Tillé (Oise)
Tillé [tije] est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.
Tillé | |||||
Entrée de Tillé. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Oise | ||||
Arrondissement | Beauvais | ||||
Intercommunalité | CA du Beauvaisis | ||||
Maire Mandat |
Catherine Martin 2020-2026 |
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Code postal | 60000 | ||||
Code commune | 60639 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Tillois, Tilloises | ||||
Population municipale |
1 251 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 85 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 27âČ 51âł nord, 2° 06âČ 44âł est | ||||
Altitude | Min. 81 m Max. 136 m |
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Superficie | 14,8 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Beauvais (banlieue) |
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Aire d'attraction | Beauvais (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Mouy | ||||
LĂ©gislatives | 1re circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Oise
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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GĂ©ographie
Localisation
La commune de Tillé est située à l'ouest de la région Picardie.
Tillé est un village situé à 4 kilomÚtres au nord de la ville de Beauvais, proche de grands axes tels que la départementale 1001 (ex-RN 1), ou encore de l'autoroute A16 reliant Paris à Calais.
Il est marqué par la présence sur son territoire de l'aéroport de Beauvais-Tillé.
Communes limitrophes
Transports en commun
Tillé est, tout comme Beauvais, desservie par la ligne12 et par la Navette Express HÎtels , ces deux lignes étant gérées par les Transports urbains du Beauvaisis.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et mise en service en 1944 permet de connaĂźtre en continu l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[7]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs. La tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[8] Ă 10,6 °C pour 1981-2010[9], puis Ă 11,1 °C pour 1991-2020[10].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1 | 0,9 | 3 | 4,5 | 8 | 10,8 | 12,9 | 12,8 | 10,2 | 7,6 | 3,9 | 1,5 | 6,5 |
Température moyenne (°C) | 3,6 | 4,1 | 7,1 | 9,4 | 13,1 | 16 | 18,4 | 18,3 | 15,2 | 11,5 | 7 | 4 | 10,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,3 | 7,3 | 11,1 | 14,3 | 18,2 | 21,2 | 23,9 | 23,9 | 20,2 | 15,5 | 10,1 | 6,6 | 14,9 |
Record de froid (°C) date du record |
â19,7 28.01.1954 |
â16,8 14.02.1956 |
â12,1 13.03.13 |
â6,9 06.04.21 |
â2,4 03.05.21 |
1,2 05.06.1991 |
3,6 08.07.1954 |
3,9 28.08.1974 |
â0,5 20.09.1952 |
â5 28.10.03 |
â10,9 25.11.1956 |
â15,7 21.12.1946 |
â19,7 1954 |
Record de chaleur (°C) date du record |
15,6 27.01.03 |
20,4 24.02.1990 |
24,8 31.03.21 |
28,4 18.04.1949 |
31,2 25.05.1953 |
36,9 27.06.11 |
41,6 25.07.19 |
39 06.08.03 |
34,8 15.09.20 |
28,2 01.10.11 |
20,2 01.11.14 |
17 07.12.00 |
41,6 2019 |
Ensoleillement (h) | 65,2 | 76,7 | 124 | 171,5 | 198,9 | 211,8 | 217,4 | 210,1 | 162 | 112,2 | 66,9 | 52,6 | 1 669,4 |
Précipitations (mm) | 57,5 | 45,5 | 53,4 | 48,6 | 58,9 | 57,1 | 54 | 51,7 | 54,2 | 63,8 | 56,1 | 68,6 | 669,4 |
Urbanisme
Typologie
Tillé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [11] - [12] - [13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Beauvais, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[14] et 60 385 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (73,9 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (75,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (71,9 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (18,1 %), zones urbanisĂ©es (3,8 %), forĂȘts (3,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (1 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siÚcle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Histoire
- Un site néolithique a été constaté à Tillé.
- Le village se trouve au croisement des anciennes voies romaines Amiens - Beauvais et Beauvais - Paillart.
- Il fut saccagé par le duc de Bourgogne Charles le Téméraire en 1472 aprÚs le siÚge de Beauvais et presque totalement anéanti par un incendie en 1825[21].
- Un chùteau existait à Tillé, démoli en 1774[21].
- PremiĂšre Guerre mondiale
- L'aéroport est créé lors de la PremiÚre Guerre mondiale par l'armée française et dispose, en 1918, de 71 tentes pour avions[22]. Il a sans doute servi lors de la bataille d'Amiens en 1918.
- Entre-deux-guerres
Le terrain d'aviation sert aux besoins de l'aviation civile et est un aĂ©rodrome de secours pour lâaĂ©ronautique marchande sur la ligne Le Bourget â Londres. En 1935, cet aĂ©roport dispose d'Ă©quipements importants pour l'Ă©poque, avec une aire dâatterrissage de 500 x 500 m, un phare aĂ©rien de rappel, un balisage nocturne, une installation radio associĂ©e Ă une station de radiogoniomĂ©trie, des logements et trois hangars[22].
- Seconde Guerre mondiale
Le terrain sert à nouveau aux besoins de l'aviation militaire française pendant la DrÎle de guerre et la Bataille de France, du au .
AprĂšs l'armistice du 22 juin 1940, il est utilisĂ© par la Luftwaffe de Ă comme « Flugplatz Beauvais â TillĂ© » sous le n° de code 501, et de Ă juin 1944 sous le n° 252. Ses installations ont Ă©tĂ© accrues et il dispose de 2 pistes de 1 665 m chacune, bĂ©tonnĂ©es, balisĂ©es, dotĂ©es de rampes dâapproche Lorenz et de moyens dâarrivĂ©e par mauvais temps, 44 abris pour avions[22].... Cela amĂšne l'aviation alliĂ©e Ă bombarder frĂ©quemment les installations de TillĂ© Ă partir de septembre 1943[23].
Ă la LibĂ©ration le terrain est rĂ©pertoriĂ© par les AlliĂ©s sous une premiĂšre appellation B-42 pour des escadrilles britanniques, et, Ă leur dĂ©part, il reçoit la deuxiĂšme appellation A-61 et abrite le 322e Bombing Group, sur Martin B-26 Marauder, du au . Il est Ă©galement utilisĂ© pour le stockage des planeurs dâassaut et de leurs avopns-tracteurs, des Consolidated B-24 Liberator[22].
Tillé est l'une des 28 communes du département de l'Oise à avoir été décorées de la Croix de guerre 1939-1945 le [24].
Politique et administration
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la premiÚre circonscription de l'Oise.
AprÚs avoir été de 1793 à 1802 le chef-lieu d'un fugace canton de Tillé, elle faisait partie depuis 1802 du canton de Nivillers[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Tillé est désormais intégrée au canton de Mouy.
Intercommunalité
Tillé était membre de la communauté de communes rurales du Beauvaisis créée fin 1997.
Il l'a quitté pour intégrer en 2004 la communauté d'agglomération du Beauvaisis qui se constituait et dont Tillé est désormais membre.
Liste des maires
Distinctions et labels
Ville fleurie : une fleur attribuée en 2007 par le Conseil des Villes et Villages Fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris[31].
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[33].
En 2020, la commune comptait 1 251 habitants[Note 6], en augmentation de 15,83 % par rapport Ă 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 35,6 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 27,8 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,8 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 586 hommes pour 615 femmes, soit un taux de 51,21 % de femmes, légÚrement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Principaux Ă©quipements
La commune accueille l'aéroport de Beauvais-Tillé.
Elle est en regroupement pédagogique intercommunal avec Maisoncelle-Saint-Pierre et Guignecourt[37].
Ăconomie
La majeure partie de l'emprise de l'aéroport de Beauvais-Tillé (avec l'aérogare et plupart des installations) est sur le territoire de la commune de Tillé ; seule l'extrémité sud-est de la piste principale est sur celui de la commune limitrophe de Beauvais.
L'entreprise Isagri est implantée à Tillé. Elle emploie plus de 1 400 salariés, dont 600 sur la commune en 2016, et est spécialisée dans la conception et la vente de logiciels dédiés aux exploitations agricoles[38].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise romane carrĂ©e avec chĆur circulaire du XIe siĂšcle, ressemblant Ă la Basse-Ćuvre de Beauvais, remaniĂ©e au XVIe siĂšcle avec un chĆur de 1550 et une nef du XIIe siĂšcle. C'est un des rares bĂątiments de TillĂ© Ă ne pas avoir subi les dommages de la guerre[39].
Personnalités liées à la commune
- François Beauvy, écrivain, docteur en langue et littérature françaises, de l'université Paris-Nanterre, habite la commune[40].
HĂ©raldique
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Les armes de Tillé se blasonnent ainsi : |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Tillé sur le site de la communauté d'agglomération du Beauvaisis
- « Dossier complet : Commune de Tillé (60639) », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Fiche du Poste 60639001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Beauvais », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Daniel Delattre, L'oise : les 693 communes, Delattre Ă Grandvilliers, .
- Jacques Calcine, « Beauvais â TillĂ© », Atlas, Anciens aĂ©rodromes, (consultĂ© le ).
- O. D., « Beauvais et Saint-Leu, villes martyres », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- « TillĂ© : Bruno Marchetti part pour un 3e mandat », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3271,â , p. 25.
- « Maire depuis vingt ans, Bruno Marchetti arrĂȘte : Bruno Marchetti a Ă©tĂ© Ă©lu conseiller municipal en 1983 puis maire en 1999. Il a dĂ©cidĂ© de ne pas se reprĂ©senter », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3588,â 5/2/1/2020, p. 22.
- « Le maire de TillĂ© Ă©tait l'ingĂ©nieur en BTP du chantier », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Patrick Caffin, « Municipales Ă TillĂ© : les nuisances de lâaĂ©roport de Beauvais au cĆur des enjeux : La gestion des nuisances causĂ©es par la plateforme aĂ©roportuaire de Beauvais sera le principal dĂ©fi de Catherine Martin, seule candidate Ă la succession de Bruno Marchetti », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « Ă l'heure actuelle, Catherine Martin (SE), par ailleurs collaboratrice parlementaire du sĂ©nateur Olivier Paccaud (rattachĂ© au groupe LR), est la seule Ă avoir fait acte de candidature (...) ArrivĂ©e en 1993 dans la commune, Catherine Martin a Ă©tĂ© conseillĂšre municipale pendant 12 ans avant de devenir adjointe aux affaires sociales lors du dernier mandat ».
- Jimmy Hautecloche, « Beauvais Beauvaisis : Qui est Catherine Martin, la nouvelle maire de TillĂ©, quels sont ses projets ? », L'Observateur de Beauvais,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Le palmarĂšs des villes et villages fleuris », Le Courrier picard Ă©dition de l'Oise,â .
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de TillĂ© (60639) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de l'Oise (60) », (consultĂ© le ).
- « Tillé », sur le site de la communauté d'agglomération du Beauvaisis (consulté le )
- D. L., « TillĂ© : Isagri, la premiĂšre start-up de lâagriculture 2.0 », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
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