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Autoroute A1 (France métropolitaine)

L’autoroute A1 est une voie rapide de type autoroutier qui relie entre elles les villes françaises de Paris et de Lille. Elle est également appelée « autoroute du Nord » ou « autoroute Paris-Lille ». Commencée en 1950 entre Lille et Carvin, l'autoroute est terminée en 1967 ; il s'agit de la première autoroute reliant Paris à une métropole française.

Autoroute A1
Cartouche de la route
Image illustrative de l’article Autoroute A1 (France métropolitaine)
L'autoroute au niveau de Chennevières-lès-Louvres (Val-d'Oise)
Carte de la route.
Autres dénominations Autoroute du Nord
Historique
Ouverture De 1954 Ă  1967
Caractéristiques
Longueur 211 km
Direction sud / nord
Extrémité sud Porte de la Chapelle à Paris
Intersections Boulevard Périphérique à Saint-Denis
A86 Ă  La Courneuve
A3 E 15 à Aulnay-sous-Bois
A104 Ă  Gonesse
N 104 à Épiais-lès-Louvres
A29 E 44 à Ablaincourt-Pressoir
A2 E 19 à Combles
A26 E 17 E 15 à Rœux
A21 Ă  Dourges
A22 E 17 E 42 à Lesquin
Extrémité nord A25 E 42 / N 356 à Lille
Réseau Autoroute française, également E 15 E 17 E 19 E 42
Territoire traversé
RĂ©gions ĂŽle-de-France
Hauts-de-France
DĂ©partements Seine-Saint-Denis
Val-d'Oise
Oise
Somme
Pas-de-Calais
Nord
Villes principales Saint-Denis
AĂ©roport de Roissy-Charles-de-Gaulle
Parc Astérix (Plailly)
Chantilly
Creil
Senlis
Pont-Sainte-Maxence
Compiègne
PĂ©ronne
Arras
Douai
HĂ©nin-Beaumont
Carvin
AĂ©roport de Lesquin
Lille

Longue de 211 km, l'autoroute dessert la banlieue nord de Paris, notamment le Stade de France, Le Bourget, l'aĂ©roport de Roissy-Charles-de-Gaulle et le parc AstĂ©rix. Ensuite, elle traverse la Picardie, en parallèle avec la LGV Nord, sans rencontrer directement les grandes villes de cette rĂ©gion.

Ă€ mi-chemin entre Amiens et Saint-Quentin, Ă  environ 120 km de Paris au niveau d'Ablaincourt-Pressoir, elle croise l'autoroute A29. Vingt kilomètres plus loin, l'autoroute se scinde et donne naissance Ă  l'autoroute A2 (appelĂ©e Paris – Bruxelles). Elle se poursuit jusqu'Ă  Lille croisĂ©e par l'autoroute A26 vers Calais puis l'autoroute A21 vers Douai et Lens ; elle continue vers Villeneuve-d'Ascq grâce Ă  l'autoroute A22. Enfin, elle croise, Ă  son arrivĂ©e Ă  Lille, l’autoroute A25 vers Dunkerque.

Historique

Années 1930 : les différents projets

Lors du premier congrès international des autoroutes Ă  Genève du au , un ingĂ©nieur des Ponts et ChaussĂ©es dĂ©crit une autoroute allant du Bourget Ă  Lille avec une bifurcation vers Calais Ă  hauteur de Breteuil. Le tracĂ© serait de 209,500 km dont 84,700 km sur le tronçon commun. Selon ses calculs, son projet d'autoroute aurait coĂ»tĂ© pour les 209,500 km de route reliant Paris Ă  Lille, 330 millions de francs, soit 1 575 000 francs par kilomètre[1].

Dans le plan Prost, la route du Nord sert principalement à relier Paris à l'aéroport du Bourget. Le tracé débute à l'est de l'aéroport, sur la route nationale 2 pour traverser La Courneuve, Saint-Ouen-sur-Seine et rejoindre la porte Maillot, à l'ouest de Paris. L'autoroute pourrait également recevoir le flux de véhicule venant de Belgique ou du nord de la France par les routes nationales 2 et 17[2].

Années 1950-1960 : la construction et l'inauguration de l'autoroute

Le début de la construction d'une « autoroute sud de Lille » a lieu en entre l'embouchure sur des anciennes fortifications de Lille et Carvin[3] - [4]. À cette date, seule une portion de l'A13 avait été réalisée en France[4] ; il s'agit d'une des premières autoroutes « de dégagement »[4]. Ce chantier est terminé le ; l'autoroute est inaugurée neuf jours plus tard, par Jacques Chaban-Delmas, ministre des Transports, et est ouverte à la circulation le [3]. La route est prolongée en 1954 par le pont Saint-Sauveur construit sur les voies de sortie de la gare Saint-Sauveur vers la gare de Lille-Flandres, en 1960, par le pont des Flandres construit sur la voie ferrée à proximité de la gare de Lille-Flandres, au Grand Boulevard et en 1962 à la route nationale 17[4]. Ce tronçon terminal en bordure du centre-ville de Lille (boulevards Paul-Painlevé, du Président-Hoover, Émile Dubuisson, pont des Flandres) qui comportait 3 traversées à niveau de voies de circulation avec feux de signalisation est remplacé en 1998 par le « petit contournement est » du boulevard périphérique de Lille à caractère autoroutier.

Alors qu'il Ă©tait envisagĂ© Ă  l'origine que l'A1 se termine Porte de Paris Ă  Saint-Denis, il est dĂ©cidĂ© en 1960 de la prolonger jusqu'au boulevard pĂ©riphĂ©rique par le quartier Bel-Air en partie dĂ©moli Ă  cette occasion[5] puis par la Plaine Saint-Denis[6]. Les travaux du tracĂ© vers Paris sont rĂ©alisĂ©s Ă  partir de 1961, via les tronçons Saint-Denis – Paris (porte de la Chapelle), puis Le Bourget – Saint-Denis, l'ouverture Ă  la circulation entre Saint-Denis et la porte de la Chapelle Ă©tant rĂ©alisĂ©e le [6]. La section sud sur l'avenue Wilson a Ă©tĂ© construite dans une tranchĂ©e de six mètres afin de pouvoir passer sous les ponts ferroviaires, les 600 000 mètres cubes de dĂ©blais servant notamment Ă  l'amĂ©nagement du parc Georges-Valbon[7].

En 1958, le tronçon entre Carvin et Gavrelle est rĂ©alisĂ©. Le , Marc Jacquet, ministre des Transports, inaugure 35 kilomètres de voies construites, entre Senlis et Le Bourget, les premières Ă  pĂ©age en France, qui doivent desservir le nouvel aĂ©roport de Roissy[3]. Le tronçon entre Senlis et Roye est inaugurĂ© le par Marc Jacquet, et c'est Ă  cette occasion que l'autoroute prend le nom d'A1[3]. Le tracĂ© s'achève par l'ouverture des tronçons reliant Roye Ă  Bapaume, le , puis Bapaume Ă  Fresnes-lès-Montauban le [3] - [8]. RenĂ© Chopin, le prĂ©sident de la SANEF, la sociĂ©tĂ© qui gère la concession de l'autoroute, dĂ©clare alors que le chantier de l'autoroute du Nord a coĂ»tĂ© au total 1 172 millions de francs[3]. Dès son achèvement, l'autoroute A1 est la voie routière française qui concentre le plus important trafic de marchandises, et un trafic de 10 000 vĂ©hicules par jour est observĂ© au niveau du pĂ©age de Fresnes-lès-Montauban[3]. Il s'agit de la première autoroute qui relie Paris Ă  une mĂ©tropole de France[9].

Depuis les années 2000 : la modernisation et l'amélioration du réseau

Depuis le début de 2008, dans la partie francilienne, l'autoroute A1 (ainsi que l'A15, l'A115 et une partie de la RN 184), n'est plus éclairée à la suite de vols de câbles[10]. La seule partie qui restait éclairée sur l'autoroute A1 à la suite de ces vols était le viaduc au-dessus du canal Saint-Denis. La section de Roissy-en-France à Senlis (Oise) fut éclairée à partir de 1990 à l'initiative de la SANEF dans le but de renforcer la sécurité des automobilistes. Cependant en janvier 2012, la SANEF décide de couper l'éclairage principalement pour des raisons d'économie d'énergie mais en prétextant également que ceci incite les automobilistes à être plus prudents ce qui, selon elle, réduit les accidents de la route[11].

Depuis le , une voie expérimentale dédiée aux taxis et aux bus a été mise en place entre l'aéroport de Roissy et Paris.

Entre Carvin et Lesquin, la route a été réhabilitée durant les étés 2011, 2012 et 2013[12].

Les péages de Chamant et de Fresnes-lès-Montauban ont été rénovés en 2013[13] - [14].

Depuis 2017, des améliorations ont été réalisés pour éviter des accidents ; les vieux lampadaires sont remplacés par des nouveaux équipements à diode électroluminescente (LED), les réseaux d’alimentation électrique sont réhabilités et sécurisés et les postes à haute tension sont également modernisés. De Paris jusqu'à Sortie 5 Le Bourget, l'autoroute A1 est de nouveau éclairée.

Entre Dourges et Lille, des portiques de régulation de vitesse sont mis en place à partir du [15].

En 2024, elle sera éclairée jusqu'à l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle[16].

Description

Caractéristiques

L'autoroute A1 relie la porte de la Chapelle sur le boulevard pĂ©riphĂ©rique de Paris Ă  l'autoroute A25 et Ă  la route nationale 356 Ă  hauteur de Lille. Sa longueur est de 211 km[17] - [18] - [19]. Elle est longĂ©e par la LGV Nord entre Longueil-Sainte-Marie et Carvin. L'autoroute passe Ă©galement sous l'aĂ©roport de Paris-Charles-de-Gaulle.

Elle est concédée à la Société des autoroutes du Nord et de l'Est de la France (SANEF) sur la partie payante jusqu'au . Entre l'échangeur de l'autoroute A21 et la route nationale 356, elle fait partie du ressort de la Direction interdépartementale des Routes Nord[20].

L’autoroute A1 est aussi :

  • la E19 de l'Échangeur Sortie 1 Porte de la Chapelle jusqu’à l’échangeur A1 / A2 ;
  • la E15 de l’échangeur A1 / A3 / A104 jusqu’à l’échangeur A1 / A26 ;
  • la E17 de l’échangeur A1 / A26 jusqu’à l'Ă©changeur A1 / A22 ;
  • la E42 de l’échangeur A1 / A22 jusqu’à l’échangeur A1 / A25.

La radio Sanef 107.7 couvre l'ensemble de l'autoroute.

Sorties

2x4 voies

2x4 voies

2x3 voies

  • Viaduc de Saint-Denis

2x4 voies

2x5 voies

2x3 voies

2x4 voies

2x3 voies

Autoroute A1 Ă  hauteur de Roissy-en-France.
Airbus A320 de la compagnie Finnair passant sur une piste de l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle, au-dessus de l'autoroute A1.

Début de la section payante. Seul l'accès au Parc Astérix est gratuit depuis la région parisienne et la Sortie 7.

2x5 voies

Échangeur A1-A25/RN 356 à 1300 mètres.

Ouvrages d'art

Un passage pour cervidés est mis en place en dessous de l'autoroute, dans la forêt d'Ermenonville[22].

Fréquentation

Photo de l'Ă©changeur d'HĂ©nin-Beaumont-Lens au niveau de Dourges.
Échangeur d'Hénin-Beaumont-Lens au-dessus de l'A1 à proximité de Dourges.

C'est l’autoroute française la plus fréquentée de France[23] et d'Europe[24].

Au lancement de l'autoroute A1, les frĂ©quentations de week-end entre Corbie et PĂ©ronne ont augmentĂ©[25]. En 1995, sur le tronçon entre Roissy-en-France et Combles, le trafic des vĂ©hicules utilitaires Ă©tait composĂ© de 14 200 poids lourd, soit 25 % des vĂ©hicules[26]. En 2006, l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques (Insee) recense 19 000 vĂ©hicules par jour au niveau de la plate-forme multimodale Delta 3 ; le pourcentage de poids lourd n'excède pas les 25 %[27]. En 2006, en direction de Lille, le trafic est très dense aux heures de pointe. Les trafics moyens journaliers annuels sont ainsi compris entre 102 300 vĂ©hicules Ă  Dourges et 177 200 Ă  Ronchin[27].

Depuis les années 2010, les aires de service de l'autoroute A1, comme celles de tout l'axe Calais - Barcelone, connaissent une recrudescence d'arnaques à l'irlandaise, notamment sur les aires où est installé un distributeur automatique de billets, comme celles de Vémars[28].

Les entrées et sorties de Lille en heures de pointe s'avèrent souvent délicates :

L'autoroute n'y est « qu'à » 2x3 voies, sauf l'entrée de Lille qui est à 2x5 voies entre la bifurcation A1/A27 et A1/A25/périphérique. Les entrées et sorties de Paris sont de même « chargées » depuis/jusqu'au boulevard périphérique depuis/jusqu'au Bourget (sortie du même nom), voire Villepinte (nœud A1/A3/A104) en week-end.

Futur

  • Couverture de l'ensemble de l'A1 qui traverse la banlieue nord de Paris (Ă©ventuellement).
  • Fermeture de l'Ă©changeur A1-A86 (Sortie 2) (demi-Ă©changeur) Ă  Saint-Denis - Pleyel.
  • CrĂ©ation d'un Ă©changeur permettant l'accès Ă  la Francilienne Nord (A104) et au contournement Est des voies Ă  l'aĂ©roport de Roissy Charles de Gaulle.
  • Une reconfiguration de l'Ă©changeur A1/A3/D370 est prĂ©vue dans le cadre de la crĂ©ation de la ZAC Triangle de Gonesse pour lui donner un accès supplĂ©mentaire.
  • AmĂ©lioration des diffuseurs de Senlis (Sortie 8) et de Ressons (Sortie 11).
  • Modification des voies de l'Ă©changeur (Sortie 19) Ă  Seclin.
  • CrĂ©ation d'un demi-Ă©changeur (Sortie 19.1) Ă  Templemars.
  • CrĂ©ations des bretelles manquantes de l'Ă©changeur avec l'A26.
  • RĂ©gulation dynamique de la vitesse dans le secteur de la mĂ©tropole europĂ©enne de Lille, avec la possibilitĂ© de dĂ©dier une voie au covoiturage.

Tourisme

Lieux visitables situés à proximité

Départements, régions traversées

Impact

À l'époque de sa construction, l'autoroute fut considérée comme le « chantier du siècle ». Celle-ci a donné lieu à des scènes de grand intérêt de la part du public, alors que pour les personnels employés à la réalisation de l'ouvrage, les conditions de travail ont été particulières[3] :

« Sur certaines parties du chantier, il a même fallu poser des barbelés. Les gens venaient, le dimanche, visiter les sites et roulaient sur les couches avant la pose du bitume… L'ambiance était formidable. C'était le Far West. On ne comptait pas les heures. Travailler seize heures par jour sur ce genre d'ouvrage était courant… Depuis, pour un ouvrage comparable, on a fortement réduit le personnel et on met au moins deux fois moins de temps… »

En 1961, lors de la construction de l'autoroute en Artois, les agriculteurs expropriés ont demandé un remembrement de leurs terres. Celui-ci a été accordé dès l'année suivante, dans la loi complémentaire à la loi d'orientation agricole avec effet rétroactif[29].

La couverture de l'A1 à hauteur de Saint-Denis est alors rejetée par l’État, ce qui précipite la dégradation des conditions de vie et fermeture des commerces de l'avenue[7]. Elle n'est réalisée qu'au moment de la construction du Stade de France[7].

Notes et références

  1. Jacques Thomas, « Congrès », Le Génie civil, no 2566,‎ , p. 399-400 (lire en ligne, consulté le ).
  2. « La Route du Nord », Urbanisme, no 41,‎ , p. 46 (lire en ligne, consulté le ).
  3. Jean-François Gintzburger, « …Et l'autoroute du sud de Lille devient l'autoroute A1 », Cent ans de vie dans la région - Tome 3 - 1939-1958 : De la bataille du rail à la bataille du charbon,‎ , p. 82-84
  4. C. Lancelle, « Le réseau routier de la métropole du nord », Techniques et sciences municipales et revue de l'eau, no 10,‎ , p. 367-372 (lire en ligne, consulté le ).
  5. Jean-Gabriel Bontinck, « Le jour où le quartier de Jean a été rasé pour laisser passer l’A1 à Saint-Denis », sur leparisien.fr, (consulté le )
  6. Jean-Gabriel Bontinck, « Il y a 50 ans, la construction de l’A1 transformait la Seine-Saint-Denis », sur leparisien.fr, (consulté le )
  7. Jean-Gabriel Bontinck, « Le tunnel de l’A1 a rayé de la carte les «Champs-Elysées» de Saint-Denis », leparisien.fr, (consulté le )
  8. Il a fallu dix-sept ans depuis le premier coup de pioche en 1950.
  9. Alain Barré, « Quelques données statistiques et spatiales sur la genèse du réseau autoroutier français », Annales de Géographie, vol. 106, nos 593-594,‎ , p. 231 (lire en ligne).
  10. L’Écho du Val-d'Oise du 5 juin 2009. Les voleurs coupaient les câbles des candĂ©labres dont la tension atteint 5 000 volts ; ils ont Ă©tĂ© pris en flagrant dĂ©lit sur l'autoroute A1. La seule autoroute A15 a Ă©tĂ© dĂ©lestĂ©e de 25 000 mètres de câbles. Le coĂ»t de remise en Ă©tat, Ă©valuĂ© Ă  plusieurs centaines de milliers d'euros ajoutĂ© Ă  la consommation Ă©lectrique d'environ cinq millions d'euros par an, laisse prĂ©sager que pour des questions d'Ă©conomie, l'Ă©clairage ne soit jamais remis sur ces axes.
  11. Floriane Louison, « A1 : un an après l’extinction des lumières », leparisien.fr, (consulté le ).
  12. « Construction d’un mur anti bruit sur l’A1 », sur dir-nord.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
  13. « La Sanef construit un péage plus écolo à Chamant », leparisien.fr,‎ (lire en ligne)
  14. « A1 : le péage de Fresnes accueille quatre voies supplémentaires », lavoixdunord.fr,‎ (lire en ligne)
  15. DIR Nord, « A1 - Mise en service de la régulation des vitesses », sur dir.nord.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
  16. « LES GRANDS TRAVAUX DE L’ÉTÉ 2020 SUR LES AUTOROUTES ET ROUTES NATIONALES D’ÎLE-DE-FRANCE » [PDF], sur dir.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr, (consultĂ© le ) : « Depuis 2017, la DiRIF a lancĂ© un vaste programme de rĂ©habilitation de l’éclairage de l’autoroute A1. […] L’opĂ©ration se poursuivra jusqu’en 2024 avec la rĂ©novation de l’éclairage jusqu’au pied des pistes de l’aĂ©roport de Paris-Charles-de-Gaulle. », page 5, RÉHABILITATION DE L’ÉCLAIRAGE DE L’AUTOROUTE A1.
  17. Autoroute A1 Saint-Denis-Chantilly, sur openstreetmap.org.
  18. Autoroute A1 Chantilly-Arras, sur openstreetmap.org.
  19. Autoroute A1 Arras-Lille, sur openstreetmap.org.
  20. Arrêté du 26 mai 2006 portant constitution des directions interdépartementales des routes (rectificatif) (lire en ligne)
  21. Géoportail.fr, consulté le 11 novembre 2009
  22. Jean-Marie Couderc, « Autoroutes et espaces forestiers », Norois, no 105,‎ , p. 39 (lire en ligne).
  23. Jamila Aridj, « Ces pilleurs d'autoroute qui cisaillent les câbles électriques », sur Le Point, (version du 11 mars 2012 sur Internet Archive).
  24. « Dans les coulisses de l’A1, l’autoroute la plus fréquentée d’Europe », sur tf1info.fr, (consulté le ).
  25. Émile Flament, « Quelques remarques sur l'espace touristique », Norois, no 88,‎ , p. 611 (lire en ligne).
  26. Alain Barré, « Le réseau autoroutier français : un outil rapidement valorisé, des effets controversés », Annales de Géographie, vol. 106, nos 593-594,‎ , p. 84 (lire en ligne).
  27. « Atlas transfrontalier Tome 8 : Transports et infrastructures - Trafics routiers », sur insee.fr (consulté le ).
  28. Esther Serrajordia, « VIDÉO - Comment les arnaques à l'irlandaise se multiplient sur les aires d'autoroute », sur rtl.fr, (consulté le ).
  29. Philippe Violier, « Les exploitations agricoles face aux expropriations : L'exemple de la communauté urbaine de Lille entre 1950 et 1980 », Études rurales, vol. 118, nos 118-119,‎ , p. 224 (lire en ligne).

Annexes

Articles connexes

Liens externes

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