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Trémolat

Trémolat est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Trémolat
Trémolat
Le village de Trémolat.
Blason de Trémolat
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord
Maire
Mandat
Éric Chassagne
2020-2026
Code postal 24510
Code commune 24558
DĂ©mographie
Population
municipale
630 hab. (2020 en augmentation de 2,27 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 45 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 52â€Č 33″ nord, 0° 49â€Č 50″ est
Altitude Min. 41 m
Max. 186 m
Superficie 14,03 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton du PĂ©rigord central
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Trémolat
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Trémolat
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Trémolat
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Trémolat

    GĂ©ographie

    Généralités

    Au sud du département de la Dordogne, en Périgord noir, la commune de Trémolat est entiÚrement située en rive droite de la Dordogne qui limite la commune sur environ six kilomÚtres. Le large méandre constitué par la Dordogne à cet endroit porte le nom de « cingle de Trémolat ». Le barrage de Mauzac implanté en aval, entre CalÚs et Mauzac-et-Grand-Castang, y forme une retenue d'eau calme, propice aux sports nautiques.

    Le village de Trémolat se situe, en distances orthodromiques, sept kilomÚtres au nord-ouest du Buisson-de-Cadouin et huit kilomÚtres au nord-est de la bastide de Lalinde. Il est établi à l'intersection des routes départementales 30 et 31.

    La commune est également desservie par la ligne ferroviaire de Libourne au Buisson en gare de Trémolat.

    Le chemin de grande randonnée GR 6 traverse le territoire communal au nord.

    La commune est rattachée administrativement au canton de Sainte-AlvÚre dans l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Pezuls, Paunat, Alles-sur-Dordogne, Le Buisson-de-Cadouin, CalĂšs et Mauzac-et-Grand-Castang.

    Trémolat est limitrophe de six autres communes.

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. TrĂ©molat est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire datant du CĂ©nozoĂŻque et de roches sĂ©dimentaires du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c5c, date du Campanien 3, une alternance de marnes Ă  glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunĂątres. La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indiffĂ©renciĂ©es de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altĂ©rites. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « no 807 - Le Bugue » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[2] - [3] et sa notice associĂ©e[4].

    Carte géologique de Trémolat.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 41 mĂštres[5] au nord-ouest, lĂ  oĂč la Dordogne quitte la commune pour servir de limite entre celles de CalĂšs et Mauzac-et-Grand-Castang, et 186 mĂštres[5] Ă©galement localisĂ©e au nord-ouest, en limite de la commune de Pezuls, au nord du lieu-dit le Monteil[6].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [7]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] - [8]. La commune fait partie du PĂ©rigord noir, un paysage vallonnĂ© et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallĂ©es-couloirs et d’une multitude de clairiĂšres de toutes tailles. Il s'Ă©tend du nord de la VĂ©zĂšre au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[9].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 14,03 km2[5] - [10] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 14,04 km2[3].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainĂ©e par la Dordogne, la RĂšze et, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 15 km de longueur totale[14] - [Carte 1].

    La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 km, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaĂźne des monts Dore, traverse six dĂ©partements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne Ă  Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde[15] - [16]. Elle borde la commune au sud sur dix kilomĂštres, face Ă  Alles-sur-Dordogne, Le Buisson-de-Cadouin et CalĂšs.

    Affluent de rive droite d'un bras de la Dordogne, la RÚze arrose le territoire communal sur prÚs de quatre kilomÚtres et demi, dont environ la moitié sert de limite naturelle face à Paunat.

    • Le village de TrĂ©molat au bord de la Dordogne.
      Le village de Trémolat au bord de la Dordogne.
    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      Réseaux hydrographique et routier de Trémolat.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - VĂ©zĂšre)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'Ă©laboration. La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [18].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[19]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[20].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[19]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 9,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 854 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[23] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[24] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Belves », sur la commune de Pays de BelvĂšs, mise en service en 1988[25] et qui se trouve Ă  18 km Ă  vol d'oiseau[26] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 895,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[27]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et Ă  28 km[28], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[29], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[30], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[31].

    Milieux naturels et biodiversité

    Liées à la Dordogne, plusieurs zones naturelles du territoire communal sont protégées.

    Natura 2000

    La Dordogne entre Trémolat (à gauche) et CalÚs.

    Deux zones Natura 2000 sont délimitées sur le territoire de Trémolat :

    ZNIEFF

    TrĂ©molat fait partie des 102 communes concernĂ©es par la zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[37] - [38], dans laquelle ont Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©es huit espĂšces animales dĂ©terminantes et cinquante-sept espĂšces vĂ©gĂ©tales dĂ©terminantes, ainsi que quarante-trois autres espĂšces animales et trente-neuf autres espĂšces vĂ©gĂ©tales[39].

    La commune présente deux ZNIEFF de type I :

    • appelĂ© « cingle de TrĂ©molat », le large mĂ©andre qu'effectue la Dordogne prĂ©sente en rive droite une paroi calcaire ensoleillĂ©e d'une centaine de mĂštres de hauteur oĂč nichent des milans noirs et oĂč peut s'Ă©panouir une flore de type mĂ©diterranĂ©en[40] - [41].
    • Ă  l'est et au sud-est de la commune, le « cingle de Limeuil », un autre mĂ©andre de la Dordogne prĂ©sente, toujours en rive droite, un coteau calcaire ensoleillĂ© pouvant atteindre 80 mĂštres de haut oĂč peut s'Ă©panouir une flore de type mĂ©diterranĂ©en[42] - [43].

    Protection du biotope

    Comme l'ensemble des communes du dĂ©partement de la Dordogne baignĂ©es par la Dordogne, TrĂ©molat est soumis Ă  un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral de protection de biotope de 1991 destinĂ© Ă  favoriser la migration et le frai de plusieurs espĂšces de poissons[44].

    Sites remarquables

    La Dordogne et ses « cingles » (méandres) présentent trois sites naturels protégés, aussi bien terrestres qu'aquatiques, en partie sur le territoire de Trémolat.

    Le cingle de Trémolat offre deux zones qui se recouvrent en partie :

    • un site inscrit depuis 1965[45], depuis la limite communale avec Mauzac-et-Grand-Castang jusqu'au pont ferroviaire de la ligne de Libourne au Buisson, limitĂ© au nord par les lieux-dits Cazal et Rocamadou et Ă  l'est par la Cabane, le bourg de TrĂ©molat et la Placelle[46].
    • plus rĂ©cemment, un site classĂ© en 1985[47] - [48], plus restreint, s'Ă©tend depuis la limite communale avec Mauzac-et-Grand-Castang jusqu'au pont de la route dĂ©partementale 31.

    Le cingle de Limeuil quant à lui est un site classé depuis 1985[49] - [50], depuis les Bretoux et Viaunet, en limite de la commune de Limeuil, jusqu'au Rocq, en passant par les Flaments.

    Urbanisme

    Typologie

    Trémolat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [51] - [52] - [53]. La commune est en outre hors attraction des villes[54] - [55].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (61,6 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (62,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (35,9 %), forĂȘts (29,9 %), terres arables (17,9 %), eaux continentales[Note 8] (6 %), prairies (5,8 %), zones urbanisĂ©es (2,4 %), cultures permanentes (2 %)[56].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de TrĂ©molat est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage[57]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[58].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Dordogne. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993 et 1999[59] - [57]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de la « vallĂ©e de la Dordogne, de Creysse Ă  Le Buisson », couvrant 20 communes et approuvĂ© le , pour les crues de la Dordogne[60] - [61].

    TrĂ©molat est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[62]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[63] - [64].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Trémolat.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[65]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[66]. 31,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [67].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[57].

    Risque technologique

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 10] situĂ© dans le dĂ©partement de la CorrĂšze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[69].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de Tremolat[70].

    Histoire

    Préhistoire

    La grotte de Lestruque est signalée par Peyrony. D'aprÚs Peyrony (1949[71]) puis plus tard Denise de Sonneville-Bordes (1960[72]), elle a fourni des industries du Solutréen, Magdalénien supérieur. Peyrony mentionne également de l'Azilien[73].

    G.[73] ou Louis[74] Peyrille aurait effectué une fouille dans ce gisement. Michel Lenoir fait une étude typologique et statistique du matériel de la grotte ramassé en surface[73].

    Moyen-Âge

    TrĂ©molat serait la patrie de saint Cybard (Eparchius), nĂ© au VIe siĂšcle[75], ermite qui vivait dans une grotte au-dessus de la Charente. De ce refuge dĂ©sert, naĂźt le monastĂšre de Saint-Cybard d'AngoulĂȘme. Au IXe siĂšcle, les moines de ce monastĂšre viennent fonder une dĂ©pendance Ă  TrĂ©molat. L'Ă©glise actuelle de TrĂ©molat, fortifiĂ©e, date du XIIe siĂšcle. Elle a remplacĂ© des Ă©difices plus anciens dĂ©truits lors des invasions normandes.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Trémolat a, dÚs 1790, été rattachée au canton de Limeuil qui dépendait du district de BelvÚs jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviÎse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Saint-AlvÚre (devenu canton de Sainte-AlvÚre en 1972), dépendant de l'arrondissement de Bergerac[5].

    Intercommunalité

    Fin 2001, Trémolat intÚgre dÚs sa création la communauté de communes du Terroir de la truffe. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Pays vernois et du terroir de la truffe.

    Au , TrĂ©molat quitte la communautĂ© de communes du Pays vernois et du terroir de la truffe — qui est dissoute le mĂȘme jour — pour rejoindre la communautĂ© de communes des Bastides Dordogne-PĂ©rigord[76].

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[77] - [78].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1977 mars 1989 Michel Labroue PRG puis MRG Avocat
    Conseiller général (1964-1988)
    1989 1995 Jeanette Beiringer DVG
    1995
    (réélu en mai 2020)
    En cours Éric Chassagne SE[79] Agriculteur

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Trémolat relÚve[80] :

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[81]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[82].

    En 2020, la commune comptait 630 habitants[Note 11], en augmentation de 2,27 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    967893819839918910914859917
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9059189639231 055909904876793
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    776754714670648637670604575
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    516566508542625571656666576
    2015 2020 - - - - - - -
    637630-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee Ă  partir de 2006[83].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[84], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 235 personnes, soit 36,9 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (34) a augmentĂ© par rapport Ă  2010 (31) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  14,5 %.

    Établissements

    Au , la commune compte soixante-sept Ă©tablissements[85], dont trente-sept au niveau des commerces, transports ou services, onze dans la construction, sept dans l'industrie, six relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, et six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche[86].

    Entreprises

    Dans le secteur des services, parmi les entreprises dont le siĂšge social est en Dordogne, « Le Vieux Logis » (restauration traditionnelle) implantĂ© Ă  TrĂ©molat se classe en 39e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 3 460 k€[87].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le cingle de Trémolat, est l'une des particularités du village. La route suit la falaise et offre aux visiteurs une vue saisissante sur la vallée et la boucle que forme la Dordogne.

    La commune dispose d'un bassin nautique et attire chaque été de nombreux visiteurs venus essentiellement des Pays-Bas, d'Angleterre et d'Allemagne.

    Elle possÚde également deux églises du XIIe siÚcle : l'église Saint-Hilaire, inscrite au titre des monuments historiques en 2010[88] et l'église Saint-Nicolas, classée au titre des monuments historiques depuis 1913[89] - [90].

    • Le plan d'eau Ă  la base nautique.
      Le plan d'eau Ă  la base nautique.
    • L'Ă©glise Saint-Hilaire.
      L'Ă©glise Saint-Hilaire.
    • L'Ă©glise Saint-Nicolas.
      L'Ă©glise Saint-Nicolas.
    • La partie au-dessus du portail de l'Ă©glise Saint-Nicolas.
      La partie au-dessus du portail de l'Ă©glise Saint-Nicolas.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Tremolat
    Blason de Tremolat Blason
    D'azur au croissant d'or ; au chef cousu de gueules chargé de trois étoiles d'or.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[11] - [12]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[21].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[22].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[68].
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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