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Le Fayel

Le Fayel est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Le Fayel
Le Fayel
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC de la Plaine d'Estrées
Maire
Mandat
Isabelle Fafet
2020-2026
Code postal 60680
Code commune 60229
Démographie
Gentilé Fayelois, Fayeloises
Population
municipale
230 hab. (2020 en augmentation de 2,68 % par rapport à 2014)
Densité 90 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 22′ 22″ nord, 2° 41′ 58″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 81 m
Superficie 2,56 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives 5e circonscription de l'Oise
Localisation
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Le Fayel
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    Géographie

    Description

    Vue aérienne de la LGV Nord à Longueil-Sainte-Marie et Le Fayel en 2014

    Le Fayel est située à 8 km d'Estrées-Saint-Denis, 9 km de l'A 1 (vers Paris),13 km de Compiègne et 14 km de Pont-Sainte-Maxence.

    Le territoire communal est traversé par l'autoroute A1, dont l'accès vers Lille se trouve à km et la LGV Nord. Le sentier de grande randonnée GR124A — rejoint par une voie verte utilisant la plateforme d'une ancienne voie ferrée et qui permet de se rendre à Estrées-Saint-Denis et Longueil-Sainte-Marie ou Rivecourt[1] — passe dans ke village.

    En 1832, Louis Graves indique que « Le petit territoire de Fayel est formé d'une plaine légèrement inclinée du Midi vers le Nord; il est entièrement dépourvu .d'eau courante : le village est au centre[2] ».

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 681 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Margny-les-Compiègne », sur la commune de Margny-lès-Compiègne, mise en service en 1994[9] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 662,2 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 44 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,6 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Fayel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (17,4 %), forêts (10,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,9 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 100, alors qu'il était de 97 en 2014 et de 90 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 86,9 % étaient des résidences principales, 4 % des résidences secondaires et 9,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements au Le Fayel en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4 %) supérieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 70,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80,5 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement au Le Fayel en 2019.
    Typologie Le Fayel[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 86,9 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4 2,4 9,7
    Logements vacants (en %) 9,1 7,1 8,2

    Toponymie

    La localité a été dénommée le Fayel, Fayel, le Fay (Fayellum)[2]

    Histoire

    Moyen Âge

    Au VIIe siècle, le Fayel n'est une simple dépendance du palais de Verberie, dont il est séparé à l'époque de la fondation du prieuré de Rivecourt par le roi Childebert IV. « Les ravages des Normands obligèrent bientôt, les. moines de Saint-Vandrille, propriétaires de Rivecourt, à placer, leur maison et les lieux .voisins sous la sauvegarde des seigneurs de Pierrefonds ; ceux-ci envoyèrent dans. le pays un chevalier pour lequel les religieux constituèrent un fief spécial.
    Les successeurs de oe chevalier agrandirent leur possession de quelques acquisitions faites aux clercs de Saint-Corneille ; telle fut l'origine de la terre de Fayel, et l'on voit encore [en 1832] dans le parc les restes du premier manoir qui fut élevé[2] ».

    « La chapelle de Fayel est comprise dans l'énumération des biens que le roi Childebert donna, en 693 , aux moines de St.-Vandrille pour former le prieuré de Rivecourt, et depuis lors cette chapelle dépendit de la cure de Rivecourt[2] ».

    Temps modernes

    Lors des guerres de Religion, la chapelle de Fayel est détruite par les huguenots. Elle est réédifiée en 1642 par le maréchal de la Mothe-Houdancourt, seigneur du lieu, « au moyen d'une fondation de cinq cents livres que l’évêque de Mende avait laissée dans ce but et pour établir une paroisse ; mais cette seconde partie du testament ne reçut pas d'exécution[2] ».

    Le , la reine Christine de Suède venant en France pour Compiègne où se trouvait la Cour, est accueillie au Fayel par Louis XIV[2].

    Époque contemporaine

    La gare de Canly - Grandfresnoy, sur la ligne d'Ormoy-Villers à Boves dessert la commune de 1882 à 1939.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1802 du canton d’Estrées-Saint-Denis[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton d'Estrées-Saint-Denis

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Le Fayel est membre de la communauté de communes de la Plaine d'Estrées, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    juin 1995 mars 2014 Édouard de Cossé-Brissac[24] Comte, Châtelain du Fayel
    Cadre dirigeant d'entreprises puis agriculteur
    2014[25] mai 2020 Julien Geoffroy[26] Ouvrier
    mai 2020[27] En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Isabelle Fafet Personnel de la santé et du travail social

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

    En 2020, la commune comptait 230 habitants[Note 8], en augmentation de 2,68 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    227256255228217206202179186
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    162145151171146151132131131
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    106135119132131126127104139
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    121124120126200213225227228
    2015 2020 - - - - - - -
    219230-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 118 hommes pour 105 femmes, soit un taux de 52,91 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    1,9
    1,6
    75-89 ans
    1,9
    24,6
    60-74 ans
    17,6
    18,9
    45-59 ans
    23,1
    15,6
    30-44 ans
    21,3
    23,0
    15-29 ans
    10,2
    15,6
    0-14 ans
    24,1
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame.
    • Château du Fayel construit au XVIIe siècle pour le maréchal Philippe de La Mothe-Houdancourt, aussitôt après l'érection du duché-pairie, son parc, ses communs et sa chapelle[33] - [34].
      Louis Graves indiquait en 1832 « c'est un édifice en brique et en pierre, formé d'un corps-de-logis principal et de deux ailes en retour d'équerre : son dessin , simple , noble et commode, est attribué à Mansard ; de vastes dépendances, des jardins dessinés par Lenôtre, un parc de cent hectares au moins, de longues avenues garnies d'arbres fruitiers embellissent ce château et en font un séjour agréable[2] ».
    • Monument aux morts.
    • Le château.
      Le château.
    • Chapelle du château.
      Chapelle du château.
    • Portail du château.
      Portail du château.
    • Mare-abreuvoir, rue des Lombards.
      Mare-abreuvoir, rue des Lombards.
    • Portail de ferme, rue de Vaudherland
      Portail de ferme, rue de Vaudherland
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.

    Personnalités liées à la commune

    Le nom de certains seigneurs de Fayel nous est parvenu[2] :

    • Reynaud, qui prend au XIIe siècle le titre de chevalier.
    • En 1450, Guillaume le bègue, vicomte de Breteuil et chambellan du roi, possède aussi les terres du Meux et d'Armancourt
    • James de Fayel, son petit-fils, est chevalier, conseiller et également chambellan du roi, Il n'a qu'une fille qui épouse Guillaume de Ferrières , baron de Thury et de Dangu.
    • Pierre de Ferrières , fils de celui-ci, vend le les terres de Fayel, Rucourt , Armancourt... , à Michel Gaillart seigneur de Longjumeau , dont les descendants les ont possédées jusqu'en 1627.
    • Daniel de La Mothe Duplessis Houdancourt, évêque de Mende, grand-aumônier et chancelier de Henriette-Marie de France, reine d'Angleterre, les achète alors lors d'une adjudication.
    • Le propriétaire suivant est son frère, le maréchal Philippe de La Mothe-Houdancourt, vice-roi de Catalogne, en faveur duquel elle est érigée en duché-pairie par Louis XIV.
    • Le duc d'Amont en devient propriétaire par sa femme, Angélique de la Mothe
    • En 1682 , le duché de Fayel est cédé à Henri de La Mothe-Houdancourt, archevêque d'Auch, grand-aumônier de la reine Anne d'Autriche, moyennant deux cent mille livres.
    • Jérôme de La Mothe-Houdancourt, son frère, en hérite en 1684 et le donne en 1686 à son neveu le comte de la Mothe, tué le 2 novembre 1710 à la défense d'Aire. Les descendants de cette maison continuèrent à posséder le domaine de Fayel, mais le titre de duché s'éteint faute d'enfants mâles.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Le Fayel », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Fanny Dolle, « À vélo, les élus traquent les défauts de la coulée verte entre Estrées-Saint-Denis et Rivecourt : Quel avenir pour la coulée verte ? La création de cette piste cyclable de 18 kilomètres, reliant Estrées-Saint-Denis à Rivecourt, remonte à 2005. Une réflexion est menée pour rendre cet axe encore plus accessible », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    2. Louis Graves, Précis statistique sur le canton d'Estrées-Saint-Denis, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 106 p. (Achille Desjardins), p. 37-40, sur Google Livres.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    9. « Station Météo-France Margny-les-Compiègne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Le Fayel et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Margny-les-Compiègne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Le Fayel et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duCompiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Jean Boulangé, « Au Fayel, le maire, c'est le châtelain », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    25. « Fayel », Cartes de France (consulté le ).
    26. En 2017 Julien Geoffro a apporté son parrainage à la candidature de Marine Le Pen pour l'élection présidentielle: « Tableau des parrainages validés par Conseil constitutionnel, présidentielle 2017 », sur Tous les parrainages validés - Conseil constitutionnel présidentielle 2017 (consulté le ).
    27. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du Fayel (60229) », (consulté le ).
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    33. Jean Marot, Recueil des plans, profils et élévations des [sic] plusieurs palais, chasteaux, églises, sépultures, grotes et hostels bâtis dans Paris et aux environs par les meilleurs architectes du royaume desseignez, mesurés et gravez par Jean Marot, vues 62 et 63 (voir)
    34. « Photographies du château du Fayel », sur https://www.gettyimages.fr (consulté le ).
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