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Benque

Benque est une commune française située dans l'ouest du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège.

Benque
Benque
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Saint-Gaudens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur et Coteaux du Comminges
Maire
Mandat
Jean-Claude Lasserre
2020-2026
Code postal 31420
Code commune 31063
Démographie
Gentilé Benquois
Population
municipale
168 hab. (2020 en augmentation de 3,07 % par rapport à 2014)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 15′ 41″ nord, 0° 55′ 14″ est
Altitude Min. 266 m
Max. 373 m
Superficie 11,3 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cazères
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Benque
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Benque
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Benque
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Benque

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Louge, la Nère et par divers autres petits cours d'eau.

    Benque est une commune rurale qui compte 168 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 466 habitants en 1806. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Benquois ou Benquoises.

    Géographie

    Localisation

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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    La commune de Benque se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 57 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, à 23 km de Saint-Gaudens[2], sous-préfecture, et à 15 km de Cazères[3], bureau centralisateur du canton de Cazères dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Martres-Tolosane[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Samouillan (2,1 km), Bachas (2,3 km), Peyrissas (3,0 km), Eoux (3,0 km), Montoulieu-Saint-Bernard (3,1 km), Boussan (3,1 km), Alan (3,8 km), Terrebasse (4,3 km).

    Sur le plan historique et culturel, Benque fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[5]. Les communes limitrophes sont Alan, Bachas, Boussan, Eoux, Lussan-Adeilhac, Montoulieu-Saint-Bernard, Peyrissas et Samouillan.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 1 130 hectares ; son altitude varie de 266 à 373 mètres[7].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Benque.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par la Louge, la Nère, un bras de la Nère, le ruisseau de Beaulieu, le ruisseau de Lapart, le ruisseau des Bordettes, le ruisseau des Mailhols, le ruisseau de Vic, le ruisseau du Berger, le ruisseau du Bernadon, le ruisseau du Loustalet et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 20 km de longueur totale[9] - [Carte 1].

    La Louge, d'une longueur totale de 100 km, prend sa source dans la commune de Villeneuve-Lécussan et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Muret, après avoir traversé 34 communes[10].

    La Nère, d'une longueur totale de 33,3 km, prend sa source dans la commune de Cardeilhac et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans la Louge à Montoussin, après avoir traversé 17 communes[11].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[13].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[12]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 898 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cerizols », sur la commune de Cérizols, mise en service en 1982[17] et qui se trouve à 19 km à vol d'oiseau[18] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 933,1 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 32 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[21], à 12,3 °C pour 1981-2010[22], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[23].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[24] - [25] - [26].

    Urbanisme

    Typologie

    Benque est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [27] - [I 2] - [28].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 3] - [I 4].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (35,9 %), terres arables (34,1 %), prairies (25,9 %), forêts (4,1 %)[29].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Benque est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible)[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Nère. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2000, 2009 et 2018[32] - [30].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Benque.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 87 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 87 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[34].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1993 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[30].

    Histoire

    Un premier habitat devait exister au lieu-dit Vic, aux époques gallo-romaines puis médiévale.

    Au XIe siècle, le comte de Comminges Bernard-Odon fait construire un édifice devant permettre la protection de l'abbaye de Peyrissas. Le château occupe le versant nord du coteau, dans la vallée de la Nère.

    L'implantation du village se fait aux alentours, dont témoignent les vestiges de quelques maisons, d'une chapelle, d'une forge. Une famille de Benque est mentionnée dès 1271, elle possède la seigneurie[35]. On ne sait pas si elle descend des comtes de Comminges[35]. Elle étend peu à peu sa domination sur plusieurs communes du canton d'Aurignac, Aulon, Cassagnabère-Ramefort, Esparon, Sainte-Rame, Saint-André, Samouillan, Montoulieu Saint-Bernard. Montégut-Bourjac, Fustignac et Escanecrabe entrent aussi dans son aire d'influence et son territoire est érigé en baronnie dès le XIIIe siècle. La famille de Benque s'éteint à la fin de l'Ancien Régime[35]. L'une de ses branches s'était fondue dans la famille de Mont devenue de Mont de Benque[35], qui elle-même s'est fondue dans la famille Dutfoy devenue Dutfoy de Mont de Benque par autorisation de 1935.

    Quatre autres maisons nobles sont mentionnées sur la commune, les Vic, les Maucabanne, les Verger et les Mirepech. Leurs domaines sont tous situés sur le versant sud, où une commanderie est également installée. Renouvelées en 1470, les coutumes de la communauté indiquent le droit civil et les dispositions pénales, garantissent les droits naturels et les libertés spécifiques et fixent les droits du seigneur. À la Toussaint, des consuls sont élus pour un an et jouent un rôle important dans le règlement de l'imposition des tailles et des dépenses locales.

    À la fin du XVIe siècle, le seigneur de Puigaillard prend possession des lieux, puis plusieurs propriétaires lui succèdent dont M. de Mont jusqu'en 1789, seigneur d'Eoux. Au XVIIIe siècle, près de la moitié des terres sont nobles. La population émigre sur le coteau vers 1855 et s'y installe définitivement après l'édification d'une nouvelle église en 1866.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes Cœur et Coteaux de Comminges et du canton de Cazères (avant le redécoupage départemental de 2014, Benque faisait partie de l'ex-canton d'Aurignac) et avant le 1er janvier 2017 de la communauté de communes des Terres d'Aurignac.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1989 En cours Jean-Claude Lasserre DVG Retraité Fonction publique

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37]. En 2020, la commune comptait 168 habitants[Note 7], en augmentation de 3,07 % par rapport à 2014 (Haute-Garonne : +7,44 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    378105466441441462445434436
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    423447442420402392407404405
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    379374364324302319327275269
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    273231202168170154146145163
    2015 2020 - - - - - - -
    162168-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[40] 1975[40] 1982[40] 1990[40] 1999[40] 2006[41] 2009[42] 2013[43]
    Rang de la commune dans le département 277 349 455 378 409 423 422 424
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Enseignement

    Benque fait partie de l'académie de Toulouse.

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 69 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 167 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 040 [I 5] (23 140  dans le département[I 6]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 7]3,6 %8,9 %6,9 %
    Département[I 8]7,7 %9,6 %9,3 %
    France entière[I 9]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 99 personnes, parmi lesquelles on compte 74,3 % d'actifs (67,3 % ayant un emploi et 6,9 % de chômeurs) et 25,7 % d'inactifs[Note 9] - [I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4] - [I 10]. Elle compte 17 emplois en 2018, contre 16 en 2013 et 14 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 67, soit un indicateur de concentration d'emploi de 24,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,1 %[I 11].

    Sur ces 67 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 16 travaillent dans la commune, soit 23 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 88,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,3 % les transports en commun, 2,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

    Activités hors agriculture

    12 établissements[Note 10] sont implantés à Benque au [I 14]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 12 entreprises implantées à Benque), contre 25,9 % au niveau départemental[I 15].

    Agriculture

    La commune est dans les « Coteaux de Gascogne », une petite région agricole occupant une partie ouest du département de la Haute-Garonne, constitué d'un relief de cuestas et de vallées peu profondes, creusés par les rivières issues du massif pyrénéen, avec une activité de polyculture et d’élevage[44]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

    1988200020102020
    Exploitations24181413
    SAU[Note 12] (ha)816794755689

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 24 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 18 en 2000 puis à 14 en 2010[46] et enfin à 13 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 46 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[47] - [Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 816 ha en 1988 à 689 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 34 à 53 ha[46].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • Famille de Benque, famille féodale éteinte[35]

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Le Patrimoine des Communes de la Haute-Garonne. Flohic Editions, volume 1, Paris 2000, (ISBN 2-84234-081-7), p. 129–131.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[14].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[45].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Benque » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Benque » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Benque » (consulté le ).
    6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Benque » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Benque » (consulté le ).
    12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Benque » (consulté le ).
    15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Benque et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Benque et Saint-Gaudens », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Benque et Cazères », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Benque », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    8. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    9. « Fiche communale de Benque », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
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    11. Sandre, « la Nère »
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