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Alan (Haute-Garonne)

Alan, également (Alan en occitan) est une commune française située dans l'ouest du département de la Haute-Garonne en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège.

Alan
Alan (Haute-Garonne)
Église d'Alan.
Blason de Alan
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Saint-Gaudens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur et Coteaux du Comminges
Maire
Mandat
Francis Beausor
2020-2026
Code postal 31420
Code commune 31005
Démographie
Gentilé Alanais
Population
municipale
291 hab. (2020 en diminution de 10,19 % par rapport à 2014)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 13′ 50″ nord, 0° 56′ 25″ est
Altitude Min. 271 m
Max. 520 m
Superficie 11,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Cazères
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Alan
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Alan
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Alan
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Alan

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Louge, le Bernès et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Alan est une commune rurale qui compte 291 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 1 161 habitants en 1846. Ses habitants sont appelés les Alanais ou Alanaises.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend trois immeubles protégés au titre des monuments historiques : une maison, classée en 1912, une maison, inscrite en 1926, et une maison, inscrite en 1987.

    Géographie

    Localisation

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    La commune d'Alan se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 58 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, à 22 km de Saint-Gaudens[2], sous-préfecture, et à 12 km de Cazères[3], bureau centralisateur du canton de Cazères dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Martres-Tolosane[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Bachas (1,7 km), Terrebasse (2,2 km), Montoulieu-Saint-Bernard (2,6 km), Marignac-Laspeyres (2,6 km), Benque (3,8 km), Samouillan (3,9 km), Francon (4,4 km), Boussan (4,4 km).

    Sur le plan historique et culturel, Alan fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[5]. Les communes limitrophes sont Bachas, Aurignac, Benque, Le Fréchet, Marignac-Laspeyres, Montoulieu-Saint-Bernard et Terrebasse.

    Cette ancienne bastide est située dans le sud de la Haute-Garonne, en Comminges Rivière-Verdun.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 1 129 hectares ; son altitude varie de 271 à 520 mètres[7].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier d'Alan.

    La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par la Louge, le Bernès, le Rioutord, le ruisseau de Berdoye, le ruisseau de Coulomme, le ruisseau de Pégot et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 11 km de longueur totale[9] - [Carte 1].

    La Louge, d'une longueur totale de 100 km, prend sa source dans la commune de Villeneuve-Lécussan et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Muret, après avoir traversé 34 communes[10].

    Le Bernès, d'une longueur totale de 18,3 km, prend sa source dans la commune d'Aurignac et s'écoule d'ouest en est. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Cazères, après avoir traversé 9 communes[11].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[13].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[12]

    • Moyenne annuelle de température : 12,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 877 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cerizols », sur la commune de Cérizols, mise en service en 1982[17] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[18] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 933,1 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 29 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[21], à 12,3 °C pour 1981-2010[22], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[23].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[24] : les « milieux humides et prairies de fauche de la vallée de la Louge au niveau de la confluence Nère-Louge » (305 ha), couvrant 8 communes du département[25] et une ZNIEFF de type 2[Note 6] - [24] : les « Petites Pyrénées en rive gauche de la Garonne » (3 525 ha), couvrant 12 communes du département[26].

    Urbanisme

    Typologie

    Alan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [27] - [I 2] - [28]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3] - [I 4].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (66,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (32,3 %), prairies (25,4 %), terres arables (24,7 %), zones agricoles hétérogènes (16,7 %), mines, décharges et chantiers (0,9 %)[29].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par la ligne 391 du réseau Arc-en-Ciel et les lignes intermodales d'Occitanie.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Alan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible)[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Bernès. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2021[32] - [30].

    Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral du 25 septembre 2006. Alan est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif des Petites Pyrénées. Il est ainsi défendu aux propriétaires de la commune et à leurs ayants droit de porter ou d’allumer du feu dans l'intérieur et à une distance de 200 mètres des bois, forêts, plantations, reboisements ainsi que des landes. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[33] - [34]

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Alan.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 92,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 188 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 187 sont en en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[35] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[36].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1994, 2003 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[30].

    Toponymie

    Peut-être du nom des Alains, en latin Alani, peuple nomade venu du Caucase et dont des groupes s'installèrent en Gaule au Ve siècle, dans la région d'Orléans surtout, mais aussi quelques autres.

    On peut noter aussi le mot gascon alan : « gros chien, dogue »[37]. Le Comminges fait partie des régions de parlers gascons.

    Histoire

    Les premières traces d'occupation humaine consistent en des outils de quartzite de la vallée de la Garonne découverts en surface hors contexte archéologique. Ces hachereaux datent du paléolithique moyen et sont l'œuvre de l'homme de Néandertal.

    Plusieurs gîtes à silex sont répertoriés sur la commune. Le plus grand occupe une surface de plus de quatre hectares et présente de nombreux ateliers.

    C'est un gîte du versant nord de l'anticlinal d'Aurignac livrant des silifications continentales (silex du calcaire lithographique)[38].

    La fondation du village date vraisemblablement de la période gallo-romaine. On a en effet retrouvé à Montoulieu, près d'Alan, une villa gallo-romaine.

    Au XIe siècle, Alan est une sauveté, c’est-à-dire une cité créée par les ecclésiastiques dans un but économique. Il s'agissait de regrouper et de fixer tous les paysans errants, ainsi que les vagabonds, d'y établir une communauté agricole en mettant en valeur les terres et d'y permettre la sauvegarde des libertés.

    Au XIIIe siècle (1272), la sauveté est remaniée en bastide par Eustache de Beaumarchais[39]. Elle est pourvue de coutumes par l'évêque de Comminges Bertrand de Miramont (1282-1285). Cette transformation permet la construction d'un village fortifié destiné à favoriser le peuplement. Les évêques, quant à eux, résident à Alan l'hiver, dans le palais. Ils régissent la vie de la bastide jusqu'à la Révolution.

    Dans la seconde moitié du XVe siècle, l'un d'entre eux, ayant un goût prononcé pour les belles choses, y apporte quelques modifications. Il fait bâtir la tour d'angle et son grand escalier, ainsi que la porte en ogive du tympan de la vache. D'autres évêques y ajoutent encore leur touche personnelle. Les évêques ne se soucient pas uniquement de l'esthétisme du village ; ils se préoccupent aussi du sort et de la santé de ses habitants, le plus souvent bien isolés. Ainsi au XVIIIe siècle, l'évêque Olivier-Gabriel de Lubières du Bouchet décide de fonder avec ses propres ressources un hôpital près de la chapelle Notre-Dame-de-Lorette, lieu de fréquents pèlerinages et offrandes.

    On peut se demander pourquoi ce sont les évêques qui régissent Alan. Une hypothèse qui, faute de documents, ne peut être attestée, dit que le seigneur d'Alan serait mort à la bataille de Muret en 1213, alors qu'il combattait aux côtés de Pierre II d'Aragon. Dès lors, la seigneurie laissée vacante aurait été confiée aux évêques de Comminges.
    Il est aussi possible qu'il n'y ait pas eu de seigneur, les sauvetés étant des lieux investis par les religieux dans le but de prospérer et d'apporter la foi chrétienne. Certes les paysans versent l'impôt aux prélats, mais ils sont libres d'aller vivre où ils veulent, il n'y a pas de féodalité.

    Des toponymes pré-celtiques et de vestiges gallo-romains attestent l'ancienneté de l'occupation humaine. Un autel votif dédié à la déesse topique Laha porte ainsi la dédicace en latin du pérégrin Severinus. Un premier village se serait développé autour du lieu-dit Saint-Pé. Au début du XIIe siècle la terre d'Alan appartient à l'évêque de Comminges et à Fortanier, seigneur de Benque. Elle est donnée par une charte aux Hospitaliers de Saint Jean-de-Jérusalem pour fonder une sauveté peut-être dans la partie méridionale en friche. Aucun vestige ne subsiste, et seule l'autorité de Gualtérius de Alano est ensuite mentionnée. La seigneurie laïque devient influente au XIIe siècle avec ses descendants. En 1270, une bastide est fondée en paréage par l'évêque de Comminges Bertrand de Miremont et le roi Phillippe III le Hardi. Le pouvoir des maisons comtales s'affaiblit après la croisade des Albigeois et une cour royale appelée « Jugerie de Rivière » est créée. La communauté en dépend, dotée d'une charte des coutumes en 1272. Le territoire passe ensuite sous la domination temporelle des évêques. Bertrand de Got, futur pape Clément V, est le premier à y résider en partie.

    Les troubles engendrés par la guerre de Cent Ans, les guerres féodales ne prennent fin qu'en 1490 avec l'annexion du comté de Comminges à la couronne. Une période de prospérité et d'extension commence, sous la direction des ecclésiastiques. Alan affirme son rôle de petite capitale spirituelle tandis qu'Aurignac représente le pouvoir politique. La Révolution met un terme à ce fonctionnement. À partir de 1881, la commune est marquée par l'exode rural. L'activité économique repose essentiellement sur l'agriculture et l'artisanat. L'exploitation des gisements de gaz de Latoue et d'Aulon apporte un nouvel espoir après la Seconde Guerre mondiale, mais la population continue de décroître. Depuis les années 1990, la proximité de la métropole toulousaine et l'intérêt suscité par le patrimoine architectural d'Alan attirent de nouveaux habitants et offrent de nouvelles perspectives.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[40] - [41].

    Jean-Luc Guilhot démissionne en . Il avait démissionné de la présidence de la communauté de communes des terres d'Aurignac en 2015 sous la pression d'élus et d'une association de contribuables pour la gestion douteuse de cette intercommunalité[42].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes Cœur et Coteaux de Comminges et du canton de Cazères (avant le redécoupage départemental de 2014, Alan faisait partie de l'ex-canton d'Aurignac) et avant le de la communauté de communes des Terres d'Aurignac.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1800 1807 Jean François Goutelongue (père) - Ancien Commissaire du Directoire relatif à l'Administration du canton d'Aurignac.
    1807 1810 François Goutelongue (fils)
    1810 1812 Jean François Goutelongue (père)
    1821 1826 Montoussé
    1826 1830 Broquère
    1830 1831 Jean-Baptiste Cassagne
    1831 1832 Corregis
    1832 1835 Montoussé
    1835 1841 Izard
    1841 1847 Jules Caussade
    1847 1848 Isidore Cartier
    1848 1852 Jean Marie Debernat Commissaire de la municipalité provisoire d'Alan puis maire
    Mars 1852 Octobre 1852 Hippolyte Boudet
    1852 1870 François Marie Achille Goutelongue (Petit-fils)
    1870 1871 Edouard Cassagne
    1871 1888 François Marie Achille Goutelongue
    1888 1895 Henri Barousse
    1895 1902 Jean Bertrand Daure
    avant 1913 M. Daure Président de l'Association des maires de France
    avant 1981 ? André Guilhot DVG
    juin 1995 19 mai 2018 Jean-Luc Guilhot PS Exploitant agricole
    mai 2018 annulation de l'élection[43] - [44] Jean-Luc Soudais
    janvier 2019 2020 Jean-Luc Soudais
    2020 En cours Francis Beausor Chef d’entreprise
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[46].

    En 2020, la commune comptait 291 habitants[Note 8], en diminution de 10,19 % par rapport à 2014 (Haute-Garonne : +7,44 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8989861 1011 0821 0931 0901 1151 1611 004
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 007887903912907902903802813
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    810802797701678562515388298
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    306267228259276299304306321
    2018 2020 - - - - - - -
    296291-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,8 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 36,1 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 148 hommes pour 148 femmes, soit un taux de 50 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,27 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 5]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    2,0
    7,4
    75-89 ans
    8,8
    24,3
    60-74 ans
    29,7
    23,6
    45-59 ans
    16,2
    16,2
    30-44 ans
    16,9
    11,5
    15-29 ans
    6,8
    16,9
    0-14 ans
    19,6
    Pyramide des âges du département de la Haute-Garonne en 2018 en pourcentage[49]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,6
    5,6
    75-89 ans
    7,7
    13,3
    60-74 ans
    14,5
    19,5
    45-59 ans
    19
    20,9
    30-44 ans
    19,9
    21,7
    15-29 ans
    20,7
    18,4
    0-14 ans
    16,8

    Enseignement

    Alan fait partie de l'académie de Toulouse.

    Activités sportives

    Chasse, pétanque.

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 125 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 285 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 000 â‚¬[I 6] (23 140 â‚¬ dans le département[I 7]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 8]3,7 %4,3 %11,7 %
    Département[I 9]7,7 %9,6 %9,3 %
    France entière[I 10]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 162 personnes, parmi lesquelles on compte 78,4 % d'actifs (66,7 % ayant un emploi et 11,7 % de chômeurs) et 21,6 % d'inactifs[Note 10] - [I 8]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 4] - [I 11]. Elle compte 42 emplois en 2018, contre 53 en 2013 et 55 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 113, soit un indicateur de concentration d'emploi de 37,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,5 %[I 12].

    Sur ces 113 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 17 travaillent dans la commune, soit 15 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 87,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,7 % les transports en commun, 5,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

    Activités hors agriculture

    22 établissements[Note 11] sont implantés à Alan au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12] - [I 15]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 22,7 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 22 entreprises implantées à Alan), contre 12 % au niveau départemental[I 16].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations199106
    SAU[Note 13] (ha)746697614558

    La commune est dans les « Coteaux de Gascogne », une petite région agricole occupant le centre-nord du département de la Haute-Garonne[50]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5]. Six exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 15] (19 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 558 ha[52] - [Carte 6] - [Carte 7].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La vache d'Alan, palais épiscopal.

    À la fin du XVe siècle, l'évêque Jean de Foix de Grailly transforma sa demeure en un fastueux palais décoré de fresques, disparues pour la plupart ; la tour octogonale abritant un escalier à vis est un chef-d'œuvre de l'art gothique flamboyant, avec son tympan orné d'une vache monumentale sculptée. Amateur d'art, il fit aussi réaliser en 1492, par Pierre de Lanouhe, un précieux missel enluminé. Aux XVIIe et XVIIIe siècles, les évêques résidant apportèrent au palais des transformations d'embellissement au goût du jour mais à la Révolution l'édifice fut divisé et vendu comme bien national. En 1912, la célèbre vache, menacée d'exportation, fut défendue et sauvée par les habitants d'Alan. Le tympan fut classé monument historique.

    Un palais endormi, oublié de tous, la vaste bâtisse tomba peu à peu en ruine :

    – jusqu'en 1969, où un ténor d'opéra, Richard Gailland, avec l'aide d'amis passionnés, entreprit courageusement le sauvetage architectural du palais ;
    – depuis 1998, deux artistes photographes, Yuri Lewinski et Mayotte Magnus, poursuivent la restauration avec passion et originalité pour en faire un lieu vivant et culturel.
    • Hôpital Notre-Dame-de-Lorette : Notre-Dame de Lorette[53]

    En 1735, Olivier-Gabriel de Lubières du Bouchet fonde l'hospice autour de la chapelle Notre-Dame-de-Lorette, bâtie au XIIe siècle en l'emplacement d'un ancien lieu de culte. Selon la tradition, des bœufs se seraient agenouillés à cet endroit, devant une vierge noire couchée dans un sillon. Une niche est alors créée pour abriter la statue. Un pèlerinage se développe après une promesse d'indulgences, qui prend de l'ampleur. Le sanctuaire devint très fréquenté, et plusieurs familles s'y marient ou s'y font enterrer. La sépulture de l'évêque, décédé le au château d'Alan y est déposée. Suivant ses instructions, son cœur est transféré à Saint-Bertrand-de-Comminges. Au début du XVIIIe siècle, la chapelle est peu à peu délaissée au profit de celle de Notre-Dame de Saint-Bernard, construite en 1688. Elle n'est plus qu'une annexe de l'hôpital. Le , tous les bâtiments, dépendances et terre sont vendus.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason d"Alan

    Les armes d'Alan se blasonnent ainsi : D'argent aux trois cyprès de sinople, chacun surmonté d'une étoile d'azur.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Le Patrimoine des Communes de la Haute-Garonne. Flohic Editions, volume 1, Paris 2000, (ISBN 2-84234-081-7), p. 85–98.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[14].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[51].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique d'Alan » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

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    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    5. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Alan (31005) », (consulté le ).
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    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Alan » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Alan » (consulté le ).
    13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Alan » (consulté le ).
    16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

    Autres sources

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    2. Stephan Georg, « Distance entre Alan et Saint-Gaudens », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Alan et Cazères », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches d'Alan », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    8. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
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    11. Sandre, « le Bernès »
    12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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    53. Notre-Dame de Lorette
    54. « Église », notice no PA00094665, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    55. http://www.pixelistes.com/forum/rallye-photo-pixelistes-1-du-19-avril-au-21-juin-2010-t86246-105.html
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