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Saint-Astier (Dordogne)

Saint-Astier est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Astier
Saint-Astier (Dordogne)
L'Isle Ă  Saint-Astier.
Blason de Saint-Astier
Blason
Saint-Astier (Dordogne)
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement PĂ©rigueux
Intercommunalité Communauté de communes Isle Vern Salembre en Périgord
(siĂšge)
Maire
Mandat
Élisabeth Marty
2021-2026
Code postal 24110
Code commune 24372
DĂ©mographie
Gentilé Astériens
Population
municipale
5 340 hab. (2020 en diminution de 3,28 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 156 hab./km2
Population
agglomération
6 537 hab. (2020)
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 08â€Č 47″ nord, 0° 31â€Č 45″ est
Altitude Min. 58 m
Max. 222 m
Superficie 34,25 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Astier
(ville-centre)
Aire d'attraction PĂ©rigueux
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Astier
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Saint-Astier
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Saint-Astier
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Saint-Astier
Liens
Site web http://www.saint-astier.fr/

    De 1790 à 1801, puis de 1829 à 2015, la commune a été le chef-lieu du canton de Saint-Astier, puis à partir de 2015, son bureau centralisateur.

    GĂ©ographie

    Généralités

    SituĂ©e Ă  100 km Ă  l’est de Bordeaux et Ă  20 km Ă  l’ouest de PĂ©rigueux, Saint-Astier s’inscrit au cƓur de la vallĂ©e de l’Isle. La croissance de sa population prouve la vitalitĂ© de sa vie Ă©conomique et associative. La commune est desservie par la ligne de Coutras Ă  Tulle avec la gare de Saint-Astier. La prĂ©sence de l'autoroute A89 reprĂ©sente un atout majeur.

    La ville de Saint-Astier possĂšde un riche patrimoine historique. Certaines constructions insolites en tĂ©moignent aujourd’hui : mottes fĂ©odales, cluzeaux, chĂąteaux, Ă©glise fortifiĂ©e, etc. Parfaitement intĂ©grĂ©es au paysage, elles constituent autant de liens entre les lointains rĂ©sidents du pays et ceux qui y vivent aujourd’hui. La campagne est Ă©galement jalonnĂ©e de petites constructions : moulins Ă  eau, pigeonniers, puits couverts, illustrent une Ă©conomie et un mode de vie dĂ©sormais disparus.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Astier et des communes avoisinantes.

    Saint-Astier est limitrophe de huit autres communes dont Annesse-et-Beaulieu au nord-est sur environ 270 mĂštres.

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Saint-Astier est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant pour certaines du CĂ©nozoĂŻque, et pour d'autres du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c5a(2), date du Campanien 1, des calcaires packstone Ă  wackstone crayo-marneux gris blanchĂątres Ă  subalvĂ©olines Ă  silex gris ou noirs. La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indiffĂ©renciĂ©es de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altĂ©rites. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « no 782 - Mussidan » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[2] - [3] et sa notice associĂ©e[4].

    Carte géologique de Saint-Astier.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 58 mĂštres et 222 mĂštres[5] - [6].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [7]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] - [8]. La commune est dans l'unitĂ© paysagĂšre de la « VallĂ©e de l'Isle », qui prĂ©sente un profil contrastĂ© : une vallĂ©e relativement encaissĂ©e, aux coteaux affirmĂ©s, dominant le fond de vallĂ©e de 60 Ă  80 m en amont de Mussidan, une vallĂ©e plus Ă©largie en aval avec un fond de vallĂ©e plat, large de 1,5 Ă  2 km. À la fois agricole et urbanisĂ©e, elle est parcourue par de nombreuses voies de communication[9] - [10].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 34,25 km2[5] - [11] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 35,66 km2[3].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainĂ©e par l'Isle, le Salembre, la Civade, le Puyolem, le Jouis, le ruisseau de Loirat, le ruisseau de Pavie et par divers petits cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 41 km de longueur totale[15] - [Carte 1].

    L'Isle, d'une longueur totale de 255,29 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Janailhac et se jette dans la Dordogne — dont elle est le principal affluent — en rive droite face Ă  Arveyres, en limite de Fronsac et de Libourne[16] - [17]. Elle traverse la commune du nord-est au sud sur plus de neuf kilomĂštres, lui servant de limite naturelle sur plus de trois kilomĂštres et demi, en deux tronçons, face Ă  Montrem et Saint-LĂ©on-sur-l'Isle.

    Son affluent de rive droite le Jouis sert de limite territoriale au nord-est sur plus d'un kilomĂštre et demi, face Ă  LĂ©guillac-de-l'Auche et Annesse-et-Beaulieu.

    Le Salembre, d'une longueur totale de 16,97 km, prend sa source dans la commune de Saint-Aquilin et se jette dans l'Isle en rive droite Ă  Neuvic, au sud de Neuvic Gare[18]. Il marque la limite communale Ă  l'ouest sur plus de 800 mĂštres, face Ă  ChantĂ©rac.

    Trois autres affluents de l'Isle arrosent la commune : en rive droite, la Civade (cinq kilomĂštres et demi dont un kilomĂštre et demi en limite de Saint-LĂ©on-sur-l'Isle) et le Puyolem (plus de cinq kilomĂštres et demi) qui prennent tous deux leur source dans le nord-ouest du territoire communal, et en rive gauche le ruisseau de Pavie (trois kilomĂštres) ainsi que son affluent de rive droite le ruisseau de Loirat (plus de 700 mĂštres).

    Coupant en rive droite un méandre de l'Isle entre Laborie et le Pontet, un canal s'étire sur 1,3 kilomÚtre.

    • L'Isle au pont de Saint-Astier (en direction de l'aval).
      L'Isle au pont de Saint-Astier (en direction de l'aval).
    • Le canal de Saint-Astier.
      Le canal de Saint-Astier.
    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      RĂ©seaux hydrographique et routier de Saint-Astier.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [20].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[21]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[22].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[21]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 9,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 861 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[25] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[26] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-RibĂ©rac, mise en service en 1993[27] et qui se trouve Ă  16 km Ă  vol d'oiseau[28] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 914,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[29]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et Ă  33 km[30], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[31], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[32], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[33].

    Milieux naturels et biodiversité

    Plusieurs zones de protection liées aux cours d'eau sont délimitées sur le territoire communal.

    Natura 2000

    Depuis Périgueux jusqu'à sa confluence avec la Dordogne, l'Isle et sa vallée, ensemble de prairies et de cultures, représentent un site Natura 2000 trÚs important pour une plante, l'angélique à fruits variables (Angelica heterocarpa) ainsi que pour le vison d'Europe et une libellule : le gomphe de Graslin (Gomphus graslinii). Outre la cistude d'Europe (Emys orbicularis) et l'écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes), on y trouve également des aires de reproduction de six espÚces de poissons dont des lamproies et des aloses[34].

    ZNIEFF

    Trois zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 1 sont constituĂ©es sur le territoire communal :

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Astier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 7] - [41] - [42] - [43]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Saint-Astier, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 2 communes[44] et 6 742 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[45] - [46].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de PĂ©rigueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[47] - [48].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (53,3 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (58,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (32,7 %), forĂȘts (30,6 %), prairies (16 %), zones urbanisĂ©es (9,9 %), terres arables (4,6 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (3,7 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (2,6 %)[49].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    • Astier sur l'Isle
    • aux Courroies
    • Bellevue
    • Blanquine
    • Bonneval
    • Brouillaud
    • Brousset
    • Cabane de CranillĂšre
    • Chapelle des Bois
    • Chassaing
    • ChĂąteau de Puy Ferrat
    • CheneviĂšre
    • Crognac
    • Davalant
    • Excideuil
    • Fareyroux
    • FerriĂšre
    • Fontaneau
    • Fonvaleix
    • Gouraud
    • Jaffet
    • Jevah-Haut
    • Jevah-bas
    • la Basse Vaure
    • la Bassonie
    • la Bellonie
    • la Borie
    • la Chanterie
    • la Chapelle
    • la Civade
    • la Combette
    • la Floque
    • la Garmanie
    • la Grange
    • la Jarthe
    • la Jaurie
    • la Massoulie
    • la Mouline
    • la Passe
    • la Serve
    • la Turne
    • la Vaure
    • Labatut
    • Lautonie
    • le Fournet
    • le Lac Bleu
    • le Moulin de Puyolem
    • le Moulin du Puy
    • le Nicoulou
    • le Perrier
    • le Petit Puy
    • le Pigat
    • le Pontet
    • le Port
    • le Puy Saint-Astier
    • le Puyolem
    • le Roc
    • le Roudier
    • le Sausier
    • le Sol
    • le Verdier
    • le Zalat
    • l'Éperon
    • les Brandes
    • les Brousses
    • les Chapelles
    • les Chaumes
    • les Granges de Mangetout
    • les Moreloux
    • les Pichaux
    • les Quatre Routes
    • les Roches
    • les VeyssiĂšres
    • Leybardie
    • Leybarterie
    • LonguecĂŽte
    • Merland
    • Merland du Puy
    • Monplaisir
    • Nouaillac
    • Puy de Merland
    • Puychaussat
    • Puyhonin
    • Puyolem
    • RebiĂšre
    • Redondie
    • Redondie Basse
    • Reyterie
    • Rigole
    • Rougerie
    • Surbeyrol
    • Tamarelle
    • Theveny

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Saint-Astier est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[50]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[51].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) de PĂ©rigueux, regroupant 12 communes concernĂ©es par un risque de dĂ©bordement de l'Isle, un des 18 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[52]. Les Ă©vĂ©nements antĂ©rieurs Ă  2014 les plus significatifs sont les crues de 1783 (15,21 m Ă  l'Ă©chelle de crue, la crue la plus importante connue), de 1843 (14,83 m) et de 1944 (14,5 m, 630 m3/s, la crue centennale de rĂ©fĂ©rence). Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[53]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1986, 1987, 1993, 1998, 1999 et 2018[54] - [50]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de l'« agglomĂ©ration de PĂ©rigueux » prescrit le et approuvĂ© le , pour les crues de l'Isle. La crue de 1944, plus haute crue historique bien connue sur l’Isle, avec un dĂ©bit estimĂ© de 630 m3/s Ă  PĂ©rigueux, prĂ©sente une pĂ©riode de retour centennale et sert de crue de rĂ©fĂ©rence au PPRI[55].

    Saint-Astier est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[56]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[57] - [58].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Astier.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des tassements diffĂ©rentiels[59]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[60]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[61]. 95,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [62].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1995, 1997, 2005, 2009 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2020[50].

    Toponymie

    Le nom de la commune fait référence à l'ermite Astérius qui s'est installé dans une grotte au début du VIe siÚcle[63].

    En occitan, la commune porte le nom de Sench Astier[64].

    Histoire

    Statue représentant
    l'ermite saint Astier.

    Le territoire communal est habité dÚs le Néolithique puis à l'époque gallo-romaine[63].

    La ville et son nom sont liĂ©s Ă  l’histoire d’un homme, AstĂ©rius, fils d’une famille romaine, nĂ© au VIe siĂšcle Ă  Puy-de-Pont, Ă  l’embouchure de l’Isle et du Salembre, prĂšs de Neuvic sur l'Isle. La lĂ©gende veut que, devenu ermite, il rĂ©alise de nombreux miracles donnant au lieu une certaine renommĂ©e. AprĂšs sa mort, son tombeau attirant la dĂ©votion des fidĂšles, une abbaye est bĂątie au VIIIe siĂšcle, autour de laquelle s'Ă©tablit une citĂ©[63]. Sur les rives de l’Isle, la petite bourgade subit de plein fouet les invasions qui ravagent le PĂ©rigord, notamment par les Normands qui la dĂ©vastent en 849[63]. En 980, une Ă©glise est bĂątie. Les restes de saint Astier y sont transfĂ©rĂ©s.

    L’église elle-mĂȘme fera l’objet de fortifications successives, lui donnant son aspect massif actuel. IncendiĂ©e, elle sera reconstruite au XIe siĂšcle et connaĂźtra plusieurs modifications jusqu’à nos jours. En 1219, Saint-Astier devient l’une des trente-quatre villes fortifiĂ©es du PĂ©rigord, se protĂ©geant en particulier du cĂŽtĂ© de la riviĂšre.

    La premiĂšre mention Ă©crite connue du lieu remonte au dĂ©but du XIe siĂšcle sous la forme latine Sanctus Astherius[63]. À la fin du XIVe siĂšcle, ce nom se transforme en Chasterius, puis au XVIe siĂšcle en Chastier et Chastey[63]. La commune porta, au cours de la pĂ©riode rĂ©volutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom d'Astier-sur-l'Isle[5].

    L’évĂšnement marquant du XIXe siĂšcle fut la construction d’un pont permanent sur l’Isle, en remplacement des fragiles passerelles en bois, auxquelles chaque crue Ă©tait fatale. DĂšs 1829, monsieur de Valbrune dĂ©cide de se consacrer Ă  la rĂ©alisation de cet ouvrage. Un appel Ă  souscription est lancĂ©. Les AstĂ©riens et les communes environnantes rĂ©pondent pour une somme de 56 000 francs. Le pont, commencĂ© en 1831, fut livrĂ© Ă  la circulation le . Cette mĂ©thode de la souscription publique fut utilisĂ©e pour agrandir la place du marchĂ© aux bƓufs mais aussi pour remplacer l’horloge du clocher.

    À proximitĂ© de la riviĂšre, Saint-Astier fut concernĂ©e par le projet qui, en 1820, devait rendre l’Isle navigable de PĂ©rigueux Ă  Libourne. Sur la commune, on Ă©tablit trois Ă©cluses et un canal de dĂ©rivation de 1 300 mĂštres. Le , un bateau gĂ©nois fit l’objet de la curiositĂ© des AstĂ©riens.

    À partir de l'armistice de juin 1940, le dĂ©partement est divisĂ© en deux : la zone occupĂ©e Ă  l'ouest et la zone libre Ă  l'est, dans laquelle se situait Saint-Astier[65]. À la suite du dĂ©barquement anglo-amĂ©ricain effectuĂ© le en AlgĂ©rie et au Maroc, les Allemands envahissent la zone libre le et s'installent Ă  Saint-Astier[65].

    De à , un détachement Jeunesse et Montagne, commandé par le futur général Méjean, travaille dans l'usine aéronautique souterraine de la Société nationale des constructions aéronautiques du Sud-Ouest (SNCASO)[66].

    Le , des combats opposent les rĂ©sistants aux Allemands qui, en reprĂ©sailles, fusillent le soir mĂȘme vingt-et-un otages, dont le curĂ© de la paroisse, l'abbĂ© Petithomme-Lafaye[67] au lieu-dit Les Quatre Routes. Sur place, deux stĂšles ont Ă©tĂ© Ă©rigĂ©es pour rendre hommage Ă  ces victimes ainsi qu'aux dix rĂ©sistants morts pour la France ce jour-lĂ [68].

    La commune a été décorée de la croix de guerre 1939-1945 le , distinction également attribuée à dix-huit autres communes de la Dordogne[69].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    DÚs 1790, la commune de Saint-Astier a été rattachée au canton de Saint-Astier qui dépendait du district de Perigueux jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est supprimé et la commune est rattachée au canton de Grignols dépendant de l'arrondissement de Périgueux. Il change de nom et devient le canton de Saint-Astier en 1829, à la suite du transfert du chef-lieu de Grignols vers Saint-Astier[5].

    Lors de l'importante rĂ©forme de 2014 dĂ©finie par le dĂ©cret du et supprimant la moitiĂ© des cantons du dĂ©partement, la commune reste attachĂ©e au mĂȘme canton dont elle devient le bureau centralisateur[70].

    Intercommunalité

    Fin 2002, Saint-Astier intÚgre dÚs sa création la communauté de communes Astérienne Isle et Vern dont elle est le siÚge. Celle-ci disparaßt le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes Isle Vern Salembre en Périgord dont elle est également le siÚge.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 5 000 et 9 999 habitants au recensement de 2017, vingt-neuf conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[71] - [72].

    Liste des maires

    La mairie en 2016.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1790 1800 de Valbrune
    1800 1816 Poulard
    1816 1823 de Valbrune
    1823 1831 Nogué
    1831 1834 Gadaud
    1834 1840 Albin
    1840 1846 Baldou
    1846 1848 Albin
    1848 1864 Gadaud
    1864 1865 Dubet
    1865 1870 Maréchal
    1870 1873 Mauriac
    1873 1908 Maréchal
    1908 1920 Pareuil
    1920 1935 Astarie
    1935 1941 Chanraud
    1941 1945 Bru
    1945 1947 Maurice Laurent
    1947 1948 Aubin Lacore
    1948 1952 Maurice Crebet
    1952 1953 Pierre Astarie
    1953 1956 LĂ©opold Delbary
    1956 1959 Louis Guichard
    1959 1977 Raymond Dupuy Rad.-RGR Conseiller général du canton de Saint-Astier (1958-1964)
    mars 1977 mars 2014 Jacques Monmarson PS[73] Retraité de la SNCF
    Vice-président du conseil général
    Conseiller général du canton de Saint-Astier (1994-2015)
    Président de la CC Astérienne Isle et Vern (2003-2008)
    mars 2014[74] juin 2021[Note 10] - [75] Élisabeth Marty DVD-LR[76] Assistante commerciale
    ConseillÚre départementale du canton de Saint-Astier (2015-2021)
    juillet 2021 septembre 2021 Délégation spéciale[77]
    septembre 2021[78] En cours Élisabeth Marty LR[76] Assistante commerciale

    Le rĂ©sultat des deux tours des Ă©lections municipales de 2020 est annulĂ© par le tribunal administratif de Bordeaux le pour un tract diffusĂ© en fin de campagne Ă©lectorale dans les boĂźtes aux lettres[79]. Élisabeth Marty — dont la liste avait Ă©tĂ© Ă©lue avec 17 voix de plus par rapport Ă  celle de Daniel Benoist — a fait appel de cette dĂ©cision auprĂšs du Conseil d'État qui a confirmĂ© la dĂ©cision du tribunal administratif. De nouvelles Ă©lections seront organisĂ©es et, dans l'attente de celles-ci, la gestion municipale est confiĂ©e Ă  une dĂ©lĂ©gation spĂ©ciale[80].

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Astier relĂšve[81] :

    Politique environnementale

    Dans son palmarÚs 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[82].

    Jumelages

    Timbre du Laos Ă©mis en 1971 pour le jumelage de Keng-Kok et Saint Astier.
    • En 1969, Saint Astier s'est jumelĂ© avec la ville de Keng-Kok (province de Savannakhet, dans le sud du Laos). En 1971, le collĂšge de Saint-Astier a initiĂ© un jumelage avec le collĂšge de Keng-Kok au Laos.
    • Drapeau de l'Italie Annone Veneto (Italie) depuis 2018[83].

    Équipements et services publics

    Enseignement

    Pour les plus jeunes, Saint-Astier offre trois systùmes d’accueil, la crùche familiale, le service multi-accueil et le centre de loisirs maternel, ainsi qu’un centre de loisirs et une maison des jeunes.

    Saint-Astier dispose de trois Ă©coles et un collĂšge : l'Ă©cole maternelle, situĂ©e en centre-ville, l’école primaire Mounet-Sully et l’école Gimel, situĂ©e Ă  la pĂ©riphĂ©rie de la ville Ă  proximitĂ© des stades et de la piscine.

    Le collĂšge Arthur Rimbaud a dĂ©mĂ©nagĂ© Ă  la rentrĂ©e 2009 dans un nouveau bĂątiment, construit sur le site de Gimel. Plus vaste, aĂ©rĂ© et fonctionnel, il s’agit du premier collĂšge conçu selon la norme HQE (Haute qualitĂ© environnementale) en Dordogne.

    Santé

    La ville possĂšde un centre hospitalier, ainsi qu'un EHPAD[84].

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Astier relĂšve[85] :

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    Les habitants de Saint-Astier sont appelés les Astériens[86].

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[87]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[88].

    En 2020, la commune comptait 5 340 habitants[Note 11], en diminution de 3,28 % par rapport Ă  2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 2161 9852 2632 5182 5462 6132 5612 7692 826
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 9312 8792 9132 8912 9613 2803 5813 2013 073
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 9423 0423 2042 9533 0533 0673 0733 4153 933
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    4 2564 0524 0934 4164 7805 0985 0245 3115 436
    2014 2019 2020 - - - - - -
    5 5215 3525 340------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee Ă  partir de 2006[89].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement ĂągĂ©e. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  27,4 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (27,1 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 37,9 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 36,5 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 2 553 hommes pour 2 869 femmes, soit un taux de 52,91 % de femmes, lĂ©gĂšrement supĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,82 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[90]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    1,7
    90 ou +
    3,4
    12,3
    75-89 ans
    15,8
    20,6
    60-74 ans
    21,6
    19,8
    45-59 ans
    19,2
    15,2
    30-44 ans
    15,1
    13,5
    15-29 ans
    11,1
    16,8
    0-14 ans
    13,8
    Pyramide des ùges du département de la Dordogne en 2018 en pourcentage[91]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    1,1
    90 ou +
    2,7
    10,3
    75-89 ans
    13,3
    22,7
    60-74 ans
    22,7
    21,3
    45-59 ans
    20,9
    15,7
    30-44 ans
    15
    13,8
    15-29 ans
    11,8
    15,2
    0-14 ans
    13,5

    Agglomération de Saint-Astier

    L'unitĂ© urbaine (l'agglomĂ©ration) de Saint-Astier regroupe deux communes : Montrem et Saint-Astier[92], et regroupe 6 742 habitants en 2017[93].

    Culture

    Lieu de vie et d'échanges, La Fabrique réunit toutes les activités qui font un centre culturel vivant et dynamique : salle de spectacles et de cinéma, hall d'exposition, espace de restauration avec cuisines équipées, salles de réunion, studio de danse, salles d'enseignement musical et d'arts plastiques, etc. Le bùtiment municipal abonde d'une vie associative ardente, pour tous les publics.

    Cinéma

    Un cinĂ©ma privĂ© Ă©tait dĂ©jĂ  prĂ©sent Ă  Saint-Astier mais il a fermĂ© ses portes en 1982. Rouvert comme cinĂ©ma municipal – ce qui en fit la premiĂšre salle d'Aquitaine de ce statut – sa gestion et sa programmation furent abordĂ©es dans un esprit de service public, bien loin des prĂ©occupations commerciales des rĂ©seaux de distribution.

    Il ne faut cependant pas confondre associatif et désuet : la salle de cinéma, d'une capacité de cinq-cents places assises, n'a rien à envier aux multiplexes : elle dispose d'un écran panoramique de 45 m2, du son Dolby Digital et est classée « Art et Essai ».

    Centre culturel

    Depuis 2015, le centre culturel n'est plus géré par l'association CRAC mais par un directeur culturel employé par la mairie.

    La Vallée

    Chaque annĂ©e, au mois de mai, le festival La VallĂ©e est le tĂ©moignage de la vitalitĂ© de ce territoire avec l'accueil de plus de vingt artistes sur treize communes. Depuis 1994[94], ce projet culturel mĂȘle crĂ©ation thĂ©Ăątrale, spectacles de rues, concerts de musiques amplifiĂ©es, spectacles pour enfants durant le temps scolaire, rencontres conviviales autour d’une Ă©quipe artistique dans les villages et projets en direction des familles.

    MĂ©diathĂšque

    La mĂ©diathĂšque permet d’emprunter gratuitement de nombreux documents Ă©crits, audiovisuels et multimĂ©dia et propose un poste d’accĂšs Ă  Internet. Elle dispose d’un fonds de 24 000 livres, 960 pĂ©riodiques, 1 700 enregistrements sonores, 600 vidĂ©os et 50 cĂ©dĂ©roms. Une partie de ces documents provient de la bibliothĂšque dĂ©partementale de prĂȘt et est rĂ©guliĂšrement renouvelĂ©e.

    ParallÚlement, la médiathÚque organise réguliÚrement des expositions, conférences, lectures.

    École de danse

    L’école de danse Art & Mouvement accueille les enfants Ă  partir de quatre ans. Plusieurs disciplines et niveaux sont proposĂ©s, ainsi que des cours pour adultes, des stages et des soirĂ©es.

    La ville de Saint-Astier accueille Ă©galement prĂšs d’une vingtaine d’associations et structures Ă  vocation culturelle dont certaines Ă  vocation dĂ©partementale : CinĂ©-Passion en PĂ©rigord et le Conservatoire de musique.

    Festivités et manifestations culturelles ou sportives

    • JSA d’Or, janvier.
    • Festival La VallĂ©e, mai / juin.
    • Prix du muguet (cyclisme), mai (37e Ă©dition en 2019)[95].
    • Le mois du ThĂ©Ăątre, en Ă©tĂ©.
    • Nuit des bandas, fin juillet (23e Ă©dition en 2022[96]).
    • ItinĂ©raire baroque, juillet.
    • AcadĂ©mie de la Couleur, juillet.
    • FĂȘte du Cheval, aoĂ»t.
    • Comice agricole, septembre.
    • JournĂ©es du patrimoine, septembre.
    • FĂȘte votive, octobre.
    • La Valentin Huot (course cycliste), octobre.
    • FĂȘte de la lumiĂšre, dĂ©but dĂ©cembre (7e Ă©dition en 2021)[97].
    • La 98e fĂ©librĂ©e du PĂ©rigord a eu lieu en 2017 Ă  Saint-Astier[98], qui avait dĂ©jĂ  accueilli cette fĂȘte de l'Occitanie en 1939[99].

    Sports

    Saint-Astier, par la richesse de ses infrastructures et le nombre important de ses associations sportives, encourage les pratiques sportives par le biais d’un service des sports qui coordonne les activitĂ©s et gĂšre les installations : deux stades, deux gymnases, quatre courts de tennis (dont un couvert), une salle de musculation, une piscine couverte.

    Des Ă©ducateurs interviennent dans les Ă©coles et auprĂšs des clubs. Ils encadrent Ă©galement les jeunes Ă  travers le centre de loisirs et le club ados.

    En rugby à XV, l'« Union Saint-Astier Neuvic » est engagée en championnat de France de Fédérale 3 pour la saison 2021-2022.

    Économie

    Emploi

    L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de Saint-Astier ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.

    Emploi des habitants

    En 2018[100], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 2 115 personnes, soit 39,0 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (267) a fortement diminuĂ© par rapport Ă  2013 (376) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  12,6 %.

    Emploi sur la commune

    En 2018, la commune offre 2 326 emplois pour une population de 5 422 habitants[101]. Le secteur administratif (administration publique, enseignement, santĂ©, action sociale) prĂ©domine avec 47,1 % des emplois mais le secteur tertiaire est Ă©galement trĂšs prĂ©sent avec 33,4 %.

    Répartition des emplois par domaines d'activité

    Agriculture, sylviculture ou pĂȘche Industrie Construction Commerce, transports et services Administration publique, enseignement, santĂ©, action sociale
    Nombre d'emplois 25 230 198 776 1 096
    Pourcentage 1,1 % 9,9 % 8,5 % 33,4 % 47,1 %
    Source des données[101].

    Établissements

    Fin 2018, la commune compte 166 Ă©tablissements actifs employeurs[102], dont 104 au niveau des commerces, transports ou services, 21 relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, 21 dans la construction, 18 dans l'industrie, et 2 dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche[103].

    Entreprises

    CarriĂšre souterraine de chaux (Chaux et enduits de Saint-Astier).

    Parmi les entreprises dont le siÚge social est en Dordogne, deux situées à Saint-Astier se classent parmi les cinquante premiÚres quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016[104] :

    • Beauty Success (commerce de dĂ©tail de parfumerie et de produits de beautĂ© en magasin spĂ©cialisĂ©) 4e avec 113 004 k€ ;
    • Saint-Astier distribution (hypermarchĂ©) : 40e avec 26 334 k€.

    Parmi les entreprises dont le siÚge social est en Dordogne, cinq sociétés implantées à Saint-Astier se classent parmi les cinquante premiÚres de leur secteur d'activité quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016 :

    • dans le commerce[105] :
      • Beauty Success est 2e ;
      • Saint-Astier distribution est 19e ;
      • BCB Business coiffure beautĂ© (commerce de gros interentreprises de parfumerie et de produits de beautĂ©) est 46e avec 13 484 k€ ;
    • dans le secteur agroalimentaire[106] :
      • Picandine SAS (fabrication de fromage) se classe 7e avec 15 811 k€ ;
      • BĂ©tail viande astĂ©rienne DebrĂ©geas (transformation et conservation de la viande de boucherie) est 32e avec 2 255 k€.

    En 2016, Beauty Success, entreprise de distribution de parfumerie et de produits de beautĂ©, implante dans la zone d'activitĂ©s communautaire de Saint-Astier son siĂšge social et sa logistique, auxquels s'ajouteront un centre de formation et un centre de recherche et de dĂ©veloppement[107]. Sa logistique emploie 90 personnes sur le site[107]. L'entreprise, crĂ©Ă©e en 1995 Ă  PĂ©rigueux et dont le prĂ©cĂ©dent siĂšge Ă©tait Ă  Marsac-sur-l'Isle, est Ă  la tĂȘte de 345 parfumeries en France et en Afrique[107].

    « Dernier chaufournier français producteur de chaux naturelle hydraulique », l'entreprise Chaux et enduits de Saint-Astier a obtenu le label Entreprise du patrimoine vivant en 2022[108].

    Zones d'activité

    La commune possĂšde sur son territoire trois zones d’activitĂ©s : Mallebay, la Serve et le Roudier. Celles-ci comportent plusieurs entreprises d’importance : fromagerie Picandine (groupe Rians), Chausson matĂ©riaux, Point P, Signature F (fauteuils de spectacle), Colas, etc. Le dĂ©veloppement Ă©conomique de la commune n'est pas pour autant terminĂ©, puisqu'une ZAC intercommunale est actuellement en dĂ©veloppement, avec l’implantation de la sociĂ©tĂ© ISOA.

    Chaux blanche

    Sac de chaux naturelle hydraulique (NHL) utilisée dans la construction, fabriquée par Chaux et enduits de Saint-Astier.

    À l’heure oĂč la chaux retrouve ses lettres de noblesse dans le bĂątiment, la chaux de Saint-Astier a su prendre une place essentielle et incontournable sur le marchĂ© national et europĂ©en de la restauration.

    En 1850, Louis Vicat, ingĂ©nieur des ponts et chaussĂ©es, prospectait les ressources du pays en pierre Ă  chaux. Il mit en Ă©vidence les propriĂ©tĂ©s du calcaire du bassin de Saint-Astier. Ses recherches gĂ©ologiques lui permirent d’assurer que le calcaire de Saint-Astier pouvait convenir Ă  la fabrication d’une chaux naturelle pure[109], dont la faible hydraulicitĂ© permettait son emploi en milieu humide.

    Le banc calcaire de dix kilomĂštres de long appartient Ă  l’ùre secondaire, groupe crĂ©tacĂ© supĂ©rieur, Ă©tage Campanien (75 millions d’annĂ©es). Ce calcaire provient de dĂ©pĂŽts marins constituĂ©s de coquillages, coraux, marnes et autres animaux infiniment petits et nombreux. La mer ayant Ă©tĂ© trĂšs calme, cela forme des couches d’une grande rĂ©gularitĂ© sur plusieurs centaines de mĂštres d’épaisseur et une composition chimique et minĂ©ralogique du calcaire constante. La carriĂšre, souterraine, s’étend sur plus de trente hectares[110].

    MĂȘme au plus fort de la conquĂȘte du ciment, vers 1900, alors que la plupart des chaufourniers disparaissaient, les chaux de Saint-Astier ont rĂ©sistĂ© grĂące Ă  la qualitĂ© de ce calcaire et Ă  la modernisation des sites de production[109].

    Le bassin de Saint-Astier, unique en Europe par l’homogĂ©nĂ©itĂ© de son gisement calcaire, regroupe trois usines de production qui distribuent les chaux naturelles de Saint-Astier et des enduits prĂȘts Ă  l’emploi : Safa (crĂ©Ă©e en 1923), Cimchaux (crĂ©Ă©e en 1930[111]) et la Dordognaise.

    SchĂ©matiquement, les chaux pures rĂ©sultent de la calcination d’une pierre calcaire Ă  environ 900 °C suivie d’une extinction (hydratation) sans aucun additif.

    Les trois usines dĂ©pendent d'une entreprise unique « Chaux et enduits de Saint-Astier » (CESA), premier producteur français de chaux indĂ©pendant[109], qui emploie 130 personnes pour un chiffre d'affaires annuel de 28 millions d'euros[112].

    Centre national d'entraĂźnement des forces de gendarmerie (CNEFG)

    L'entrée du CNEFG à Saint-Astier.

    Parmi les institutions astériennes, le Centre national d'entraßnement des forces de gendarmerie (CNEFG) tient une place notable. Créé à la suite des évÚnements de mai 68, sur un ancien site de l'Armée de l'air, il fut Centre de perfectionnement de la gendarmerie mobile, Centre d'Instruction de la Gendarmerie puis Centre d'Instruction des Gendarmes Auxiliaires.

    Le CNEFG fournit les moyens et les infrastructures adaptĂ©s Ă  la formation et au perfectionnement des gendarmes mobiles et gardes rĂ©publicains qui viennent acquĂ©rir Ă  Saint-Astier les techniques Ă©lĂ©mentaires au maintien de l'ordre. Le Centre permet aussi la formation et le perfectionnement du Groupement de sĂ©curitĂ© et d'intervention de la Gendarmerie nationale (GSIGN), des gendarmes moniteurs d'interventions professionnelles (MIP et MIPFO), les diplĂŽmes d'armes (DA), des Équipes rĂ©gionales d'intervention et de sĂ©curitĂ© (ERIS) de l'administration pĂ©nitentiaire, des personnels des douanes aux techniques d'intervention professionnelle (IP) qui sont en perpĂ©tuelles Ă©volutions.

    Le centre accueille également les unités similaires de nombreux pays (Espagne, Italie, Maroc, Pays-Bas, Portugal, Slovaquie, Slovénie, Suisse ou Turquie...). Cette dimension internationale permet les échanges de compétences dans les domaines du maintien de l'ordre et de l'intervention professionnelle. Le CNEFG est le plus grand centre de ce type en Europe.

    Marchés

    « Saint-Astier, petite ville, grand clocher. »

    Le rendez-vous privilégié pour rencontrer les producteurs, goûter les produits du terroir, écouter les anciens discuter en patois, découvrir la ville autrement, chaque jeudi matin :

    • marchĂ© au gras de novembre Ă  mars ;
    • marchĂ© aux truffes ;
    • marchĂ© de produits rĂ©gionaux sous la halle de la ville durant tout l'Ă©tĂ©.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil ou militaire

    • ChĂąteau de Bruneval, propriĂ©tĂ© privĂ©e
    • Manoir de Brouillaud, propriĂ©tĂ© privĂ©e, sur un site inscrit depuis 1979[113].
    • ChĂąteau de Crognac, XIXe siĂšcle, propriĂ©tĂ© privĂ©e
    • Manoir d'Excideuil, propriĂ©tĂ© privĂ©e
    • Repaire de Fareyrou ou Chartreuse de Fareyrou[Note 12], XVIe siĂšcle, inscrite aux monuments historiques en 2008[114], propriĂ©tĂ© privĂ©e
    • Manoir des FerriĂšres, propriĂ©tĂ© privĂ©e
    • ChĂąteau de la Batud (ou de Labatut), XVe siĂšcle et plus rĂ©cent, propriĂ©tĂ© privĂ©e
    • Manoir de Petit-Puy, propriĂ©tĂ© privĂ©e
    • ChĂąteau de Puyferrat[115], classĂ© monument historique en 1862[116], propriĂ©tĂ© privĂ©e, visitable
    • Le chĂąteau de Bruneval.
      Le chĂąteau de Bruneval.
    • La chartreuse de Fareyrou.
      La chartreuse de Fareyrou.
    • Les tours du chĂąteau de Labatut.
      Les tours du
      chĂąteau de Labatut.
    • Le ChĂąteau de Puyferrat.
      Le ChĂąteau de Puyferrat.
    • Le chĂąteau du Puy-Saint-Astier.
      Le chĂąteau du Puy-Saint-Astier.
    • Maison Ă  tourelle, passage du MarchĂ©.
      Maison Ă  tourelle,
      passage du Marché.
    • Maison Ă  tourelle, angle rue du Lieutenant Dupuy.
      Maison Ă  tourelle,
      angle rue du Lieutenant Dupuy.
    • Maison Ă  pans de bois, rue La Fontaine.
      Maison Ă  pans de bois,
      rue La Fontaine.

    Patrimoine religieux

    • L'Ă©glise Saint-Astier.
      L'Ă©glise Saint-Astier.
    • Les vitraux du chƓur.
      Les vitraux du chƓur.
    • Le portail de l'Ă©glise.
      Le portail de l'Ă©glise.
    • La chapelle des bois. En bas, l'entrĂ©e de la grotte.
      La chapelle des bois.
      En bas, l'entrée de la grotte.

    Personnalités liées à la commune

    Blason

    Blason de Saint-Astier (Dordogne) Blason
    De gueules Ă  une cloche d'or
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Devises

    La devise de la ville traditionnellement utilisĂ©e est Pito vilo, grand cluchiĂ©, signifiant en occitan « Petite ville, grand clocher ». Cette devise fut popularisĂ©e par le livre Ă©ponyme de 1933 de l'abbĂ© Édouard NoguĂ©[124].

    On peut aussi retrouver la devise latine Ex virtute nobilitas, signifiant « La noblesse est dans le courage »[124].

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • La prise de la ville de Saint-Astier par les Frondeurs en 1652, dans Le Chroniqueur du PĂ©rigord et du Limousin 1856, p. 50-54
    • Édouard NoguĂ©, Saint-Astier : pito vilo, grand cluchiĂ© [contient aussi : « Les Allemands Ă  Saint-Astier, 1940-1945 »], Saint-Astier, Syndicat d'initiative de Saint-Astier, , 220-20 p. (ISBN 2-9509496-0-6, BNF 35784290). Consultable Ă  la bibliothĂšque de PĂ©rigueux.
    • Anne-Josette et Serge Avrilleau, Saint-Astier : mille ans d'histoire, 2014, Éd. Les Livres de l'Ăźlot, Neuvic (ISBN 979-10-92474-05-3).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[12] - [13]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[23].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[24].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. Les Ă©lections de juillet 2020 ont Ă©tĂ© annulĂ©es par le tribunal administratif de Bordeaux, dĂ©cision confirmĂ©e par le Conseil d'État.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    12. Contrairement Ă  ce qui est notĂ© dans le Dictionnaire des chĂąteaux du PĂ©rigord de Guy Penaud (Éditions Sud Ouest, 1996 (ISBN 2-87901-221-X)), la Chartreuse de Fareyrou (qui est le cĂŽtĂ© ouest du repaire de Fareyrou) n'est pas situĂ©e sur la commune de LĂ©guillac-de-l'Auche mais sur Saint-Astier.
    • Cartes
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