Accueil🇫🇷Chercher

Armancourt (Oise)

Armancourt est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Armancourtois.

Armancourt
Armancourt (Oise)
Mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CA la Région de Compiègne et de la Basse Automne
Maire
Mandat
Éric Bertrand
2020-2026
Code postal 60880
Code commune 60023
Démographie
Gentilé Armancourtois, Armancourtoises
Population
municipale
539 hab. (2020 en diminution de 3,75 % par rapport à 2014)
Densité 266 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 22′ 26″ nord, 2° 45′ 54″ est
Altitude Min. 30 m
Max. 112 m
Superficie 2,03 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Compiègne
(banlieue)
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Compiègne-2
Législatives 5e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Armancourt
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Armancourt
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Armancourt
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Armancourt

    Géographie

    Description

    La rue principale du village.
    Maison picarde traditionnelle, rue des Matinnoix.

    La commune est située dans le département de l'Oise, dans la moyenne vallée de l'Oise et près de la rive droite de cette rivière, à une distance orthodromique de km au sud-ouest du chef-lieu d'arrondissement de Compiègne[1]. La distance avec la capitale, au sud-ouest, est de 65 km[2]. Armancourt entre dans l'unité urbaine (ou agglomération au sens de l'Insee) de Compiègne composée de quatorze communes totalisant 70 610 habitants en 2009[3] - [4].

    Avec une petite superficie de 2,03 km2, Armancourt est la sixième commune la moins étendue parmi les 694 communes de l'Oise[5]. Elle ne possède que trois communes limitrophes, dont Lacroix-Saint-Ouen. Du fait que la limite entre les deux communes se situe au milieu de l'Oise, aucun lien routier direct n'existe entre les deux communes : il faut traverser Le Meux, au sud, pour se rendre d'une ville à l'autre. Le territoire communal est partagée en deux secteurs par la voie ferrée de Creil à Aulnoye-Aymeries et par la RD 13 qui lui est parallèle. Le secteur à l'est de cette ligne de partage correspond à la plaine alluviale de l'Oise, couverte de surfaces agricoles. À l'ouest, s'élève un coteau qui correspond au versant est d'un petit massif de collines. Ce secteur est accidenté et présente plusieurs parcelles boisées ; s'y trouve le point culminant de la commune à 112 m au-dessus du niveau de la mer. Les maisons qui ne sont pas bâties le long de la RD 13, seule route signifiante dans la commune, se situent déjà à flanc de coteau ou au sommet des buttes. Hormis l'Oise, aucun cours d'eau n'est présent à Armancourt.

    Concernant les voies de communication, la RD 13 déjà mentionnée est l'unique route départementale qui existe sur la commune. C'est une route de desserte locale parallèle à la voie rapide de la RD 200 Compiègne - Creil, qui au niveau d'Armancourt passe par la rive opposée de l'Oise. Un échangeur existe sur la commune voisine du Meux, au sud. La RD 200 donne également accès à l'autoroute A1 par l'échangeur n° 9 sur la commune de Longueil-Sainte-Marie, à 10 km d'Armancourt. Compiègne est accessible par la RD 13, qui toutefois ne permet une traversée de l'Oise qu'au nord du centre-ville, près de la gare, ou à partir de Jaux, par la déviation de Compiègne (RD 1131) qui permet de s'approcher de la ville par le sud. Une voie communale quitte Armancourt en direction du nord-ouest, passant par les hameaux de Dizocourt et Varanval (commune de Jaux) et se dirigeant vers la RN 31.

    Bien que traversée par la ligne de chemin de fer, Armancourt n'a jamais possédé de gare. En direction de Creil et Paris, la gare la plus proche est celle du Meux - Lacroix-Saint-Ouen, à une distance routière de 1,9 km. Elle est desservie par les trains omnibus TER Picardie de la relation n° 12 Compiègne - Paris. Du lundi au vendredi, s'y arrêtent huit trains pour Paris et neuf trains pour Compiègne, la fréquence étant moindre le week-end. Le temps de parcours est de 57 min pour Paris et de 8 min pour Compiègne. En direction de Compiègne, la prochaine gare est le point d'arrêt de Jaux, à 1,9 km également, mais ne s'y arrêtent que six trains dans chaque sens[6]. Sur le plan des transports en commun, Armancourt est desservie par une ligne d'autocars du réseau du conseil général de l'Oise : la ligne 33B Clermont - Compiègne, à vocation essentiellement scolaire. Elle propose toutefois deux aller-retours pour Compiègne en transport sur réservation pendant les vacances scolaires, du lundi au samedi[7].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes d’Armancourt
    Jaux
    Le Meux Armancourt
    Lacroix-Saint-Ouen

    Hydrographie

    La commune est limitée à l'est par le lit de l'Oise, l'un des principaux affluents en rive droite de la Seine.

    Elle est donc concernée par le projet « MAGEO » de mise au gabarit européen de l’Ois, qui impliquerait la rectification d'une courne de la rivière et la disparition d'e l’île du Grand Peuple[8].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de température : 11 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 664 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Margny-les-Compiègne », sur la commune de Margny-lès-Compiègne, mise en service en 1994[15] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[16] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 662,2 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 48 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[19] à 10,6 °C pour 1981-2010[20], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Armancourt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [22] - [23] - [24]. Elle appartient à l'unité urbaine de Compiègne, une agglomération intra-départementale regroupant 14 communes[25] et 70 699 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[26] - [27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[28] - [29].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,6 %), zones urbanisées (20,6 %), eaux continentales[Note 8] (8,1 %), forêts (6,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,5 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[31].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 256, alors qu'il était de 239 en 2013 et de 230 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 93,2 % étaient des résidences principales, 2,7 % des résidences secondaires et 4,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 89,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 9,3 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Armancourt en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,7 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,9 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Armancourt en 2018.
    Typologie Armancourt[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 93,2 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,7 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 4,1 7,1 8,2

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1802 du canton d'Estrées-Saint-Denis[32]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Compiègne-2

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Armancourt était membre de la Agglomération de la région de Compiègne, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté d'agglomération dénommée Agglomération de la Région de Compiègne et de la Basse Automne dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Joël François DVD
    mars 2008 En cours
    (au 13 octobre 2021)
    Éric Bertrand Horizons[33] Réélu pour le mandat 2020-2026[34] - [35]

    Distinctions et labels

    Armancourt candidate en 2019 pour la première fois au prix régional du concours des villes et villages fleuris, qu'elle espère obtenir pour son fleurissement campagnard et sa démarche favorisant la biodiversité, avec, par exemple, l'installation de 15 ruches en 2018[36]

    Équipements et services publics

    Les enfants de la commune sont scolarisés au sein de l'école Albert-Eveloy, qui compte trois classes multiniveaux. Elle a été construite en 1982 par l'intercommunalité, et dispose d'un accueil périscolaire et d'une cantine[37] - [38]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].

    En 2020, la commune comptait 539 habitants[Note 9], en diminution de 3,75 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    323346350367352313277274258
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    228213205181176201192185185
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    178191166180157141165165178
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    177159244472501527533541558
    2015 2020 - - - - - - -
    561539-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,7 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 280 hommes pour 275 femmes, soit un taux de 50,45 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4
    90 ou +
    0,4
    3,7
    75-89 ans
    6,7
    22,8
    60-74 ans
    21,3
    24,3
    45-59 ans
    24,7
    18,0
    30-44 ans
    16,9
    16,2
    15-29 ans
    16,9
    14,7
    0-14 ans
    13,1
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[43]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Armancourt compte un monument historique sur son territoire :

    • L'église Notre-Dame d'Armancourt (inscrite monument historique par arrêté du [44]), rue des Vignes-Blanches :
      l'édifice est bâti à 117 m d'altitude sur une butte dominant le village, à l'écart du centre. Près de l'église se trouvaient jadis une source au caractère miraculeux, ainsi qu'un moulin à vent.
      C'est, selon l'appréciation d'Eugène Müller, un édifice sans caractère, pour lequel Louis Graves a identifié l'année de construction 1410.
      De style gothique tardif, l'église est bâtie en pierre de taille et suit un plan cruciforme classique. La nef tout comme le chœur polygonal portent sur deux travées et sont de hauteur identique, ainsi que le transept. Ses pignons présentent une alternance de briques et de pierres de taille, seule fantaisie que se permettent les façades latérales. Au-dessus de la croisée du transept s'élève le petit clocher central en charpente, au toit octogonal recouvert d'ardoise. L'on ne note qu'un seul bas-côté, au sud ; ses deux fenêtres sont de taille inégale.
      Quant à la façade occidentale avec son portail carré aux angles arrondis et les deux niches vides encadrant la baie au-dessus, elle est plus récente que le reste de l'église. À l'intérieur, la voûte de la nef est supportés par des gros piliers cannelés. Comme particularité, la tourelle d'escalier donnant accès au clocher se situe à l'intérieur de l'église, près du portail. Le transept nord-ouest abrite une grotte de Notre-Dame-de -Lourdes. Les vitraux coloriés du XVe siècle ne subsistent plus.
      Du fait de mouvements du sol, la structure de l'édifice est sérieusement affectée, et les voûtes et supports se sont désarticulées près du portail et près du chevet[45] - [46] - [47] - [44]. L'église n'est pas souvent ouverte.

    On peut également signaler :

    • Le calvaire, rue des Matinnoix (RD 13), à l'angle avec l'impasse des Larris-Martin, et à la limite avec la commune voisine de Jaux : croix filigrane en fonte, peinte en plusieurs couleurs, plantée dans un solide socle en pierre.
    • Les fermes et maisons picardes traditionnelles, datant de la plupart du XIXe siècle, le long de la rue principale du village, la RD 13 (rue des Matinnoix, rue de la Basse-Côte).
    • Le monument aux morts, sur le parking face à la mairie, rue de la Basse-Côte.
    • L'église Notre-Dame.
      L'église Notre-Dame.
    • Façade de l'église
      Façade de l'église
    • La nef de l'église
      La nef de l'église
    • Le calvaire.
      Le calvaire.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.

    Personnalités liées à la commune

    • Albert Eveloy, résistant local. L'école de la commune porte son nom[37].

    Héraldique

    Blason de Armancourt Blason
    Écartelé : aux 1er et 4e d'azur à la tour d'argent, ouverte et ajourée de sable, aux 2e et 3e d'argent au lévrier de gueules accolé et bouclé d'or, accompagné de trois tourteaux de gueules et surmonté d'un lambel du même.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Philippe Bonnet-Laborderie et François Callais, Entre rivière et forêts, la communauté compiégnoise : Armancourt, Beauvais, G.E.M.O.B., coll. « Villes d'art de l'Oise et de la Picardie », , 192 p. (ISSN 1255-0078), p. 21-25

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Armancourt », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[12].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. « Orthodromie entre Armancourt et Compiègne », sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
    2. « Orthodromie entre Armancourt et Paris », sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
    3. « Composition communale de l'agglomération : 60502-Compiègne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    4. « Résumé statistique - unité urbaine de Compiègne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    5. « Résumé statistique national (fichier Excel) », sur Insee (consulté le ).
    6. [PDF] « Horaire de la relation n° 12 Busigny - Saint-Quentin - Compiègne - Paris », sur TER Picardie (consulté le ).
    7. [PDF] « Horaire de la ligne 33B Creil-Clermont » sur le site « Fiches horaires », sur Oise Mobilité (consulté le ).
    8. Marielle Martinez, « Armancourt: « Mageo, c’est en finir avec 50 ans d’immobilisme » : Un nouveau paysage pourrait se dessiner avec la mise au grand gabarit de l’Oise, en aval de Compiègne. Avec un impact non négligeable sur les terres agricoles », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    11. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    12. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    15. « Station Météo-France Margny-les-Compiègne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    16. « Orthodromie entre Armancourt et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Margny-les-Compiègne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    18. « Orthodromie entre Armancourt et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Unité urbaine 2020 de Compiègne », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    26. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    27. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    28. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    31. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. « Comités municipaux », sur Horizons Le parti (consulté le ).
    34. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Armancourt », Cartes de France (consulté le ).
    35. « Extrait du registre des délibérations du conseil municipal de la commune d'Armancourt (60880) - séance du 23 mai 2020 » [PDF], Réunions du conseil municipal, Mairie d'Armancourt (consulté le ).
    36. Raphaelle Fouan, « Le village d’Armancourt joue la carte de la biodiversité : Les initiatives pour l’environnement et le fleurissement se multiplient », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    37. « L'école Albert Eveloy », Vie Scolaire, sur https://armancourt.fr (consulté le ).
    38. Benjamin Merieau, « Huit ouvertures de classes primaires annoncées dans l’Oise pour la rentrée 2021 », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    42. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Armancourt (60023) », (consulté le ).
    43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    44. Notice no PA00114483, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. Louis Graves, Précis statistique sur le canton d'Estrées-Saint-Denis, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 110 p. (lire en ligne), p. 30-31.
    46. Émile Coët, « Armancourt », Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier,‎ , p. 82 (lire en ligne, consulté le ).
    47. Eugène Müller, Courses archéologiques autour de Compiègne, Compiègne, Progrès de l’Oise, , 84 p. (lire en ligne [PDF]), p. 228.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.