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Puechredon

Puechredon est une commune française située dans le centre du département du Gard en région Occitanie.

Puechredon
Puechredon
Vue du hameau.
Blason de Puechredon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Le Vigan
Intercommunalité Communauté de communes du Piémont Cévenol
Maire
Mandat
Guillaume Gras
2020-2026
Code postal 30610
Code commune 30208
Démographie
Population
municipale
46 hab. (2020 en augmentation de 35,29 % par rapport à 2014)
Densité 5,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 57′ 28″ nord, 4° 02′ 53″ est
Altitude Min. 93 m
Max. 242 m
Superficie 8,08 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Quissac
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Puechredon
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Puechredon

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par divers petits cours d'eau.

    Puechredon est une commune rurale qui compte 46 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Ses habitants sont appelés les Puechredonais ou Puechredonaises.

    Géographie

    Carte

    Puechredon est situé à 20 km au sud d'Alès entre Lédignan et Sauve. Le village est sis sur une butte de faible altitude dominant une petite plaine agricole. La route départementale 8 passe à son pied.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 18,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 17,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 899 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cardet », sur la commune de Cardet, mise en service en 1969[6] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,3 °C et la hauteur de précipitations de 951,3 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 28 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13] - [14] - [15].

    Urbanisme

    Typologie

    Puechredon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [16] - [I 1] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (55,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52 %), cultures permanentes (41,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,8 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Puechredon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1994 et 2002[21] - [19].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Puechredon.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 84,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 17 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 17 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].

    Toponymie

    Puechredon est composé de puech, forme locale dérivée du latin podium, "lieu élevé, petite montagne", et de l'adjectif occitan redon (prononcer 'rédoun'), "rond".

    Histoire

    église de Puechredon

    Le cartulaire de ND de Nîmes mentionne en 959 le legs d'une propriété située entre les paroisses d'Ezas et Bragassargues. La première mention du lieu date de 1156 dans une bulle du pape Adrien IV[25], en 1217 une bulle du pape Honorius III indique que des terres de Puechredon appartiennent à l'abbaye de Mazan.

    On sait que le château a été partiellement incendié lors de la guerre des Camisards, que la seigneurie appartint successivement aux familles de Montuzorgues, de Salve, de la Roque, Daguerre de Massanes, Molle[26]. Rivoire mentionne en 1842 une commune de plaines et de coteaux boisés[27].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1792 1792 Jean-François Cazaly
    1792 1816 Louis Richard
    1816 1859 Auguste Bros
    1859 1877 Alphonse Bros
    1878 1884 Jean-Louis Dombre
    1884 1889 Paul Durand
    1889 1906 Jean Vachalde
    1906 1912 Julien Vachalde
    1912 1924 Justin Durand
    1924 1936 Albain Gras
    1936 1945 René Liautaud
    1945 1983 Arthur Gras
    1983 2014 Jean-Claude Gras SE
    2014 en cours Guillaume Gras SE
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

    En 2020, la commune comptait 46 habitants[Note 5], en augmentation de 35,29 % par rapport à 2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    726152526572566055
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    665049545243335938
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    575555598666386550
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    403820303536373735
    2018 2020 - - - - - - -
    4446-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 4]3,8 %8,7 %6,9 %
    Département[I 5]10,6 %12 %12 %
    France entière[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 29 personnes, parmi lesquelles on compte 44,8 % d'actifs (37,9 % ayant un emploi et 6,9 % de chômeurs) et 55,2 % d'inactifs[Note 6] - [I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 3] - [I 7]. Elle compte emplois en 2018, contre 11 en 2013 et 5 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 11, soit un indicateur de concentration d'emploi de 18,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 35,1 %[I 8].

    Sur ces 11 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 1 travaillent dans la commune, soit 9 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 90,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 9,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Activités hors agriculture

    Deux établissements[Note 7] seulement relevant d’une activité hors champ de l’agriculture sont implantés à Puechredon au [I 11].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations5456
    SAU[Note 8] (ha)202257252207

    La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[32]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est la viticulture[Carte 4]. Six exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 10] (cinq en 1988). La superficie agricole utilisée est de 207 ha[34] - [Carte 5] - [Carte 6].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Ancienne chapelle Saint-André-de-Puechflavard (vestiges, privée, ne se visite pas). La première mention de cette église relevant du chapitre de Notre-Dame de Nîmes date de 1156. Il reste de l’église le chevet, très abîmé et fendu, et une portion des murs gouttereaux. Le bâtiment est qualifié de magnifique lors d’une visite de l’évêque Cohon au début du XVII e s. L'église est désaffectée depuis le XVIII e s., en ruines au moins depuis 1842[27]. Elle dépendait du chapitre de Notre-Dame de Nîmes[35] ;
    • Chapelle du mas de Puechredon (privée, ne se visite pas, construite en 1686 par Joseph Delaire maçon à Quissac sur les plans de Guillaume Calhaud architecte de Carcassonne) ;
    • Charbonnière du bois du Castellas ;
    • Four à chaux (privé, ne se visite pas) : ce four est mentionné par Émilien Dumas dans les années 1870.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-Pierre Claris de Florian (1755-1794), neveu d'Antoine de Claris coseigneur de Puechredon.
    • Jean-Frédéric Bros de Puechredon, capitaine de frégate, auteur d'un essai sur les écoles de marine.
    • Charles Gide (1847-1932), beau-frère de Charles Brot du domaine de Puechredon, fut conseiller municipal dans les années 1880.
    • Marcel Bros de Puechredon (1877-1945), capitaine de cavalerie, pilote de la Grande Guerre, tankiste puis banquier.
    • Jean Charvein (1928-2013), directeur de la photographie

    Héraldique

    Ce blason est à l'origine celui de la communauté des habitants de Saint-André de Puechflavard. Imposé arbitrairement par le roi en vertu de l'édit de novembre 1696. Les armes de Puechredon se blasonnent ainsi : D'or, à la bande fuselée d'argent et de sable.

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    7. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    8. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    9. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    10. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[33].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Cardet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Puechredon et Cardet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Cardet - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Puechredon et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Puechredon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Puechredon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « Liste des espaces protégés sur la commune de Puechredon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. « Les risques près de chez moi - commune de Puechredon », sur Géorisques (consulté le )
    20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    21. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Puechredon », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    25. Dictionnaire topographique du Gard, Germer-Durand, 1868.
    26. et Bros. Il existait également sur le territoire de la commune, une coseigneurie qui appartint aux familles Claris puis du Ranc de Bagard. Le Gard de la préhistoire à nos jours, dir. Raymond Huard, éd. Bordessoules, 2003
    27. Statistique du Gard, Hector Rivoire, 1842.
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    33. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    34. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Puechredon - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    35. Pierre Clément, Les églises romanes oubliées du bas Languedoc, 1989.

    Liens externes

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