevron d'or, accompagné de trois coquilles d'argent, surmonté d'un comble d'or à trois bandes de gueules ; au deuxième des barons tirés de l'armée ; au troisième d'or à la fasce de gueules, accompagnée de trois hures de sanglier de sable, allumées et lampassées de gueules, défendues d'argent ; au quatrième échiqueté d'argent et d'azur.[3] - [4] - [1] - [12] |
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Jules de Canouville (, Paris – , Borodino), chef d'escadron, aide de camp de Berthier (), baron de l'Empire (lettres patentes du ).
De gueules à trois molettes d'éperon d'or ; au franc-quartier des barons tirés de l'armée[1]. |
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Antoine de Canouville (, Paris – , Paris), baron de l'Empire (lettres patentes du ), légionnaire (), officier () puis commandeur de la Légion d'honneur ().
De gueules à trois molettes d'éperon d'or, deux et une ; franc-quartier des barons tirés de l'armée, à la filière d'argent, brochant au neuvième de l'écu[1]. |
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Charles-Joseph Carmejane ( - Ménerbes (Comtat Venaissin) ✝ - Avignon), colonel du 5e régiment d'artillerie à pied (), Baron Carmejane et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Saint-Cloud), titre de baron confirmé le ), Légionnaire (25 prairial an XII), puis, Officier de l'ordre royal de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre de la Couronne de fer (), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (),
Écartelé : au premier d'or au chevron de gueules accompagné de trois larmes du même au comble d'azur, chargé de trois étoiles d'argent en fasce ; au deuxième de gueules, à l'épée haute d'argent posée en pal, qui est des Barons-Militaires ; au troisième de gueules, au lion d'argent tenant une grenade de sable allumée d'argent, qui est de l'artillerie ; au quatrième d'or, à la bande d'azur chargée de trois étoiles, d'argent, qui est d'Antoine de Pierredon.[1] - [3] - [13] - [14] - [15] |
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Pierre Louis Auguste Caron ( - Brunehamel (Picardie) ✝ - Paris), Colonel, chef de l'état-major d'artillerie du 6e corps de la Grande Armée, Chevalier de l'Empire (lettres patentes du ), puis Baron de l'Empire (lettres patentes du ), Légionnaire (25 prairial an XII), puis, Officier (), puis, Commandeur de l'ordre royal de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (),
D'azur, au chevron de gueules accompagné en pointe d'un cheval courant d'or et en chef d'une tête de Maure du même ; au franc quartier des barons tirés de l'armée.[16] OU D'azur au chevron cousu de gueules accompagné en chef de deux têtes de Maures, d'or, et en pointe d'un cheval libre, galopant, du même ; Franc-quartier des barons tirés de l'armée, brochant au 9e de l'écu.[1] |
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Claude Carra de Saint-Cyr ( - Lyon ✝ - Vailly-sur-Aisne), général de division (9 fructidor an IX), baron Carra Saint Cyr et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Nantes)), comte (1814 : première Restauration), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis, commandeur de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), grand officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (1814),
D'azur, au chevron d'argent, accompagné de trois losanges du même, 2 en chef, et 1, le tout soutenu d'un croissant du second ; au franc quartier des barons militaires brochant.[3] - [4] - [1] |
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Jean-Auguste Carrié de Boissy ( - Entraygues-sur-Truyère (Comtat Venaissin) ✝ - Saint-Martin-de-Bavel (Ain)), général de brigade (), baron Carrié de Boissy et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Compiègne)), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis, Officier (25 prairial an XII), puis, Commandant de la Légion d'honneur (4 nivôse an XIV), Chevalier de Saint-Louis (1814),
Écartelé au premier d'or au croissant d'azur, surmonté de deux étoiles du même ; au deuxième des barons tirés de l'armée ; au troisième de gueules au casque en abyme d'argent ; accompagné de deux branches de laurier du même ; au quatrième d'or au lion léopardé de sable[1] - [4]. |
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Louis Chrétien Carrière ( - Malplacey, près de Brouchy (Somme) ✝ - Metz), général de brigade (), général de division (), baron Carrière de Beaumont et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Paris)), Officier (25 prairial an XII), puis, Commandant de la Légion d'honneur (),
Coupé ; le premier parti de sinople et de gueules ; le sinople à la pyramide d'argent alaisée ; le gueules au signe des barons militaires ; le second d'argent au sphinx de carnation couché sur une tablette de granit au naturel.[1] - [3] - [5] - [4] |
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Henri de Carrion-Nizas ( - PĂ©zenas) âśť - Montpellier), adjudant-commandant, Baron Carrion de Nisas et de l'Empire (lettres patentes du ), LĂ©gionnaire (4 frimaire an XII, chancelier de la 9e cohorte),
Parti d'un trait coupé de deux ; au 1er d'azur à la croix d'or; au 2e des barons de l'armée ; au 3e d'azur à trois tours 2 et 1 d'argent, ouvertes, ajourées et maçonnées de sable ; au 4e d'azur à la bande d'or senestrée d'un lion du même ; au 5e d'azur à la comète d'or ; au 6e d'azur à la tour d'argent ouverte, ajourée et maçonnée de sable ; au comble de gueules chargé de trois casques au profil d'argent; sur le tout d'azur à la tour d'argent, donjonnée de trois tourelles du même, ouvertes, ajourées et maçonnées de sable.[2] |
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Louis Victorin Cassagne ( - Alan ✝ - Toulouse), Général de brigade (), Général de division (), baron Cassagne et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Quartier général impérial de Schönbrunn)), Légionnaire (19 frimaire an XII ()), puis, Officier (25 prairial an XII ()), Commandant de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre de la couronne de fer (), Commandeur de l'ordre de la Réunion (), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (),
Coupé ; le premier parti, à dextre de sinople à la pyramide d'argent, à sénestre de gueules au signe des barons tirés de l'armée ; le deuxième d'or au chêne terrassé de sinople, surmonté d'un chevron de sable.[1] - [3] Armes parlantes (La pyramide rappelle la campagne d'Égypte, |
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Pierre Cassagne ( - Toulouse ✝ ), général de brigade (1er floréal an VIII, confirmé dans ce grade par arrêté du premier Consul, du 4 brumaire an IX), baron Cassagne et de l'Empire (décret du , lettres patentes du ), Légionnaire (19 frimaire an XII ()), puis, Officier (25 prairial an XII ()), puis, Commandant de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (1814),
Coupé : au I, parti d'azur à une forteresse d'argent et du quartier des Barons militaires de l'Empire ; au 2, d'or au lion naissant de sable tenant une épée de gueules, issant d'une onde de sinople.[17] |
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Noël-Georges Castellan ( - Smyrne (aujourd'hui İzmir, en Turquie) ✝ - Paris), colonel du 60e régiment de ligne (), baron Castellan et de l'Empire (lettres patentes du ), Légionnaire (25 prairial an XII), puis, Officier de la Légion d'honneur (),
Coupé, au I d'or à un casque de sable grillé et taré de front, panaché de gueules; au II d'azur à deux tours carrées réunies par un mur crénelé, le tout d'argent, ouvert et maçonné de sable et soutenu d'argent; au franc-quartier des barons militaires.[13] |
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Bertrand Pierre Castex ( - Pavie (Gers) ✝ - Strasbourg), colonel du 20e chasseurs à cheval (), général de brigade (), général de division (), baron Castex et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Palais de Saint-Cloud)), Vicomte héréditaire (ordonnance du roi et lettres patentes du ), Légionnaire (4 germinal an XII), puis, Officier (), puis, Commandant (), puis, Grand officier de la Légion d'honneur (), Chevalier (ordonnance du ), puis, Commandeur (ordonnance de ), puis, Grand-croix de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (ordonnance du ), Grand-croix de l'ordre de Saint-Ferdinand d'Espagne (),
Parti de sable et de gueules, coupé d'azur ; le sable à trois molettes d'éperons d'or, le gueules au signe des barons militaires ; l'azur au cheval gai et galoppant d'argent.[1] - [3] - [18] - [17] |
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Auguste Jean-Gabriel de Caulaincourt ( - Caulaincourt (Aisne) ✝ - à la bataille de la Moskowa), général-major ( (Royaume de Hollande), confirmé général de brigade le ), général de division (), baron de Caulaincourt et de l'Empire (décret du , lettres patentes de (Bayonne)), Comte de l'Empire (1810), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis, Officier (25 prairial an XII), puis, Commandant de la Légion d'honneur (décret impérial du 4 nivôse an XIV ()), Grand-croix de l'ordre de la Réunion (), Grand-croix de l'ordre royal du Mérite (Royaume de Hollande),
De sable coupé d'or, le coupé d'or chargé d'un sauvage de gueules appuyé sur une massue de sable et portant sur le poing dextre un coq de sable, franc quartier de baron sorti de l'armée.[1] - [4] - [6] |
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Jean-Baptiste Alexandre Cavrois ( - Coigneux ✝ - Versailles), général de brigade (), Chevalier de l'Empire (), Baron de l'Empire (), Officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de l’ordre royal et militaire de Saint-Louis (),
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Louis-Joseph Elisabeth Cazals (1774 ✝ 1813), général de brigade au corps impérial du génie, baron Cazals et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Madrid)), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis, Officier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII),
Coupé : le premier parti d'or au casque et à la cuirasse de sable orlés d'argent brochant sur quatre drapeaux aussi de sable, croisés en sautoir, surmontés d'un croissant d'azur montant entre deux étoiles de gueules et de gueules au signe des barons militaires, le deuxième d'argent au flammand naturel, passant, terrassé de sinople, adextré d'un papirus et sénestré d'un lotus aussi au naturel.[1] - [4] |
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Figure | Nom du baron et blasonnement |
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Guillaume-Michel Cerise ( - Allein (vallée d'Aoste) ✝ - Paris), adjudant-commandant (1er vendémiaire an X), 1er Baron Cerise et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Saint-Cloud)), Légionnaire (15 pluviôse an XII), puis, Officier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII),
Écartelé, au premier d'argent, au lion naissant de sable, lampassé de gueules ; au deuxième des barons tirés de l'armée ; au troisième d'azur, à trois étoiles d'argent posées 2 et 1 ; au quatrième d'argent au cerisier arraché de sinople fruité de gueules.[1] - [3] - [17] |
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Louis François Jean Chabot ( - Niort ✝ - Sansais), général de brigade (), général de division (), Baron Chabot et de l'Empire (lettres patentes du , confirmé dans le titre de baron héréditaire par lettres patentes du ), Légionnaire (), puis,
Commandant (25 prairial an XII), puis, Grand officier de la Légion d'honneur (), Écartelé : en 1 et 4, d'or à trois chabots de gueules (qui est de Chabot) ; en 2, de gueules à l'épée d'argent en pal (qui est des barons tirés de l'armée) ; en 3, d'azur, à la forteresse donjonnée de trois tourelles crénelées d'argent, ouvertes, ajourées et maçonnées de sable, soutenue d'un rocher d'argent, cantonnée à dextre et en chef d'une botte éperonnée d'argent, à senestre d'un casque taré de profil d'or, et en pointe, à dextre d'une galère antique d'or, à senestre un cygne nageant d'argent.[3] |
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Jacques-Antoine de Chambarlhac de Laubespin ( - Les Estables (Auvergne) ✝ - Paris), général de brigade (sur le champ de bataille du pont d'Arcole), général de division (an VIII), Baron de l'Aubespin et de l'Empire (lettres patentes du ), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis, Commandant de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), chevalier de Saint-Louis (),
Écartelé : au 1 d'azur au chevron d'or accompagné de trois colombes du même, becquées et membrées de gueule, deux en chef, une en pointe (de Chambarlhac) ; au 2 des barons tirés de l'armée ; au 3 d'or à l'aubépine de sinople, terrassée du même ; au 4 de sinople chargé d'un camp composé de tentes d'argent, la plus grande posée en abime.[2] Armes parlantes (Laubespin⇔aubépine). |
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Dominique-André de Chambarlhac ( - Arrage-sur-Seille (Lorraine) ✝ ), général de brigade (12 pluviôse an XIII), lieutenant-général honoraire (), Baron de Chambarlhiac et de l'Empire (lettres patentes du ), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis, Officier (25 prairial an XII), puis, Commandant de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (),
D'azur au chevron d'or, accompagné de trois colombes d'argent ; franc-quartier des barons tirés de l'armée.[2] |
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Vital Joachim Chamorin ( - Bonnelles (Seine-et-Oise) ✝ - Campo Maior (Portugal)), chef d'escadron aux grenadiers à cheval de la Garde impériale (), colonel du 26e régiment de dragons (), général de brigade (), baron Chamorin et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (1809)), Légionnaire (25 prairial an XII), puis, Officier (), puis, Commandant de la Légion d'honneur (),
Coupé : au I, parti d'or, à un dragon de sinople, tenant une épée d'azur et du quartier des Barons militaires de l'Empire ; au 2, d'azur, à un palmier terrassé d'or, fruité d'argent, accosté de deux étoiles, aussi d'argent.[1] - [3] - [17] Coupé : 1, parti : 1, d'argent, au lion d'azur; 2, du quartier des barons militaires ; 2, d'azur, à l'arbre accosté de deux étoiles, le tout d'argent.[19] |
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Aaron-Claude-Théodore Chaponnel ( - Paris ✝ - Vienne (Autriche)), adjudant-commandant, chef de l'état-major du corps des grenadiers réunis, baron Chaponnel et de l'Empire (décret du , lettres patentes de (Camp impérial d'Aranda de Duero)), Légionnaire (25 prairial an XII), puis Officier de la Légion d'honneur (),
Parti d'azur et de gueules, coupé de sinople, l'azur à l'étoile d'argent ; le gueules au signe des barons militaires ; le sinople au croissant montant d'argent sur lequel broche un sabre de hussard, d'or, la pointe haute.[1] |
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Joseph Claude Marie Charbonnel ( - Dijon †- Paris), général de division, baron Charbonnel et de l'Empire (décret du , lettres patentes de (Palais de Saint-Cloud)), Comte de Salès et de l'Empire (lettres patentes du ), Grand officier (ordonnance du ), puis, Grand-croix de la Légion d'honneur (ordonnance du ), Chevalier de l’ordre royal et militaire de Saint-Louis (ordonnance du ), Pair de France (),
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Hugues Charlot ( - Voiron (Isère) †- Bordeaux), général de brigade (11 fructidor an XI), baron de l'Empire (), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis, Commandant de la Légion d'honneur (25 prairial an XII),
D'argent, au cheval galopant de sable; surmonté de deux étoiles d'azur en fasce, et adextré d'une bombe d'or, allumée de gueules; au franc quartier de baron militaire.[15] |
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Jean-Baptiste Charnotet ( - Autrey-lès-Gray †- Autrey-lès-Gray (Haute-Saône)), colonel du 27e régiment d'infanterie légère (1803), général de brigade (), baron Charnotet et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Quartier général Impérial de Schönbrunn)), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis, Officier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), Chevalier de Saint-Louis (1814),
D'azur au chevron d'argent accompagné en chef de deux étoiles d'argent et en pointe d'une tête de lion arrachée d'or : franc quartier des barons tirés de l'armée.[1] |
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Germain Charpentier ( - Fort Vauban (Strasbourg) ✝ ), colonel du 3e régiment de chasseurs le ), baron Charpentier et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Paris)), Légionnaire (25 prairial an XII), puis, Officier de la Légion d'honneur (),
D'azur à la hache et au sabre d'argent, montés d'or croisés en sautoir au comble de sinople chargé de deux étoiles d'argent, quartier des barons tirés de l'armée.[1] |
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Jean-Louis Charrière ( - Bourg-Saint-Andéol (Ardèche) ✝ - Viviers (Ardèche)), colonel du 57e régiment d'infanterie de ligne (), général de brigade (), baron Charrière et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Paris)), Commandant de la Légion d'honneur (), chevalier de l'ordre de la Couronne de Fer (), chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (),
Écartelé ; au premier de sable, au coq d'or, crêté et barbé de gueules ; au deuxième des barons tirés de l'armée ; au troisième d'azur à la lance et à l'épée d'or en sautoir, surmontées d'une étoile d'argent ; au quatrième de sinople, à la levrette d'argent, passant et colletée du même.[1] - [3] - [4] |
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Thomas Jean Chassereaux ( - Bain-de-Bretagne ✝ - Paris), Colonel du 40e régiment d'infanterie de ligne (), Général de brigade (), Baron de l’Empire (lettres patentes du ), Légionnaire (décret du Premier Consul du ), puis, Officier (décret impérial du ), puis, Commandant de la Légion d'honneur (décret impérial du ), Chevalier de Saint-Louis (ordonnance de Louis XVIII du ),
Écartelé : au I, d'azur, à un lévrier courant d'or, colleté du même ; au II du quartiers des Barons militaires de l'Empire ; au III, de gueules, à deux drapeaux français d'or, passés en sautoir, surmontés d'une étoile d'argent ; au IV, d'azur, à une forteresse d'argent, ouverte et ajourée de sable, flanquée de deux tours d'argent, celle à senestre en ruines.[3] - [18] |
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François Pierre Chauvel ( – Honfleur ✝ – Poitiers), colonel du 64e de bataille (sur le champ de bataille d'Austerlitz), général de brigade (), baron Chauvel et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Bayonne)), officier de la Légion d'honneur (1809), chevalier de Saint-Louis (),
D'azur, au chien courant d'argent, accolé et bouclé d'or, accompagné en chef à dextre d'un casque du même; quartier des barons militaires.[1] |
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Jean Chemineau ( – Grelet ✝ – Poitiers), Colonel du 76e régiment d'infanterie de ligne (), Général de brigade (), Général de division (), baron Chemineau et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Paris)), Légionnaire (décret du Premier Consul du 5 germinal an XII ()), puis, Officier (décret impérial du ), puis, Commandant de la Légion d'honneur (décret impérial du ), Chevalier de Saint-Louis (ordonnance du ),
Coupé, au premier parti de sable et de gueules; le sable au lévrier rampant d'or, le gueules au signe des barons militaires, le coupé d'azur, au palmier d'or, terrassé de même.[1] - [3] - [18] |
Dezydery Chłapowski ( - Turew ✝ - Turew), colonel du 1er régiment de chevau-légers lanciers polonais de la Garde impériale, général de division (polonais, 1831), Baron d'Empire (, diplôme du ), Chevalier de la Légion d'honneur et de l'ordre militaire de Virtuti Militari,
D'azur, à une bande d'argent, chargée de trois émeraudes de sable, au canton des Barons militaires de l'Empire brochant.[20] - [21] | |
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Józef Chłopicki ( - Kapustyn (pl) ✝ - Cracovie), général de brigade, baron de l'Empire (), Légionnaire (), puis Officier de la Légion d'honneur (),
Coupé : au I parti de sable au bouclier d'argent, chargé d'un écot de chêne, sommé d'une croix, le tout de sable, et surmonté d'un écot de chêne d'argent ; sommé d'une croix du même, soutenu d'un vol ouvert aussi d'argent et du quartier des barons militaires de l'Empire ; au 2 d'azur à l'éclair en bande d'or ; au canton des barons militaires brochant.[3] - [22] - [21] |
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Józef Chłusowicz ( ✝ 1824), Colonel du 2e régiment de la Vistule (), major du 3e régiment de chevau-légers lanciers de la Garde impériale (), Baron de l'Empire (), Officier de la Légion d'honneur (),
Écartelé : au I, d'azur à une fleur-de-lis perronnée de trois degrés d'argent, au II, du quartier des barons militaires de l'Empire ; au III, d'or à trois baïonettes d'or posées en barre ; au IV, parti de sable à un dextrochère tenant un sabre d'argent mouvant du flanc sénestre et mi-parti d'azur une tour d'argent.[21] OU Ecartelé ; au premier d'azur au lys d'argent, soutenu de trois dégrés du même ; au deuxième des barons tirés de l'armée ; au troisième d'azur à trois baïonnettes l'une sur l'autre, en barre, la pointe haute d'or ; au quatrième parti de sable et d'azur ; le sable à la serre d'aigle mouvante du flanc sénestre, tenant un sabre, le tout d'argent ; l'azur à la demi tour, donjonnée d'argent, ouverte et maçonnée de sable, mouvante du flanc dextre.[1]. |
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Louis Marie Joseph Gabriel César de Choiseul-Beaupré (Rueil, - ), colonel aide de camp du général Nansouty, baron de Choiseul-Beaupré et de l'Empire (décret du , lettres patentes signées à Fontainebleau le [1]), Légionnaire (), puis, Officier (), puis, Commandeur de la Légion d'honneur ()[23],
D'azur à la croix d'or cantonnée de vingt belettes du même, cinq dans chaque canton en sautoir : franc-quartier des barons tirés de l'armée brochant sur le tout[1]. |
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Louis Claude Chouard ( - Strasbourg ✝ - Nancy), Colonel du 2e cuirassiers (), général de brigade (), baron Chouard et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Aranda de Duero)), Légionnaire (25 prairial an XII), puis, Officier (), puis, Commandeur de l'ordre royal de la Légion d'honneur (), chevalier de Saint-Louis (),
Parti de sinople et de gueules, coupé d'azur ; le sinople au cheval gai galoppant d'or, surmonté de trois étoiles à cinq pointes d'argent ; le gueules au signe des barons militaires ; l'azur à la cuirasse d'argent frangée de gueules surmontée d'un casque aussi d'argent et traversée en barre et en bande de deux bannières d'or.[1] |
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Charles-Joseph Christiani ( - Strasbourg ✝ - Montargis), colonel (), général de brigade (), baron Christiani et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Paris)),
D'or, à trois chevrons superposés d'azur; franc quartier des barons tirés de l'armée.[1] - [6] |
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Nicolas-François Christophe ( - Nancy ✝ - Versailles), colonel du 25e régiment de cette arme (), général de brigade (), Légionnaire (4 germinal an XII), puis, Officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (),
Coupé au premier parti de sinople à la tête de cheval d'argent et de gueules au signe des barons tirés de l'armée, au deuxième d'argent au dextrochère au naturel rebrassé de sinople à cinq chevrons du champ sur la manche et armé d'un sabre recourbé de gueules le bras mouvant du flanc dextre.[1] |
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Philippe Christophe ( - Nancy ✝ - Versailles), Colonel au 5e régiment de cuirassiers, 1er Baron de Lamotte-Guéry et de l'Empire (lettres patentes du , confirmé dans ce titre, par lettres patentes de Louis XVIII, du ), Légionnaire (4 germinal an XII), puis, Officier (), puis, Commandant de l'ordre royal de la Légion d'honneur () Chevalier de Saint-Louis (),
Coupé, au I, parti d'or au lion contouné de sable et du quartier des Barons militaires de l'Empire ; au II d'azur à la redoute d'or mouvant du canton dextre de la pointe, sommée d'une batterie du même tirant de sable et de gueules sur un cuirassier à cheval aussi d'or venant de senestre et chargeant le sable à la main.[17] |
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Figure | Nom du baron et blasonnement |
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Bertrand Clauzel ( - Mirepoix (Ariège) ✝ - château de Secourrieu, Cintegabelle), général de division (), maréchal de France (), baron Clauzel et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Saint-Cloud)), Comte Clauzel et de l'Empire (décret de 1813, confirmé le , sans lettres patentes), Légionnaire (), Commandant (25 prairial an XII), puis, Grand officier (), puis, Grand-croix de la Légion d'honneur (), Grand-croix de l'ordre de la Réunion (), Chevalier de Saint-Louis (),
Écartelé ; au premier d'azur à trois étoiles une et deux d'argent ; au deuxième des barons tirés de l'armée ; au troisième d'azur à deux chevrons d'or l'un sur l'autre ; accompagnés de trois mains appaumées d'argent, deux en chef et une en pointe ; au quatrième d'or à trois crabes de gueules.[1] - [7] |
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Gabriel-Joseph Clément ( - Catillon-sur-Sambre ✝ - Barcelone), général de brigade (), Baron d'Aerzen et de l'Empire (décret impérial du , sans lettres patentes), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis, Commandant de la Légion d'honneur (24 prairial an XII : ),
Écartelé : au 1, d'azur, à un mont d'argent, surmonté d'une tête de cheval coupée d'or ; au 2 du quartier des barons militaires de l'Empire ; au 3, de gueules, à trois épées d'argent, garnies d'or, deux posées en sautoir et la troisième brochant en pal, acc. d'une étoile d'argent, brochant sur la lame de l'épée du milieu ; au 4, d'or, à deux palmiers de sinople, posés sur une terrasse du même. Sur le tout de sable à un cœur d'argent, enflammé de gueules.[3] - [24] - [25] - [26] |
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Jacques-Valère Clément ( - Châteaudun ✝ - Montargis), colonel du 22e régiment d'infanterie de ligne (2 fructidor an XIII), maréchal-de-camp (), baron Clément et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Bayonne), Officier (), puis Commandant de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), chevalier de Saint-Louis (),
Écartelé : au premier d'azur chargé en chef d'un soleil d'or, et en pointe de deux étoiles de même posées en fasce; au deuxième de barons militaires; au troisième de gueules chargé d'une cuirasse d'argent frangée et orlée d'or traversée en barre d'une épée d'argent; au quatrième d'azur au cheval âilé d'argent, galoppant et contourné.[1] |
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François Marie Clément de La Roncière ( - Amiens ✝ - Incarville), général de brigade () employé à la 2e division de cuirassiers de la Grande Armée, général de division (), baron Clément de La Roncière et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Bayonne)), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis Officier (25 prairial an XII), Commandant de la Légion d'honneur (4 nivôse an XIV), chevalier de Saint-Louis (),
Écartelé; au premier et quatrième d'azur au chevron d'or, accompagné en chef de deux étoiles d'argent, et en pointe d'une colombe d'argent portant au bec une branche d'olivier de sinople; au deuxième des barons militaires; au troisième de gueules, au casque de dragons d'or surmonté d'une crinière de sable.[1] |
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Guy-Pierre de Coëtnempren de Kersaint ( - Brest ✝ - Suresnes), capitaine de vaisseau (), préfet maritime d'Anvers (Belgique, ), Contre-amiral de la marine royale (), préfet de la Meurthe ( - 1816), comte de Kersaint (à la mort de son frère aîné : 1793), 1er baron de Kersaint et de l'Empire (), chevalier de l'ordre de Saint-Lazare (1778), Légionnaire (15 pluviôse an XII : ), puis Officier (25 prairial an XII), puis Commandeur de la Légion d'honneur (), commandeur de Saint-Louis (1820), ordre de Sainte-Anne de 2e classe,
D'argent, Ă trois tours de gueules[3] ; au canton des Barons militaires de l'Empire brochant.[4] |
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Auguste François-Marie de Colbert-Chabanais ( - Paris ✝ - Cacabelos), Général de brigade (), 1er baron de Colbert et de l'Empire (), membre de la Légion d'honneur (19 frimaire an XII), chevalier de l'ordre de la Couronne de fer,
D'or; Ă la couleuvre d'azur, franc-quartier des barons militaires.[1] - [18] - [5] |
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Édouard de Colbert-Chabanais (, Paris – , Paris), général de division (), colonel du corps royal des lanciers de France (1814-1815), baron de l'Empire (titre accordé par décret du et lettres patentes du , signées à Ebersdorf), légionnaire (), officier (), commandant (), grand-officier (), puis grand-croix de la Légion d'honneur (), commandeur de l'ordre militaire de Maximilien-Joseph de Bavière (1810).
D'or à la couleuvre d'azur en pal vivrée surmontée d'un lambel à trois lambeaux du même franc-quartier des barons tirés de l'armée[1] - [18] - [5]. |
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Jean Antoine François Combelle ( - Le Pouzat (Ardèche) ✝ - Dresde), colonel (94e de ligne le ), général de brigade (), général de division (), baron Combelle et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Saint-Cloud)), Légionnaire (1er vendémiaire an XII), Officier (25 prairial an XII), puis, Commandant de la Légion d'honneur (),
Tiercé en fasce de sinople à l'étoile d'or ; d'or au dextrochère tenant un sabre en fasce de sable, mouvant du flanc dextre, traversant une couronne de laurier de sinople ; et d'azur à la pyramide d'argent accompagnée de deux lions affrontés et contrerampant d'or, un à dextre, un à senestre ; franc quartier des barons tirés de l'armée brochant au 9e de l'écu.[4] - [1] |
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Nicolas François Conroux ( - Douai (Nord) †- Bayonne, Saint-Esprit), général de brigade (3 nivôse an XIV : ), général de division (), Baron de Pépinville de l'Empire (, lettres patentes du ), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis Officier (25 prairial an XII), puis Commandant de la Légion d'honneur (décret du ),
Écartelé : aux 1 et 4, de sinople, à trois étoiles d'argent ; au 2 du quartier des Barons militaires de l'Empire ; au 3, de sable, au léopard couché d'or, surmonté de trois grenades d'argent, allumées de gueules.[3] D'or à quatre cantons égaux : les premier et quatrième de sinople à trois étoiles d'argent ; le deuxième des barons militaires ; le troisième de sable au léopard couché d'or surmonté de trois grenades d'argent allumées de gueule.[24] - [25] |
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Jean-Baptiste Juvénal Corbineau ( - Marchiennes ✝ - Paris), Major du 10e régiment de hussards (1806), Colonel du 20e régiment de dragons (1807), général de brigade (1811), général de division (1813), Baron de l'Empire (lettres patentes du ), Comte de l'Empire (décret impérial du ), Légionnaire (1804), puis Commandant (1808), puis Grand officier (), puis Grand-croix de la Légion d'honneur (), chevalier de Saint-Louis (), Pair de France (),
Coupé; le premier parti d'azur au lion rampant d'argent armé d'une épée de même, et de gueules au signe des barons militaires, le deuxième d'or au trois bras de carnation étendus en forme de prestation de serment.[1] Armes parlantes (Les armoiries de Juvénal Corbineau font référence au surnom que lui et ses frères avait reçu de Napoléon Ier (« les Trois Horaces ») ainsi qu'au tableau de Jacques-Louis David, Le Serment des Horaces.). |
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Hercule Corbineau ( - Marchiennes ✝ - Châlons-sur-Marne), chef d'escadron (), Major-colonel des chasseurs à cheval de la Garde impériale (), chevalier Corbineau et de l'Empire (lettres patentes du ), baron Corbineau et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Paris)), Légionnaire (14 brumaire an XIII), puis, Officier de la Légion d'honneur (),
D'azur, à la fasce de gueules au signe des chevaliers, accompagnée en chef d'un dextrochère armé d'une massue le tout d'or et en pointe d'un serpent se mordant la queue en cercle d'argent, traversé en sautoir de deux épées hautes d'or ; au franc quartier des barons tirés de notre armée.[1] - [24] - [25] |
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Joseph Corda ( - Belrupt-en-Verdunois (Lorraine) ✝ - Saint-Nicolas d'Acy, actuelle commune de Courteuil), colonel (), directeur du corps impérial de l'artillerie à Metz (), général de brigade (), lieutenant-général (), baron Corda et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Bayonne)), Légionnaire (), puis, Officier (ordonnance royale du ), puis, Commandeur de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (ordonnance royale du ),
Parti le premier coupé d'argent à un fort de sable terrassé de même, battu par une mer d'azur et d'or à une épée en pal d'azur entourée d'une branche de laurier de sinople, le deuxième de gueules chargé en chef du quartier de barons sortis de l'armée et en pointe d'un mortier d'or sur son affût accompagné de bombes de même.[1] - [27] Écartelé : au 1, d'argent, à un fort de sable, terrassé du même, battu par une mer d'azur ; au 2 du quartier des Barons militaires de l'Empire ; au 3, d'or, à une épée d'azur, environnée d'une branche de laurier de sinople; au 4, de gueules, au mortier d'or sur son affût, acc. de bombes du même.[3] - [18] |
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André-Philippe Corsin ( - Piolenc ✝ - Piolenc), colonel du 4e léger (), général de brigade (), Lieutenant général (), Baron Corsin et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Fontainebleau)), vicomte (, avec dispense du droit de sceaux), Légionnaire (), puis, Officier (), Commandant (), puis, Grand officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (ordonnance royale du ), Chevalier de l'ordre de Saint-Ferdinand d'Espagne (4e classe, ),
Coupé le premier parti d'or à l'étoile d'azur, entouré d'un cor de chasse (grêlier) du même et de gueules au signe des barons tirés de l'armée ; le deuxième d'azur au trophée de six drapeaux d'argent, surmonté d'un casque en fasce du même.[1] - [3] - [13] Armes parlantes (Corsin⇔cor de chasse.). |
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Julien Marie Cosmao-Kerjulien ( - Châteaulin ✝ - Brest)), contre-amiral (), baron Cosmao Kerjulien et de l'Empire (), Commandant de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (), Grand d'Espagne de 1re classe (sous Joseph Bonaparte), pair de France ( : Cent-Jours)
Écartelé : au I d'azur à deux étoiles d'argent posées en barre ; au II, du quartier des Barons militaires de l'Empire ; au III, de gueules plein ; au 4, d'azur, à un vaisseau d'argent, soutenu d'une mer du même. A une croix d'or, brochant sur l'écartelé.[3] - [4] |
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Antoine-Alexandre de Cosson (, Lansac – , Paris), adjudant-commandant (16 brumaire an XII), général de brigade (), baron de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Nantes)), légionnaire (15 pluviôse an XII), officier (25 prairial an XII), puis commandant de la Légion d'honneur ().
D'or au lion rampant de gueules, accompagné de deux étoiles d'azur ; au quartier des barons tirés de l'armée[1]. |
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Pierre Coste (, Quissac – , Nîmes), major du 105e de ligne () puis colonel du 59e de ligne (), légionnaire (), baron de l'Empire (lettres patentes du ).
Écartelé : au premier, d'azur à trois chevrons alaisés, l'un sur l'autre d'or, soutenus de cinq étoiles en fasce d'argent ; au deuxième, des barons tirés de l'armée ; au troisième, de gueules au lion passant d'or ; au quatrième, d'azur au rocher d'argent, surmonté d'un croissant, les pointes à sénestre d'or. |
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Annet-Antoine Couloumy ( - Saint-Pantaléon-de-Larche ✝ - des suites de ses blessures reçues à la bataille de Leipzig), major du 95e de ligne (), colonel-major du régiment des Gardes nationaux de la Garde impériale (), Général de brigade (), baron de l'Empire (lettres patentes du ), Légionnaire (25 prairial an XII : ), puis Officier (), puis Commandant de la Légion d'honneur (),
Écartelé : aux I et IV, d'azur, au lion contourné d'argent ; au II, des Barons Militaires de l'Empire ; au III, d'or, à un pal d'azur, chargé de deux étoiles d'or.[3] - [4] Toque et lambrequins de Baron de l'Empire, croix de Commandant de la Légion d'honneur. Devise : Grenadier et Gendarme. |
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Louis François Coutard ( - Ballon (Sarthe) ✝ - Paris), colonel du 65e de ligne (12 vendémiaire an XII), général de brigade (), lieutenant général (), baron Coutard et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Madrid)), 1er comte Coutard (), Légionnaire (19 frimaire an XII : ), puis, Officier (25 prairial an XII : ), puis, Commandant (), puis, Grand officier (), puis, Grand-croix de la Légion d'honneur (), Chevalier (), puis, Grand-croix de Saint-Louis (1824)
Écartelé : le premier d'azur aux trois créneaux d'or posés en fasce ; le deuxième des barons militaires ; le troisième de gueules au lion rampant la tête contournée d'argent tenant une lance polonaise d'or ; le quatrième d'azur aux trois jambes coupées de cheval deux et une, croix d'argent brochant sur les quatre quartiers.[1] |
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Antoine-Gabriel Christin ( - Saint-Claude ✝ - Tours), Lieutenant-colonel du génie de la garde impériale, Colonel au corps royal du génie, directeur des fortifications à Strasbourg, chevalier de l'Empire par lettres patentes du , Baron de l'Empire par lettres patentes du , Officier de la Légion d'honneur, Chevalier de l'ordre de Saint-Louis et de l'ordre militaire de Wurtemberg.
Coupé ; au premier d'argent à la croix potencée, de sable ; au deuxième d'azur au cosaque d'or ; la tête contorunée, tenant de la sénestre une lance brisée d'argent, et monté sur un cheval galoppant du même, soutenu d'une terrasse de sinople et sénestrée d'un foudre de gueules, mouvant du flanc ; franc-quartier des barons tirés de l'armée, brochant au neuvième de l'écu : pour livrées les couleurs de l'écu, le verd en bordure seulement. |
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Philibert Jean-Baptiste Curial ( - Saint-Pierre-d'Albigny ✝ - Paris), Général de division (1809), Baron Curial et de l'Empire (décret du , lettres patentes de (Bayonne)), Comte Curial et de l'Empire (), Légionnaire (19 frimaire an XII : ), puis, Officier (25 prairial an XII : ), puis, Commandant (4 nivôse an XIII : ), puis, Grand officier (), puis, Grand-croix de la Légion d'honneur (), Grand-croix de l'ordre de la Réunion (1813), Chevalier (), puis, Commandeur de Saint-Louis (), Pair de France (, comte-pair le , lettres patentes du , sans majorat),
D'or à deux lances en sautoir d'argent en abîme, chargées d'un bouclier de sable bordé d'argent portant pour emblème un foudre or et argent accompagnées de quatre étoiles d'argent; au canton dextre tête de borée au naturel soufflant d'argent, au sénestre quartier de baron sorti de l'armée; en pointe crocodile au naturel contourné, soutenu d'une rivière d'azur, et enchainé au bouclier par une chaine de sable.[1] - [3] - [6] |
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Jean-Baptiste Théodore Curto ( - Montpellier ✝ - Paris), colonel du 8e régiment de chasseurs à cheval (), général de brigade (), baron Curial et de l'Empire (décret du , lettres patentes de (Saint-Cloud)), Légionnaire (15 pluviôse an XII : ), Officier (25 prairial an XII : ), puis, Commandeur de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre de la Couronne de Fer (1809 : obtient, après la restauration des Bourbons, des lettres de maintenue de l'empereur d'Autriche), Chevalier (),
D'azur à la rivière en fasce d'argent, surmontée d'un crocodile passant d'or et soutenu d'un cor de chasse du même : franc quartier des barons tirés de l'armée.[1] - [3] - [18] |
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Figure | Nom du baron et blasonnement |
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Jean Melchior Dabadie de Bernet ( - Castelnau-Magnoac ✝ - Paris), général de brigade (), baron Dabadie et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Gand)), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis Officier (25 prairial an XII), puis Commandant de l' ordre royal de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (1789),
Parti : au I, d'or, à un chêne de sinople, surmonté de trois étoiles d'azur ; au II, d'azur, à trois chevrons d'or ; au canton des Barons militaires de l'Empire brochant.[1] - [3] - [5] - [16] - [18] |
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Jean-Baptiste Dalesme ( - Limoges ✝ - Paris), général de brigade (1795), lieutenant-général (), baron Dalesme et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Saint-Cloud)), Officier (4 frimaire an XII), puis Commandant (25 prairial an XII), chevalier de Saint-Louis (),
Coupé, au premier parti à dextre d'azur à trois croissants d'or, à senestre des barons tirés de l'armée, au deuxième d'argent à trois étoiles en fasce d'azur.[1] - [9] |
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Claude Dallemagne ( - Peyrieu en Bugey ✝ - Nemours), général de brigade (), Général de division (), Général en chef ( - ), 1er Baron Dallemagne et de l'Empire (décret du et lettres patentes du ), Légionnaire (), puis, Commandant de la Légion d'honneur (), Commandant de l'ordre de la Couronne de Fer (1807), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (),
Coupé : au I, parti a) d'azur, à la tour d'or maçonnée, ajourée et ouverte de sable, surmontée de trois étoiles d'argent rangées en fasce (la forteresse d'Ehrenbreitstein), b) de gueules, à l'épée haute d'argent ; au II, d'or, au pont de sable de quatre arches ajouré du champ, terrassé de sinople (le pont de Lodi).[3] - [5] - [13] - [18] - [28] - [29] |
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Louis Gaspard Dard d'Espinay ( - Nevers ✝ - Nevers), général de brigade (),
Écartelé : au 1, d'azur, à la pyramide d'or ; au 2 du quartier des Barons militaires de l'Empire ; au 3, de gueules, à une hydre (ou un dragon) d'argent languée d'un dard du même ; au 4, de sable, à la lance d'argent en pal.[3] |
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Jean Barthélemy Darmagnac ( - Toulouse ✝ - Bordeaux), général de brigade (), général de division (), 1er baron Darmagnac et de l'Empire (1810), 1er vicomte D'armagnac (), Officier (1er vendémiaire an XII), puis Commandant (25 prairial an XII), puis Grand officier de la Légion d'honneur (), chevalier de l'ordre de la Couronne de fer, Chevalier (), puis Commandeur de Saint-Louis (),
Écartelé : au I, d'azur, à trois étoiles d'or ; au II, du quartier des Barons militaires de l'Empire ; au III, de gueules, à la pyramide d'argent, mouvant de la pointe, surmontée de deux sabres d'or, passés en sautoir ; au 4, d'azur, au palmier d'or, terrassé du même.[3] - [2] - [17] |
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Jacques Darnaud ( - Bricy-le-Boulay ✝ - Paris), général de brigade (arrêté du Directoire exécutif du 12 thermidor an VII (), Gouverneur de l'Hôtel des Invalides (), lieutenant-général honoraire (), baron Darnaud et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Valladolid)), Officier (19 frimaire an XII), puis Commandant (25 prairial an XII), puis Grand officier de la Légion d'honneur (ordonnance du ), Chevalier (ordonnance du ), puis Commandeur de Saint-Louis (ordonnance du ),
Écartelé ; le premier d'or aux cinq chevrons d'azur superposés surmonté de deux étoiles de gueules ; le deuxième des barons militaires ; le troisième de gueules aux trois tours crénelées d'argent ouvertes du champ deux et une, celle du milieu chargée d'une épée haute en pal d'argent, le quatrième d'azur, coupé d'une rivière d'argent d'où sort un soleil levant d'or.[1] - [3] - [18] |
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Pierre Louis Darnauld ( - Saint-Pierre (Martinique) ✝ - Paris), général de brigade (), Baron d'Arnauld et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Compiègne), confirmé dans son titre de baron le ), Vicomte d'Arnauld (), Légionnaire (25 prairial an XII : ), puis, Officier (), puis, Commandant (), puis, Grand officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre de la Couronne de Fer ( : Louis XVIII l'autorisa, le 18 août suivant, à porter cette décoration), Chevalier de Saint-Louis (),
D'azur, à trois grenades enflammées d'or, au comble d'argent chargé de deux étoiles d'azur ; au franc quartier des barons tirés de l'armée.[1] |
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François-Isidore Darquier ( - Beaumont-de-Lomagne ✝ - Vitoria-Gasteiz), lieutenant-colonel aux grenadiers à pied de la Garde impériale, colonel-major (), Chevalier Darquier et de l'Empire (lettres patentes du ), Baron Darquier et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Saint-Cloud)), Légionnaire (25 prairial an XII), puis, Officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre de la Couronne de Fer (1810),
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Augustin Darricau ( - Tartas ✝ - Dax), général de brigade (), général de division (), Baron Darricau et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Toulouse)), Légionnaire (19 frimaire an XII ()), puis, Officier (25 prairial an XII ()), puis, Commandant (4 nivôse an XIV ()), puis, Grand officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (1814),
Écartelé : au premier d'azur à la pyramide d'argent ; au deuxième des barons militaires ; au troisième de gueules au vol d'argent sur lequel broche un cœur d'or ; au quatrième d'azur au pont d'or, adextré d'une tour de même, cantonnée à sénestre d'un foudre d'or, le tout soutenu d'un fleuve d'argent.[1] |
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Pierre Daumesnil ( - Périgueux ✝ - Paris), colonel-major des Chasseurs à cheval de la Garde impériale (), Général de brigade (1809), lieutenant-général (), Baron Daumesnil et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Paris)), Légionnaire (25 prairial an XII), puis, Officier (), puis, Commandant de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre de la Couronne de Fer, Chevalier de Saint-Louis (),
Coupé le premier parti de sinople, au cor de chasse d'or et de gueules au signe des barons tirés de l'armée, le deuxième d'azur au trophée de sept drapeaux et deux fusils avec bayonnettes d'argent, soutenus de deux tubes de canon du même.[1] - [3] - [6] - [7] |
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Charles Daurier ( - Saint-Paulien ✝ - Nancy), général de brigade (19 floréal an II), lieutenant-général (1820), 1er Baron Daurier et de l'Empire (lettres patentes du ), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis, Commandant de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), Chevalier de Saint-Louis (), Membre de la Société des Cincinnati des États-Unis d'Amérique,
Écartelé : au 1 d’azur à trois étoiles d’or ; au 2 de gueules à l’épée haute en pal d’argent ; au 3 d’argent à trois chevrons de gueules au chef du même chargé d’un lion naissant en contourné d’argent ; au 4 d’azur à un cheval cabré d’or.[30] - [3] |
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Guillaume Dauture ( - Pontacq ✝ - Pau), colonel du 9e d'infanterie légère (), général de brigade (), Baron Dauture et de l'Empire (1812, lettres patentes du ), Légionnaire (4 germinal an XII : ), puis, Officier (), puis, Commandeur de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (), Chevalier de l'ordre de l'Épée de Suède
D'azur à deux épées en sautoir d'argent ; au comble d'or chargé de trois étoile d'azur ; au franc-quartier des barons militaires.[31] |
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Louis Alexandre Davout ( - Étivey, province de Bourgogne ✝ - Ravières (Yonne)), colonel (17 pluviôse an XIII), général de brigade (), 1er Baron Davout et de l'Empire (décret du , lettres patentes du ) (Burgos)), Officier (25 prairial an XII), puis, Commandant de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (), Chevalier de l’ordre de Saint-Henri de Saxe (autorisé par décret impérial du ),
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Figure | Nom du baron et blasonnement |
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Louis-Victor Decaux ( - Douai ✝ - Saint-Germain-en-Laye), chef de bataillon (), chef de division du ministère de la Guerre (1807), colonel (), général de brigade (1811), lieutenant-général (), Chevalier de Blacquetot et de l'Empire (lettres patentes du avec dotation de 500 francs sur le Monte Napoleone le ), Baron de Blacquetot et de l'Empire (décret du 29 décembre avec dotation de 4 000 francs, lettres patentes du ), Vicomte (, lettres patentes du ), Légionnaire (25 prairial an XII), puis, Officier (), puis, Commandeur (), puis, Grand officier (), puis, Grand-croix de la Légion d'honneur (), Chevalier (), puis, Commandeur (), puis, Grand-croix de Saint-Louis (), Grand-croix de l'ordre de Charles III, Grand-croix de l'ordre de Saint-Ferdinand d'Espagne, Grand-croix de l'ordre d'Isabelle-la-Catholique, Commandeur de l'ordre impérial de Léopold, Commandeur de l'ordre royal des Guelfes, Commandeur de l’ordre de Saint-Henri de Saxe, Chevalier de 1re classe de l'ordre de Sainte-Anne de Russie, Pair de France (),
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Pierre Decouz ( - Annecy ✝ - Paris), colonel du 21e de Ligne (1805), général de brigade (1809), général de division (1814), 1er baron Decouz et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Camp impérial d'Aranda de Duero), commandeur de la Légion d'honneur,
Écartelé, le premier d'argent au croissant de sable surmonté d'un cœur de gueules, au comble d'azur chargé de trois étoiles d'or posées en fasce ; le deuxième des barons militaires ; le troisième d'azur à la forteresse d'or maçonnée et brêchée de sable, baignée d'une mer d'argent ; le quatrième à la momie d'or en rencontre, posée en pal, accompagnée à dextre de six fers de lance, deux, deux et deux, d'argent, et à sénestre de même.[1] - [3] - [16] |
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Antoine Louis Decrest ( - Paris ✝ - Neuilly), général de brigade (12 pluviôse an XIII), général de division (), Baron Decrest de Saint Germain et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Valladolid)), Comte Saint-Germain et de l'Empire (décret impérial du ), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis, Officier (25 prairial an XII), puis, Commandant (), puis, Grand officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (1814),
D'or ; à la fasce échiquetée de sable et d'azur, accompagnée en pointe de trois grues de sable tenant chacune de la dextre leur vigilance d'argent et soutenues d'une terrasse de sinople, quartier des barons militaires.[1] - [3] |
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Paul Dein (, Rhétiers – , Plounévez-Lochrist), colonel du 15e de ligne (), commandant en second à l'école militaire de Saint-Cyr (), commandant du Morbihan (), retraité avec le grade de maréchal de camp (), baron de l'Empire (), légionnaire () puis officier de la Légion d'honneur (), chevalier de Saint-Louis ().
D'or, à un daim passant de sable, au chef d'azur, chargé de trois étoiles d'argent ; au franc-quartier des barons tirés de l'armée[17] - [32] - [3]. |
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Pierre François Marie Auguste Dejean ( - Amiens ✝ - Paris), général de brigade (), lieutenant-général (), Baron Dejean et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Bayonne)), 2e comte Dejean (1824), Légionnaire (au camp de Boulogne), puis, Officier (), puis, Commandant (), puis, Grand officier (), puis, Grand-croix de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (), pair de France (, à titre héréditaire),
D'argent au griffon essorant de sable au comble d'azur chargé à dextre de deux étoiles et d'un croissant d'or et à sénestre du quartier des barons sortis de l'armée.[1] - [3] - [16] |
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Jean-Baptiste Deban de Laborde[33], dit Laborde ( - Paris ✝ - bataille de Wagram), aide de camp de Jean-Andoche Junot (1800-1805), colonel du 8e régiment de hussards (), Baron Laborde et de l'Empire[34] (décret du , lettres patentes de (Bayonne)), officier de la Légion d'honneur, grand-croix de l'ordre du Christ (Brésil), marié, le , à Medeleine-Philippine Scheux, fille de Jacques.
Parti : d'azur, au chevron d'or accosté en chef d'une merlette d'argent et en pointe d'une main dextre d'or tenant une branche de laurier de sinople et d'argent, au lion rampant et contourné de sable, coupé de gueules, au signe des barons sortis de l'armée.[1] |
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Pierre Denis de La Châtre ( - Issoudun ✝ - Issoudun), colonel du 47e régiment d'infanterie de ligne, 1er Baron Delachastre et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Fontainebleau)), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis, Officier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII),
De gueules coupé d'un trait de sable, au premier chargé d'un lion contourné d'or, au quatrième chargé d'une croix de vair : franc-quartier des barons tirés de l'armée à la filière d'argent au neuvième de l'écu, au deuxième de gueules, à la croix ancrée de vair.[1] Coupé : au I parti de gueules au lion contourné d'or et du quartier des barons tirés de l'armée ; au II, de gueules, à la croix ancrée de vair.[35] |
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Charles-Henri Delacroix ( - Paris ✝ - Bordeaux), colonel (), aide de camp d'Eugène de Beauharnais, colonel du 9e régiment de chasseurs à cheval (), maréchal-de-camp honoraire (1815), Baron Delacroix et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Gand)), Légionnaire (25 prairial an XII : ), puis, Officier (), puis, Commandant de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (), Chevalier de l'ordre de la Couronne de Fer,
D'azur à la cotte d'armes d'argent chargée d'une croix fourchue de gueules et accompagnée de trois étoiles d'or deux en chef et une en pointe ; franc quartier des barons tirés de l'armée.[1] |
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Jean-Baptiste Grégoire Delaroche ( - Dieppe ✝ - château de Selorre, Saint-Yan (Saône-et-Loire)), général de division (), baron Delaroche et de l'Empire (décret du [19 mars] 1808, lettres patentes du (Paris)), Légionnaire (19 frimaire an XII : ), puis, Commandant (25 prairial an XII), puis grand officier de la Légion d'honneur (), chevalier de Saint-Louis, (),
Coupé, le premier parti d'argent, au sabre en pal la pointe haute de gueules, chargé d'une fasce d'azur à trois étoiles du champ ; et de gueules aussi des barons tirés de l'armée, au deuxième d'azur au casque de fasce, grillé d'or, doublé de gueules, accompagné de deux étoiles du même.[1] |
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Aimé-Charles-Julien Delarue de la Gréardière ( - Condé-sur-Noireau ✝ ), capitaine de vaisseau (frimaire an VIII), Baron Delarue de la Gréardière et de l'Empire (), Légionnaire (), puis Officier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII),
Écartelé : au 1, d'azur, à trois étoiles mal-ordonnées, la première d'or, rayonnante de gueules, et les deux autres d'argent ; au 2, du quartier des Barons militaires de l'Empire ; au 3, d'or, à une tour de sable sur un rocher issante d'une eau, le tout au naturel ; au 4, de sinople, à une colombe d'argent, volante au-dessus d'un mont du même, soutenu d'une terrasse de sable.[9] |
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Jean-Marie-Auguste Aulay de Launay, dit « Delaunay » ( - Bayonne ✝ ), général de brigade (25 germinal an II), lieutenant-général honoraire (), Baron Delaunay et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Paris)), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis, Commandant de la Légion d'honneur (25 prairial an XII),
Ecartelé au premier d'or à la fasce d'azur chargée de trois merlettes d'argent surmontée d'un soleil de gueules cantonné à dextre ; au deuxième d'azur à la licorne galoppant d'argent ; au troisième d'azur au trophée de six drapeaux d'argent, montés et cravattés d'or, surmontés d'un croissant d'or ; au quatrième de gueules à la tour d'or, ouverte, maçonnée et ajourée de sable, surmontée de trois étoiles en fasce, aussi d'or : franc quartier des barons tirés de l'armée.[1] |
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Victor-Joseph Delcambre ( - Douai ✝ - Paris), colonel du 23e léger (), colonel-major du 5e régiment de voltigeurs de la Garde impériale (), général de brigade (), baron de Champvert et de l'Empire (), vicomte (), Légionnaire (25 prairial an XII), puis Officier (), puis Commandant (), Grand officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre de la Couronne de Fer, Chevalier de Saint-Louis (), Chevalier de 3e classe de l’ordre de l'Aigle rouge de Prusse (),
Coupé d'argent sur azur, au lion de l'un en l'autre, tenant une épée de gueules ; au canton des Barons militaires de l'Empire brochant.[24] |
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Marie Joseph Raymond Delort ( - Vic-Fezensac ✝ - La Chaussée-Saint-Victor), Colonel du 4e régiment de dragons (1805), Général de brigade (), Général de division (), chevalier de l'Empire (avec dotation en 1808), Baron de l'Empire (lettres patentes du ), Pair de France (), Officier (25 prairial an XII), puis Commandant de la Légion d'honneur (),
Écartelé : au I, d'or, à un casque de sable, taré de front, doublé de gueules, grillé d'or, panaché de gueules ; au II du quartier des Barons militaires de l'Empire ; au III, d'azur, à la barre d'argent, ch. d'une étoile du champ; au IV, d'argent, au lion de gueules.[3] - [18] |
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Alexis Joseph Delzons ( - Aurillac ✝ - Bataille de Maloyaroslavets), général de brigade (), général de division (), Baron de l'Empire (), Commandant de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre de la Couronne de Fer (),
Coupé : au 1, parti : a. d'or à trois ormes au naturel, surmontés de deux étoiles d'azur ; b. du quartier des Barons militaires de l'Empire ; au 2, de sable, à un crocodile passant d'or, acc. en chef d'un croissant d'argent.[3] - [17] - [36] |
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Marc Jean Demarçay ( - Martaizé ✝ - Paris), colonel (19 fructidor an VIII), commandant de l'École d'artillerie et du génie de Metz (1806), major-général au royaume de Hollande (1807), général de brigade (), 1er baron Demarçay et de l'Empire (), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis Officier (25 prairial an XII), puis Commandant de la Légion d'honneur (1805),
Écartelé : au I, d'argent, à une piramide de sable ; au II du quartier des Barons militaires de l'Empire ; au III, d'azur, à une tour d'or, ouverte, ajourée et maçonnée de sable; au IV, d'or, à un bélier militaire de sable, posé en fasce, avec sa chaîne du même.''[3] - [17] |
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Jean-Jacques Desvaux de Saint-Maurice ( - Paris ✝ - bataille de Waterloo), colonel du 6e d'artillerie à cheval (), général de brigade (), général de division (), colonel de l'artillerie de la Garde impériale (), baron Desvaux de Saint-Maurice et de l'Empire (), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis Officier (25 prairial an XII), puis Commandant de la Légion d'honneur (),
Écartelé : au I, d'azur, à deux tubes de canon d'or, passés en sautoir ; au II du quartier des Barons militaires de l'Empire ; au III, de gueules, à la fasce d'or, ch. de trois glands effeuillés de sinople, la queue en haut, et accompagné de trois étoiles d'or ; au IV, de sinople, au chevron, accompagné en chef de deux croissants et en pointe de trois tours mal-ordonnées, le tout d'or.[17] - [3] - [4] |
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Guillaume Dode de la Brunerie, ( - Saint-Geoire-en-Valdaine ✝ - Paris), colonel (), général de brigade (), lieutenant-général (, confirmé dans son nouveau grade le (Cent-Jours)), Pair de France (), Maréchal de France (), Baron de l'Empire (décret impérial du , lettres patentes le , avec une dotation de 4 000 francs de rente annuelle sur la Westphalie ()), vicomte (), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis Officier (), puis Commandant (), puis Grand-croix de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'Ordre du mérite militaire de Bavière (), Chevalier () puis Commandeur de Saint-Louis (), Grand-croix de l'ordre de Charles III (), chevalier de l'ordre russe de Saint-Alexandre Nevsky (),
Ecartelé, au I, d'or à un dromadaire de sable ; au II, du quartier des Barons militaires de l'Empire ; au III, d'azur à un compas d'or ; au IV d'argent à trois croissants d'azur.[6] |
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Guy-Victor Duperré, ( - La Rochelle ✝ - Paris), Capitaine de férgate (), capitaine de vaisseau (), contre-amiral (), Préfet maritime de Toulon (Cent-Jours), vice-amiral (), préfet maritime de Brest (), Pair de France (), 1er baron Duperré et de l'Empire (), Grand-croix de la Légion d'honneur (1831), Chevalier (1814) puis Commandeur de Saint-Louis (1824), Grand-croix de l'ordre du Danebrog, Grand-croix de l'ordre de Charles III, Chevalier de l'ordre de la Couronne de Fer, Baron et Pair de France (1830),
D'azur semé d'étoiles d'argent à un lion du même, armé et lampassé de gueules brochant ; au canton des Barons militaires de l'Empire brochant sur le tout.[6] - [4] |
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Pierre François Joseph Durutte ( - Douai ✝ - Ypres (Belgique)), général de division (1803), baron Durutte et de l'Empire (1809), 1er comte Durutte et de l'Empire (1813), Commandant (20 prairial an XII), puis, Grand officier de l'ordre royal de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre de la Couronne de Fer (), Chevalier de Saint-Louis (),
Armes de Baron de l'Empire : Écartelé: au 1, d'or, au chevron d'azur, accompagné de trois merlettes de sable, au comble du même; au 2, du quartier des barons militaires de l'Empire ; au 3, d'or, au chevron de gueules, accompagné de trois roses au naturel, tigées et feuillées de sinople ; au 4, d'argent, semé de fleurs de lin (quartefeuilles) d'azur, boutonnées d'or.[3] |
E
Figure | Nom du baron et blasonnement |
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Jean-Baptiste Eblé ( - Saint-Jean-Rohrbach ✝ - Königsberg), général de brigade (), général de division (1793), Général-colonel des Gardes du Corps Westphaliens (), Chambellan du Roi Jérôme (), ministre de la guerre du Royaume de Westphalie, baron Eblé et de l'Empire (), 1er comte Eblé et de l'Empire (1812), Légionnaire (23 vendémiaire an XII), puis Grand officier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), Grand-croix de l'ordre du Lion de Bavière (1806), et grand commandeur de l'ordre royal de Westphalie
D'or à quatre cantons, le premier d'azur à trois épis d'or, liés par la tige, le deuxième des barons militaires, le 3e de gueules à deux épées en sautoir d'argent, le 4e d'azur au lion rampant et contourné d'or.[1] - [3] - [17] |
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Jean-Baptiste Estève de Latour ( - Entrecasteaux ✝ ), chef de bataillon (par un arrêté du premier Consul, le 27 germinal an IX), major du 1er régiment de la garde de Paris le , colonel-major commandant le 4e régiment de voltigeurs de la Garde impériale, colonel au 118e régiment d'infanterie de ligne (), Général de brigade (), , baron de l'Empire (), Légionnaire (23 vendémiaire an XII (membre de droit, comme ayant à cette époque reçu une arme d'honneur)), puis Officier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII, remis le aux Invalides),
Écartelé : aux I et IV d'argent au bananier arraché de sinople, fruité de gueules; au II des barons militaires, franc-quartier à senstre, de gueules à l'épée haute en pal d'argent; au III d'azur au pont de trois arches en ruines d'or, soutenu de sinople.[13] |
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Louis Évain ( - Angers ✝ ), chef de bataillon (6 brumaire an XII), colonel (), général de brigade (, maréchal de camp par ordonnance du ), lieutenant-général (), Général de brigade (1822), lieutenant-général (), ministre de la guerre de Belgique, 1er baron Evain et de l'Empire (1813, confirmé fin 1814), Légionnaire (25 prairial an XII), puis Officier (), puis Commandeur (), puis Grand officier de la Légion d'honneur (), chevalier de Saint-Louis (),
Écartelé : au 1 d'azur à deux étoiles d'or en fasce, au 2 des Barons militaires, au 3 d'argent à la forteresse donjonnée de trois tours de sable, au 4 échiqueté d'or et d'azur.[27] - [3] - [17] |
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Rémy Joseph Isidore Exelmans (1775 ✝ 1852), général de brigade (1807) puis général de division (1812), Baron d'Empire (1808) puis Comte d'Empire (1813), Pair de France (1815 et 1831), Maréchal de France (1851), sénateur (1852), Grand Ecuyer du Roi de Naples et Légionnaire le , puis, Officier le , puis, Grand officier le , puis, Grand-croix de la Légion d'honneur le , Grand Dignitaire de l'Ordre royal des Deux-Siciles,
Ecartelé : au I, d'argent, au cheval effaré de sable ; au II, du quartier des Barons militaires de l'Empire ; au III, parti d'azur, à la ruche d'or et d'azur à la croix d'or ; au IV, d'argent, à trois merlettes de sable.[6] |
Notes et références
- PLEADE (C.H.A.N. : Centre historique des Archives nationales (France)).
- Louis de La Roque, Armorial de la noblesse de Languedoc, Généralité de Montpellier, vol. 1-2, F. Seguin, (lire en ligne)
- Armorial de J.B. RIETSTAP - et ses Compléments
- La noblesse d'Empire sur http://thierry.pouliquen.free.fr
- Source: Armorial du Premier Empire, Vicomte Albert Révérend, Comte E. Villeroy
- Source : www.heraldique-europeenne.org
- Nicolas Roret, Nouveau manuel complet du blason ou code héraldique, archéologique et historique : avec un armorial de l'Empire, une généalogie de la dynastie impériale des Bonaparte jusqu'à nos jours, etc..., Encyclopédie Roret, , 340 p. (lire en ligne)
- Annuaire biographique : ou Supplément annuel et continuation de toutes les biographies ou dictionnaires historiques. Années 1830-1834, P. Méquignon : E. Lagny, (lire en ligne)
- Héraldique napoléonienne et symbolisme maçonnique, de Jacques Declercq, d'après L’héraldique napoléonienne, de Philippe Lamarque Ed. du Guy.
- oursjeancaporossi.club.fr
- Le nom patronymique Camus ne figure point dans les lettres patentes.
- Jacques Hyacinthe Georges Richard, comte de Soultrait, Armorial du Bourbonnais, P.A. Desrosiers et fils, , 334 p. (lire en ligne)
- Nobiliaire de Provence : Armorial général de la Provence, du Comtat Venaissin, de la Principauté d'Orange..., de René Borricand, Editions Borricand, Aix-en-Provence, 3 vol. : 1974-1976, (ISBN 2853970027) (ISBN 9782853970020) (ISBN 2-85397-002-7) (ASIN B0000E7KFZ).
- Henri Gourdon de Genouillac, Nobiliaire du département des Bouches-du-Rhône : histoire, généalogies, E. Dentu, Palais-Royal, Galerie d'Orléans, (lire en ligne)
- Alphonse Brémond, Nobiliaire toulousain, (lire en ligne)
- Classement hiérarchique des personnages présentés sur napoleon-monuments.eu
- Source : www.labanquedublason2.com
- Source : lesapn.forumactif.fr, Les Amis du Patrimoine Napoléonien
- Source : no 17, in Edouard de Barthélemy, Armorial de la Ville de Châlons-sur-Marne, 1856, Edit. Laurent.
- Tadeusz Gajl Herbarz polski, Gdańsk, 2007, (ISBN 978-83-60597-10-1)
- www.ornatowski.com
- Source : www.szlachta.org
- « Cote LH/530/21 », base Léonore, ministère français de la Culture
- Source : www.lillempire.fr : Lille et le Nord, du Consulat au Second Empire
- passepoil.fr Héraldique napoléonienne, Département du Nord
- Source complémentaire : Armorial historique de Lorraine de A. Georgel.
- www.genheral.com
- Source : Armorial du Premier Empire - Révérend ; Grand Armorial de France - Jouglas de Morena ; Armorial général de Lyonnais, Forez, Beaujolais, Franc Lyonnais et Dombes - André Steyert (Waltenier 1842)
- Source : Fiche de Claude d'Allemagne sur roglo.eu
- La bannière de L'Orphéon sur www.mairie-orcemont.fr
- Dauture Guillaume sur www.orthez-1814.org
- Source : Armorial de l'Empire français - par M. Alcide Georgel - 1870. L'Institut, L'Université, Les Écoles publiques. Texte téléchargé depuis le site de la Bibliothèque Nationale de France.
-
- Sources
- vicomte Albert Révérend et Jean Tulard, Titres et confirmations de titres : Monarchie de Juillet, 2e République, 2e Empire, 3e République, 1830-1908, H. Champion, , 669 p. (lire en ligne) ;
- Almanach impérial : annuaire, (lire en ligne)
- Titre transmis, par décret impérial du , à son fils cadet Achille de Deban de Laborde, colonel du 4e régiment de cuirassiers, officier de la Légion d'honneur.
- Xavier Gaignault et Hervé Coutau-Bégarie, Le colonel Pierre-Denis de La Châtre, baron de l'Empire (1763-1820), Paris, Éditions Guénégaud, , 156 p. (ISBN 978-2-85023-132-2, BNF 41115008, lire en ligne)
- Source : FranceGenWeb