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Bragassargues

Bragassargues est une commune française située dans le centre du département du Gard, en région Occitanie.

Bragassargues
Bragassargues
Mairie
Blason de Bragassargues
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Le Vigan
Intercommunalité Communauté de communes du Piémont Cévenol
Maire
Mandat
Jean-Pierre Zucconi
2020-2026
Code postal 30260
Code commune 30050
Démographie
Gentilé Bragassargais
Population
municipale
167 hab. (2020 en augmentation de 2,45 % par rapport à 2014)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 55′ 04″ nord, 4° 03′ 06″ est
Altitude Min. 69 m
Max. 243 m
Superficie 7,49 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Quissac
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Bragassargues
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Bragassargues
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Bragassargues

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le ruisseau de Crieulon et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Bragassargues est une commune rurale qui compte 167 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Ses habitants sont appelés les Bragassarguois ou Bragassarguoises.

    Géographie

    Localisation

    Bragassargues est traversé par le chemin de randonnée GR 63 qui part d'Avignon pour retrouver les Cévennes.

    Le village est situé à 26 km à l'ouest-nord-ouest de Nîmes et à 37 km au sud-est du Vigan, sous-préfecture dont dépend la commune. Il est situé entre les garrigues nîmoises et les Cévennes.

    Hydrographie et relief

    Le village est adossé aux collines calcaires, la vigne est cultivée sur les coteaux.

    Le Crieulon, affluent du Vidourle avec un régime pluvial qui peut atteindre des débits importants, a nécessité la construction d'un barrage écrêteur de crues (le barrage de la Rouvière). L'édifice se situe sur les communes de Bragassargues (pour la rive gauche) et de Quissac (rive droite).

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 17,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 17,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 884 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vic Le Fesq », sur la commune de Vic-le-Fesq, mise en service en 1966[6] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,8 °C et la hauteur de précipitations de 827,7 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nimes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 26 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[13] : le « barrage de la Rouvière » (49 ha), couvrant 3 communes du département[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Bragassargues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [I 1] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (67,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (65,2 %), cultures permanentes (31,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,6 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Bragassargues est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le ruisseau de Crieulon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1993, 1994, 1996, 2001 et 2002[20] - [18].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bragassargues.

    La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[21]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 81,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 100 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 100 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

    Toponymie

    Ses habitants se nomment les Bragassargais.

    Histoire

    Préhistoire

    Découverte, sur le territoire de la commune, d'une statue-menhir datant d'environ 3000 ans av. J.-C. Celle-ci est actuellement exposée au muséum d'histoire naturelle de Nîmes.

    Antiquité

    D'autres traces d’une occupation humaine sur le territoire de Bragassargues remontent à la période protohistorique et sont attestées par des céramiques datées des Ve et VIe siècles av. J.-C. découvertes au castellas de Roucaute, et par une enceinte dont subsistent des vestiges.

    Moyen Âge

    Sur le même site, un château est bâti au XIIe siècle : en restent les murs du donjon et une partie de l’enceinte. À cette époque, le hameau de Bragassargues existe depuis au moins deux siècles : il est mentionné pour la première fois en 959, sous le nom de « Bracacianicus », dans le cartulaire de Notre-Dame de Nîmes.

    Époque moderne

    Au XVIIe siècle, le village est protestant. Jacques Bonbonnoux, figure de la guerre des Camisards, naît à Bragassargues. L’église, le presbytère et le cimetière catholique sont vendus à la Révolution.

    Époque contemporaine

    La commune connaît peu d’évolutions au cours du XIXe siècle. Les terres sont majoritairement constituées de bois et de pâtures, les cultures principalement consacrées à la céréaliculture, complétée à la marge d’oliviers et de mûriers. La vigne est quasi inexistante jusqu’au XXe siècle. Bragassargues est une commune pauvre, peu peuplée, dont la population est dispersée entre le petit village central et les mas des grandes propriétés agricoles auxquelles appartiennent les 3/4 des terres, orientés vers l’élevage[24]. Ce contexte explique l’absence d’un patrimoine communal important. L’investissement dans les équipements collectifs est limité : deux puits communaux, une mairie-école à la fin du XIXe siècle[25].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1971 juin 2005 Robert Ratier PCF
    juillet 2005 mars 2008 Patrick Deschuyteneer
    mars 2008 2014 Michel Marion SE
    mars 2014 En cours Jean-Yves Grosmaître SE Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

    En 2020, la commune comptait 167 habitants[Note 6], en augmentation de 2,45 % par rapport à 2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9074998386767784101
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    911061091009568858293
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1058086889286768980
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    797654689494122124143
    2015 2020 - - - - - - -
    173167-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 69 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 163 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 430 â‚¬[I 4] (20 020 â‚¬ dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]8,2 %11,1 %4,5 %
    Département[I 7]10,6 %12 %12 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 92 personnes, parmi lesquelles on compte 77,5 % d'actifs (73 % ayant un emploi et 4,5 % de chômeurs) et 22,5 % d'inactifs[Note 8] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 16 emplois en 2018, contre 13 en 2013 et 15 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 68, soit un indicateur de concentration d'emploi de 24,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,2 %[I 10].

    Sur ces 68 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 15 travaillent dans la commune, soit 23 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 81,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3 % les transports en commun, 4,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    16 établissements[Note 9] sont implantés à Bragassargues au [I 13]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 16 entreprises implantées à Bragassargues), contre 30 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations7688
    SAU[Note 10] (ha)182187237231

    La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[30]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la viticulture[Carte 4]. Huit exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 12] (sept en 1988). La superficie agricole utilisée est de 231 ha[32] - [Carte 5] - [Carte 6].

    Culture locale et patrimoine

    Héraldique

    Blason de Brassargues

    Les armes de Brassargues se blasonnent ainsi :

    D'azur aux trois rochers d'argent mouvant de la pointe, au chef du même chargé de trois étoiles de gueules[33].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[31].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Bragassargues » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Bragassargues » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Bragassargues » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Bragassargues » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Vic Le Fesq - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Bragassargues et Vic-le-Fesq », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Vic Le Fesq - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Bragassargues et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Nimes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Nimes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nimes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Liste des ZNIEFF de la commune de Bragassargues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « ZNIEFF le « barrage de la Rouvière » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. « Les risques près de chez moi - commune de Bragassargues », sur Géorisques (consulté le )
    19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    20. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    21. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
    22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Bragassargues », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    24. Histoire d'un isolat : Bragassargues aux XIXe et XXe siècle/ Michel Fratissier. - Montpellier : Univ. Paul Valéry, 1982. Disponible aux Archives Départementales du Gard.
    25. Archives départementales du Gard : 2 O 424 X : construction de puits.
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    31. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    32. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Bragassargues - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    33. « Blason de la commune », sur www.labanquedublason2.com (consulté le ).
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