Quissac (Gard)
Quissac est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie.
Quissac | |
Vue aérienne du village. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | Gard |
Arrondissement | Le Vigan |
Intercommunalité | Communauté de communes du Piémont Cévenol (siège) |
Maire Mandat |
Serge Cathala 2020-2026 |
Code postal | 30260 |
Code commune | 30210 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Quissacois, Quissacoise |
Population municipale |
3 333 hab. (2020 ) |
Densité | 143 hab./km2 |
Population agglomération |
3 217 hab. (2017) |
GĂ©ographie | |
Coordonnées | 43° 54′ 37″ nord, 4° 00′ 03″ est |
Altitude | Min. 60 m Max. 472 m |
Superficie | 23,32 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Quissac (ville-centre) |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
DĂ©partementales | Canton de Quissac (bureau centralisateur) |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | quissac.fr |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Vidourle, le ruisseau de Crieulon, le ruisseau de Banassou et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Quissac est une commune rurale qui compte 3 333 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est ville-centre de l'unité urbaine de Quissac. Ses habitants sont appelés les Quissacois ou Quissacoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le temple protestant, inscrit en 2012.
GĂ©ographie
Hydrographie et relief
Quissac est un village gardois situé en bordure du fleuve le Vidourle, non loin de Nîmes et de Montpellier, dominé par le massif de Coutach dont la forêt se compose essentiellement de chênes verts et dont le point culminant, au sommet d'une grande colline (presque une montagne...) de forme pyramidale, atteint 472 mètres à Piecan. Entre mer et Cévennes, Quissac fait partie de ces villages pittoresques au riche passé, entouré de vignes et de garrigues.
Le Vidourle peut connaître des crues spectaculaires, les vidourlades[1], qui sont dans la mémoire de tous les Quissacois. Le reste de l'année, le Vidourle a un régime proche de celui des oueds. Son débit est souvent faible, en été, presque à sec, il n'est guère impressionnant.
La Garonette, rivière sachant se faire discrète, disparaît sous le village pour réapparaître au pied du temple et se jeter dans le Vidourle. Ce ruisseau est cependant redoutable en cas de fort orage, notamment en automne...
Le Crieulon, affluent du Vidourle avec un régime pluvial qui peut atteindre des débits importants, a nécessité la construction d'un barrage écrêteur de crues (le barrage de la Rouvière). L'édifice se situe sur les communes de Bragassargues (pour la rive gauche) et de Quissac (rive droite).
Urbanisme
Typologie
Quissac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [I 1] - [3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Quissac, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[I 2] et 3 497 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[I 3] - [I 4]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 5] - [I 6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,6 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,5 %), cultures permanentes (9,3 %), terres arables (8,6 %), zones urbanisées (8,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,3 %)[4].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Quissac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[5]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[6].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Vidourle et le ruisseau de Crieulon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1993, 1994, 1995, 2001, 2002, 2010, 2014 et 2021[7] - [5].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 88,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 208 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1203 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[8] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[9].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[10].
Toponymie
Nommé Quintiacum dans un texte latin médiéval de 1274, ce nom signifie "le domaine de Quintus", nom romain de personne ("le Cinquième").
Histoire
La fondation de Quissac remonte au Moyen Âge, comme en témoigne le quartier de Vièle. Avec ses ruelles étroites et ses maisons en pierre, le vieux quartier de Quissac a gardé son authenticité. On trouve la première mention de Quissac en 1274 : son église dépend alors de l'abbaye de Sauve[11]. La paroisse devient ensuite le centre d'un des archiprêtrés mis en place à la fin du XVIIe siècle pour renforcer l’encadrement catholique de la région, l'église étant reconstruite et agrandie à la même période. La population est cependant majoritairement protestante. L’industrie textile et des peaux se développe : le bourg devient un centre de fabrication de chapeaux et de bas de soie, activité qui perdurera jusqu'au XXe siècle[12].
Avec le XIXe siècle et l'essor économique de la vigne, le village se développe, aidé par l'arrivée du chemin de fer en 1872. L'existence de tanneries sur le Vidourle, mais également des activités plus traditionnelles comme le commerce de bestiaux et les traditionnelles magnaneries, participent à ce développement.
Autour du « Camp Neuf », un deuxième village se constitue.
À noter également, la construction au milieu du XIXe siècle d'un canal d'irrigation à partir du Vidourle, allant de Quissac à Orthoux.
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[13] : le « barrage de la Rouvière » (49 ha), couvrant 3 communes du département[14], et les « collines marneuses du Banassou » (179 ha), couvrant 2 communes du département[15] et deux ZNIEFF de type 2[Note 3] - [13] :
- les « plaines de Pompignan et du Vidourle » (12 043 ha), couvrant 12 communes dont 9 dans le Gard et 3 dans l'Hérault[16] ;
- la « vallée du Vidourle de Sauve aux étangs » (691 ha), couvrant 21 communes dont 16 dans le Gard et 5 dans l'Hérault[17].
- Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
HĂ©raldique
Blason | D'argent au pont de sept arches de gueules, celle du milieu plus grande, sommé d'un saule pleureur de sinople et posé sur des ondes du même mouvant de la pointe. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
Quissac appartient à l'arrondissement du Vigan et au canton de Quissac, dont elle est le chef-lieu depuis sa création. Le redécoupage cantonal de 2014 en a modifié sa composition.
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la cinquième circonscription du Gard, représentée depuis par Olivier Gaillard (SE, ex-LREM).
Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relève du tribunal d'instance, du tribunal de grande instance et du conseil de prud’hommes d'Alès, du tribunal pour enfants, du tribunal de commerce, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Nîmes et de la cour administrative d'appel de Toulouse[18].
Intercommunalité
Depuis le , date de sa création, la commune appartient à la communauté de communes du Piémont Cévenol, intercommunalité issue de la fusion de trois communautés de communes. Cette entité a succédé à la communauté de communes Coutach Vidourle fondée en 2003.
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement Ă©tant compris entre 2 500 et 3 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 23[19].
Liste des maires
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].
En 2020, la commune comptait 3 333 habitants[Note 4], en augmentation de 5,61 % par rapport Ă 2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 1 359 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 3 121 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 610 €[I 7] (20 020 € dans le département[I 8]). 38 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 6] (43,9 % dans le département).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 9] | 8,8 % | 10,4 % | 9,2 % |
DĂ©partement[I 10] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 937 personnes, parmi lesquelles on compte 74 % d'actifs (64,7 % ayant un emploi et 9,2 % de chômeurs) et 26 % d'inactifs[Note 7] - [I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3] - [I 12]. Elle compte 1 191 emplois en 2018, contre 1 139 en 2013 et 1 000 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 283, soit un indicateur de concentration d'emploi de 92,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,6 %[I 13].
Sur ces 1 283 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 500 travaillent dans la commune, soit 39 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 76,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 11,4 % les transports en commun, 6,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
Secteurs d'activités
359 établissements[Note 8] sont implantés à Quissac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9] - [I 16].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 359 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 28 | 7,8 % | (7,9 %) |
Construction | 55 | 15,3 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 95 | 26,5 % | (30 %) |
Information et communication | 9 | 2,5 % | (2,2 %) |
Activités financières et d'assurance | 6 | 1,7 % | (3 %) |
Activités immobilières | 10 | 2,8 % | (4,1 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 51 | 14,2 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 70 | 19,5 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 35 | 9,7 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,5 % du nombre total d'établissements de la commune (95 sur les 359 entreprises implantées à Quissac), contre 30 % au niveau départemental[I 17].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[28] :
- Bervavi, supermarchés (8 790 k€)
- David Vergnon Automobiles, entretien et réparation de véhicules automobiles légers (4 609 k€)
- Sobefa, fabrication d'éléments en béton pour la construction (1 850 k€)
- Le Grand Bazar, autres commerces de détail spécialisés divers (321 k€)
- Medi.tel, autres activités de soutien aux entreprises n.c.a. (154 k€)
Agriculture
La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[29]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 53 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 32 en 2000 puis à 19 en 2010[31] et enfin à 18 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 66 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[32] - [Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 726 ha en 1988 à 351 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 14 à 20 ha[31].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La Tour des Fées, ruinée, sur la rive droite du Vidourle
- Saint-Faustin-et-Saint-Jovite, restaurée entièrement au XVIIe siècle après les guerres de Religion, et qui possède un clocher surmonté d'un campanile en fer forgé de forme pyramidale qui abrite l'ancienne cloche des heures (fin XVIIe siècle).
- Temple protestant de Quissac : du plus pur style néoclassique des années 1830. La façade donnant sur le quai du Vidourle possède une remarquable et monumentale colonnade à cannelures (portique d'entrée) supportant un large fronton triangulaire (digne d'un palais de Justice...). L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 2012[33]. Son clocher abrite une cloche des années 1840 de 440 kg issue des ateliers Jean Baptiste de Marseille.
- Hôtel de ville début XXe, de style très « parisien » et qui possède une haute toiture à 4 pans en ardoises ; un cadran d'horloge y est présent au sein d'un œil-de-bœuf sculpté ; un petit campanile avec carillon supportant 3 cloches surmonte le tout.
- Vieux pont du Vidourle bien souvent mis Ă mal par les crues.
- « Château de Sabatier » en direction de Sauve (privé, ne se visite pas), domaine d'origine médiévale remanié au XVIIIe siècle ; superbe et monumentale grille d'entrée, chef-d'œuvre de ferronnerie d'époque Louis XVI ; présence d'un gracieux petit campanile milieu XVIIIe en fer forgé ouvragé, abritant une cloche des heures de la même époque sur l'une des tours.
Cultes
- Église Protestante Unie de France[34]
- Église évangélique A.D.D., route d'Anduze[35].
Personnalités liées à la commune
- Jacques Jac ( - Quissac ✝ - Sommières), député français.
- Pierre Coste ( - Quissac ✝ - Nîmes), colonel du Premier Empire.
- Louis Devillas naquit à Quissac en 1747 et mourut à Paris en 1832. Veuf et sans enfant, il lègue toute sa fortune (1.100.000 F) pour la fondation de deux hospices, l'un dans sa ville natale et l'autre à Paris, dans son hôtel au 17 rue du Regard[36], qui devint l'hospice Devillas.
Voir aussi
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[30].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Quissac » (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Quissac » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Quissac » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Quissac » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Quissac » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).
Autres sources
- « vidourlade — Wiktionnaire », sur fr.wiktionary.org (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Quissac », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Quissac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Dictionnaire topographique du Gard, Germer-Durand, 1868.
- Le Gard de la préhistoire à nos jours, dir. Raymond Huard, éd. Bordessoules, 2003.
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Quissac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « barrage de la Rouvière » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « ZNIEFF les « plaines de Pompignan et du Vidourle » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée du Vidourle de Sauve aux étangs » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur le site du ministère de la Justice et des libertés (consulté le ).
- Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- Les maires de Quissac, sur FranceGenWeb
- Notice ROUSSET Désiré, Marcel, Jean-Louis, Antoine par Gilles Morin, version mise en ligne le 28 août 2015, dernière modification le 9 septembre 2015
- « Disparition de l’ancien maire, Robert Bresson », Midi Libre,‎ (lire en ligne).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014 (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Entreprises à Quissac », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Quissac - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gard » (consulté le ).
- « Temple protestant », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Église Protestante Unie de France »
- « Église Évangélique A.D.D. »
- Charles du Rozoir, Louis Devillas : 1747-1832, dans Les bienfaiteurs de l'Humanité : Études biographiques, Paris : Librairie Paul Ducrocq, 1878, pp.229-233)
Liens externes
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