Chevrières (Oise)
Chevrières est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Chevrières | |||||
La mairie. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Compiègne | ||||
Intercommunalité | CC de la Plaine d'Estrées | ||||
Maire Mandat |
Donatien Pinon 2020-2026 |
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Code postal | 60710 | ||||
Code commune | 60149 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
2 018 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 163 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 20′ 44″ nord, 2° 41′ 00″ est | ||||
Altitude | Min. 29 m Max. 82 m |
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Superficie | 12,4 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Estrées-Saint-Denis | ||||
Législatives | 5e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.mairie-chevrieres.fr/ | ||||
Géographie
Description
Chevrières est un bourg périurbain à caractère résidentiel, situé en dehors de toute agglomération[1].
La commune est située dans le département de l'Oise, près de la rive droite de l'Oise, entre Creil et Compiègne, sur l'itinéraire de l'autoroute A1 et de la LGV Nord.
La distance orthodromique avec la capitale, au sud-ouest, est de 59 km. Le chef-lieu d'arrondissement de Compiègne est éloigné de 13 km, et le chef-lieu de département Beauvais de 45 km.
Communes limitrophes
Hydrographie
Chevrières se trouve dans la vallée l'Oise, l(un des principaux affluents de la Seine, mais le lit de la rivière se trouve à Longueil-Sainte-Marie.
Le sud du territoire communal, marécageux, compte de nombreux étangs.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Margny-les-Compiègne », sur la commune de Margny-lès-Compiègne, mise en service en 1994[8] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 662,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 43 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Chevrières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,6 %), forêts (17,6 %), eaux continentales[Note 8] (11,6 %), zones urbanisées (8,4 %), mines, décharges et chantiers (7,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Morphologie urbaine
Le noyau ancien du village laisse paraître le type de village-rue le long de la RD 13, route secondaire de Saint-Martin-Longueau (près de Pont-Sainte-Maxence) à Compiègne.
Cette route traverse la commune d'est en ouest, coupant le territoire communal en son milieu. Alors que le village est bâti à une altitude variant peu autour de 35 m, le terrain augmente vers le nord et gagne une vingtaine de mètres ; le point culminant à 82 m d'altitude correspondant à une petite butte.
Cette moitié nord du territoire communal est presque exclusivement occupée par des surfaces agricoles, les parcelles boisées se faisant très rares.
À cheval sur les communes de Chevrières et Grandfresnoy, la sucrerie de Grandfresnoy, toujours active (2019), se situe en majeure partie sur le territoire de Chevrières. - Vers le nord-est, le territoire communal est délimité par la LGV Nord sur une certaine distance. Le village s'est étendu vers le sud, avec une ou deux rues parallèles à la RD 13, et un long alignement de maisons le long de la RD 115 qui mène à la gare.
Le secteur sud du territoire communal est marécageux à de nombreux endroits et majoritairement boisé, avec présence de nombreux étangs de pêche. À l'extrémité sud-ouest, se trouve le petit hameau du Quesnoy. La limite sud de la commune s'approche de l'Oise de moins de 500 m sans l'atteindre, du fait que les territoires des communes limitrophes est et ouest se rejoignent au sud de Chevrières.
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 879, alors qu'il était de 785 en 2013 et de 705 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 94,8 % étaient des résidences principales, 0,7 % des résidences secondaires et 4,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 87,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 12,4 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Chevrières en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,7 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 70 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (75,5 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Voies de communication
Chevrières est traversée en sa limite est par l'Autoroute A1, accessible par sa sortie no 9 et par la LGV Nord
Une aire de service de l'autoroute porte le nom de Chevrières.
Un échangeur de l'A1 se situe immédiatement au sud de Chevrières, sur la commune de Longueil-Sainte-Marie. Pour atteindre l'échangeur, il faut toutefois passer par la voie rapide de la RD 200 Creil - Compiègne, autre route d'importance majeure pour Chevrières (qui ne traverse pas le territoire communal). Les autres routes constituent des axes secondaires : la RD 13 déjà mentionnée, ainsi que la RD 155 en tant que liaison nord-sud. Elle relie la RN 31 Rouen - Reims au nord à la RD 200 au sud, en passant par le centre-ville. Une déviation par l'est existe maintenant pour Grandfresnoy, qui commence à un rond-point à mi-chemin entre Chevrières et la sucrerie.
Elle est desservie par la ligne de Creil à Jeumont. Le passage à niveau de Chevrières est considéré comme dangereux[22].
Une voie de chemin de fer industrielle desservant la sucrerie de Grandfesnoy, désaffectée, passe dans la commune.
- Le passage à niveau et l'ancienne gare.
- L'ancienne voie ferrée de la sucrerie, rue de l'Armistice
Transports
La gare de Chevrières est un point d'arrêt sans présence commerciale desservi par les trains omnibus TER Picardie de la relation n° 12 Compiègne - Paris.
Du lundi au vendredi, s'y arrêtent huit trains pour Paris et neuf pour Compiègne, la fréquence étant moindre le week-end. Le temps de parcours est de 50 min pour Paris et d'un quart d'heure pour Compiègne[23].
En 2012, Chevrières est desservie par deux lignes d'autocars du réseau du conseil général de l'Oise : la ligne 8B Sacy-le-Petit - Pont-Sainte-Maxence et la ligne 33B Clermont - Compiègne, toutes les deux à vocation essentiellement scolaire. La ligne 33B propose toutefois deux aller-retours pour Compiègne en transport sur réservation pendant les vacances scolaires, du lundi au samedi[24].
L'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle est situé à 41 km au sud.
Histoire
Des vestiges d'habitation du IXe au XIIe siècle sont découverts en avril 2014 par l'Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives). Un squelette de cheval complet, un ancien jeton de jeu de tables et d'autres objets ont été trouvés sur les lieux. Les archéologues pensent que, sous le sol d'une habitation, se trouve un château. Les vestiges étaient visitables les 7 et .
Dans la nuit du 22 au , durant la Première Guerre mondiale, lors d'un raid de bombardement aérien contre Paris, un Gotha G allemand est abattu par la DCA et s'écrase près de la ferme Lormont située sur la commune[25].
Politique et administration
Liste des maires
Politique de développement durable
Dans le cadre de la mise en place du plan arbres de la Région Hauts-de-France, la commune a planté à côté des jardins familiaux, rue Parmentier, 100 arbustes et 55 arbres traditionnels de Picardie : saules blancs, saules marsault, merisiers des oiseaux, charmes, pommiers, osiers des vanniers, cornouillers sanguins[31].
Équipements et services publics
En 2021, la commune a racheté les locaux de l'ancienne Caisse d'éparge pour y implanter une agence postale et maintenir un distributeur automatique de billets dans la commune[32].
- L'école de musique.
- L'ancienne école.
- L'ancien bureau de poste, avant son transfert dans l'ancienne caisse d'épargne.
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].
En 2020, la commune comptait 2 018 habitants[Note 9], en augmentation de 5,65 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 976 hommes pour 1 046 femmes, soit un taux de 51,73 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture
En 2019, il existe à Chevrières une librairie, Graines de Mots, l’une des six librairies indépendantes du département et la seule de la région à être associative[39].
Associations
- L’association Bien Vivre ensemble à Chevrières, créée en 2019, s'est donné comme objectif d'améliorer le quotidien des habitants et de leur faire découvrir leur territoire et sa biodiversité[40].
Cultes
L'église Saint-Georges est affiliée à la paroisse Saint-Joseph de la plaine d'Estrées, et accueille des célébrations eucharistiques la plupart des dimanches matin, ainsi que plusieurs fois en semaine[41].
Économie
L'entreprise Lafarge Granulat, qui fabrique du sable et des gravillons pour le bâtiment et les travaux publics, est implantée à Chevrières depuis 1983 où elle fabrique des granulats utilisés dans la construction à partir de matériaux provenant des carrières de Choisy-au-Bac et Rivecourt. Elle recycle également des déchets inertes de chantier et commercialise des granulats recyclés[42] - [43].
La sucrerie de Chevrières, la dernière exploitée dans l'Oise, est implantée au hameau de La sucrerie, sur la limite communale entre Chevrières et Grandfresnoy.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Chevrières compte un monument historique sur son territoire :
- Église Saint-Georges (classée monument historique en 1920[44]), place René-Langlois-Meurinne / place Saint-Georges :
elle a été édifiée entre 1530 et 1545 dans le style gothique flamboyant, sous l'impulsion du nouveau seigneur local, Robert de Broully, dont le gisant est conservé dans l'église.
De splendides vitraux ont été offerts par le chapitre de Beauvais, le procureur du seigneur et son épouse, ainsi que par le chanoine Nicolas Bottée. Quatre de ces vitraux attribués à l'atelier beauvaisien de Nicolas Leprince subsistent, mais ont été fortement restaurés en 1860.
La nef et ses collatéraux ont dû être financés par les paroissiens, et ils restent inachevés jusqu'en 1868. L'homogénéité de l'architecture ne permet pas de soupçonner que l'église est en fait issue de plusieurs campagnes de construction, sauf pour la façade, qui comporte un portail de 1672.
Dans son ensemble, l'église Saint-Georges est assez représentative des reconstructions flamboyantes de la seconde moitié du XVIe siècle dans la région, et sans particulièrement se démarquer, elle peut être considérée comme une réalisation de qualité. Elle a été largement remeublée au XIXe siècle[45].
- Vue depuis le sud - sud-ouest.
- Vue depuis le sud - sud-est.
- Vitrail : La vie de saint Pierre.
- Crucifixion et résurrection du Christ.
- Gisant entre deux stations du chemin de croix.
On peut également signaler :
- Le monument aux morts, dans le jardin de la mairie, près du chevet de l'église
- Portail de ferme.
- La rue de la Galette.
- Monument aux morts.
- Paysage à l'ouest du Chevrières.
Personnalités liées à la commune
- Pierre de Maismont (1911-1944), Compagnon de la Libération, Mort pour la France, est inhumé dans la commune.
- Michel Souplet (1929-2020), né et mort à Chevrières dont il a été conseiller municipal et issu d'une famille implantée au voillage depuis 1600, est un sénateur de l'Oise (1983-2001)[46] - [47].
Héraldique
Blason | D'azur à la croix cousue de gueules cantonnée en chef de deux fleurs de lis d'or, à l'écusson d'argent chargé d'un lion de sinople armé de gueules. |
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Détails | Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- Chanoine Émile Epiphanius Morel et François Callais (dir.), Histoire de Chevrières, Compiègne, Société historique de Compiègne, , 155 p., p. 72-88
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de Chevrières (60149) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Chevrières », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Chevrières » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Chevrières » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Chevrières - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Chevrières - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- « Région Picardie - Liste des agglomérations de la région Picardie (liste déroulante) », sur Insee (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Margny-les-Compiègne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Chevrières et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Margny-les-Compiègne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Chevrières et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Benjamin Merieau, « La dangerosité des passages à niveau fait débat dans l’Oise : La Région a décidé d’interdire les passages de ses autocars sur deux passages à niveau de Beauvais. La SNCF estime de son côté qu’ils ne sont pas dangereu », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- [PDF] « Horaire de la relation n° 12 Busigny - Saint-Quentin - Compiègne - Paris », sur TER Picardie (consulté le ).
- [PDF] « Horaire de la ligne 8C Sacy-le-Petit - Pont-Sainte-Maxence » et « Horaire de la ligne 33B Clermont - Compiègne » sur le site « Fiches horaires », sur Oise Mobilité (consulté le ).
- Maurice Théry : Paris bombardé par zeppelins, gothas et berthas page 214
- « Marcel Fouet (UMP) ne repart pas à Chevrières », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Hervé Cosme, maire de Chevrières, ne se représentera pas en 2020 », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Hervé Cosme, 68 ans, maire de Chevrières, ne se représentera pas en 2020 après plus de 30 ans d'investissement au profit de sa commune comme conseiller (de 1989 à 1995) puis adjoint (de 1995 à 2014) et enfin maire (depuis 2014) ».
- « Chevrières. Donatien Pinon élu maire au premier tour », Oise Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Donatien Pinon, conseiller sortant a été élu dès le premier tour. Face à lui, l’adjoint sortant Philip Michel a réuni 42,29 % des voix ».
- A.C., « Elu maire, Donatien Pinon succède à Hervé Cosme », Oise Hebdo, no 1369,‎ , p. 17 (ISSN 1774-6418).
- A. C., « Candidat à Chevrières, Donatien Pinon a réuni 9 conseillers ou adjoints sortants », Oise Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ) « S’il ne cache pas avoir sa carte au parti Les Républicains, Donatien Pinon mènera sa liste sans étiquette ».
- « 155 arbres plantés à Chevrières : Une signalétique adaptée sera mise en place pour identifier les essences », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « À Chevrières, la mairie rachète la Caisse d’épargne : Le distributeur de billets restera en place et le bureau de poste sera transféré à cet endroit », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Chevrières (60149) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Par Stéphanie ForestierLe 27 avril 2019 à 15h55, « Chevrières : Graines de Mots, une librairie unique et active en plein village », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- « À Chevrières, une association veut faire connaître la faune et la flore de la commune : Une quinzaine de personnes s’est réunie ce samedi 12 septembre pour réaliser un inventaire participatif des arbres autour des étangs. C’est un des projets de l’association Bien vivre ensemble à Chevrières », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Horaire des messes », sur Paroisse Saint-Joseph (consulté le ).
- Christophe Barette, « Incendie à l'usine Lafarge Granulats à Chevrières : Mardi 30 juillet peu après 17 heures, les pompiers sont intervenus pour un départ d'incendie dans l'usine Lafarge Granulats, carrière de Chevrières », Actu Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- P. G., « À Chevrières, Lafarge Granulat monte en puissance : L’entreprise, qui fabrique du sable et des gravillons pour le BTP, vient d’investir 1,5 million d’euros dans une nouvelle installation. Elle compte ainsi augmenter sa production », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Église Saint-Georges », notice no PA00114589, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Chanoine Émile Epiphanius Morel et François Callais (dir.), Histoire de Chevrières, Compiègne, Société historique de Compiègne, , 155 p., p. 72-88.
- « Michel Souplet, ancien sénateur, est décédé à l'âge de 91 ans : L'ancien sénateur de l'Oise, agriculteur de profession, Michel Souplet, est décédé dans la nuit du mercredi 13 au 14 mai 2020. Il était âgé de 91 ans », Actu Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Fanny Dolle, « Michel Souplet, ex-sénateur de l’Oise et défenseur de la cause paysanne, est décédé », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).