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Assevillers

Assevillers est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Assevillers
Assevillers
Blason de Assevillers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité Communauté de communes Terre de Picardie
Maire
Mandat
Didier Jacob
2020-2026
Code postal 80200
Code commune 80033
Démographie
Gentilé Assevillois
Population
municipale
307 hab. (2020 en augmentation de 6,6 % par rapport à 2014)
Densité 56 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 53′ 49″ nord, 2° 50′ 10″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 84 m
Superficie 5,47 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Péronne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ham
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Assevillers

    Géographie

    Nature du sol et du sous-sol

    Le limon argilo-siliceux prédomine au niveau de la consistance du sol. Le sous-sol est composé de potasse et d'acide phosphatique[1].

    Relief, paysage, végétation

    Le relief de la commune est celui du plateau du Santerre. Le terrain est particulièrement plat mais présente de petits vallons vers Flaucourt, Estrées-Deniécourt et Fay[1].

    Hydrographie

    Aucun cours d'eau ne traverse la commune. La nappe phréatique se trouve à une vingtaine de mètres de profondeur[1].

    Climat

    Le climat de la commune est tempéré océanique avec vents dominants de sud-ouest et de nord-est. Ce village picard se trouve à 110 km de la Manche.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Urbanisme et aménagement du territoire

    La commune d'Assevillers présente un habitat groupé en son chef-lieu. Détruit au cours de la Première Guerre mondiale, le village a été reconstruit durant l'entre-deux-guerres.

    Activité économique et de services

    L'agriculture demeure une activité essentielle de la commune sur le territoire de laquelle a été aménagée une aire de repos et de service autoroutière de l'autoroute A1. Y furent ouverts le premier Quick autoroutier et aussi les premiers hôtels Accor.

    Voies de communication

    Assevillers est située à proximité immédiate de l'autoroute A1, sur l'axe Lille - Paris et de l'autoroute A29 sur l'axe Amiens - Saint-Quentin.

    Assevillers se trouve également à km de la gare TGV Haute Picardie où se situe une zone d'activité portant le même nom.

    Transports en commun routiers

    La localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 59, Harbonnières - Péronne)[2].

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Assevillers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Péronne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 52 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[6] - [7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (13,1 %), zones urbanisées (5,1 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Assa villa en 1214[10], Assevilliers en 1415 et en 1429[11].

    Asvilé en picard.

    Plusieurs hypothèses ont été émise quant à l'origine du nom Assevillers : Assa villa signifierait soit « village brûlé », soit « lieu exposé aux rayons du soleil », soit « lieu où les habitants façonnent le bois de la forêt voisine »[12] - [Note 3].

    Le nom Assevillers est très certainement de formation germano-romane. Villers proviendrait du latin villare (de villa, domaine agricole) signifiant partie de la villa démembrée pour former un nouveau domaine[13]. Asson dériverait d'un anthroponyme d'origine germanique, celui du premier propriétaire de ce nouveau domaine, selon toute vraisemblance[1].

    Histoire

    Préhistoire

    La présence d'un polissoir datant de l'époque néolithique, sur le territoire de la commune prouve une occupation humaine en ces lieux dès la préhistoire.

    Antiquité

    Il n'y a pas trace de présence d'un habitat gallo-romain sur le territoire de l'actuel Assevillers.

    Moyen Âge

    1214, première mention du lieu nommé Assa villa (Assevillers) appartenant à Simon de Moreuil. Jusqu'au XVe siècle, Assevillers n'a été qu'un hameau, qui se développa à la fin du Moyen Âge, dépendant de la paroisse voisine de Fay.

    Au XVe siècle, Assevillers était la possession de la famille de Caulaincourt et de la famille d'Ailly. Le 16 juin 1409, Colard d'Ailly reconnut, dans un aveu, tenir du roi un fief à Assevillers[12].

    Époque moderne

    En 1528, Lancelot de Chambly possédait un fief à Assevillers, relevant de la seigneurie de Villers-Carbonnel.

    En 1576, un d'Assevillers fut signataire de la Ligue de même qu'un Tassart-Assevillers. Cependant, en 1577, la seigneurie d'Assevillers était la possession de la famille d'Amerval. En 1574, Marie-Louise d'Amerval épousa Oudard de Mailly-Couronnel et la seigneurie d'Assevillers resta dans cette famille jusque 1789[12].

    Première Guerre mondiale

    La commune d'Assevillers a été au cœur de la Première Guerre mondiale. Elle fut occupée dès le mois d'août 1914 par l'armée allemande.

    Elle fut pratiquement entièrement détruite en juin-juillet 1916, durant la bataille de la Somme. Lors cette bataille, plusieurs millions d'obus ont été tirés en direction des tranchées allemandes. C'est ainsi que l'église d'Assevillers, qui représentait un point d'observation pour l'armée allemande, a été détruite par l'artillerie franco-britannique. Elle fut définitivement libérée le par l'armée australienne[14] La commune est l'une des 338 qui établirent un plan de reconstruction prescrit par la loi du 14 mars et du 17 avril 1919[15].

    Seconde Guerre mondiale

    Lors de la bataille de France, de 1940, Assevillers fut occupée par l'armée allemande le 19 mai. Le village avait été évacué le 17, par ordre de la préfecture de la Somme. Le 26 mai, le 1er bataillon du 41e régiment d'infanterie français déclencha une attaque pour reprendre le village. Le bilan fut très lourd pour l'armée française qui ne put reprendre le village, 50 morts et 75 blessés. Le 5 juin, les chars allemands concentrés entre Barleux et Assevillers attaquaient l'armée française[16].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Chaulnes[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Ham.

    Intercommunalité

    La commune était adhérente de la communauté de communes de Haute-Picardie créée en 1994 sous le nom de communauté de communes de Chaulnes et environs, et qui a pris sa dénomination de communauté de communes de Haute-Picardie en 1999.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[18].

    Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[19] - [20] - [21]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[22], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en Å“uvre de la fusion le [23].

    Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[24].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1878 1919 Ernest Boinet[14] - [25] Agriculteur, fabricant de sucre,
    Directeur des sucreries d'Epenancourt et de Génermont (Fresnes-Mazancourt)
    Conseiller général de Chaulnes (1882 → 1919)
    Décédé en fonction
    avant 1988 Jean-Marie Marchandise
    Les données manquantes sont à compléter.
    juin 1995 juillet 2020[26] Michel Guilbert
    juillet 2020[27] En cours
    (au 5 juillet 2020)
    Didier Jacob Chef d'entreprise

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

    En 2020, la commune comptait 307 habitants[Note 4], en augmentation de 6,6 % par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    604329492444492465465480464
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    419406405389416401388411414
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    405401307124189187202188190
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    199203221262256228260260287
    2015 2020 - - - - - - -
    290307-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 1898, une râperie, à un kilomètre du village, compte six habitants[1].

    Équipements

    À la suite de la fermeture de l'école municipale en 2017, le bâtiment a été rénové. Il est devenu une salle des fêtes en 2019[31] .

    Économie

    L'aire de service autoroutière d'Assevillers, généralement qualifiée la plus importante d'Europe, peut accueillir 30 000 personnes par jour lors des grandes pointes de déplacements. Elle compte, en 2017, quatorze boutiques ou restaurants qui emploient 350 salariés.

    L'aire fait l'objet en 2018-2019 d'une profonde restructuration qui comprend le démontage de la passerelle piétonne au-dessus de l'autoroute[32].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Polissoir dit « Grès de Saint-Martin », du Néolithique, bloc de grès gris de 2,50 m de long sur 1,20 m de large environ, initialement implanté à 1,5 km au nord du village, dans la plaine de la Croix de Saint-Martin, et désormais déplacé à côté de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption[33].
    • Ensemble mairie-église labelisé « Patrimoine du xxe siècle » par le ministère de la Culture en 2005. Cet édifice, conçu par l'architecte Louis Duthoit, a été inauguré en 1929[34]. L'ancienne église a été totalement détruite durant l'offensive franco-britannique lors de la bataille de la Somme, fin .
    • Oratoire Notre-Dame-de-Lourdes, en forme de triangle. Une chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours avait été construite en 1834 puis détruite pendant la guerre[35].
    • Le Cimetière militaire britannique d'Assevillers (Assevillers New British Cemetery) contient un peu plus de 800 soldats dont 482 identifiés[36].
    • Église Notre-Dame-de-l'Assomption.
      Église Notre-Dame-de-l'Assomption
      .
    • La mairie.
      La mairie
      .
    • Le cimetière militaire britannique.
      Le cimetière militaire britannique
      .
    • Le grès de Saint-Martin.
      Le grès de Saint-Martin.
    • L'aire d'Assevillers, l'une des plus grandes aires d'autoroute d'Europe, abrite une dizaine d'enseignes dont plusieurs hôtels. Elle s'étale des deux côtés de l'autoroute. Une passerelle permet de passer d'un côté à l'autre[32] .

    Personnalités liées à la commune

    • Cecil Healy, médaillé olympique de natation aux jeux de Stockholm en 1912, sous-lieutenant au 19e bataillon australien d'infanterie tué le 29 août 1918 à l'âge de 34 ans lors de la bataille du Mont Saint-Quentin, inhumé au « Assevillers New British Cemetery »[37].

    Héraldique

    La commune a repris les armoiries de la famille d'Amerval, seigneur d'Assevillers du XVe au XVIIIe siècle, les couleurs étant simplement inversées. On ignore si et à quelle date Assevillers releva officiellement ces armes qui figuraient sur le site internet de la commune en 2012[38].

    Blasonnement :

    • De gueules à trois besants d'argent posés 2 et 1.

    Ornement extérieur :

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, - réédition partielle sous le titre : Chaulnes et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire Rassorts Lorisse, , 213 p. (ISBN 978-2-87760-916-6, BNF 35548185), p. 81
    • Henri Douchet « Fasol », L'Arrondissement de Péronne sous l'occupation (1914-1918), Inval-Boiron, La Vague verte, coll. « Jusant », (ISBN 978-2-35637-059-4)
    • Francine François-Dejuine, 1914-1924, 26 communes dans la tourmente, Inval-Boiron, La Vague verte, coll. « Souvenance », , 187 p. (ISBN 978-2-913924-99-4, BNF 41223031)
    • Francine François-Dejuine, 1935-1955, Mémoires de 28 communes du Santerre, Inval-Boiron, La Vague verte, coll. « Souvenance », , 340 p. (ISBN 978-2-35637-035-8, BNF 42482331).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Ces hypothèses ne sont plus retenues aujourd'hui.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. M. Grimaux, instituteur, « Notice géographique et historique sur la commune d'Assevillers », sur Archives départementales de la Somme, .
    2. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Péronne », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. Dans les écrits dans un dénombrement destiné à Philippe-Auguste, Roi de France.
    11. Dans un registre concernant les recettes de droits de bâtardise de la prévôté de Péronne.
    12. Decagny, p. 81.
    13. Charles Rostaing, Les Noms de lieux, Paris, P.U.F., , p. 74-76.
    14. « Il y a 100 ans, notre village était libéré du joug allemand », S'investir pour Assevillers, no Supplément au numéro 2,‎ (lire en ligne [PDF], consulté le ).
    15. « Assevillers », Les circuits du Bleuet, Santerre 2014-2018 : La mémoire de la Grande Guerre dans la Somme (consulté le ).
    16. Francine François-Dejuine, 1935-1955, Mémoires de 28 communes du Santerre, Inval-Boiron, La Vague verte, coll. « Souvenance », , 340 p. (ISBN 978-2-35637-035-8, BNF 42482331).
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s’est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l’occasion d’annoncer la volonté de l’intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
    19. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    20. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
    21. « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L’annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
    22. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
    23. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
    24. « CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
    25. « Frédéric Ernest Célestin Boinet », base Léonore, ministère français de la Culture.
    26. Aude Collina, « C’est le dernier mandat pour Michel Guilbert, à Assevillers : Michel Guilbert ne briguera pas de mandat supplémentaire à la tête de la commune d’Assevillers, qui compte autour de 300 habitants », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « J’ai effectué quatre mandats de maire et deux de conseiller municipal, c’est-à-dire trente-sept ans, dont 25 ans de maire », chiffre le retraité, très investi dans le développement de son village natal ».
    27. Vincent Fouquet, « Didier Jacob, nouveau maire d’Assevillers », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Avec huit nouveaux élus sur 11, le conseil municipal d’Assevillers a subi un important lifting après le départ annoncé du maire, Michel Guilbert, élu depuis 35 ans et maire depuis 27 ans. Pour lui succéder, c’est Didier Jacob qui a été élu avec 9 voix (contre deux blancs) ».
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. Aude Collina, « Les anciennes écoles revitalisent les villages de Haute-Somme : La vie ne s’arrête pas dans les écoles où les enfants ont rejoint des regroupements scolaires. Du futur pôle santé d’Harbonnières à la Maison du temps partagé à Tincourt-Boucly, en passant par la salle des fêtes d’Assevillers, de nouveaux services en milieu rural éclosent dans ces bâtiments libérés », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    32. Vincent Fouquet, « L’aire d’autoroute d’Assevillers va se métamorphoser en 2018 : L’aire d’autoroute la plus fréquentée d’Europe va aborder une longue période de travaux et d’aménagements afin de mieux répondre aux attentes et aux consommations des usagers », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    33. G. Boulanger, « La Pierre de Sainte-Radegonde et le Grès de Saint-Martin », Bulletin de la Société préhistorique de France, t. 15, no 5,‎ , p. 279-283 (lire en ligne, consulté le ).
    34. « Église paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption à Assevillers », sur http://patrimoine-de-france.com (consulté le ).
    35. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 239 (ASIN B000WR15W8).
    36. B.Fareneau, « Assevillers New British Cemetery », sur http://assevillers.80.free.fr (consulté le ).
    37. « Le projet Healy », Le Centenaire, sur http://assevillers.80.free.fr (consulté le ).
    38. « Le blason dans l'Armorial de France ».
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