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Remy (Oise)

Remy (prononcer [ʁemi] ; nommé également Rémy non officiellement) est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Remy
Remy (Oise)
La mairie.
Blason de Remy
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité Communauté de communes de la Plaine d'Estrées
Maire
Mandat
Sophie Mercier
2020-2026
Code postal 60190
Code commune 60531
Démographie
Gentilé Remynois
Population
municipale
1 960 hab. (2020 en augmentation de 10,99 % par rapport à 2014)
Densité 98 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 26′ 19″ nord, 2° 42′ 30″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 100 m
Superficie 19,97 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Remy
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Remy
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Remy
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Remy
Liens
Site web https://www.remy60.fr/

    Ses habitants sont appelés les Remynois[1].

    Géographie

    Description

    Remy est située sur le plateau picard, à une distance orthodromique de km de Compiègne, 45 km de Beauvais, 59 km d'Amiens et 70 km de Paris[2].

    Remy se situe près de l'autoroute du Nord et peut être rejointe par la D 26. Elle est également accessible par les anciennes RN 17 et RN 31 par le biais des RD 26 et RD 36.

    La Gare de Remy, située sur la ligne de Rochy-Condé à Soissons, est desservie par des trains TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre les gares Amiens et de Compiègne. En 2009, sa fréquentation était de 16 voyageurs par jour[3].

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 668 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Margny-les-Compiègne », sur la commune de Margny-lès-Compiègne, mise en service en 1994[12] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[13] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 662,2 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 43 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[16] à 10,6 °C pour 1981-2010[17], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Remy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [19] - [20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,8 %), forêts (19,1 %), zones urbanisées (4,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,7 %), zones agricoles hétérogènes (3 %), prairies (2 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Histoire

    La création du village de Remy date de l'époque romaine. En 1245, Remy est laissé à Saint Louis par Gautier de Chatillon, sire de Saint Agnan. Le comté dont le village fait partie fut légué à son cinquième fils, Robert. Un fort fut alors construit dans le village. Il fut pris par les anglais en 1358 et 1429. En 1588, pendant les guerres de religion, Charles d'Humières attaqua le fort. Il fit pendre nombre de vaincus et mis le bourg à sac. Le village disposait à cette époque d'une maladrerie, d'un marché et organisait diverses foires[26].

    A la fin de la Première guerre mondiale, le village de Remy, situé à quelques kilomètres du front (voir Bataille du Matz) reçoit la croix de guerre[27].

    En 1944, un train allemand explose en gare de Remy après une attaque aérienne. Cette explosion coûte la vie à un jeune homme du village et au pilote de l'avion Houston Lee Braly Junior. L'explosion fut si forte qu'elle explosa les vitraux de l'église, pourtant distante de plus d'un kilomètre. La gare et son quartier furent rasés (voir Gare de Remy ) . Le village recevra la médaille militaire 39-45.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise (département).

    Elle faisait partie depuis 1802 du canton d'Estrées-Saint-Denis[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton d'Estrées-Saint-Denis

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Remy est membre de la communauté de communes de la Plaine d'Estrées, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1977 1995 Michel Campion
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 4 septembre 2012[29] Denis Panse Démissionnaire
    octobre 2012 En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Sophie Mercier Présidente de la Communauté de communes
    Réélue pour le mandat 2020-2026[30] - [31]

    Politique de développement durable

    Dans le cadre de la mise en œuvre du programme régional « un million d’arbres en Hauts-de-France[32] » , la municipalité a fait planter 500 arbres fin 2020 afin de renforcer la biodiversité, sur une parcelle proche de la gare, destinée à devenir une zone de balade et de cueillette[33].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

    En 2020, la commune comptait 1 960 habitants[Note 8], en augmentation de 10,99 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    715781804772810816802829864
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9209249289749781 0131 0571 0721 005
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    9389229199391 0261 035907936983
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 0411 1281 1911 1661 7831 8521 7661 7461 763
    2018 2020 - - - - - - -
    1 8811 960-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 935 hommes pour 946 femmes, soit un taux de 50,29 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,2
    4,3
    75-89 ans
    7,0
    16,0
    60-74 ans
    14,7
    21,7
    45-59 ans
    22,1
    18,5
    30-44 ans
    20,1
    18,0
    15-29 ans
    14,6
    21,0
    0-14 ans
    20,4
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Sports

    Le stade communal porte le nom de Michel Vasquez, président du club de foot de Rémy depuis 1990[39].

    Autres services publics

    La commune dispose en 2021 d'un bureau de poste.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Remy compte un monument historique sur son territoire :

    • Église Saint-Denis, rue de l'Église (classée monument historique par arrêté du [40]) : C'est un vaste édifice de style gothique flamboyant et Renaissance, qui se substitue à un édifice plus ancien du début du XIIIe siècle, dont certains éléments subsistent, notamment les murs d'extrémité de l'ancien transept. Assez marquant pour le paysage est le clocher-porche du XVIe siècle haut de 35 m, dont les principaux éléments stylistiques, réseaux des baies de l'étage de beffroi, balustrade et flèche, sont des aménagements des années 1861 / 1873. Il y a, surtout à l'extérieur, une nette séparation entre nef des fidèles et chœur liturgique. Les murs gouttereaux des bas-côtés, un peu rustiques et de faible hauteur, sont en fort contraste avec l'élégance et la hauteur des parties orientales, et le raffinement de son décor Renaissance. À l'intérieur, le style flamboyant prévaut, et les différences entre nef et chœur sont moindres. Ils sont surtout de la même hauteur et de la même largeur. Cependant, les voûtes de la nef et de son bas-côté sud datent seulement du XIXe siècle, et sont dénuées d'intérêt artistique. Seul le bas-côté nord conserve son beau plafond lambrissé du XVIe siècle. Plus impressionnant est le double transept, qui forme un ensemble homogène avec l'abside à pans coupés, et est assez unique dans son genre en raison du type de piliers à huit ondulations et autant d'arêtes, et des frises Renaissance en guise de chapiteaux. Tout en puisant ses sources dans l'architecture antique, ils ne reproduisent pour autant aucun des ordres classiques. L'on peut seulement déplorer le manque de soin apporté à certains éléments de la modénature. Exceptionnelle pour une église rurale, qui n'a jamais été que simple église paroissiale, l'église Saint-Denis offre aussi un mobilier riche et varié, avec notamment un ensemble de vingt-six stalles du milieu du XVIe siècle, et neuf verrières de l'abbé Deligny. Curé de Remy de 1863 à 1883, il s'était improvisé vitrailliste dès son premier ministère à Jonquières, et laisse une œuvre à la marge des conventions, préfigurant l'Art nouveau[41]. Les vitraux seront soufflés par l'explosion d'un train de munitions en 1944. Dans les années 90, l'un des deux pilotes ayant détruit le train récoltera des fonds (près d'un million de francs) pour que l'église dispose de nouveaux vitraux, inaugurés en 2000[42].
    • L'église
    • Vue générale depuis le sud-est.
      Vue générale depuis le sud-est.
    • Façade occidentale
      Façade occidentale
    • Détail du clocher
      Détail du clocher
    • La nef
      La nef
    • Le chœur et le maître-autel
      Le chœur et le maître-autel
    • Bas-côté nord
      Bas-côté nord

    On peut également signaler :

    • Nécropole nationale de Remy : La nécropole a été créée en 1920 et accueille les soldats enterrés dans les cimetières des alentours. On compte 1829 tombes de soldats français, 56 de victimes civiles et 6 de soldats de la Seconde Guerre Mondiale. A l'occasion du centenaire de l'armistice, la nécropole a été rénovée.
    • Château de Rémy. Situé au nord du village, il a subsisté jusqu'en 1797. On retrouve des restes de remparts dans le village. La prévôté y tenait audience, elle était composée d'un procureur du roi, d'un prévôt et de deux avocats, d'un huissier et d'un greffier. Ce système a perduré jusqu'à la révolution.
    • Monument aux morts, avenue de la Gare.
      Monument aux morts, avenue de la Gare.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Armes de Remy

    Les armes de Remy se blasonnent ainsi :

    de sinople à la grande losange de gueules bordée d’or, chargée d’une quintefeuille du même, cantonnée de quatre merlettes d’argent, adossées deux à deux

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Remy », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Nom des habitants de Remy », sur habitants.fr (consulté le ).
    2. « Distance orthodromique entre Remy et... », sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
    3. résumé de la ligne
    4. « Communes limitrophes de Remy » sur Géoportail..
    5. « Communes limitrophes de Remy » sur Géoportail..
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    9. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    12. « Station Météo-France Margny-les-Compiègne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Orthodromie entre Remy et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Margny-les-Compiègne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Remy et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. Louis Graves, Précis statistique sur le canton d'Estrées-S.t-Denis, arrondissement de Compiègne (Oise), (lire en ligne)
    27. « Les deux guerres mondiales », sur Mairie de Remy (consulté le )
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. « CONSEIL MUNICIPAL DE RÉMY - LE 13 SEPTEMBRE 2012 » [PDF], Mairie de Rémy (consulté le ) : « Madame Sophie MERCIER rappelle que le préfet de l’Oise a accepté la démission de Monsieur Denis PANSE de ses fonctions de maire à compter du 4 septembre 2012, et que conformément aux dispositions de l’article L.2122-17 du code général des collectivités territoriales, il lui appartient, en tant que première adjointe, de le remplacer dans la plénitude de ses fonctions jusqu’à l’élection des nouveaux maire et adjoints », p. 1.
    30. Réélue pour le mandat 2014-2020 : « Remy – le 28 mars 2014 - PROCÈS-VERBAL DE L’ÉLECTION DU MAIRE ET DES ADJOINTS » [PDF], sur Mairie de Rémy (consulté le ).
    31. « Procès-verbal de la séance du conseil municipal du mardi 26 mai 2020 » [PDF], Comptes-rendus officiels, sur https://www.remy60.fr (consulté le ).
    32. Yannick Boucher, « La Région Hauts-de-France vote la plantation d’un million d’arbres en trois ans : Appels à projets pour les communes, soutien aux associations, actions dans les lycées : les premières plantations d’arbres sont programmées cet automne », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    33. Raphael Nappey, « Rémy et ses 500 arbres : Dans le cadre d’un plan lancé par la Région, la commune de Rémy a commencé la plantation de 500 arbres », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Remy (60531) », (consulté le ).
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    39. « Michel Vasquez va donner son nom au stade de Rémy », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    40. « Église Saint-Denis », notice no PA00114833, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. « En savoir plus… », sur Mairie de Remy (consulté le ).
    42. Par C. D. Le 30 juillet 2000 à 00h00, « L'émouvante histoire des vitraux de Remy », sur leparisien.fr, (consulté le )
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