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Montrem

Montrem est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Montrem
Montrem
La mairie de Montrem, à Montanceix.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes Isle Vern Salembre en Périgord
Maire
Mandat
Sylvie Bouton
2020-2026
Code postal 24110
Code commune 24295
Démographie
Gentilé Montrémois
Population
municipale
1 197 hab. (2020 en diminution de 5,08 % par rapport à 2014)
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 09′ 01″ nord, 0° 34′ 32″ est
Altitude Min. 65 m
Max. 217 m
Superficie 20,15 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Astier
(banlieue)
Aire d'attraction Périgueux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Astier
Législatives Première circonscription
Localisation
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Montrem
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Montrem
Liens
Site web www.mairiedemontrem.fr

    Géographie

    Généralités

    Située en Périgord central, dans le département de la Dordogne, et incluse dans l'unité urbaine de Saint-Astier, la commune de Montrem est bordée au nord par l'Isle, principal affluent de la Dordogne et traversée d'ouest en est par l'autoroute A89.

    De la commune, ce n'est pas le village de Montrem, à l'écart des principales voies de circulation, qui est le plus connu, mais le bourg de Montanceix où est implantée la mairie, sur la route départementale 6089 (l'ancienne route nationale 89) ; en distances orthodromiques, la mairie se trouve trois kilomètres et demi à l'est du centre-ville de Saint-Astier, douze kilomètres à l'ouest-sud-ouest de celui de Périgueux, et deux kilomètres et demi au nord-ouest de l'échangeur no 14 Périgueux-Ouest sur l'autoroute A89.

    La commune est également desservie au nord par la route départementale 41, en direction de Saint-Astier et au sud par la RD 43 en direction de Manzac-sur-Vern.

    La commune est traversée par la ligne ferroviaire Bordeaux-Périgueux, les gares les plus proches étant celles de Razac et de Saint-Astier, situées respectivement à trois et cinq kilomètres du bourg de Montanceix, par la route.

    Communes limitrophes

    Carte de Montrem et des communes avoisinantes.

    Montrem est limitrophe de six autres communes. Au nord-ouest, son territoire est distant d'environ 250 mètres de celui de Léguillac-de-l'Auche.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Montrem est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5a(2), date du Campanien 1, des calcaires packstone à wackstone crayo-marneux gris blanchâtres à subalvéolines à silex gris ou noirs. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 782 - Mussidan » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[Carte 1] - [2] et sa notice associée[3].

    Carte géologique de Montrem.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 65 mètres[4] au nord, en aval du barrage du Moulin du Puy, là où le bras oriental de l'Isle quitte la commune pour entrer sur celle de Saint-Astier, et 217 mètres[4] au sud du territoire communal, au sud du lieu-dit les Rolphies[5].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [6]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] - [7]. La commune est dans l'unité paysagère de la « Vallée de l'Isle », qui présente un profil contrasté : une vallée relativement encaissée, aux coteaux affirmés, dominant le fond de vallée de 60 à 80 m en amont de Mussidan, une vallée plus élargie en aval avec un fond de vallée plat, large de 1,5 à 2 km. À la fois agricole et urbanisée, elle est parcourue par de nombreuses voies de communication[8] - [9].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 20,15 km2[4] - [10] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 20,74 km2[2].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par l'Isle, le Naussac, le Longeron, le ruisseau de Lacaud, le ruisseau de Loirat, le ruisseau de Pavie et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 28 km de longueur totale[14] - [Carte 2].

    L'Isle, d'une longueur totale de 255,29 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Janailhac et se jette dans la Dordogne dont elle est le principal affluent en rive droite face à Arveyres, en limite de Fronsac et de Libourne[Carte 3] - [15]. Elle borde la commune au nord sur quatre kilomètres et demi, face à Annesse-et-Beaulieu et Saint-Astier.

    Trois de ses affluents de rive gauche baignent le territoire communal : le Naussac dans le nord-est sur trois kilomètres et demi, le ruisseau de Pavie dans le sud-ouest sur près de deux kilomètres, dont 500 mètres en limite de Grignols, et le Longeron qui sert de limite naturelle sur plus de deux kilomètres au nord-est, face à Razac-sur-l'Isle.

    Affluent de rive gauche du Naussac, le ruisseau de Lacaud prend sa source dans le sud de la commune qu'il arrose sur plus de deux kilomètres et demi.

    Le ruisseau de Loirat, affluent de rive droite du ruisseau de Pavie, prend sa source dans le sud-ouest du territoire communal qu'il baigne sur plus de deux kilomètres.

    • Barrage sur l'Isle à Montanceix.
      Barrage sur l'Isle à Montanceix.
    • Le Naussac au nord de Montanceix.
      Le Naussac au nord de Montanceix.
    • Confluent du Naussac et d'un bras de l'Isle.
      Confluent du Naussac et d'un bras de l'Isle.
    • Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
      Réseaux hydrographique et routier de Montrem.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[16]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [17].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 4].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[18]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[19].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[18]

    • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 841 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[22] complétée par des études régionales[23] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac, mise en service en 1993[24] et qui se trouve à 19 km à vol d'oiseau[25] - [Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 914,3 mm pour la période 1981-2010[26]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 34 km[27], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[28], à 13,1 °C pour 1981-2010[29], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[30].

    Milieux naturels et biodiversité

    Confluence d'un bras de l'Isle avec le cours principal de la rivière à Montanceix.

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d'intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[31] - [32].

    La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 24 000 km2 reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en et se situe dans sa « zone de transition », hormis la vallée de l'Isle qui fait partie de sa « zone tampon »[33].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune[35].

    Le site « vallée de l'Isle de Périgueux à sa confluence avec la Dordogne » est une zone spéciale de conservation qui s'étend sur 7 997 hectares du bassin versant de l'Isle sur 38 communes, dont une moitié sont situées en Dordogne et l'autre en Gironde[36] - [Carte 5].

    Correspondant à la zone inondable de la vallée de l'Isle, ce site est remarquable par la présence de 22 espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive habitats : un crustacé, neuf insectes, deux mammifères, neuf poissons, un reptile et une plante ptéridophyte[37].

    Sur le territoire de Montrem, cette zone de près de 140 hectares correspond à l'intérieur du méandre des Vignauds, au nord de la route située au nord du lieu-dit les Parrauds, ainsi qu'à une mince bande située entre la rivière et la voie ferrée.

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d'améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d'aide à la prise en compte de l'environnement dans l'aménagement du territoire.

    En 2023, aucune ZNIEFF n'est recensée sur la commune d'après l'INPN[38].

    Cependant, la ZNIEFF de type 2[Note 8] « Vallée de l'Isle de Périgueux à Saint-Antoine-sur-l'Isle, Salembre, le Jouis et le Vern » concerne notamment la vallée de l'Isle depuis Gravelle à Annesse-et-Beaulieu jusqu'au pont de la route départementale 41 à Saint-Astier et donc Montrem, sur une zone comprise à l'intérieur de la zone Natura 2000 citée ci-avant, et plus restreinte qu'elle (environ 80 hectares)[Carte 6].

    Urbanisme

    Typologie

    Montrem est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9] - [39] - [40] - [41]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Astier, une agglomération intra-départementale regroupant deux communes[42] et 6 537 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[43] - [44].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[45] - [46].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,7 %), zones agricoles hétérogènes (29,4 %), prairies (15,3 %), zones urbanisées (3,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,6 %), terres arables (0,1 %)[47].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 7].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le petit bourg de Montrem proprement dit ainsi que Montanceix (bourg principal où se trouve la mairie), la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[48] :

    • Angueur
    • Barrat
    • Breuilh
    • Brujacelles
    • les Chabroulies
    • Chambaraud
    • Chancenie
    • Chanteroudilles
    • le Châtenet
    • Côte Folle
    • Excidoire
    • Fayolle
    • Ferrières
    • Fleix
    • Jarrige
    • Lacaud
    • Leyssandie
    • le Loirat
    • la Mouthe
    • les Parrauds
    • le Peyrat
    • Pinet
    • Pourtem
    • Pratz
    • Puyausard
    • Puypelat
    • les Rolphies
    • Saunard
    • les Vignauds
    • la Vigne Barrade
    • Vilaret.

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Montrem est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[49]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[50].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Périgueux, regroupant 12 communes concernées par un risque de débordement de l'Isle, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[51]. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de 1783 (15,21 m à l'échelle de crue, la crue la plus importante connue), de 1843 (14,83 m) et de 1944 (14,5 m, 630 m3/s, la crue centennale de référence). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[52]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2018[53] - [49]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de l'« agglomération de Périgueux » prescrit le et approuvé le , pour les crues de l'Isle. La crue de 1944, plus haute crue historique bien connue sur l’Isle, avec un débit estimé de 630 m3/s à Périgueux, présente une période de retour centennale et sert de crue de référence au PPRI[54]. La zone la plus exposée au risque inondation est située tout au nord, dans le méandre de l'Isle et concerne les lieux-dits les Vignauds et partiellement les Parrauds[55].

    Montrem est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[56]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[57] - [58].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montrem.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[59]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[60]. 98,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 8]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 11] - [61].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1995, 1997, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[49].

    Toponymie

    La première mention écrite connue de Montrem date du XIIIe siècle sous la forme « Montrent » dans un pouillé, puis « Montrenc » en 1365[62] - [63]. Il dérive de l'occitan mons signifiant « hauteur » et du nom d'un personnage d'origine germanique Ragino[62].

    En occitan, la commune porte le nom de Montrenc[64].

    Sur la planète Mars, en , l'une des cibles d'analyses poussées effectuées sur un affleurement rocheux par l'astromobile Curiosity de la NASA, est baptisée d'après la commune[65].

    Histoire

    Près du bourg de Montanceix se trouvent « un gisement néolithique et des cluzeaux »[66].

    Au Moyen Âge, la paroisse de « Montren » dépendait de la châtellenie de Saint-Astier[67]. L'église de Montrem a été édifiée au XIIe siècle[68].

    Le siège de la paroisse est situé au bourg de Montrem, qui est aussi officiellement le chef-lieu de la commune.

    Aujourd'hui siège de la mairie de Montrem et de différents commerces, le petit bourg de Montanceix a dû s'établir et prendre de l'importance par rapport au château de Montanceix, situé sur l'éperon rocheux au-dessus de ce bourg et qui était jadis le siège du pouvoir seigneurial pour la paroisse de Montrem. Avant la Révolution française de 1789, le marquis d'Abzac de La Douze était baron de Montancès (selon l'orthographe en vigueur alors).

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    Dès 1790, la commune de Montrem a été rattachée au canton de Saint-Astier qui dépendait du district de Perigueux jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est supprimé et la commune est rattachée au canton de Grignols dépendant de l'arrondissement de Périgueux. Il change de nom et devient le canton de Saint-Astier en 1829, à la suite du transfert du chef-lieu de Grignols vers Saint-Astier[4].

    Lors de l'importante réforme de 2014 définie par le décret du et supprimant la moitié des cantons du département, la commune reste attachée au même canton[69].

    Intercommunalité

    Fin 2002, Montrem intègre dès sa création la communauté de communes Astérienne Isle et Vern. Celle-ci disparaît le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes Isle Vern Salembre en Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[70] - [71].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1965 juin 1995 Roger Ranoux PCF Ancien député (1956-1958)
    juin 1995[72] mai 2020 Jacques Ranoux DVG[73] Directeur de village de vacances
    Président de la communauté de communes Astérienne Isle et Vern, (2011-2013)
    Président de la communauté de communes Isle Vern Salembre en Périgord (2014-2020)

    Conseiller départemental du canton de Saint-Astier depuis 2021

    mai 2020[74] En cours Sylvie Bouton

    Équipements et services publics

    Enseignement

    En 2023, la commune possède une école élémentaire publique à Montanceix[75]

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, Montrem relève[76] :

    Sécurité

    Pour la sécurité, la commune dépend de la brigade de gendarmerie de Saint-Astier[77].

    Démographie

    Les habitants de Montrem se nomment les Montrémois[78].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[79]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[80].

    En 2020, la commune comptait 1 197 habitants[Note 12], en diminution de 5,08 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0387691 0401 1831 1131 1161 1311 0881 192
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1371 0551 0591 0281 0341 0481 037931852
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    762765792741730722711756831
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    8587709139821 0451 0491 1581 1951 244
    2015 2020 - - - - - - -
    1 2601 197-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[4] puis Insee à partir de 2006[81].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2019[82], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 556 personnes, soit 45,8 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (45) a fortement diminué par rapport à 2013 (80) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 8,0 %.

    Activités hors agriculture

    57 établissements[83] sont implantés à Azerat au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13] - [84].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre%%
    Ensemble57100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    1023.3 %(10,2 %)
    Construction610,5 %(14,2 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    1322.8 %(31,3 %)
    Information et communication23,5 %(1,7 %)
    Activités financières et d'assurance23,5 %(3,4 %)
    Activités immobilières00,0 %(4,1 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    915,8 %(14,5 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    47,0 %(11,5 %)
    Autres activités de services1017,5 %(9,1 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 22,8 % du nombre total d'établissements de la commune (13 sur les 57 entreprises implantées à Montrem), contre 31,3 % au niveau départemental[85].

    Entreprises

    Parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, deux sociétés implantées à Montrem se classent parmi les cinquante premières dans le secteur industriel quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016[86] :

    • la Société industrielle de moules et moulages plastiques IMEPSA (fabrication de pièces techniques à base de matières plastiques) : 26e avec 9 511 k€ ;
    • ELP (fabrication de parfums et de produits pour la toilette) : 34e avec 7 625 k€.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    • Le château de Montanceix a été édifié du XIVe au XVIe siècle. Il a été assiégé plusieurs fois pendant la guerre de Cent Ans, et pendant la Fronde, une bataille a eu lieu sous ses murs[87] en 1652[66].
    • Manoir de Chancenie datant des XVIIIe et XIXe siècles[88].
    • Le château de Montanceix.
      Le château de Montanceix.
    • Le monument aux morts de Montrem.
      Le monument aux morts de Montrem.
    • Le monument aux morts de Montanceix.
      Le monument aux morts de Montanceix.

    Patrimoine religieux

    • L'église Saint-Pierre-ès-Liens de Montrem.
      L'église Saint-Pierre-ès-Liens de Montrem.
    • Sa nef.
      Sa nef.
    • Un pied de colonne sculpté.
      Un pied de colonne sculpté.
    • L'église Notre-Dame de Montanceix.
      L'église Notre-Dame de Montanceix.

    Personnalités liées à la commune

    • Roger Ranoux (1921-2015), importante figure de la Résistance en Dordogne, député de 1956 à 1958, fut maire de Montrem de 1965 à 1995.
    • Michelle Puyrigaud (1926-2021), résistante et responsable communiste a vécu à Montrem.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • René Fage, « Le combat de Montanceix en Périgord (1652) », dans Bulletin de la Société scientifique historique et archéologique de la Corrèze, 1923, p. 54-94 (lire en ligne)

        Articles connexes

        Liens externes

        Notes et références

        Notes

        1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
        2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11] - [12]
        3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[20].
        4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
        5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[21].
        6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
        7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[34].
        8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
        9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
        10. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
        11. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
          • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
          • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
          • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
        12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
        13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.

        Cartes

        Références

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        10. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Montrem », sur le site de l'Insee (consulté le )
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        12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
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