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Atur

Atur est une ancienne commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Atur
Atur
L'Ă©glise Notre-Dame de l'Assomption d'Atur.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement PĂ©rigueux
Commune Boulazac Isle Manoire
Intercommunalité Le Grand Périgueux
Statut Commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Alain Cournil
2020-2026
Code postal 24750
Code commune 24013
DĂ©mographie
Gentilé Aturiens
Population 1 931 hab. (2020)
DensitĂ© 101 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 08′ 24″ nord, 0° 44′ 54″ est
Altitude Min. 115 m
Max. 271 m
Superficie 19,13 km2
Élections
DĂ©partementales Canton d'Isle-Manoire
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Boulazac Isle Manoire
Localisation
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Atur

    Au , elle fusionne avec Boulazac et Saint-Laurent-sur-Manoire et devient commune déléguée de la commune nouvelle de Boulazac Isle Manoire.

    GĂ©ographie

    Incluse dans l'aire urbaine de Périgueux[1], la commune d'Atur est arrosée par le Cerf qui y prend sa source, un kilomètre au sud-est du bourg, en bordure de l'autoroute A89.

    Le bourg d'Atur se situe sur la route départementale 2, à cinq kilomètres au sud-est de Périgueux.

    Communes limitrophes

    Carte d'Atur et des communes avoisinantes en 2015.

    En 2015, année précédant la création de la commune nouvelle de Boulazac Isle Manoire, Atur était limitrophe de quatre autres communes.

    Urbanisme

    Risques naturels

    Un plan de prévention des risques naturels (PPRN) a été approuvé en 2005 pour Atur, dont la majeure partie du territoire est exposée aux risques de retrait-gonflement des sols argileux et de tassements différentiels[2] - [3].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg d'Atur proprement dit, le territoire communal se composait d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[4] :

    • les Anges
    • Bagnac
    • Bardot
    • la Borde
    • la Borie
    • Bourassou
    • la Brande
    • les Brujoux
    • les Cantinières
    • Caussade
    • les Chabannes
    • les Chaputs
    • Château du Breuilh
    • Château de Lafaye
    • la ChiĂ©zas
    • Civadou
    • Clos de Combe
    • le Cros
    • Dague
    • Farode
    • Fayardie
    • la Fourtie
    • Gamarde
    • Grand Chabanier
    • le Grand Dague
    • la Grange
    • Gravier
    • HĂ©liodore
    • Lafaye
    • Lagarde
    • Lamy
    • Lardidie
    • la LĂ©brèterie
    • Leypanladerie
    • Masseroux
    • Mazardie
    • la Meynardie
    • Moreau
    • la Mothe
    • les Moulins Ă  Vent
    • Mourèque
    • Mourlant
    • les Paillers
    • Palem
    • Pavillon
    • Petit Breuilh
    • Petit Chabanier
    • les Petites Pierres
    • Piarrot
    • le Pic
    • Pommier
    • Puycorbeau
    • aux Quatre Routes
    • Raclet
    • Raubaly
    • Rivailloux
    • Teillet
    • Val d'Atur
    • Vessat.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Astureu au XIIIe siècle[5], Asturio en 1382, Astuers en 1399, Astur en 1760[6]. Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789 le village est identifié sous le nom d'Aturs[7].

    Le nom d'Atur se réfère à un personnage d'origine gallo-romane : Asturius[8].

    En occitan, la commune porte le nom d'Astur[9].

    Histoire

    Atur présente des traces de sites du Néolithique et du Chalcolithique.

    Le site gaulois de la mare de Bagnac est un site fortifié fondé par les Pétrocores, composé d'une motte entourée d'un profond fossé circulaire. Lors des fouilles de 1963 et 1964 sont mis au jour des bols, des amphores de vin campanien, des pièces d'or et des os d'animaux, datés entre 120 et 80 av. J.-C.

    Une voie romaine passait par Atur, et Bagnac. On y trouvait des villas gallo-romaines comme Asturius, d'origine gréco-romaine, qui a donné son nom à la commune.

    Atur est cité dans des textes entre 1295 et 1399[8].

    Au Moyen Âge, Atur, dont les collines servent de point de surveillance au sud de Périgueux, relève de la juridiction consulaire.

    Le comte de Périgord et le chapitre de Saint-Front signent un paréage, d'où de nombreux procès, dont celui de 1317. Un nouveau paréage est signé en 1329 car le comte était accusé d'avoir fait dresser des fourches patibulaires à Atur, et d'y avoir fait pendre plusieurs hommes.

    Aux XIVe et XVIe siècles, un vignoble était présent à Atur, et l'on a fait venir des travailleurs espagnols pour s'occuper de la vigne.

    En 1340, les Anglais assiègent la ville de Périgueux. Atur est astreint de tailles à cause ravage de guerre sur la paroisse.

    Le château du Breuilh, fief des Bonneguise, puis des La Roche-Aymon, est construit au XIVe siècle et restauré au XVIe siècle.

    En 1566, les protestants qui se dirigent vers Périgueux pour envahir la ville sont arrêtés à Atur.

    Le , les croquants sont près de 15 000 sur Atur. Cette troupe plus bruyante que dangereuse se dirige ensuite sur PĂ©rigueux puis sur Grignols.

    En 1636, une troupe de gens d'armes du comte de Montignac campe Ă  Atur.

    En 1694, la population d'Atur compte 200 feux (environ 954 habitants).

    En 1732, la municipalité intente une action contre le curé d'Atur au sujet de la présentation du pain bénit dans son église. L'affaire est close en 1735.

    Le , lors d'un accrochage avec des Allemands, six résistants sont tués à Atur dans les combats.

    Politique et administration

    Intercommunalité

    De 1994 à 2006, la commune a été le siège de la communauté de communes Atur-Marsaneix-Saint-Pierre-de-Chignac puis de la communauté de communes Atur-Saint-Pierre-de-Chignac. Elle a rejoint en 2006 la communauté de communes Isle Manoire en Périgord dissoute le 31 décembre 2013, et intégré Le Grand Périgueux le 1er janvier 2014. Le , Atur fusionne avec Boulazac et Saint-Laurent-sur-Manoire pour former la commune nouvelle de Boulazac Isle Manoire dont la création a été entérinée par l'arrêté du 14 décembre 2015, entraînant la transformation des trois anciennes communes en communes déléguées[10].

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 1 500 et 2 499 habitants au recensement de 2011, dix-neuf conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2014[11] - [12]. Ceux-ci sont membres d'office du conseil municipal de la commune nouvelle de Boulazac Isle Manoire, jusqu'au renouvellement des conseils municipaux français de 2020[10].

    Liste des maires

    Mairie
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    (1839 ou avant) 1852 Michel Amédée Dustou de Cazaril - Propriétaire
    juillet 1852 1870 Jean Lacoste - -
    1870 ? Jean Baptiste Deschamps - -
    septembre 1877 1888 Jean Eyssalet - -
    mai 1888 (entre 1918 et 1920) LĂ©on Deschamps - -
    (entre 1918 et 1920) (entre novembre 1922 et juillet 1923) Sicaire Linard[Note 1] - NĂ©gociant
    août 1923 novembre 1933 Henri Chaumard[Note 1] - Cultivateur
    novembre 1933 janvier 1934 Antoine Raymond - Cultivateur
    Adjoint, maire par intérim
    janvier 1934 octobre 1947 Émile Beaussoubre - Retraité de la gendarmerie
    octobre 1947 mai 1953 Louis Roger Marty - -
    mai 1953 1971 Joseph Juvénal - -
    1971 1983 Jacques Roucard - -
    1983 décembre 2015 Alain Cournil PS[13] Directeur général de la MSA de Dordogne et Lot-et-Garonne
    Liste des maires délégués successifs d'Atur
    Période Identité Étiquette Qualité
    janvier 2016
    (réélu en mai 2020[14])
    En cours Alain Cournil PS Directeur général de la MSA de Dordogne et Lot-et-Garonne

    Jumelages

    Panneau de jumelage d'Atur.

    Population et société

    DĂ©mographie

    Les habitants d'Atur se nomment les Aturiens[15].

    En 2015, dernière annĂ©e en tant que commune indĂ©pendante, Atur comptait 1 926 habitants. Ă€ partir du XXIe siècle, les recensements des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2007, 2012 pour Atur[16]). Depuis 2006, les autres dates correspondent Ă  des estimations lĂ©gales.

    Au , la commune dĂ©lĂ©guĂ©e d'Atur compte 1 931 habitants[17].

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    770774790777832772750812840
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    791807802774777820767740734
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    710701684570571546555567516
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2007 2012 2015
    5175608361 0821 2481 4911 6931 8741 926
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee Ă  partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    À la rentrée scolaire 2022, un nouveau groupe scolaire public primaire accueille les élèves de maternelle (trois classes) et d'élémentaire (huit classes)[20].

    Économie

    Les données économiques d'Atur sont incluses dans celles de la commune nouvelle de Boulazac Isle Manoire.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Vue générale du bourg d'Atur.
    • L'Ă©glise Notre-Dame-de-l'Assomption, romane des XIIe et XIIIe siècles, Ă  l'origine fortifiĂ©e, son clocher du XIVe siècle, et reconstruction d'une nef gothique avec deux chapelles latĂ©rales, une cloche du XVIIe siècle, traces de peintures murales des XIVe et XVe siècles. Inscrite aux monuments historiques le 21 mai 1947.

    Des fonts baptismaux, une cuve baptismale à immersion en pierre de taille, décorée en bas-relief de structure, plan octogonal sur pied ancien, iconographie, ornementation en écusson, armoiries martelées à l'exception d'une seule avec un motif en croix tréflée non identifiée du XVe siècle. Date de la protection 27 décembre 1947 par la direction du patrimoine. un meuble de sacristie de style Louis XV en noyer tailler ciré, un chasublier fermé par deux grands battants et flanqué de deux petits battants verticaux, une niche centrale à trois tiroirs superposés à gauche et deux tiroirs superposés à droite, le tout surmonté d'une corniche moulurée chantournée.
    Haut de 1,20 m, large de 256, pour 165. Époque du XVIIIe siècle, date de la protection le 29 mars 1968. En 1883, l'abbĂ© Richard, curĂ© d'Atur, fait don Ă  la B. S. H. A. P. de deux vues photographiques, l'une de la lanterne des morts, et l'autre de la cour et la façade du château du Breuilh. En 1894 M. l'abbĂ© Brugière signale le mauvais Ă©tat de la lanterne des morts, avec ses murs lĂ©zardĂ©s. En 1902, M. Dujaric-Descombes manifeste un Ă©gal intĂ©rĂŞt pour le classement de la lanterne des morts d'Atur qu'on pourrait restaurer et mĂŞme redresser, une somme de 25 francs est accordĂ©e pour la restauration.

    • L'Ă©glise Notre-Dame-de-l'Assomption.
      L'Ă©glise Notre-Dame-de-l'Assomption.
    • Vitrail de saint Jean Baptiste.
      Vitrail de saint Jean Baptiste.
    • La chaire.
      La chaire.
    • Le chevet de l'Ă©glise.
      Le chevet de l'Ă©glise.
    • Sur l'emplacement de l'ancien cimetière se trouve une lanterne des morts, datant du XIIe siècle[21] - [22] de forme cylindrique, classĂ©e monument historique le 21 mai 1932. Il est fait mention de ce singulier ouvrage Ă  la fin du livre d’Eugène Le Roy "Jacquou le croquant". La lanterne des morts au centre de l'ancien cimetière d'Atur, avec une colonne circulaire Ă©vidĂ©e d'environ m de diamètre sur m d'Ă©lĂ©vation, entièrement creuse Ă  l'intĂ©rieur. Dans sa partie supĂ©rieure, cette lanterne est percĂ©e de quatre ouvertures sĂ©parĂ©es les unes des autres par deux colonnettes. Au sommet de cet ensemble en forme de cĂ´ne, se trouve une croix en fer forgĂ©, qui n'est pas d'origine. En bas une petite porte en bois qui permettait d'accĂ©der au système de levage, a disparu. On peut la voir sur un dessin de 1885, conservĂ© Ă  la B.S.H.A.P. L'ensemble est posĂ© sur un socle de pierre et fermĂ© par une grille en fer forgĂ© du XIXe siècle.
    • Le castel de Lafaye, propriĂ©tĂ© privĂ©e, ancienne demeure des NĂ©grier ; ce castel attestĂ© au XIXe siècle est situĂ© au sud d'Atur[23].
    • Le château du Breuilh, XVe et XVIIe siècles, propriĂ©tĂ© privĂ©e. Ce château construit Ă  l'origine au XIIe siècle possĂ©da un chemin de ronde ; on peut en apercevoir les corbeaux sur la partie gauche restĂ©e la plus ancienne. Au XVIIe siècle, il fut transformĂ© par les la Roche-Aymon et les de Bonneguise. Les murs mesurent 1,40 m Ă  la base et 0,75 m en haut. La porte d'entrĂ©e date du XIIIe siècle. Ă€ l'intĂ©rieur de cette chartreuse, derrière une porte en forme de demi-rond, un escalier de pierre tournant descend vers une fosse appelĂ©e les oubliettes. Sur le portail d'entrĂ©e s'Ă©levait un clocheton pourvu d'une petite cloche au service du visiteur. Il possĂ©dait une chapelle et un cimetière. Lors de la rĂ©fection d'un mur d'enceinte, des ossements furent trouvĂ©s. Il y avait des servitudes, un puits, des caves, des greniers, avec une superficie en terre très importante qui regroupait les mĂ©tairies de Caussade, la LĂ©breterie, la Meynardie, la Fayardie. En 1936, M. DupĂ©rier l'a vendu Ă  M. Marquet qui l'a cĂ©dĂ© Ă  M. Devoyer qui l'a rĂ©trocĂ©dĂ© le 21 juin 1939 Ă  M. et Mme Ignace et le 3 mars 1980 Ă  M. Joullie[24].
    • Le pigeonnier de Mazardie, ancien fief des Bascharetie, ancien repaire noble en 1696. Le 30 avril, un mariage de Sicaire de Bascharetie, Ă©cuyer Seigneur de Mazardie de la paroisse d'Astur, et de Marie Dalème de la paroisse de la CitĂ© de PĂ©rigueux. Un bâti rural Ă  voir : Palem, Vessat, Dague, Lamy, Raubaly, Lagarde.
    • Le castel de Pommier, ancienne demeure des Desmartial.
    • Le repaire noble de Barat, ancien fief de la famille Roche au moins de 1471 Ă  1783 ; ce repaire noble relevant aux XVIIe et XVIIIe siècles de la seigneurie de PĂ©rigueux. En 1680, il Ă©tait composĂ© d'une maison, tour, basses-cours, possĂ©dĂ© par M. Joseph Roche, conseiller du roi, magistrat au prĂ©sent siège de PĂ©rigueux en 1674.
    • Le château de Beauvigier, ancien fief des Froidefond. Ce château aujourd'hui ruinĂ© Ă©galement nommĂ© Boisvigier ou Bosvigier dĂ©nommĂ© en 1349 "bosc al vigier" affectĂ© dans l'aveu et dĂ©nombrement de 1680 au Sr Boutin. En 1771, il appartient au seigneur de Froidefond, cĂ©libataire dont l'existence se partageait entre son hĂ´tel de PĂ©rigueux, rue du Plantier, et sa maison de campagne Ă  Flageat, près de Sainte-Marie-de-Chignac, et qui vient de mourir, dĂ©signant son neveu, Pierre NoĂ«l comme hĂ©ritier universel. Celui-ci, qualifiĂ© de bourgeois de PĂ©rigueux, devient dans les actes notariĂ©s "messire Pierre NoĂ«l de Flageat, Ă©cuyer, seigneur de Beauvigier. Il ne profite guère de sa nouvelle fortune puisqu'il meurt quelques mois plus tard Ă  l'automne 1772. Sa veuve, Marthe Fargeot, s'efforcera d'assurer un avenir brillant Ă  son fils unique, Élie Joseph de Flageat (1760-1794), au service du roi Louis XVI. Il entre Ă  la première compagnie des mousquetaires gris[25].
    • La lanterne des morts.
      La lanterne des morts.
    • Le castel de Lafaye.
      Le castel de Lafaye.
    • Le pigeonnier de Mazardie.
      Le pigeonnier de Mazardie.

    Personnalités liées à la commune

    • Gaston Guillaumie (1883-1960), nĂ© Ă  Atur, Ă©crivain et Ă©minent romaniste. Il est l'auteur d'une contribution Ă  l'Ă©tude du glossaire pĂ©rigourdin et d'une anthologie en neuf volumes de la littĂ©rature et du folklore gascons[26].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Décédé en fonctions.

    Références

    1. « Insee, zonage en aires urbaines 2010 de Périgueux », Insee (consulté le )
    2. PPR mouvement de terrain - 24DDT20050003 - Atur, DREAL Aquitaine, consulté le 9 février 2019.
    3. [PDF] Atur - Mouvements différentiels de terrain liés au phénomène de retrait gonflement des sols argileux, DREAL Aquitaine, consulté le 9 février 2019.
    4. « Atur » sur Géoportail (consulté le 29 septembre 2015).
    5. Dans plusieurs pouillés locaux.
    6. Ernest Nègre -Toponymie générale de la France - Page 641 - (ISBN 2600028838).
    7. « Aturs » sur Géoportail (consulté le 31 janvier 2014).
    8. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 32-33.
    9. Le nom occitan des communes du Périgord - Astur sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
    10. « Arrêté n° PREF/DDL/2015/0217 portant création de la commune nouvelle de Boulazac Isle Manoire », Recueil des actes administratifs de la Dordogne,‎ , p. 97-100 (lire en ligne [PDF]).
    11. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 30 septembre 2015.
    12. Résultats des élections municipales et communautaires 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 30 septembre 2015.
    13. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 21.
    14. Tiphanie Naud, « Auzou réélu, climat tendu avec l'opposition », Sud Ouest édition Périgueux, 29 mai 2020, p. 14.
    15. Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 4 décembre 2016.
    16. « Calendrier de recensement », sur Insee (consulté le )
    17. [PDF] Populations légales 2020 à compter du - Fichier Dordogne, p. 24-4 sur le site de l'Insee, consulté le .
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012201320142015 .
    20. Dominique Boivineau, « Dans le bourg d'Atur, l'école est finie », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 15.
    21. Lanternes des morts sur le site du Diocèse de Périgueux & Sarlat
    22. Catherine Schunk, « La lanterne des morts d'Atur », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 2014, tome 131, 2e livraison, p. 287-290 (lire en ligne)
    23. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 148.
    24. B.S.H.A.P. et M. BĂ©lingard, M. Guy Penaud
    25. Jean Secret, 2j 109 A.D.D.
    26. Site de la S.H.A.P.
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